| Aller à la page : 1, 2 | | | 01.11.13 15:13 Iléa Sil'Mayan |
© CRÉDIT - FICHE | Votre Héros
- Nom : Sil'Mayan
- Prénom : Iléa
- Surnom : À vous de lui en trouver un!
- Sexe : Féminin
- Age : 19 ans
- Guilde souhaitée : Va pour frontalière :)
- Rang souhaité : Ben...frontalière
- Maitre // Apprenti souhaité : Aucun
- Objectif : Pas d'objectif précis sinon vivre sa vie.
- Mot de passe:
Un peu de vous ...
- Votre surnom : Euh…aucun en particulier
- Ce que vous aimez/ n'aimez pas : J'aime lire et la bonne ambiance sur les forums. Je n'aime pas les araignées et ceux qui prennent un malin plaisir à mettre les autres mal à l'aise ou à plomber l'ambiance.
- Comment avez vous connu ce forum : Par hasard en cherchant pour la énième fois un forum rpg sur le thème d'Ellana, le design m'a plu, le contexte aussi et je me suis inscrite :)
- Avez vous déjà fait des forums RPG : Oui, seulement la plupart ont la fâcheuse tendance à devenir inactifs!
- Votre activité sur le forum : Autant que possible mais parfois mon travail scolaire et/ou ma vie personnelle peut m'en empêcher pendant une durée plus ou moins longue.
- Est-ce un double compte : Non
- Votre première impression sur ce forum : Waouw!
-
| Capacités
Véritable arme à elle seule, Iléa est une redoutable combattante. Des années d'entrainement lui ont permis d'acquérir une grande dextérité avec un sabre mais également avec un poignard, un arc ou tout simplement à mains nues. Cavalière hors pair elle ne se contente pas de monter un cheval comme elle l'a appris, elle fait corps avec lui en une parfaite incarnation de l'entente entre un cavalier et son cheval. J'ai mentionné plus haut les talents de guerrière d'Iléa, je vais les développer un peu. Excellente escrimeuse, Iléa manie le sabre avec la dextérité et le naturel propre aux frontaliers. Comme la greffe des marchombres son sabre fait partie d'elle-même. Iléa est aussi une archère très précise et elle peut toucher une cible en mouvement à une grande distance. Lors d'un combat au corps à corps Iléa emploiera son sabre ou quelques coups bien placés qui auront pour effet de plier en deux son adversaire sans trop l'amocher. Eventuellement elle peut utiliser son poignard si c'est plus sérieux. Parfois Iléa manie la hache, mais contrairement aux Thüls qui se baladent constamment avec elle n'utilisera cette arme que si elle n'a rien d'autre sous la main et si elle doit créer un périmètre de sécurité autour d'elle (par exemple en plein milieu d'une horde de Raïs). Dans ce cas il lui suffit de faire de grands moulinets dans tous les sens et c'est tant mieux car elle n'est pas vraiment une virtuose de la hache. À l'occasion Iléa sait manier le fouet mais sans grand talent non plus (brasser l'air ok mais être précise faut pas rêver non plus!) et elle n'en a jamais sur elle donc ça dépend aussi de si elle en a un sous la main ou non.
En dehors de ces qualités de guerrières Iléa possède une grande endurance qui lui permet de compenser sa vitesse plutôt moyenne pour une frontalière. Ses escapades nocturnes lui ont permis de s'initier à l'escalade et elle est donc une bonne grimpeuse. En revanche Iléa n'est pas capable d'esquisser ne fut-ce que l'ombre d'un dessin, mais de toute façon la nature a veillé à tout car l'art des dessinateurs n'a aucun effet sur elle. La dernière capacité de la jeune frontalière est tellement bien dissimulée qu'elle-même n'en connait même pas encore l'existence: elle est métamorphe. Seulement ça chut, c'est un secret alors caftez pas! Description Physique
La silhouette fine et de petite taille, Iléa a l'air d'une gamine et son visage aux traits fins et délicats renforce cette impression. Pourtant en y regardant de plus près on voit qu'elle n'est pas aussi jeune qu'elle le parait. Ses grands yeux bruns sont calmes, ses sourcils et son nez sont fins et sa bouche dessine constamment un petit sourire comparable à celui de la Joconde. Autour de son visage se trouvent ses cheveux. Bruns, longs et volumineux ils sont le plus souvent rassemblés en une queue de cheval laissant échapper seulement quelques mèches rebelles qui viennent encadrer son visage. Les formes féminines d'Iléa sont discrètes, et elle ne fait rien pour les souligner, plutôt contente de ne pas attirer plus de regards que ceux que sa démarche attire. Sa démarche justement, est féline, rapide sans donner l'impression de se presser. Ses mains fines n'ont pas de marques du dur entrainement qui a forgé le reste de son corps.
