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Le rêve est l'amour le plus impudique de l'artiste[Tsuki/?]
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30.01.12 21:33

Un jour aux allures de fête. Quelques myriades de ballons colorés, des teintes merveilleuses et délicieusement relevées accompagnant un cortège entraînant de musiciens exubérants… La beauté d’un monde à l’aurore d’une ère de paix, somptueuse, dans lequel les plus jolies créations ne font que rivaliser avec l’intelligence des dessinateurs qui s’appliquent à les reproduire pour la joie du public. Ils sont là, cinq, six, cachés dans la foule à créer monts et merveilles sans tomber dans l’entêtement. Une rose pour une belle jeune femme qui se retourne vers son compagnon, surprise, une marionnette ou une poupée pour la petite fille aux boucles blondes, à moins qu’apparaisse subitement dans les mains d’un garçonnet la plus jolie de toutes les surprises colorées. Rire, douceur, passion, la beauté de l’amusement fêté dans la plus grande simplicité. Un geste éphémère qui ne dure que le temps d’un dessin, mais dont le souvenir reste pour la plupart du temps gravé dans le cœur de ses plus habiles participants…

Attachée par une corde enroulée autour de son pied, une demoiselle se laisse délicatement tomber vers le bas. Fleur épanouie qui s’étire et fait de son corps un arc parfait. Un tissu fin recouvre ses jambes, créant une seconde peau dorée qui la laisse libre de ses mouvements. Elle n’est que délicatesse et finesse durant son numéro alors qu’un musicien habile s’applique à suggérer un rythme lent à une foule de plus en plus compact qui se presse pour admirer la belle. Elle lève un bras, gracile, saisit la corde sous sa tête, puis lâche. Un sol lointain qui se rapproche à une vitesse vertigineuse à laquelle la demoiselle semble goûter. La corde se tend à deux mètres du sol, la demoiselle lâche, effectue le plus parfait des sauts pour se réceptionner de ses deux pieds joins sur le sol. Elle lève les bras, ovation de la foule, sourire de la gamine qui esquisse une révérence des plus gracieuses.

Une enfant s’approche, à pas lents, sans que la clameur de la foule ne cesse et que les pièces ne s’arrêtent de pleuvoir autour de l’artiste qui saisit avec gratitude chacune d’entre elle pour les faire tomber dans un chapeau qu’elle a laissé à terre. Elle lisse la jupe courte dorée qui dissimule ses cuisses puis passe une main pour sa poitrine comme pour simuler un acte de profonde gratitude, alors qu’elle se contente de vérifier si le corsage a parfaitement tenu. Heureusement c’est le cas, et elle peut même se vanter d’avoir un costume somptueux qui la fait ressembler à une fée alors que des centaines de paillettes or recouvrent son beau visage à des endroits stratégiques pour n’en laisser que plus captivant le parme de ses yeux. La gamine l’appelle, Lou s’accroupit dans un geste souple pour la regarder dans les yeux alors que la petite fille lui formule à l’oreille sa requête. Elle hoche la tête, les yeux de l’enfant pétillent, puis elle accroche une rose blanche des plus pures dans les boucles rousses de l’artiste vaguement relevés en un chignon. Puis elle s’enfuit en courant, rejoignant sa mère qui la couve d’un regard maternel. Lou se relève, effectue une dernière révérence qui lui vaut d’être acclamée à nouveau, avant de ramasser le chapeau qu’elle accroche à sa ceinture.

