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Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 17.07.16 15:02 coucou miss ! T'aurais du temps pour me faire une petite relecture ? C'est pour Caym, donc trouver les erreurs et les fautes de style :) - et voila:
Caym arriva enfin en vue de la ferme fortifiée. Il était à pied et avait effectué un pas sur le côté qui l’avais laissé à plusieurs kilomètres de là. Il ne connaît pas vraiment cette région, c’était assez reculé et inintéressant. Les voleurs et autres bandits n’avaient aucun intérêt à s’implanter dans la région. Al-Far n’était pas très prospère et possédait déjà sa mauvaise graine, il y avait peu à prendre ou à terroriser. La région était nettement moins lucrative que celle d’Al-Jeit. Mais le mentaï était là. Il avait entendu des rumeurs à la capitale et il avait songé qu’il ferait bien de vérifier ça. La ferme de Vil’Temian se disait la plus sûre du continent, ils avaient pendu les bandits qui avaient tenté de leur faire du mal et dorénavant ils prospéraient. Les rumeurs enflaient ensuite disant qu’ils avaient démantelé tout un groupe de mercenaires du Chaos et que ceux-ci les craignaient. Forcément, ces dernières extrapolations ne plaisaient pas vraiment à Caym et il avait décidé d’aller y jeter un œil afin de voir de ses propres yeux ce qu’il s’y passait. Marquant une légère halte afin d’observer le roc qui lui faisait face, quelques souvenirs revinrent à la surface. Des flammes, des cris et la mort.
La ferme était véritablement fortifiée. Une imposante muraille en pierre l’encerclait et la dissimulait des visiteurs indésirables. Deux bâtiments s’élevaient au-dessus de ces murailles et il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait de vigies. La mercenaire avait l’impression d’entrer dans un château fort et cette impression fut renforcée lorsqu’il franchit le pont-levis.
Deux hommes en armure et armés de lances, épées et tout ce qu’ils avaient trouvé qui pourrait être menaçant, lui barraient le passage. Devant sa mine d’incompréhension, ils lui demandèrent de s’acquitter de sa taxe. Le mentai les dévisagea avec attention, ces idiots semblaient sérieux… Il éclata de rire devant le ridicule de la situation.
-Vous n’espérez pas que je paye pour entrer dans une ferme ?! -Trois pièces d’or.
Le mercenaire manqua de s’étouffer. Quel culot. Ils faisaient payer l’entrée… Ce village était une véritable mine d’or ! Avec toutes les histoires à leur propos, ils pouvaient voler toutes les pauvres âmes crédules qui chercheraient leur protection. Se méprenant sur le silence du visiteur, l’autre garde prit la parole, avec un vocabulaire bien propre à ceux des campagnes, sans vraiment se soucier de la décence de ses propos.
-On n’est pas des rêveurs qui bouffent des pissenlits, soit tu payes soit tu fous le camp à la recherche d’une autre âme dégénérée qui t’accorderait l’hospice contre ton doux sourire.
Son camarade ricana tandis que Caym haussa un sourcil. Il avait pris sa décision. Il entrerait. Mais il était bien entendu hors de question qu’il débourse la moindre pièce.
-Je suis navré que vous ayez mal interprété mes propos. Ma compagne me devançait sur la route de peu, me permettriez-vous de jeter un œil de l’autre côté, afin de m’assurer qu’elle n’est pas passée sans moi. Je m’inquiète de ne las la trouver ici.
Voyant que les gardes hésitaient, Caym continua sa comédie, et assura qu’il ne franchirait pas le pont, il voulait juste voir. Il promit même de partir s’il ne voyait pas sa promise dans la cour. Le tenant par le col, les gardes l’autorisèrent à jeter un œil sur la cour basse. Étonnamment, il n’y trouva pas sa compagne et dut rebrousser chemin. Leur tournant le dos, Caym s’éloigna de Vil’Temian un sourire aux lèvres. Il croisa un chariot solitaire, mené par un couple âgé et se dissimula à l’arrière afin de pouvoir effectuer son pas sur le côté sans éveiller la suspicion des guetteurs.