Iléa porte des vêtements confortables adaptés aux longues chevauchées qu'elle effectue chaque jour. Ses vêtements lui permettent une totale liberté de mouvement qu'elle apprécie et ses bottes sont à la fois légères et capables de résister aux sols caillouteux. Iléa porte toujours son arc et son carquois dans son dos ou sur le pommeau de sa selle, de manière à pouvoir s'en saisir rapidement. À sa ceinture pend un petit poignard à la lame fine et tranchante et à son coup pend un petit loup argenté au bout d'une chainette. Description Mentale
À première vue Iléa est une personne calme et posée, pouvant même sembler distante et froide. Elle possède également un certain charisme qui fait tourner les têtes sur son passage. Quand on apprend à la connaitre on découvre qu'Iléa a une personnalité riche et moins antipathique qu'il n'y parait. À la fois indépendant et chaleureuse elle apprécie autant la solitude qu'une compagnie sympathique. Habituée à obéir elle sait se plier aux ordres tant qu'elle les estime justes (ce qui est le plus souvent le cas). L'humour d'Iléa est souvent moqueur, parfois blessant mais uniquement envers les personnes qui l'agacent. Les autres reçoivent juste des petites piques à prendre au second degré. Rien ne plait plus à la jeune fille qu'un compagnon de voyage qui ait assez d'esprit pour répondre à ses piques par d'autres piques et de se lancer ainsi dans une joute verbale.
Dans l'éternelle lutte entre harmonie et chaos les marchombres défendent l'harmonie, et les mercenaires les chaos. Iléa, elle, se situe entre les deux. Pour elle la balance ne peut pas trop pencher ni d'un côté ni de l'autre car sinon les deux risquent de disparaitre. Malgré son entrainement de guerrière Iléa n'aime pas tuer. Elle n'a aucun mal à tuer les Raïs et les proies car les premiers sont selon ses dires "des erreurs de la nature" et il faut bien qu'elle se nourrisse des seconds, en revanche elle a plus de mal à tuer un être humain même malfaisant ou un prédateur. Si c'est inévitable elle le fera mais sans satisfaction et elle nettoiera méticuleusement son arme pour qu'il ne reste pas de trace du meurtre. Sa réticence à tuer l'a parfois conduite dans des situations difficiles, mais qui sait, peut-être que cette faiblesse se révèlera être une force un jour... Votre histoire
- Histoire marchombre:
La nuit est calme sur Al Chen, rompue uniquement par le clapotis du lac de l'autre côté des murailles. Un croissant de lune répand sa faible lumière sur les rues et quelques rares lueurs sortant des fenêtres des tavernes résistent à la quiétude qui prend la ville à cette heure si tardive. Mais…que vois-je? Profitant des ombres de la nuit deux silhouettes s'approchent d'une maison. Dans cette maison vivent Jiron et Aniel Sil'Mayan, un couple de nobles d'une quarantaine d'années sans enfants. Ces inconnus sont-ils des voleurs en voulant à ce que contient la maison? Non, ils se contentent de déposer un paquet sur les marches de la maison, de sonner et de déguerpir. Dans l'embrasure de la porte apparait une femme, c'est Aniel. Quelle n'est pas sa surprise quand elle découvre sur le pas de sa porte un bébé de quelques jours à peine enroulé dans une couverture avec pour bagage une chainette d'argent au bout de laquelle pend un loup. Glissé dans les plis de la couverture se trouve un papier portant ces simples mots: "Elle s'appelle Iléa, nous vous supplions de l'élever et de l'aimer comme votre propre fille afin qu'elle grandisse loin de l'emprise du chaos et à l'abri du besoin." Attendrie et débordante de joie, Aniel rentre avec l'enfant et referme la porte sous les yeux emplis de larmes d'un couple de mercenaires du chaos. Car ce sont eux les ombres. Essuyant ses larmes la femme murmure: "C'est mieux pour elle. Si elle rejoint le chaos, je veux que ce soit un choix de sa part et pas parce que c'est la seule chose qu'elle connaisse." L'homme ne répond pas, se contentant d'acquiescer. Le temps de battre des paupières et le couple a à nouveau disparu dans l'ombre pour retourner à la forêt Ombreuse.