Maintenant, elle décampe, ne jamais rester trop tard dans ce genre d’endroits, on ne peut pas dire que ça soit ce qu’il y a de plus intelligent. Sentant la foule se diriger vers d’autres lieux plus attractifs une fois le spectacle achevé, elle décroche sa corde d’un simple geste, la roulant dans son sac avec une facilité déconcertante. La place se vide de son côté, bien, elle peut envisager d’aller se rincer le visage à l’eau dans l’auberge. Elle se fond donc dans la foule jusqu’à une impasse non loin de la fête, accès direct, mais désespérément vide qui ne lui dit rien qui vaille mais dans lequel elle s’obstine à s’engager malgré tout. Douloureuse erreur, ne jamais faire simple lorsqu’on peut faire compliqué.
La sensation d’être observée lui fait courir un frissonnement désagréable dans le dos et elle maudit sa faiblesse pour n’avoir une connaissance des armes qui soit aussi limitée.
Elle respire doucement pour se calmer…
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Tsukiyomi Ayame
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30.01.12 23:19
J'avais Quittée la citadelle un jours plus tot afin d'Aller a al-jeit. Ville ou plusieurs marchombres flanait certe,mais je n'avais pas peur de ces etres immondes qui ne parlait que d'harmonie et de paix et de tout ce qui nous importait peu, nous les etres du Chaos.Assise tranquillement sur KimiBoshi mon merveilleux petit etalon tacheté,je galopais vers cette immense ville que le plus grand dessinateur,Merwyn Ril'Avalon avait déssiner. Avec le soleil qui commencait a se lever a l'horizon,je commencais a me sentir désagréablement mal. j'avais toujours préféré la nuit et la lune au jour et au soleil mais la sa semblait affecter mon humeur. Déja grognonne de nature fallait pas que sa continue. Apres quelques heures mon derriere commencait a me faire souffrir. Je devais tolerer la douleur et continuer d'avancer. Qui serais-je si je n'Arrivais pas a oublier une petite douleur de rien du tout ? Une faible et je ne suis pas une faible ! Le soleil maintenant haut dans le ciel, j'arrivais a voir l'arche qui se déssinais au loin. Prenant KimiBoshi par les rennes, je fila vers l'entrée de la ville. Je n'allais certainement pas laisser mon cheval se promener comme sa dans la ville ! Du coin de l'oeil j'appercu une écurie. D'un pas ferme je me diriga vers le jeune homme qui la gardait. Je m'éfforca d'avoir ''L'air'' amicale.

-Coucou. Il te resterait pas une place pour mon cheval ? j'ai quelques courses a faire et je ne voudrais pas qu'il tombe en de mauvaise main. Tu sais, je l'Aime beaucoup .

Je rajouta un petit sourire forcée a cette phrase. Cela eut l'air de faire son éffet. Tout en me regardant,il pris les rennes de KimiBoshi et l'entraina dans une stalle libre tout au fond. Sans avoir envie de dépenser un sou, je rabbatit ma capuche sur ma tete et me fondit dans la foule.sans croiser un de ces etres putrides que l'ont appellaient marchombres, je flanit dans les rues d'Al-Jeit.En entandant des rires et des acclamations dans une rue, je décida de m'en approcher pour mieux voir ce qui se passait. De la musique s'échappait de cet endroit ou plusieurs personnes c'était rassemblés. Ahhh...un sentiment nostalgique venit s'interposer dans mon esprit pendant quelques instants.La musique avait été mon seul réconfort lorsque j'était encore dans mon petit village au japon...Je me secoua la tete afin d'oublier cette idée. Le passé était le passé et je me fichais de ce passé de malheur ! Je me fondit dans la foule et me fraya un chemin jusqu'a ce que je puisse voir ce qui les impressionnaient tous. Une jeune fille de mon age faisait des cabrioles attachée a une corde de velour. Habillée d'un simple corset et d'une jupe qui cachait ses cuisses, elle avait l'air légerement plus vieille. Elle était parsemé de paillette doré que le soleil faisait briller. Pour la premiere fois dans ma vie, je crois que mon visage arborais une vrai expression de joie. Cette jeune fille avait su me percer a jour et dévoiler une facette de moi que j'ignorais alors qu'Elle ne le savait meme pas. Elle fit alors une derniere figure et le monde autour de moi se mit a applaudir. Mon expression changa soudain. je repris mon air de ''je-m'en-foutiste'' et attendit que tout le monde partent afin de suivre la jeune fille. Elle rangea ses affaires et se diriga vers une impasse. Alors que je la suivait discretement,elle se retourna. Elle devait se sentir épier. Je me camoufla dans une parcelle d'ombre. Elle fixa de nouveau devant elle. je voyait ses épaules monter et déscendre comme si elle tentait de se calmer. Je pris mon poignard et déscendit ma manche afin de le camoufler.Je sortit alors de l'ombre et repoussa ma capuche laissant mes cheveux rouges écarlates déscendre sur mes épaules et continuer jusque dans le milieu de mon dos. Je pris alors la parole.

- Toi. Je t'ai vu tout a l'heure faire tes cabrioles. Tu est si souple ! je veut que tu m'apprenne a faire la meme chose. Je te donne 72 heures. Si je n'y arrive pas...(Je sortit ma main avec le poignard de ma manche et lui montra)tu finira comme trophée de chasse. Alors ? que décide tu ? d'une maniere ou d'une autre,si tu refuse je te tuerai et si tu n'est pas compétente pour m'apprendre sa tu meurt aussi. tu n'a donc pas le choix d'etre une bonne fille et de m'obéir. donc ? le refus et la mort,l'imconpétence et la mort ou la réussite et...la vie ?