Ce léger passage dans les spires permit au Mentaï de mettre les pieds à l’intérieur de cette ferme fortifiée sans amaigrir sa précieuse bourse. Il e permis même de retourner discrètement vers le pont-levis à la recherche du coffre, celui où les gardes gardaient les taxes d’entrées. Le coffre n’était pas surveillé, à la grande surprise de Caym, celui-ci plongea la main dans les pièces d’or et en retira une belle poignée, tout en vérifiant que personne n’arrivait. Satisfait de voir dorénavant sa bourse bien remplie, sur le point d’exploser, il se dirigea d’un pas naturel vers le village, à la recherche d’un endroit où manger et où se reposer. Une taverne ferait parfaitement l’affaire. Enfin, s’il en trouvait une. Les fermes fortifiées possédaient une organisation bien particulière et la vie s’organisait en communauté. Les tavernes n’existaient pas. Mais le mercenaire avait remarqué que ces gens-là possédaient un concept bien différent, s’ils faisaient payer l’entrée, il y avait fort à parier qu’on y trouverait des lieux de débauche qui ne posséderaient qu’une seule fonction : plumer complètement les visiteurs. Et ce serait dans des lieux comme ceux-là que le mentaï trouverait ses réponses.
| | | 17.07.16 21:57 Ah ben oui, maintenant que je suis vraiment en vacances j'ai du temps ! ^^' Du coup j'ai corrigé les fautes "pures" genre fautes de frappe ou mauvaises terminaisons mais quand c'est plus une question de préférence (notamment au niveau des temps) j'ai juste signalé, sans rien changer. - Et voilààà:
Caym arriva enfin en vue de la ferme fortifiée. Il était à pied et avait effectué un pas sur le côté qui l’avait (Mauvaise terminaison, corrigé) laissé à plusieurs kilomètres de là. Il ne connaît (L'imparfait serait mieux non ?) pas vraiment cette région, c’était assez reculé et inintéressant. Les voleurs et autres bandits n’avaient aucun intérêt à s’implanter dans la région. Al-Far n’était pas très prospère et possédait déjà sa mauvaise graine, il y avait peu à prendre ou à terroriser. La région était nettement moins lucrative que celle d’Al-Jeit. Mais le mentaï était là. Il avait entendu des rumeurs à la capitale et il avait songé qu’il ferait bien de vérifier ça. La ferme de Vil’Temian (C'est possible ça un nom de noble pour une ferme ?) se disait la plus sûre du continent, ils avaient pendu les bandits qui avaient tenté de leur faire du mal et dorénavant ils prospéraient. Les rumeurs enflaient ensuite, (J'aime beaucoup les virgules moi, j'en mets un peu de partout, à voir si ça te va ou pas) disant qu’ils avaient démantelé tout un groupe de mercenaires du Chaos et que ceux-ci les craignaient. Forcément, ces dernières extrapolations ne plaisaient pas vraiment à Caym et il avait décidé d’aller y jeter un œil afin de voir de ses propres yeux ce qu’il s’y passait. Marquant une légère halte afin d’observer le roc qui lui faisait face, quelques souvenirs revinrent à la surface. Des flammes, des cris et la mort.
La ferme était véritablement fortifiée. Une imposante muraille en pierre l’encerclait et la dissimulait des visiteurs indésirables. Deux bâtiments s’élevaient au-dessus de ces murailles et il ne faisait aucun doute qu’il s’agissait de vigies. Le (Trompée de genre xD) mercenaire avait l’impression d’entrer dans un château fort et cette impression fut renforcée lorsqu’il franchit le pont-levis.
Deux hommes en armure et armés de lances, épées et tout ce qu’ils avaient trouvé qui pourrait être menaçant, lui barraient le passage. Devant sa mine d’incompréhension, ils lui demandèrent de s’acquitter de sa taxe. Le mentai les dévisagea avec attention, ces idiots semblaient sérieux… Il éclata de rire devant le ridicule de la situation.
-Vous n’espérez pas que je paye pour entrer dans une ferme ?! -Trois pièces d’or.
Le mercenaire manqua de s’étouffer. Quel culot. Ils faisaient payer l’entrée… Ce village était une véritable mine d’or ! Avec toutes les histoires à leur propos, ils pouvaient voler toutes les pauvres âmes crédules qui chercheraient (L'imparfait me semble mieux ici) leur protection. Se méprenant sur le silence du visiteur, l’autre garde prit la parole, avec un vocabulaire bien propre à ceux des campagnes, sans vraiment se soucier de la décence de ses propos.
-On n’est pas des rêveurs qui bouffent des pissenlits, soit tu payes soit tu fous le camp à la recherche d’une autre âme dégénérée qui t’accorderait l’hospice contre ton doux sourire.
Son camarade ricana tandis que Caym haussa un sourcil. Il avait pris sa décision. Il entrerait. Mais il était bien entendu hors de question qu’il débourse la moindre pièce.
-Je suis navré que vous ayez mal interprété mes propos. Ma compagne me devançait sur la route de peu, me permettriez-vous de jeter un œil de l’autre côté, afin de m’assurer qu’elle n’est pas passée sans moi ? (C'est une question) Je m’inquiète de ne pas (Faute de frappe) la trouver ici.
