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Mon personnage
Sexe et âge: 29 ans. Homme
Aptitudes: Au combat ; corps à corps/armes lourdes ; aptitude pour la maladresse.
| 24.02.12 15:16 | Deag Jörgan |
© CRÉDIT - FICHE | Votre Héro- Nom : Jörgan
- Prénom : Deag
- Surnom : Deagan
- Sexe : Masculin
- Age : 29ans
- Guilde souhaitée : Thül
- Maitre // Apprenti souhaité : Maître : son père, Kjeld. Apprenti: /
- Objectif : Voir du pays, rire à gorge déployée, utiliser ses muscles, se faire apprivoiser par une donzelle, administrer de belles branlées aux méritants, voir un Frontalier dans une situation humiliante, confronter sa force à celle d’un géant, entrer dans la légende… bref une vie de Thül !
- Mot de passe:
Un peu de vous ...- Votre prénom // surnom : Laulie
- Votre âge : Née le 29/05/91 (comptez TT)
- Ce que vous aimez/ n'aimez pas : Aime-> Lecture/Ecriture/Cinéma/TV/RP/Chocolat/Edwin ! Aime pas-> méchanceté gratuite/haricots verts /araignées
- Comment avez vous connu ce forum : Idem Nessa Minyatur
- Avez vous déjà fait des forums RPG : Oui oui oui
- Votre activité sur le forum : Quasiment tous les jours, ou presque.
- Est-ce un double compte : Oui, avec Nessa Minyatur. Il était temps que la Guilde des Thüls soit inaugurée =)
- Votre première impression sur ce forum : Idem Nessa Minyatur, j’aime ^^
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Capacités
Son principal atout est sa force physique. En effet sa panoplie de muscles n’est pas juste décorative mais le dote d’une puissance ravalant le commun des mortels au rang d’asticot flasque. Sa robustesse va de pair avec sa solidité. En effet sa peau lui sert presque d’armure tant son cuir de Thül est épais et résistant. Ce qui protège au passage ses organes internes… Ses os bénéficient également d’une résistance optimale. En résumé : ne se taille pas un steak de Thül qui veut, la bête est coriace. D’autant que Deag rend les coups. Bon combattant, il joue principalement sur la force brute, se sachant plus fort que la plupart de ses adversaires et aimant se le rappeler aussi souvent que possible. Lors de combat plus sérieux il dégaine une épée monstrueuse qui le rend assez redoutable. D’autant qu’il la manie fort bien, usant de techniques presque esthétiques si on omet les stigmates marquant les victimes qui ne trompent pas sur la brutalité des coups. Deag n’est toutefois pas qu’une brute. Lorsqu’il travail il sait être sérieux, directif, prévenant, et réactif. Cela fait de lui un excellent chef de convoi dont l’escorte est prisée. Et moins pour ses qualités de meneur que pour sa prudence et son respect. Il sait trouver sa place dans la hiérarchie et s’y tient sans faillir, du moment que cela cadre avec ses valeurs morales et intrinsèques. Coutumier des longs trajets, son sens de l’orientation s’est aiguisé et il est capable d’utiliser ce que lui offre la nature pour survivre, n’hésitant pas à jouer du système D.
Niveau incapacités en revanche, Deag, en grand romantique au cœur de guimauve, ne peut en aucun cas résister à l’appel d’une demoiselle en détresse et il accorde trop facilement sa confiance à la gente féminine sur laquelle il est très mauvais juge. De même son sens un peu trop exacerbé de l’honneur, tutoyant l’orgueil, le rend incapable de refuser un défi. Toujours il le relèvera, sans en mesurer les possibles conséquences.
Description Physique
Le moins que l’on puisse dire c’est qu'il est mal aisé pour lui de passer inaperçu. En effet, en bon Thül, Deag est une sorte de bébé montagne. Un gros calibre, une masse, un monstre, un semi-géant, bref ! Un tas de muscle. Son mètre quatre-vingt-dix-huit lui permet de voir loin au dessus des têtes et donc d’être toujours à l’affût.
Même avec toute la pudeur du monde ce qui saute au regard ne sont ni ses jolis yeux, ni son sourire, mais bien sa collection de muscles incroyablement développés. D’autant que monsieur se balade majoritairement torse nu quitte à provoquer des infarctus. C’est limite trop, absolument pas humain, et sans doute plus terrifiant que sexy. Même fière de son physique, il s’habille quand même un minimum, revêtant de hautes bottes en cuir sur un pantalon de toile marron retenu par une ceinture d’un cuir plus clair. Ses avant bras sont ornés de solides brassards, ses seuls boucliers, tandis qu’il passe une lanière de cuir en bandoulière à laquelle il attache le fourreau de son épée dans le dos.