***Avance rapide parce que bon le récit détaillé de son enfance risque d’être un peu long! Sachez juste qu’elle a eu une enfance calme et paisible, et que les troubles de l’Empire dus à la trahison des sentinelles n’ont eu aucun effet sur elle.***
Une jeune fille s’éloigne d’Al Chen et lui jette un dernier regard. À sa ceinture pend un poignard, à son cou un loup d’argent est suspendu par une chainette, sous elle se trouve un cheval. Le poignard pour se défendre, le loup pour se rappeler que ses vrais parents ne sont pas ceux qui l’ont élevée, le cheval pour découvrir le monde... Cela faisait quelques semaines qu’elle caressait l’idée de partir et cette idée s’était concrétisée le jour où ses parents lui avaient offert Velours. Velours était la jolie jument gris souris qu’elle montait actuellement. L’ennui quand on a des parents dessinateurs c’est qu’ils n’ont pas vraiment beaucoup d’expérience avec les chevaux et même si Velour était une petite jument très jolie avec sa silhouette fine et racée, elle était aussi très jeune et n’avait pour ainsi dire jamais été montée. Cavalière débutante d’un côté, jument pas dressée de l’autre ça aurait pu se finir très mal si toutes les deux n’étaient pas tombées amoureuses l’une de l’autre et Iléa ne regrettait pas le moins du monde l’erreur de ses parents. En passant le long du lac Chen la jeune fille fit arrêter Velours et descendit. La surface du lac renvoyait l’éclat du soleil et sa surface était parcourue par de légères vaguelettes poussées par le vent. Le bleu profond du lac du à sa profondeur contrastait avec le vert tendre de l’herbe sur la berge. Iléa enlève ses bottes, retrousse son pantalon et s’avance dans l’eau jusqu’aux genoux. Elle reste un long moment là, silencieuse, rêveuse, pensive. Soudain des éclaboussures se font entendre derrière elle et des naseaux chauds s’appuient sur son épaule. Souriant Iléa répond: «Tu as raison Velours, allons-y.»
***On retrouve Iléa dans une ruelle d’Al Vor en pleine course-poursuite***
Quand elle avait senti le contact presque imperceptible des doigts le long de sa ceinture, Iléa avait su ce qu’il s’était passé avant même de porter la main à sa bourse pour constater sa disparition. La place du marché d’Al Vor était bondée mais malgré cela Iléa parvint sans trop de peine à identifier le voleur. Ou plutôt la voleuse. Âgée d’une trentaine d’années environ elle était de taille moyenne, la silhouette élancée, la démarche sure et...féline. Seul ce mot vint à l’esprit de la jeune fille en voyant le mélange de souplesse, de force et de grace avec laquelle l’inconnue progressait. Elle resta figée un moment, puis fut défigée par la vue de sa bourse en velours rouge qui pendait à la ceinture de l’inconnue. Sa bourse. Non pas qu’elle contienne toute sa fortume (elle ne laissait jamais de somme importante dans sa bourse, préférant répartir son argent dans les diveres poches de sa tenue), mais elle y tenait pour des raisons sentimentale et il était hors de question de laisser une inconnue fuir avec sa bourse. La voleuse se fondit dans la foule mais elle était aussi visible que si elle avait été illuminée par une flamme intense. Peut-être l’était-elle? Le monde se raréfia et Iléa put accélérer l’allure, allant jusqu’à courir. Etonamment bien que la jeune femme semble marcher à un rythme proche de celui du pas normal Iléa ne parvenait pas à la ratrapper: la distance restait la même malgré les efforts fournis par Iléa. Peu à peu elle ralentit son rythme, économisant ses forces et c’est une étrange course-poursuite à une allure calme qui s’ensuivit. Tout d’un coup la jeune femme disparut. Oui oui, disparut! L’instant d’avant elle marchait dans la ruelle, l’instant d’après il n’y avait plus rien à sa place. Iléa chercha d’abord une prote, une trappe ou n’importe quoi mais ne trouva rien. Ensuite elle leva les yeux et vit...la jeune femme en équilibre précaire sur le rebord d’un toit ausi à l’aise que si elle se trouvait par terre. «Rends-moi ma bourse!», lui lança Iléa, bien qu’elle sache qu’elle n’était pas vraiment en mesure despérer que l’inconnue la lui rende. La voleuse ne prit même pas la peine de répondre, après lui avoir lancé un clin d’oeil elle disparut sur le toit. Ni une ni deux Iléa escalada le mur, rapide et agile, et se retrouva sur le toit. L’inconnue l’attendait en souriant, assise sur le rebord d’une cheminée. «Tu grimpes bien.» La remarque était étonnante de la part d’une voleuse, mais elle n’était plus à une bizarrerie près! À une vitesse fulgurante la voleuse fondit sur Iléa qui n’évita son attaque qu’à la dernière seconde en effectuant une roulade sur le côté. Instinctivement elle répliqua en balançant son pied là où la jeune femme devait se trouver mais celle-ci avait déjà bougé et sa jambe ne rencontra que du vide. Elle évita ainsi de nombreuses attaques, et en rata tout autant. Finalement un coup violent la percuta au ventre, expulsant l’air de ses poumons suivi de deux autres coups aux genoux et elle s’écroula, le corps entier meurtri par trois simples coups. Elle peina à retrouver son souffle, persuadée que la voleuse devait être loin mais quand elle releva la tête celle-ci se tenait à un mètre d’elle, toujours le même sourire sur les lèvres. «Qui es-tu?», demanda péniblement Iléa en se redressant. Une bourse rouge vola dans les airs et elle arriva à l’attraper au vol. Elle comprenait de moins en moins.