Voyant que les gardes hésitaient, Caym continua sa comédie, et assura qu’il ne franchirait pas le pont, il voulait juste voir. Il promit même de partir s’il ne voyait pas sa promise dans la cour. Le tenant par le col, les gardes l’autorisèrent à jeter un œil sur la cour basse. Étonnamment, il n’y trouva pas sa compagne et dut rebrousser chemin. Leur tournant le dos, Caym s’éloigna de Vil’Temian un sourire aux lèvres. Il croisa un chariot solitaire, mené par un couple âgé et se dissimula à l’arrière afin de pouvoir effectuer son pas sur le côté sans éveiller la suspicion des guetteurs.
Ce léger passage dans les spires permit au Mentaï de mettre les pieds à l’intérieur de cette ferme fortifiée sans amaigrir sa précieuse bourse. Il se (Faute de frappe) permit (Mauvaise terminaison)même de retourner discrètement vers le pont-levis à la recherche du coffre, celui où les gardes gardaient les taxes d’entrées. Le coffre n’était pas surveillé, à la grande surprise de Caym, celui-ci plongea la main dans les pièces d’or et en retira une belle poignée, tout en vérifiant que personne n’arrivait. Satisfait de voir dorénavant sa bourse bien remplie, sur le point d’exploser, il se dirigea d’un pas naturel vers le village, à la recherche d’un endroit où manger et où se reposer. Une taverne ferait parfaitement l’affaire. Enfin, s’il en trouvait une. Les fermes fortifiées possédaient une organisation bien particulière et la vie s’organisait en communauté. Les tavernes n’existaient pas. Mais le mercenaire avait remarqué que ces gens-là possédaient un concept bien différent, s’ils faisaient payer l’entrée, il y avait fort à parier qu’on y trouverait des lieux de débauche qui ne posséderaient (L'imparfait sonne mieux non ?) qu’une seule fonction : plumer complètement les visiteurs. Et ce serait (Pareil, je mettrais de l'imparfait plutôt) dans des lieux comme ceux-là que le mentaï trouverait ses réponses.
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Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 18.07.16 13:55 merchiii ! ah les temps, mes pires ennemis. U.u Du coup, quand tu dis que ça serait mieux à l'imparfait, c'est à moi, de conjuguer/corriger si ça me plait ? Et je pense bien suivre ton conseil, la conjugaison n'a jamais été mon fort, je fais ça au feeling (d'où les probables incohérences temporelles) Et si jamais tu vois des trucs qui pourraient être améliorés ou dse tournures de phrases bizarres, n'hésites pas à commenter. Aha ! donc si t'es de nouveau dispo et rapide, je viendrais probablement te voir plus régulièrement ! 8D (tu connaitras tous mes RPs sur le bout des doigts ! hahaha) | | | 18.07.16 22:03 Ouais voilà, en fait moi instinctivement je mettrais plutôt de l'imparfait mais je ne suis pas sûre que ce soit le seul temps possible donc à toi de juger. ^^
Nope rien à dire au niveau du style sinon je l'aurais déjà fait :)
Oui ben là jusqu'au 6 août je suis complètement dispo par contre après ça va être compliqué ! Donc faut que tu fasses tes RP avant xD | | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Neleam
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| Caym CaliEnvoutant_Mentaï _Caym_Membre
18.07.16 22:27 hahahahaha ! suuuuper ! Donc me revoilà ! - youpla ! un nouveau bébé:
Caym se retint de sourire en entendant le délicat bruit d’une serrure qu’on essaye de crocheter. Il frôla les Spires afin de s’assurer que son dessin empêchait toujours le mécanisme de fonctionner et observa avec attention le visage de la marchomre. Ce dernier était délicat mais marqué par les épreuves. On y voyait quelques rides bien qu’elle ne soit pas âgée, elles témoignaient d’une vie remplie de soucis ou difficile, comme l’attestaient les quelques très légères cicatrices qui n’échappèrent pas à l’œil attentif. Sa peau halée et ses yeux noirs lui donnaient un charme sauvage, renforcé par les mèches folles qui s’échappaient de sa tresse. Elle aurait pu être séduisante si elle ne dégageait pas cette écœurante impression d’harmonie, elle empestait le marchombre, par tous les pores. Sa réponse ne tarda pas, et comme tous ceux de son espèce elle préféra faire la fière plutôt que de négocier sa liberté.
-Je suis désolée, vraiment, mais je n’ai pas le droit de vous communiquer ce genre de renseignements. Aussi, je vous prierais de bien vouloir me libérer. Puisque, comme vous l’avez dit, nous sommes ici entre gens civilisés.
Mauvaise réponse. Caym secoua la tête, un sourire énigmatique sur les lèvres.
-Je crains que vous n’ayez pas écouté avec attention mes propos, il n’est pas question que je vous relâche avant d’avoir obtenu les réponses que je désirais. Si vous refusez de coopérer, eh bien, ça risque d’être nettement moins agréable pour vous.