[Hors RP : Kimi Boshi Signifie ''Ton étoile'']
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31.01.12 9:01
Soixante-douze heures avec une folle dangereuse aux basques ? Mais c’est une blague ? La jeune femme se retourna, respirant plus vite et plus fort pour réfréner l’envie de se sauver en courant lui nouant les tripes. Elle ne ferait pas trois pas, et puis, elle avait envie de connaître celle qui aurait sa peau. Parce que quelques heures pour enseigner ce qu’elle avait mis des années à apprendre, ça lui paraissait quelque peu surréaliste. Voire même impossible, et elle se surprit à imaginer sa tête empaillée à la manière des trophées de chasse normalement constitués grâce à des animaux quelques peu plus dangereux.

La petite beauté aux traits exotiques mais gâchés par une expression de cruauté pure –oui oui, quand on veut sa tête, à elle, on est cruel- avait sans doute du potentiel. Cheveux rouges plus foncés que ceux de Lou mais convenant sans doute plus à son caractère sanguinaire, des pupilles de la même couleur et un corps fin et souple. Si la jeune femme décida sans mal qu’elle ne l’aimait pas, elle ne put s’empêcher de penser qu’avec un peu moins de violence dans cette charmante petite tête, on aurait pu faire des merveilles vraiment exceptionnelles. L’arme dans la main de la jeune fille lui attira un énième regard, et du haut de son peu d’expérience, elle put sans soucis décider que cette charmante inconnue mettrait, non seulement ses menaces à exécution, mais qu’elle le ferait avec brio, et efficacité. Un mort rapide et pas trop douloureuse avec chance, encore que, elle aurait adoré, elle, mourir dans son lit comme une personne normale à un âge suffisamment avancé pour lui permettre de connaître la vie : Dix-sept ans, c’est trop jeune pour tout un tas de trucs, et surtout pour ça.

Trente secondes de silence total. Ce qu’il lui fallait en général pour ne pas perdre toute crédibilité en hurlant comme une folle dès qu’elle ouvrait la bouche. Elle respira un grand coup, réajustant la bretelle de son sac sur son épaule droite de manière à se mettre un peu plus à l’aise. Elle ne savait pas qu’est c e que cette cinglée cherchait à prouver, mais, s’il lui restait soixante-douze heures pour décider de son sort, autant en profiter un maximum pour défendre sa peau.

« Manifestement je n’ai pas le choix. Par contre, on s’éloigne, je n’ai jamais apprécié les exécutions publiques, surtout sur ma propre tête, et comme tu as l’air décidée à faire de ton possible futur échec ma faute… J’aimerais autant éloigner les âmes sensibles. »

Peut-être même que son public la pleurerait ? Elle se dirigea vers le mur au bout de l’impasse, saisissant une grosse boîte qu’elle posa devant avec une nonchalance feinte alors qu’elle n’en menait pas large. Au moins le soleil déposait ses doux rayons ici, et elles ne crèveraient pas de froid toutes les deux pendant la séance. Rapide coup d’œil aux vêtements de la demoiselle, parfaits pour ce genre de choses, à croire qu’elle avait programmé cette journée. En tout cas elle n’était pas marchombre.

Posant son sac par terre, en tira une large couverture ne glissant pas qu’elle jeta sur le sol, la laissant recouvrir une bonne surface nécessaire à deux personnes. Ennemie ou pas, elle ne la laisserait jamais commencer sans un échauffement digne de ce nom. C’était là, après tout, la clé de la réussite la plus exceptionnelle. Elle se laissa tomber sur le sol, en un grand écart facial des plus parfaits, calmant dans cet exercice son cœur et son corps pour ne plus faire qu’un avec cette étonnante prouesse physique.

« La base dans ce genre d’exercice se situe dans l’assouplissement et la musculature du corps. Tu as déjà la deuxième, mais la première doit se répéter avant chaque spectacle. »

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Tsukiyomi Ayame
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01.02.12 2:40
Mais qu'est-ce qui m'a pris ?! Demander a cette fille de m'apprendre a etre souple et a faire sa ?! Mais ce n'est pas moi sa ! Raaaah ! Mais bon...ce qui est fait est fait. Je ne peut pas me dérober. Je vis dans les yeux de la jeune fille devant moi qu'elle allait surement choisir d'Avoir une chance de vivre. Elle ne répondait pas. Ce n'est pas trop grave, mais j'espere que sa ne durera pas sinon je n'aurai aucun remord a la faire parler...de quelques facons que ce soit. A voir son air, elle devait m'analyser afin de savoir si il y avait une chance que je réussise et qu'elle vive ou que je me plante...et qu'elle en paie le prix. Une légere brise s'infiltra dans l'impasse et fit virvolter quelques meches de mes cheveux de feu. Cette couleur qui nous rappellait a tous celle du sang. Elle replaca son sac en place sur son épaule. Le silence se brisa enfin lorsque la demoiselle qui me faisait face ouvrit la bouche pour prendre la parole.