***Flashforward***
Quelques mots peuvent changer le cours d’une vie, en particulier quand ces mots sont adressés à un marchombre, et plus encore s’il s’agit d’un maitre marchombre sans élève. Ainsi Iléa avait appris que Marianne (c’était le nom de l’inconue) la surveillait discrètement depuis quelques mois et lui avait pris sa bourse à seule fin de la tester. La suite tenait plus du rêve que du véritable souvenir. Iléa se souvenait avoir suivi Marianne en haut d’une tour qu’elle n’avait jamais osé escalader mais la présence de la marchombre lui donnait des ailes. Marianne l’avait regardée d’un air approbateur et lui avait proposé de devenir son élève. Le souffle coupé par la surprise Iléa avait mis un moment à réaliser ce qui lui était proposé et elle avait accepté en ayant une forte envie de se pincer pour voir si elle ne rêvait pas. Les mois qui avaient suivi l’entrainement de Marianne avait été impitoyable mais pas un instant Iléa n’avait regretté son choix. Quand elle n’étaient pas en train de courir, d’escalader, de s’entrainer au maniement de nombreuses armes et du combat au corps à corps Iléa ne sentait plus son corps. Pourtant elle ne tenait pas en place, une force nouvelle coulait dans son corps, la force de la voie.
Il y avait un peu plus d’un an que Marianne avait ouvert la voie de marchombre à Iléa quand elle fut présentée au conseil et passa les épreuves de l’Ahn Ju. Elle en était ressortie meurtrie, épuisée mais profondément heureuse: le conseil avait approuvé son engagement sur la voie et elle avait réussi les épreuves imposées par les trois maitres marchombres chargés de la tester, obtenant ainsi le droit de solliciter la greffe. Après quelques semaines elle s’était mise en route pour le Rentaï, seule. Marianne n’avait pas le droit de l’accompagner et elle n’avait pas vraiment eu le temps de sympathiser avec d’autres apprentis.
Iléa leva la tête. Le Rentaï la surplombait, écrasant et accueillant à la fois, c’était très étrange. Elle sourit en pensant au voyage qu’elle venait d’effectuer et qui l’avait éreintée. Pourtant l’idée de se reposer avant de commencer l'ascension ne l’effleura même pas et elle se débarassa de son arc et de son sac de nourriture en les cachant dans un trou dans le flanc de la montagne. Quelque chose lui disait qu’ils ne feraient que la gêner dans son ascension et qu’elle n’en aurait pas besoin. Elle hésita un moment à déposer son poignard aussi puis se ravisa, il ne la gènerait de toute façon pas. Tout en souplesse elle commença l’ascension.
Le cheminement vers le sommet fut long et difficile, comme si connaissant ses véritables origines il avait décidé de tester Iléa jusqu’à l’extrème...non...pas comme si. Le Rentaï savait, cette montagne n’était pas un amas de cailloux, elle était vivante et si elle le désirait elle pouvait faire tourner Iléa en rond pendant des lustres. Heureusement le Murmure était là. Pareil à un chant il l’encourageait, la poussait vers l’avant et lui assurait que sa présence n’était pas indésirable. Elle grimpa pendant deux jours et deux nuits, faisant parfois des détours ou prenant un chemin plus difficile qu’un autre qui s’offrait à elle parce que le Murmure la poussait dans cette direction et elle lui faisait confiance. Le Murmure se transforma en Chant, et l’escalade d’Iléa en danse avec pour partenaire la roche qu’elle escaladait. Le Chant répétait sans cesse la même phrase, pourtant il n’était pas répétitif. «Laisse entrer en ton coeur, le chant sauvage du prédateur.» Elle pouvait sentir la force de la montagne qui pulsait et se déversait en elle, ele volait. Puis le Chant amena Iléa devant l’entrée d’une grotte. Cette dernière chancela légèrement car elle était désormais plus habituée à se déplacer verticalement qu’horizontalement. Elle aurait dû être à bout de souffle, épuisée, assoifée mais rien de tout cela ne se faisait ressentir. Elle ne ressentait que la paix et la sérénité et s’enfonça calmement dans le boyau sombre. Alors qu’elle aurait dû frissoner de froid en s’enfonçant dans les profondeurs de la montagne elle ne remarqua aucun changement de la température ambiante puis...les souvenirs devinrent des sensations fugaces, impossible de se rappeler avec précision ce qui lui était arrivé. Elle se rappelait la douceur, une lumière éblouissante et des voix. Celles de ses parents, de Marianne mais également une autre qui lui semblait venir de bien plus loin, très loin dans sa mémoire dans le coin le mieux dissimulé de son cerveau: «Adieu ma fille, un jour nous nous reverrons et ce jour là je saurai que notre choix était le bon.» Cette voix était celle d’une femme, mais impossible de savoir de qui. Iléa sombra dans le noir. Quand elle se révailla rien n’avait changé. Iléa était couchée au pied du Rentaï où elle avait laissé son arc et son sac, à première vue rien n’avait changé. Non, elle avait bel et bien changé. Greffe ou pas greffe son périple l’avait changée en profondeur et elle ne regrettait rien.