Son épée justement est aussi impressionnante que lui puisque qu’elle fait facilement la taille d’un homme adulte et pèse presque aussi lourd. A sa ceinture pend quelques tissus, peut-être décoratifs, mais sûrement utiles, lui servant de poches, ainsi qu’un cor qu’il ne quitte jamais. Armée de la sorte il est le garde du corps par excellence, taillé pour les expéditions en pleine nature, appelé à mener les convois d’une (énorme) main de maître.
Une fois le premier choc passé –et si on regarde assez haut- on peut enfin remarquer ses yeux d’un brun chaleureux parsemés d’éclats vermeilles. D’un châtain foncé aux reflets auburn au soleil, ses cheveux sont longs, rejetés en arrière et partiellement maintenus par une tresse inachevée. Enfin son teint hâlé témoigne de longues heures passées en extérieur. Son visage est en harmonie avec le reste, carré, taillé, et son expression est assez sévère voir dure.
Pourtant dès qu’il sourit il semble rajeunir et s’adoucir en un clin d’œil, révélant une agréable personnalité. Question capacités on peut dire qu’il est débrouillard, connaît bien la nature et s’y déplace aisément. Ce qui le distingue naturellement est sa force brute. Une peau dure et épaisse lui assure presque une carapace, et il est peu sensible à la douleur. S’il peut faire un carnage avec son épée qu’il manie avec beaucoup de dextérité malgré son poids, il reste dangereux même sans armes, ses grandes mains étant capables d’exploser pas mal de trucs importants…
Description Mentale
Parmi les caractéristiques propres aux Thüls on trouve leur sens de l’honneur et l’importance qu’ils attachent à leur famille. Deag ne fait pas exception à la règle. Il est d’une loyauté sans faille envers les siens et serait près à mourir pour honorer une promesse. De nature joviale, il aime rire et plaisanter, charrier ses camarades et se faire taquiner en retour. Le répondant le distrait et le motive, mais pas l’insolence ou la méchanceté. Dans ces cas un geste vaut mille mots et un geste de Thül ça fait mal. Vraiment très très mal, du style baptême de l’air, spéléologie foudroyante… D’autant que Deag se plaît à dégourdir ses muscles aussi souvent que possible, mieux vaut ne pas lui donner trop d’occasions de jouer les cobayes.
Constamment au grand air, les grandes chevauchés lui procure un plaisir simple dont il sait profiter. On ne s’en douterait pas comme ça mais Deag est du genre à fondre devant un petit animal sans défense. Sauf peut-être pour ce qui est des comestibles, et encore rien n’est moins sure vu comment il regarde sa nourriture. Si son corps ne réclamait pas tant de protéine il serait probablement végétarien. Mais il compartimente très bien les choses, sachant parfaitement séparer son estomac de son cœur. Alors quand il a faim adieux veaux vaches cochons…
Se contentant parfaitement de la simplicité, il ne s’intéresse pas à la richesse excessive, n’est absolument pas corruptible, et n’aspire à rien d’autre qu’à retrouver son village une fois ses missions menées à bien. Son rêve est d’une banalité presque affligeante : bâtir sa maison sur les terres de ses ancêtres, y planter un beau potager et travailler dans sa propre forge pendant que sa petite femme prépare le repas et s’occupe d’une flopée de marmots. Tous à lui évidemment. Une seule ambition contraste avec ses envies. Entrer dans la légende et faire ainsi honneur à toute sa famille afin que les Jörgan laissent une trace indélébile en Gwendalavir. Il faut avouer aussi que c’est peut-être un moyen de se faire l’égal d’un frontalier en rejoignant l’illustre Edwin Til’Illan mais il ne l’admettra jamais.
Deag n’est pas du genre à étaler ses sentiments et il devient très maladroit, limite balbutiant quand il faut ouvrir son cœur. C’est fou comme il est sûr de lui quand il s’agit de se battre ou même de draguer, mais comme il perd pied dès qu’une histoire avec une fille devient sérieuse. Enfin il peut être dangereux d’être son ami car il prouve son affection par de grandes claques dans le dos, dont la violence de l’impact peut faire voyager, décoller un poumon, ou briser quelques vertèbres, selon le gabarit du receveur. Prudence donc, il s’agit de jouer habilement de l’esquive pour survivre à l’attachement de ce gentil géant.
