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Viste de la cité sable
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14.02.13 18:17
Quand j'émerge du sommeil réparateur dans lequel j'avais plongé, je mets un moment à me souvenir des évenements précédents. Cela fait deux jours que je suis dans la ville de l'autre côté du désert d'Ourou. Cela fait deux jours que j'ai quitté le convoi dirigeai par un marchombre, ainsi que le terrible Petit qui a été notre invité de dernière minute. Et je profite enfin de la tranquilité de mon départ. Je n'ai maintenant plus qu'à me soucier de moi même. Je peux paraitre à ce moment là égoiste. C'est surtout que l'agitation qu'il régnait dans le groupe ne me manque pas.
Rapidement je récupère le peu d'affaire que je possède, se qui se résume maintenant à mon baton car ma cape m'a servie d'échange contre de l'argent. Puis je descends les marches de l'auberge où j'ai passé la nuit.  A peine passé la porte, l'air chaud de la ville me prend au visage. C'est si différent de Gwendalivir ici... D'ailleurs il faut que je pense à rentrer. Par contre comment, j'en ai aucune idée. J'attends quelques instants, pour voir si Lobo veut m'accompagner, mais rien. J'hausse les épaules. Tant pis pour lui, et cela se trouve il est parti se promener lui aussi.

Tous en marchant j'essaye de trouver mes marques. Tous me parviens différement. Le sable qui recouvre le sol étouffe tous le bruit de pas. Le vent n'est pas régulier, les sons changent constement, me venant parfois de loin, ou de seulement de près. Je suis vraiment désorienté.. Soudain, je suis limite projetée contre un mur par des personnes trop pressées pour faire attention à ceux qui les entoure. Je ravale un insulte, me disant que ce n'est pas une bonne idée de déclancher une dispute ici.
Un peu plus loin, alors que je porte la main à ma ceinture, je constate l'abscence de ma bourse contenant mon argent. C'est pas vrai! Je fais comment maintenant? Tous en remumant mes pensées coléreuses, je ne remarque pas que je m'enfonce toujours un peu plus dans des ruelles peu occupée. Des bruits de courses me proviennent. D'abord une seule, légère. Et d'autres bruyantes, lourdes. Mon instinct me dicte de faire ceci, je m'écarte au dernier moment de la route du premier qui me frôle. Mais je me remet à marcher au milieu dès qu'il m'a dépassé. Les poursuivants sont obligé de s'arrêter avec beaucoup d'effort. L'un d'eux m'interpelle.

-Vous n'auriez pas vu par où est passé l'homme qui nous devançait?

Je secoue la tête. Dans un grognement il reparte. Mais je sais d'avnce qu'il ne le retrouverons pas.
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