-Manifestement je n’ai pas le choix. Par contre, on s’éloigne, je n’ai jamais apprécié les exécutions publiques, surtout sur ma propre tête, et comme tu as l’air décidée à faire de ton possible futur échec ma faute… J’aimerais autant éloigner les âmes sensibles.

s'éloigner,s'éloigner...Mais ont est bien ici ! Ah et puis peu m'importe tant qu'elle m'apprenne a faire sa...En esperant juste qu'aucun marchombre ne pointera le bout de son horrible nez ici. Je ne voudrais pas faire de bain de sang ici voyons. Traumatiser cette pauvre et insouciante jeune fille...Ce n'est pas mon genre voyons ! Allons allons...mon merveilleux petit sarcasme refait surface. *soupir* ahhh...que je l'aime mon sarcasme naturel.Bref. Elle m'attira dans un mur du fond de l'impasse. Avec nonchalence elle pris une grosse boite et la déposa devant elle. La jeune fille Jeta un rapide coup d'oeil a mon accoutrement. Si elle se décide a passer un seul commentaire,je la frappe. Je la laisse vivre,mais je la frappe.Une seule fois...ou deux. Ont ne sais jamais. Sous les quelques rayons de soleils qui nous frolaient,elle déposa son sac et en sortit une couverture qui recouvrait une assez grande surface pour que l'ont puissent toute les deux s'y installer. Alors que je m'approchais de la couverture, la jeune demoiselle aux cheveux plus pale que les miens se laissa tomber en grand écart et s'écrasa jusqu'a ce que son visage touche le sol.Mais - Mais - Mais ! Ouhlaa...j'ignore si je serai capable de faire une telle chose... Je suis peut etre souple, mais n'exagérons rien non plus...Était-elle... non ce n'était pas une marchombre. Je reconnaissait ces idiots. Elle n'était qu'une acrobate de rue et rien de plus.

-La base dans ce genre d’exercice se situe dans l’assouplissement et la musculature du corps. Tu as déjà la deuxième, mais la première doit se répéter avant chaque spectacle.

La base, la base... Je n'ai pas besoin de base non de dieu ! je veut seulement apprendre ces cabrioles qu'elle présentait tantot au alaviriens...*soupir* mais bon. Ne jamais se presser.Je fit une moue et ouvrit la bouche.

- Euhhm d'Accord. Je suis souple, mais jusqu'au point de faire sa...Ont va essayer.

A ce moment, je me sentait vraiment mal. J'avais vraiment l'impression d'etre une faible. Mais ! Si je réussi a etre aussi souple que sa , peut etre que viladra sera légerement impressionner que j'aille progressée... Je vint a ces cotés et tenta de reproduire sa posture. Peine perdu. Je n'arrivais meme pas a toucher le sol au complet. Je fit pas moins de 7 tentative avant de perdre patience et de lancer un filament électrique bleutée sur une plus petite boite qui trainait un peu plus loin. Elle s'emflamma instatanément, et se consumma jusqu'a n'etre que le semblant de ce qu'elle avait été au paravent...
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05.02.12 11:00
Un truc bleuté mit le feu à l’une des caisses et la demoiselle crut que le reste de sa très courte existence allait se compter en nanosecondes. Cette demoiselle désagréable et acariâtre venait de manquer de la transformer en poulet grillé pour une banale histoire d’étirement. Elle n’avait vraiment pas intérêt à se foirer et tomber de la corde (ce qu’elle-même avait fait plusieurs fois avant de rester accrochée) sinon elle allait foutre le feu à cette ville.
La rouquine ramena ses jambes devant elle dans un geste souple, avant de se relever en faisant un pont de plus admirables. Oui, elle se la pétait, et elle en était largement consciente, mais c’était pour la bonne cause ; faire comprendre à cette jeune imprudente qu’on n’avait jamais rien sans rien.

« J’allais avoir besoin de cette caisse… »

Un petit mensonge bien innocent pour excuser le soupir de lassitude qu’elle avait laissé échapper. S’approchant de la demoiselle, elle repositionna l’un de ses pieds sur le sol, le replaçant grâce à une main tout en surveillant sa réaction. Nouvel essai infructueux. Elle s’arrêta, les mains sur les hanches, lui faisant ensuite signe de s’asseoir, ce qu’elle fit elle-même dans un geste élégant.

