Nom : Sil’ Afian
Prénom : Aylie
Surnom : Ay
Âge : 16 ans
Sexe : Féminin
Guilde ou futur(e) : Guerrière
Description physique : Aylie à des cheveux châtains ébouriffés qui virent au blond au soleil et qui lui tombent un peu plus bas que les épaules. Elle porte un bandeau bleu dans ses cheveux pour retenir ses mèches rebelles. Le plus souvent, elle est habillée d’une tunique du même bleu que son bandeau qui dénude ses épaules ainsi qu’un pantalon bleu marine. Elle est assez grande mais de taille normale pour son âge. Elle à de grands yeux turquoise qu’elle à hérité de sa mère. Elle porte une épée dans un fourreau noir à sa ceinture et est chaussée de bottes noires. Ses seuls signes distinctifs d'appartenance à la famille impériale sont le médaillon représentant le sceau impérial et l
Description psychologique : Aylie est de caractère calme mais est elle très têtue et quand elle se met en colère (ce qui arrive rarement) il vaut mieux ne pas être la cible de son courroux. Quand elle à une idée en tête, elle ne l’a pas autre part et la faire changer d’avis est vain ou presque. Elle est très intelligente mais veut à tout prix prouver ses valeurs aux yeux de son père. C’est une perfectionniste, elle s’entraîne presque sans relâche au maniement du sabre et espère atteindre un jour le niveau de Siam Til’ Illan ou encore mieux, celui d’Edwin même si elle sait que cela est impossible ou presque ! Elle est joyeuse et c’est une bonne camarade. Elle aime rire et est très loyale envers ses amis. Lorsque la situation l’exige, elle sait être très sérieuse et quelques fois, elle n’hésite pas à se servir de son titre pour avoir accès à quelque chose, mais elle ne le fait que pour aider ses amis.
Qualités : Très courageuse, loyale et juste, perfectionniste
Défauts : Têtue
Histoire : Fille unique de l’Empereur de l’Impératrice alavirien, cette naissance fut une grande joie pour les souverains. Mais joie qui se teinta d’amertume car l’accouchement se passa mal et suite à des complications dont aucuns rêveurs ne put expliquer la cause, l’Impératrice se trouva incapable d’enfanter d’autres enfants et Aylie se trouva ainsi la seule héritière du trône alavirien.
Heureusement pour le couple impérial, la naissance se passait dans des temps calmes et la menace Ts’lich n’avait pas encore refait surface.
La jeune princesse passa six ans de bonheur avec ses parents au Palais d’Al-Jeit, entourés d’amour et d’affection de la part de ceux-ci ainsi que du peuple alavirien qui affectionnaient beaucoup la famille impériale.
Mais au bout de six ans, l’histoire de Gwendalavir connu un tournant que tout le monde connaît. Les Sentinelles furent exilées par les Ts’liches et elles devinrent les Figés. Cela marqua le début de l’ère de la Terreur comme elle l’appelait pour elle-même. La situation devint vite intenable, les Raïs déferlèrent sur l’Empire, les Ts’liches les commandant, les Alines commençant des razzias de plus en plus profonde dans le pays...
Mais tout cela, la princesse n’en avait que vaguement conscience. Enfermée dans le Palais avec sa mère, Aylie n’avait que rarement des nouvelles de l’extérieur. D’ailleurs, elle était trop jeune pour s’en soucier.
Quand vint ce jour funeste. Un matin, alors qu’elle était dans sa chambre avec sa mère qui lui donnaient ses leçons, un homme se matérialisa soudain dans la pièce.
Il était vêtu de noir et ses traits étaient empreints d’une haine triomphante. La fillette, folle de terreur s’était accrochée à la longue robe de sa mère.
Le Mercenaire – car s’en était un – avait à la main une longue lame serpentine. Il la leva vers l’Impératrice qui s’était levée et avait fait barrage de son corps, protégeant sa fille comme elle le pouvait. L’homme avait plongé son sabre dans le cœur de l’Impératrice qui s’était écroulée dans les bras de sa fille, sans vie. La princesse avait poussé un hurlement d’horreur. Hurlement qui avait redoublé lorsque le Mercenaire avait pointé sa lame vers elle. Elle avait cru que sa dernière heure était arrivée mais heureusement, son père et le seigneur Hander Til’ Illan qui était au Palais ce jour là étaient arrivés. Ils avaient tués le Mercenaire et puis, enterrés l’Impératrice.
Aylie avait sept ans.
Depuis ce funeste jour, elle fut encore plus enfermée au Palais, son père refusait tout net qu’elle sorte dans la ville, prétextant qu’elle était l’unique héritière du trône et qu’ils ne pouvaient se permettre de la perdre. Elle commença alors à s’entraîner sans relâche à la maîtrise du sabre, passant des heures et des heures à se perfectionner.
Puis, bien des années plus tard, elle avait eut vent de la présence d’Ewilan Gil’ Sayan au Palais. Elle avait voulu l’accompagner dans son voyage mais là encore, son père avait refusé, prétextant encore une fois la même chose ajoutée à son jeune âge. Irritée par cette nouvelle défaite, elle se promit que plus tard, si l’occasion s’en présentait, elle irait avec Ewilan et sa compagnie.
Puis, la nouvelle de la victoire était arrivée. Comme tous les autres Alaviriens, elle avait sauté de joie, d’autant plus qu’à présent, elle pouvait aller librement où elle voulait.
Mais une ombre était venue obscurcir ce tableau : la Méduse.
Une fois encore, elle avait supplié son père de la laisser partir avec Edwin, Ewilan et les autres, mais une fois encore, son père avait refusé.
Lorsque son père lui avait annoncé la victoire d’Ewilan, Edwin, Salim, Ellana et les autres, son bonheur fut terni par la pensée qu’elle ne pourrait plus prouver sa valeur à son père.
Mais cette pensée se révéla fausse.
Lors de la tentative d’assassinat de son père, la jeune fille se résolu à aider ceux qui tenteraient d’élucider qui avait voulu tuer l’Empereur, bien qu’ayant conscience que cela la plaçait également en danger.
Autre : Comme son père, Aylie possède le Don du Dessin mais à un faible niveau, elle préfère se servir de son sabre plutôt que du Don.
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