Votre histoire
L’histoire de Deag n’a rien d’extraordinaire. Il est le troisième d’une famille de quatre enfants comptant trois garçons et une fille, la cadette. Il grandit dans un clan Thül au nord ouest d’Al Far, entre la Forêt de Baraïl et l’Ombre. Sa mère, Inga, une femme rondouillarde aussi forte qu’un bœuf et extrêmement sensible l’a élevé lui, ses frères et sa sœur avec tout son amour. Son père, Kjeld, est de la même trempe, en moins émotif toutefois et beaucoup plus grand. Souvent absent il revient pourtant toujours et aussi longtemps que possible pour profiter de sa famille et narrer ses « grandes aventures » comme il dit. Avec lui escorter un convoi prend des allures d’épopée et ses enfants ne se lassent pas de l’écouter, fières de leur paternel et pressés de l’imiter.
En attendant d’avoir l’âge requis, Kjeld leur enseigne les bases de son métier et les trois garçons s’amusent à imaginer leurs futurs périples en jouant. Leif, l’aîné de cinq ans de plus que Deag, et deux de Sieger, devient rapidement un grand gaillard solidement bâti prêt à accompagner leur père. Deag et Sieger l’admirent, bien que physiquement Deag ne tarde pas à les surpasser tous les deux. Mais étant le plus jeune des gars il attend patiemment son tour.
Quand Sieger rejoint Leif et Kjeld, Deag et amusé de voir ses frères gonflés de fierté, mais aussi un peu triste. Il a d’autres compagnons de jeux bien sûre mais ce n’est pas vraiment pareil. Il a douze ans quand il se retrouve être l’homme de la maison durant l’absence de ses aînés, et Rikke, sa jeune sœur de deux ans sa cadette, est bien décidée à en profiter. Eclatant d’abord de rire en voyant la petite réclamer de jouer avec lui à la guerre, il a tôt fait de déchanter quand elle lui administre un plat de lame en bois en plein sur le nez. Surpris, le combat est lancé et s’il prend le dessus aisément il découvre qu’il s’est vraiment amusé. Pleine de ressources, un caractère de feu, et bien plus forte qu’elle en a l’air, Rikke se plaît à se mesurer aux autres garçons dans des parties de bras de fer. Quand elle n’aide pas maman à la maison bien sûre… Mais Deag a trouvé sa nouvelle camarade de jeux, de bastons, et le premier à s’en prendre à sa sœur est destiné à peser moins lourd. Deag est très protecteur avec elle ce qui la rend furax puisqu’elle estime être capable de se défendre. Ce qui ne l’empêche pas de le remercier d’une étreinte et d’une claque dans le dos. Elle ressemble beaucoup à Deag pour ce dernier point. Pas douée pour exprimer ses émotions, efficace quand à distribuer des coups.
A leur retour les deux grands frères sont bien obligés de jouer aussi avec Rikke qu’ils avaient toujours surprotégés sans pourtant trop s’en occuper, mais s’en trouvent ravis. Finalement la fratrie est plus unie que jamais et durant encore trois ans toute la marmaille s’entend merveilleusement bien, leurs jeux forgeant leurs corps et leurs esprits.
Arrivent les quinze ans tant attendu de Deag où il peut enfin accompagner son père et Sieger dans un convoi, Leif s’étant trouvé un travail en solo. Radieux, Deag découvre les joies et les problèmes du métier et y adhère instantanément. C’est aussi là qu’il connaît son premier vrai combat. Une bande de pillard attaque le convoi. Mais face à trois Thüls ils plient bagages rapidement et on ne déplore aucune perte. De plus Deag s’est montré excellent protecteur, sans aucune peur face au danger, ce qui confirme aux yeux de son père et de son frère qu’il est doué. Autre convoi, autre attaque, cette fois Kjeld est absent et Sieger occupé à vérifier les réserves. C’est donc Deag qui donne le signal d’alarme quand une nouvelle bande fonce sur le convoi. Cette fois ils sont plus nombreux et plus fort et Deag n’a d’autre choix que de tailler dans le vif. Il a quinze ans et demi quand il tue son premier homme. Le convoi est sauvé, et Kjeld furieux d’avoir raté l’affrontement. Mais surtout il félicite Deag pour sa bravoure, lui ôtant son sentiment de culpabilité.