« Mon premier entraînement remonte à tellement longtemps que j’en avais oublié les bases. Et là où un grand écart me paraît naturel, je comprends que tu puisses peiner à en effectuer un. Alor, respire, et écarte tes jambes de manière à bien les positionner, contente-toi de ça pour le moment. Ensuite, on fera en sorte que tu puisses toucher le sol. »

Elle-même, elle effectua le geste, surveillant cette élève improvisée tout en effectuant cet exercice d’assouplissement sans le moindre effort. Bien sûr qu’elle se rappelait qu’elle en avait bavé avant d’arriver ce qu’elle faisait maintenant. Mais c’était avec une certaine joie légèrement perverse qu’elle avait goûté à ce revirement des choses en faisant souffrir cette petite intrigante. D’autant plus que cette blessure morale autant que physique ferait du bien à l’ego surdimenssionné de cette demoiselle qui s’appliquait à pénétrer dans sa vie en piétinant tout sur son passage.

Elle fit passer ses bras devant elle pour s’aplatir au mieux sur la couverture. Elle ne ressentait aucun tiraillement en provenance de ses articulations durement sollicitées. L’habitude. Femme caoutchouc et demoiselle extra-souple, elle avait donc bien quelques qualités.
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Tsukiyomi Ayame
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06.02.12 1:48
Alors que la caisse avait fini de se consumer,je remarquis la jeune fille qui regardait la caisse avec un regard légerement éffrayée. Surement avait-elle penser que ce fléau d'énergie électrique était pour elle. Faux. Sont tour allait seulement venir plus tard... Je me retourna vers elle alors qu'elle ramenait ses jambes vers elle afin de faire le pont pour se relever.Sa je savais le faire ! mais avant qui je puisse lui montrer elle lacha un soupir de lassitude.

- j'allais avoir besoin de cette caisse...

''Gros mensonge jeune fille. Tu n'allais pas en avoir besoin. Tu avait seulement besoin d'une excuse pour ton soupir. Je ne suis pas si idiote'' Voici ce que lui lanca mon regard meurtrier. Elle s'approcha de moi afin de tenter de me replacer une pied qui n'étais soit disant pas a sa place. Peine perdu ma grande ! Heureusement que tu n'étais pas un garcon si non sa ferais déja 2 secondes que tu ne serais plus de ce monde. Elle mis ses mains sur ses hanche,comme moi quand j'arbore mon petit air hautain...copieuse a la noix ! C'est MA position habituel. Trouve t'en une a toi ! ce qui est a moi est a moi...Ce qui est a autrui peut etre a moi. Bref. Elle me demanda alors de m'Asseoire. Je m'éxécuta meme si normalement je l'aurai frappé pour m'Avoir donnée un ordre. Elle s'assit alors devant moi.

-Mon premier entraînement remonte à tellement longtemps que j’en avais oublié les bases. Et là où un grand écart me paraît naturel, je comprends que tu puisses peiner à en effectuer un. Alors, respire, et écarte tes jambes de manière à bien les positionner, contente-toi de ça pour le moment. Ensuite, on fera en sorte que tu puisses toucher le sol.

-Parfait. j'espere pour toi que je vais finir par réussir bietot, parce que la prochaine chose que je brule a l'aide de mes éclairs, seront cette couverture et le sac ou tu transporte toute tes affaires !

Elle refit la meme figure qu'au début tout en me surveillant.Bon...Respire Tsuki... Je fermis les yeux pour m'aider a me concentrer. Inspire,expire...Inspire,Expire... Avec une fluidité tellement...fluide,je me positionna comme elle l'avait fait plutot. Tout en laissant mes yeux fermés et en respirant profondément je réussis enfin a faire le grand écart. Enfin ! Sans pour autant montrer ma joie,j'alla me coller le nez sur le sol pour ensuite ramener mes jambes devant moi et me rasseoir en croisant mes jambes.

-Alors ? moi je trouvais sa parfait ! et crois moi,avec la vie que je mene je m'y connais en fluidité et en réussite. Oui je dois avouer que tu est aussi souple que du caoutchouc. Allons Allons... ont peut utiliser le ruban maintenant ?

Avant meme qu'elle dise un seul mot, je me leva en vitesse et je me dirigea vers son sac tout en souplesse. Je me mis a fouiller dans son sac afin de trouver le ruban mais alors que je le sortais elle se précipita sur moi...
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