***Encore une avance rapide parce que bon c’est pas tout ça mais il y a encore deux ans à tirer!***
C’était la première fois depuis le début de son apprentissage qu’Iléa revoyait Al Chen et l’émotion la submergea. La ville était plus grande que dans son souvenir, le lac plus bleu, l’herbe plus verte. Le printemps offrait à tout des couleurs et une énergie nouvelle, et l’apprentie était heureuse de se trouver là, chevauchant Velours à côté de Marianne montée sur son propre cheval. Au lieu de pénétrer dans la ville comme Iléa s’y attendait, Marianne suivit la rive du lac en s’éloignant d’Al Chen, bientôt la ville ne fut plus qu’une vision lointaine. Soudain Marianne descendit de cheval, rompant la rêverie d’Iléa et cette dernière fit de même. «Tu vois cette île sur le lac?» En plissant les yeux Iléa chercha de quelle île son maitre parlait puis la vit, minuscule et lointaine. Elle aquiesça. «Tant mieux parce que c’est là que nous allons.» D’abord Iléa crut que Marianne plaisantait mais ce n’était clairement pas le cas et la jeune fille commença à se dévêtir. Alors qu’elle entrait dans l’eau Marianne lui fit signe d’attendre et lui lia mains et pieds avec une corde, laissant tout juste assez de mou pour pouvoir marcher. Surprise Iléa mit un moment avant de réaliser qu’elle devrait nager avec ces entraves. L’île était loin, avec les cordes qui gênaient ses mouvements et l’empêchaient de s’accorder correctement à l’eau elle était impossible à rejoindre. Pleine d’incompréhension elle regardait Marianne qui nageait avec grâce devant elle, qu’avait-elle en tête? Cherchait-elle à la noyer? Pourtant elle finit par atteindre l’île, sans savoir comment elle avait fait et Marianne dénoua les cordes qui l’entravaient. «Tu es libre.» «Pardon?» Trois mots avaient suffit à déstabiliser Iléa, trois mots qu’elle avait peur de comprendre, trois mots auxquels elle n’avait jamais pensé bien qu’elle ait été condamnée à les entendre dès le début de son apprentissage. Incapable de prononcer un mot, la gorge nouée elle écrivit dans le sable:
Déploiement des ailes Premier pas sur la voie Gratitude Marianne ne dit rien non plus, ses yeux parlaient pour elle. Elles restèrent un long moment silencieuses à contempler la rive lointaine où les attendaient leurs chevaux puis Iléa dit: «Nous nous reverrons.» À la fois question et interrogation, Marianne lui laissa trouver la réponse elle-même puis après l’avoir serrée dans ses bras la laissa partir. Iléa s’envola. En arrivant sur la berge elle se rhabilla puis un bruit dans les fourrés lui signala qu’elle n’était pas seule. Les cheveux se firent nerveux et un grand loup noir d’ébène sortit des buissons. Fascinée Iléa ne bougea pas, l’animal semblait aussi fasciné par elle qu’elle l’était par lui, pourtant la faim devait être plus forte car il se ramassa, prêt à sauter sur Velours. «Arrête!» L’ordre avait fusé, aussi naturel qu’absurde et l’animal regarda la jeune fille. Tous deux étaient surpris. «Mais j’ai faim.» Aucun son ne provenait de la gorge du prédateur et pourtant elle pouvait l’entendre aussi clairement que s’il avait parlé. Le Chant du Rentaï lui revint en têtte et elle sût qu’elle avait obtenu la greffe. Tirant de son sac quelques batonnets de viande sêchée elle les tendit au loup qui les avala, remercia et disparut sans bruit dans les fourrés. Iléa se retourna pour revoir l’île minuscule à cette distance, pourtant elle pouvait presque voir la flamme de Marianne à cette distance. Ne sachant pas trop quoi faire Iléa se hissa mécaniquement sur Velours et sa monture se mit en marche, Iléa ne la guida pas.