Depuis lors il apprit toujours plus, toujours mieux et gagna en assurance autant qu’en autorité. Pour ses dix-sept ans, sa majorité, sa famille lui offrit un superbe cadeau : une épée. Une vraie arme, d’excellente qualité, et surtout à sa mesure ! Oui il avait cassé toutes les autres, marteaux, haches, épées… Enfin doté d’une lame qu’il peut manier sans risquer de la démolir, il s’entraîne énormément pour s’en montrer digne et pavane devant les filles. Filles qui gloussent bêtement d’ailleurs, à la grande exaspération de Rikke qui tient à ce que son frère préféré se case avec une fille exceptionnelle qu’elle saura considérer comme sa sœur. Ce qui n’est pas une mince affaire !
Suivant les traces de ses grands frères, Deag trouve rapidement du travail sans l’aide de personne et se débrouille très bien. Il sert d’escorteur pour les convois, aide parfois la garde à veiller sur un marché - sa présence seule dissuade souvent les voleurs de commettre leur larcin et si cela ne suffit pas il leur apprend l’autre sens du mot « vol ». Son côté jovial et amical permet d’oublier un peu son physique colossal et il se lie facilement d’amitié avec ses collègues provisoires. Il bourlingue pas mal sur le continent, proposant ses services, s’offrant des vacances, jouissant du paysage...
Un jour qu’il escorte un convoi important du Nord vers Al-Jeit, ses éclaireurs lui signalent deux personnes, sans doute mortes, sur leur chemin. Ils avaient préféré ne pas s’approcher de peur qu’il s’agisse d’une embuscade. Mais quand Deag passe à proximité des soi-disant cadavres, l’un d’eux gémit de douleur. N’écoutant que son courage il ordonne une halte et court secourir la victime. Victime qui s’avère être une jeune fille mal en point. L’autre est vêtu de cuir sombre, mort. En les voyant Deagan conclu qu’un Mercenaire a tenté de tuer la fille –sûrement riche vue ses deux bracelets d’or aux bras- mais qu’il s’est mesuré à plus fort que lui. Il ne s’attarde pas sur l’improbabilité de ce dernier fait et refuse de laisser mourir la donzelle qui en plus a le mérite d’être jolie. Il voit là l’occasion de jouer les héros en volant au secours d’une demoiselle en détresse, et fait une chose indigne d’un bon escorteur : il impose un détour vers Fériane au convoi. Ils auraient deux jours de retard, tan pis une vie était en jeu –et au passage son honneur. De tout le trajet il ne lâche pas l’agonisante qui semble plongée en plein délire, appelant faiblement un… oui oui un lapin. Une fille suffisamment forte pour tuer un mercenaire du chaos réclamant un lapin. Si elle n’était pas à l’article de la mort il aurait éclaté de rire. Il eut nettement moins envie de rire quand elle ouvrit les yeux une seconde, plantant son regard dans le sien. Ses yeux d’un bleu barbeau à la pureté incroyable ne le voyaient pas mais lui en resta soufflé. Puis elle sombra aussi sec dans l’inconscience, fermant les yeux, et il lui sembla avoir été victime d’un mirage.
Il abandonna son fardeau à Fériane, donnant de l’argent aux Rêveurs pour qu’ils la soignent, mais ceux-ci étaient déjà au travail. Il quitta les lieux prestement sans même se nommer et reprit la tête de son convoi. Comme prévu ils arrivèrent en retard mais Deag s’en fichait. C’était bien beau de protéger de la marchandise mais sauver une vie lui avait procuré une très agréable sensation d’importance et il se promit de retrouver un jour la demoiselle aux yeux mêlant l’eau et le ciel. Cela fait plus d’un an et depuis il continu sa petite vie, gagnant son salaire honnêtement, retrouvant sa famille régulièrement, heureux de lire la fierté dans leur regard quand il leur raconte à son tour ses aventures, et rêvant d’un destin héroïque.
EDIT Nessa : Màj : nouvelle version de la fiche ; ajout des capacités ; espacements des paragraphes.
| | | 24.02.12 15:55 Bienvenue
Faute:
. Pleine de ressource, un caractère de feu, et bien plus forte qu’elle en a l’air, Rikke se plaît à se mesurer aux autres garçons dans des parties de bras de fer. Quand elle n’aide pas maman à la maison bien sûre…
Il manque un "s".