Son arc et ses flèches dans son dos, un poignard à sa ceinture et un loup d’argent pendant à son cou, une jeune fille juchée sur un cheval s’éloigne de la citadelle des frontaliers. Son visage est presque celui d’une enfant mais ses gestes souples et fluides empreint d’énergie sont ceux d’une adulte. En fait Iléa Sil’Mayan a 19 ans. Ne vous fiez pas à son jeune âge: elle est une frontalière et par ce seul fait une guerrière redoutable. Fille d’Aniel et Jiron Sil’Mayan elle a dès son plus jeune âge appris à observer, à jauger mais également à combattre avec un sabre, à tirer à l’arc, à se servir d’un poignard et à se battre à mains nues. Ce n’est pas une frêle jeune fille qui se lance à la découverte du monde, c’est une arme. Car les frontaliers sont des armes.
En quittant la citadelle elle repense à ce qu’elle y a vécu. À sa petite enfance rude mais insouciante, rythmée par les cours de maniement des armes mais surtout d'équitation. Elle se revoit montant le vieil étalon de son père, tombant et déclenchant ainsi les rires joyeux de ses compagnons puis remontant aussitôt, hilare elle aussi. Bien sûr elle savait qu'elle n'apprenait pas à se battre pour rien, qu'un jour elle en aurait besoin, mais comment voulez-vous qu'une petite fille comprenne que les seuls duels ne sont pas ceux "pour rire" avec ses camarades, qu'un arc ne sert pas qu'à tuer le lapin qu'on mangera le soir et que les gens ne montent pas à cheval uniquement pour le plaisir de sentir le vent dans ses cheveux pendant que sa monture galope plus vite que le vent? Oh bien sûr elle savait que ses ainés se battaient chaque jour durement au péril de leur vie et elle connaissait l'existence des Raïs mais c'était pour elle aussi abstrait que les humains le sont pour les Petits. D'après les récits des guerriers les Raïs étaient des guerriers cochons, elle s'imagina les cochons de la ferme voisine avec une cotte de maille et ça la fit beaucoup rire.
Cette vie joyeuse vola en éclats lorsque les sentinelles passèrent à l'ennemi. Les Raïs déferlèrent alors et son père qui se trouvait en première ligne fut balayé avec tant d'autres soldats, la peine d'Iléa fut immense et à à peine neuf ans elle commença à murir, à changer. Elle avait vu la dure réalité de la vie c'est à dire qu'elle finissait toujours par la mort. Les années de guerre qui s'ensuivirent furent éprouvantes pour elle tant physiquement que moralement. Face à la gravité de la situation l'entrainement des jeunes se fit plus intensif, ses progrès furent conséquents, ses échecs plus cuisants. Et puis il y avait chaque jour des morts, chaque jour des disparus, chaque jour des familles en deuil. La citadelle devint un lieu triste malgré l'agitation qui y régnait sans cesse et il n'était pas rare de voir un cavalier blessé franchir la porte annonçant qu'une nouvelle attaque avait à nouveau enlevé des hommes ou des femmes à leurs familles.
Suite à une étrange cabriole de ses pensées Iléa repensa à Varil. Il avait d'abord été son compagnon d'aventures, avec lui elle fugait par la fenêtre et descendait le long des murs de la citadelle pour aller observer les étoiles, nager dans une rivière proche, caresser les naseaux veloutés des chevaux qui somnolaient et faire mille et une imprudences qui lui apprirent autant que ses cours ne le faisaient. Ses parents étaient-ils au courant? Sans doute, difficile que quelque chose leur échappe mais jamais ils ne firent la moindre allusion à ses balades nocturnes et quand elle rentrait épuisée, couverte d'ecchymoses après avoir tenté d'escalader un mur un peu trop raide ils se contentaient de lui demander si elle était tombée du lit. Peu à peu sa relation avec Varil avait changé, elle avait pris un tour plus intense et les escapades au clair de lune une autre signification. En ces temps troublés voir deux êtres heureux était rare et dans la citadelle tout le monde était heureux pour eux. Etait. Plus on s'envole haut, plus la chute est dure et le coeur d'Iléa se brisa quand la patrouille de reconnaissance à laquelle avait participé Varil était revenue sans lui. Ils avaient été attaqués par des mercenaires du chaos et il s'était sacrifié pour permettre à ses compagnons d'arme de se replier. Mort? Prisonnier? Personne ne le savait mais la guerre prit fin sans qu'il ne reparaisse et plus personne ne se fit d'illusions...
Une fois la guerre finie la vie put reprendre un cours plus normal, Iléa avait entretemps fini son apprentissage et n'allait pas tarder à recevoir sa première mission, sa première mission officielle du moins car durant la guerre elle avait déjà effectué de courtes missions de reconnaissance. Malgré la fierté que cela lui procurait son coeur se serrait tout le temps à l'idée que son père ne partagerait pas sa joie et il saignait quand elle se rappelait qu'elle n'effectuerait pas cette mission avec Varil. Sa mission consistait à aller aller faire une reconnaissance des lieux dans l'ancienne cité des Mercenaires dans la forêt Ombreuse. Des rumeurs prétendaient en effet que ceux-ci y retournaient pour faire renaitre leur cité des cendres. Les rumeurs ce n'est jamais très fiable mais tout de même, mieux valait ne prendre aucun risques! Une dizaine de frontaliers fut envoyée et à peu près autant de membres de la légion noire. Après une fouille méticuleuse où cheque pierre fut retournée on en arriva à la conclusion que la rumeur n'était bel et bien qu'une rumeur (d'ailleurs si vous avez lu le contexte vous savez qu'à aucun moment les Mercenaires n'ont regagné leur cité mais bon, les personnages de rp eux n'avaient pas lu le contexte). Une fois de retour à la forteresse la vie reprit son cours à la fois tranquille et trépidante, rythmée par les attaques des guerriers cochons à repousser et les caravanes à laisser passer, car oui il y avait toujours des suicidaires décidés à s'installer de l'autre côté des Marches du Nord. À chaque convoi Iléa se sentait découragée. Ca valait bien la peine qu'elle et ses compagnons risquent chaque jour leur vie pour repousser les Raïs si de toute façon ça plaisait aux gens d'aller à leur rencontre!
Ca, c'était avant. Finalement elle avait eu la bougeotte et ses courtes missions n'étaient pas suffisantes pour étancher sa soif d'aventures et de découverte du monde. Elle voulait voyager, aller voir le lac Chen, contempler les tours d'Al Jeit, traverser les montagnes jusqu'au pays Faël, aller rendre visite aux gens des terres de l'Est,... Finalement sa mère lui avait offert Velours et cela avait marqué le départ d'Iléa. Velours était une charmante jument toute en finesse que son jeune âge rendait délicate à monter. Cela ravissait la frontalière qui ne cacha pas sa joie face à un tel présent! Le lendemain elle préparait ses affaires et disait au revoir à ses proches, le surlendemain à l'aube elle s'en allait.
Iléa lève la tête vers le ciel. Les nuages rosés par le lever du soleil ont quelque chose de magique, de prometteur. Cette journée marque le début d'une nouvelle ère dans sa vie, une ère de liberté et de découvertes avant de reprendre sa place à la citadelle. La jeune fille sourit, elle est heureuse. Certains comme les membres de la légion noire sont constamment sous les ordres d'un supérieure, d'autres comme les marchombres sont totalement indépendants, elle est entre les deux: libre de découvrir le monde, mais prête à répondre présent si son devoir l'appelle. Dans le petit matin un rire pur s'élève, Velours prend le petit galop.
Ca y est, j'ai corrigé les incohérences et revu mes capacités et mon mental, j'espère que c'est bon! | | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 01.11.13 15:27 frontalière serait mieux je pense ^^ Mais je te donnerais un avis après avoir lu totalement ta fiche. Dans tous les cas le mot de passe n'est pas le bon ;) cherche encore. | | | 01.11.13 15:34 D'accord, dans ce cas je vais étoffer un peu l'histoire version frontalière. Je pense que j'ai trouvé le bout manquant au MDP, je ne savais pas qu'il fallait mettre les deux mais normalement c'est bon maintenant. | | Âge : 30
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| Killian DelkaïronMercenaire__Membre
01.11.13 17:15 Bienvenue à toi ^^
Puisses-tu te plaire ici ^^ | | | 01.11.13 17:17 Hello et bienvenue à toi ! Oui je pense aussi que remplir la guilde des frontaliers serait mieux =) Alors je survole, et je note déjà un petit truc qui me semble incohérent : - Citation :
- Iléa préfèrera la légèreté et la petite taille d'un poignard à l'encombrante présence d'un sabre, arme qu'elle manie sans grand talent.
--> Si tu choisis de la faire frontalière, il va falloir que tu modifies ça. Les frontaliers naissent quasiment avec un sabre à la main =p Je n'ai pas le temps de faire plus pour l'instant, je repasserai un peu plus tard ^^ | | | 01.11.13 17:28 Merci pour votre accueil :)
Bon ben va pour les frontaliers alors! Je corrige ça et j'essaye d'ajouter quelques évènements à l'histoire de la frontalière. Marchombre ça sera pour la prochaine fois ;) | | | 01.11.13 18:22 Bienvenue!!! ^^
Pirate, ça ne te dit rien? x) Puisse la voie des cookies t'être à jamais ouverte! | | Âge : 30
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| 01.11.13 18:27 j'ai lu ta fiche, alors.. Il te va vraiment falloir choisir. Marchombre ou Frontalière. je serais d'avis que tu optes pour frontalière. C'est une guilde peu remplie, et surtout, tu nais frontalière, alors que tu peux devenir marchombre "à tout moment"
Donc choisis et retravaille ta fiche en conséquence. Si t'es frontalière, t'as des modifications à faire, un marchombre est très différent d'un frontalier. Pour ce qui est des capacités et de la psychologie, c'est très très centré marchombre, donc ça ne va pas le faire. Et développe un peu plus l'histoire, parce que ce que tu écris ben.. un peu léger. Parle de son enfance, de ses entrainements, de la vie à la Citadelle, si elle a déjà voyagé...