. Pleine de ressources, un caractère de feu, et bien plus forte qu’elle en a l’air, Rikke se plaît à se mesurer aux autres garçons dans des parties de bras de fer. Quand elle n’aide pas maman à la maison bien sûre… | | Âge : 32
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| 24.02.12 16:28 | | | 24.02.12 17:26 Pour les fautes n'hésite pas à utiliser BonPatron, ça a été l'illumination quand j'ai décider de l'utiliser...
ta fiche à l'air super *c'est pas comme si je n'avait lu que la première ligne hein?! ^^* Mais on s'y attendait :D
Re-bienvenue^^ | | Âge : 27
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| 24.02.12 17:51 | | Âge : 30
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Aptitudes: Sait ce battre contre toutes sortes d'armes, n'a pas peur et viendra toujours en aide aux autres
| Killian DelkaïronMercenaire__Membre
24.02.12 19:37 | | Âge : 32
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| 24.02.12 20:04 Merci ! ^^ BonPatron tu dis Lilith ? je testerais ça parce que pfouah ce que je suis mauvaise en grammaire et conjugaison >.< | | | 24.02.12 20:06 Et n'oublie pas Open Office ou Word, ça supprime déjà une bonne partie ^^ | | Âge : 32
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| Nessa MinyaturCapitaine Aline__Membre
24.02.12 20:15 Oui Word j'utilise toujours (quand on a déjà perdu tout son post à cause d'une fausse manip' en général on revient vite à Word avant de poster !! mdr), mais BonPatron je connaissais pas merci de l'info ! =)
PS : je ne suis pas avec mon bon compte alors... bienvenue Deag-moi-même ! XD | | | 24.02.12 22:04 | | | 25.02.12 0:02 Re-bienvenue alors ! :]
Moi je te conseillerais simplement d'aérer ton texte, ça facilite la lecture.  | | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 26.02.12 17:40 J'ai vu que à la fin le n'hésitez pas à vous pleindre des fautes d'orthographes .. T.T flute.
Bon dans la description physique c'est là où il y en avait le plus il me semble.
Le moins que l’on puisse dire c’est qui est mal aisé pour lui de passer inaperçu.
Qu'il ..??
Ses avant bras son ornés de solides brassards,
sont
Une fois le premier choque de passer –et si on regarde assez haut-
choc de passé
ses yeux d’un brun chaleureux parsemé d’éclats vermeilles
parsemés
dans l'histoire :
A
leur retour les deux grands frères sont bien obligés de jouer aussi
avec Rikke qu’ils avaient toujours surprotégés sans pourtant trop s’en
occuper, mais s’en trouve ravie.
s'en trouvent ravis (là je ne suis pas sure, mais je crois que tu parles des frères, qui sont contents malgré tout de jouer avec leur sœur... Si tu parles de la Rokke, il n'y a pas de faute, mais la formulation est bizarre)
Je crois que c'est tout ... ^^
J'adore ta fiche !!! :D
tu t'es rencontrée avec toi-même ?! x)
| | Âge : 32
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| 26.02.12 19:16 Merci =) Lavrenti, effectivement aérer facilite la lecture et je le fais en RP mais pas pour les fiches persos que j'écris en bloc pour faire plus "carte d'identité". Désolée si ça fait fuir mea culpa !
Pfiou Nel' t'as eu du boulot ! xD j'ai édité tout ça =) je suis choquée de mon "qui" au lieu de "qu'il"... comme quoi lire vite a ses inconvénients : sauter des fautes stupides TT et pour "choc" je ne sais jamais et dû coup je mets "choque".. pareil avec public/publique et future/futur... les cauchemars de ma vie ! (tiens "cauchemar" pourquoi y a pas de "d" à la fin hein ? TT moi j'ai envie d'un mettre un >.<) Merci pour tes corrections ^^ et oui je me suis rencontré moi-même xD Le destin de Nessa était de finir avec un Thül ou un gros pirate. Finalement le Thül a gagné x) | | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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| 26.02.12 22:01 oui c'est galère les fautes, surtout les notres, on les voit pas...
Moi j'ai envie de mettre un d à cauchemar aussi ...
pour public/que .. j'en sais rien, mais peut-être que l'un est masculin, et publique est féminin ..? Mais j'en sais rien, non plus ^^'
par contre choque c'est le verbe choquer ^^ donc si c'est "un, c'est choc
tu te feras des rp entre tes deux toi ? Genre la vie de couple/dinner aux chandelles des 2 ?
x) Mais c'est cool les Thüls !! :D | | | 26.02.12 22:03 il y a le public et quelque chose de publique... | | | |
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