poste à la suite un message pour prévenir lorsque tu auras fait tes rectifications ;) | | | 01.11.13 19:37 Bienvenue Iléa! Frontalière du coup! ;)
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| Nessa MinyaturCapitaine Aline__Membre
01.11.13 22:52 Hi ! Bon j'avoue ne pas encore avoir lu, mais je le ferais dès que j'aurais le temps =) Mais je retiens que tu hésites entre Frontalière et Marchombre c'est ça ? Et vu les commentaires tu as choisi Frontalière alors que la mentalité de ton perso tend actuellement plus vers Marchombre ?
Surtout, ne te sens pas obligée d'intégrer une Guilde juste pour la remplir. C'est sûr qu'on est toujours contents quand c'est le cas, mais si ça te demande trop de boulot de tout reprendre et que ça casse ton envie d'écrire, tu peux toujours retourner vers les Marchombres ;) Bref, juste pour dire : ne te sens pas coincer, tu peux largement encore changer d'avis !
A bientôt pour une vraie bonne lecture xD | | | 01.11.13 23:12 Ca y est, j'ai complété mon histoire et arrangé les incohérences. J'aimerais ne pas avoir à trop modifier le mental de mon personnage si possible, en revanche prévenez-moi s'il y a des incohérences ou erreurs qui restent.
À vrai dire j'ai commencé ma fiche en voulant à tout prix devenir Marchombre parce que j'avais une vision un peu réductrice des Frontaliers mais depuis j'ai relu Ellana et j'aime bien les Frontaliers aussi donc si en plus ça permet de remplir une guilde :) Et puis rien ne m'empêche de garder mon histoire de marchombre (en spoiler, je ne voulais pas la supprimer complètement après le temps qu'elle m'a pris) pour une autre fois ;)
Bref, merci à tous pour votre accueil sympathique, j'espère bientôt vous croiser en rp!
PS: COOOOKIIIIIIES! Tu viens de prononcer le mot magique! | | | 02.11.13 18:03 BIENVENUUE !! J'avoue que .. J'ai pas tout lu, mais c'est cool d'avoir choisi les frontaliers ! :D Amuses tpi bien et au plaisir de te croiser en RP ! | | | 02.11.13 19:33 Merci :)
J'ai corrigé le mot de passe et cette fois je pense que tout y est! | | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 02.11.13 20:05 ah ce mot de passe... tu l'aimes pas hein ! ;)
Pour l'histoire.. Il a quel age Varil ? parce que s'ils font le mur ensemble et qu'ils ont grandis ensemble, pourquoi est-ce qu'il a fini sa formation bien avant elle ? Elle n'a jamais vu de Raïs ?! O.o A mon avis, elle connais mieux les rais que les thulls... ^^' Et généralement ils se détestent réciproquement, alors pourquoi est-ce qu'elle cherche à les amuser ? Et... Je ne sais pas trop si les frontaliers ont "pour mission d'escorter des caravanes". Je ne les voit pas trop subir ces longs voyages...leur mission à eux c'est de protéger les marches du nord. :/
Sinon... Le fait qu'elle préfères l'arc au sabre me semble trèèèès étrange ^^' C'est une frontalière, elle est mariée à son sabre ! Si jamais elle a affirmé préféré l'arc, je pense que les désaccords ont du être nombreux ! Et rien ne l'empêche de porter son sabre à sa tille, comme ça, le problème est résolu, elle a tout à porté de main, sans avoir de préférence.
courage ! t'y es presque ;) | | | 02.11.13 22:21 Je pense que le mot de passe est bon cette fois. Pour Varil il a un ou deux ans de plus qu'elle et comme il disparait vers la fin de la guerre et qu'elle finit sa formation juste après ça me semble crédible. Pour les raïs c'est quand elle a 5-6 ans qu'elle n'en a jamais vu, ça me paraît quand même normal ;)
J'ai modifié sa mission et ce qui concerne le maniement du sabre. J'espère que c'est bon, c'est là que je réalise que niveau rp je viens de passer à la vitesse supérieure en m'inscrivant! ;) | | | |
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