Se levant prestement de sa chaise, il la souleva de manière à l’installer dans l’angle mort de sa prisonnière. Assis à cet endroit, la marchombre ne pourrait voir le mercenaire sans tourner la tête, mais elle l’entendrait et sentirait sa présence. Les pires tortures sont parfois les plus lentes et insidieuses. La douleur se combat, mais le temps, lui, rend fou. Le mercenaire saisit délicatement le visage de la marchombre entre ses mains, dans un geste qui aurait pu être paternel. Il avança son visage jusqu’à ce que leurs souffles se caressent.
-Il semblerait que ce soit mon jour de bonté, je vais vous laisser quelques instants supplémentaires pour réfléchir à votre réponse concernant ma proposition, en sachant que vous ne pourrez plus jamais revenir dessus. Et en attendant que vous me donniez votre véritable nom, je vous nommerais Féli.
Il plongea ses yeux clairs dans ceux, sombres comme les ténèbres, de la marchombre avant de s’éloigner. Elle serait capable de lui assener un terrible coup de boule, et il n’avait pas besoin de ça, les gens se poseraient des questions. Il tourna donc autour de sa prisonnière et se plaça dans son dos. Lentement, il dénoua la tresse de la jeune femme et, laissant ses doigts froids trainer sur la peau brulante de sa victime, il prit un malin plaisir à caresser cette peau douce. Il sentait les veines palpiter sous ses doigts. Elle était totalement à sa merci. Il s’amusa donc quelques temps, à parcourir la nuque, la gorge ainsi que les épaules en relevant petit à petit l’imposante chevelure de la femme. Il s’attardait régulièrement sur la carotide saillante qui le tentait tant, mais résistait à la tentation. Approchant finalement sa bouche de l’oreille de Féli, il laissa son souffle caresser la peau frissonnante de la demoiselle.
-Alors, votre décision dame Féli ? La torture ou une discussion en tout bien tout honneur ?
et oui, ça sonne mieux avec l'imparfait, j'ai corrigé dans le RP :) Et à propos du nom de la ferme en fait, j'imaginais qu'elle portait le nom de ses propriétaire, des nobles, sauf que c'était pas clair. Donc j'ai clarifié ce point, en les nommant carrément ^^ | | | 19.07.16 17:55 Eh beh, ton mercenaire est bien occupé à ce que je vois ! ^^ - Youpla ! Une nouvelle correction :
Caym se retint de sourire en entendant le délicat bruit d’une serrure qu’on essaye de crocheter. Il frôla les Spires afin de s’assurer que son dessin empêchait toujours le mécanisme de fonctionner et observa avec attention le visage de la marchombre (Faute de frappe). Ce dernier était délicat mais marqué par les épreuves. On y voyait quelques rides, bien qu’elle ne soit pas âgée, qui (Il manquait une transition je trouve, ça faisait trop haché.) témoignaient d’une vie remplie de soucis ou difficile (Je trouve la tournure bizarre mais c'est peut-être juste moi pour le coup), comme l’attestaient les quelques très légères (On peut dire léger pour une cicatrice ? Genre comme fine ou discrète ?) cicatrices qui n’échappèrent pas à l’œil attentif du Mercenaire (Sinon on ne sait pas à qui est l’œil xD ). Sa peau halée et ses yeux noirs lui donnaient un charme sauvage, renforcé par les mèches folles qui s’échappaient de sa tresse. Elle aurait pu être séduisante si elle ne dégageait pas cette écœurante impression d’harmonie, elle empestait le marchombre, par tous les pores. Sa réponse ne tarda pas, et comme tous ceux de son espèce elle préféra faire la fière plutôt que de négocier sa liberté.
-Je suis désolée, vraiment, mais je n’ai pas le droit de vous communiquer ce genre de renseignements. Aussi, je vous prierais de bien vouloir me libérer. Puisque, comme vous l’avez dit, nous sommes ici entre gens civilisés.
Mauvaise réponse. Caym secoua la tête, un sourire énigmatique sur les lèvres.
-Je crains que vous n’ayez pas écouté avec attention mes propos, il n’est pas question que je vous relâche avant d’avoir obtenu les réponses que je désirais. Si vous refusez de coopérer, eh bien, ça risque d’être nettement moins agréable pour vous.
Se levant prestement de sa chaise, il la souleva de manière à l’installer dans l’angle mort de sa prisonnière. Assis à cet endroit, la marchombre ne pourrait voir le mercenaire sans tourner la tête, mais elle l’entendrait et sentirait sa présence. Les pires tortures sont parfois les plus lentes et insidieuses. La douleur se combat, mais le temps, lui, rend fou. Le mercenaire saisit délicatement le visage de la marchombre entre ses mains, dans un geste qui aurait pu être paternel. Il avança son visage jusqu’à ce que leurs souffles se caressent.
-Il semblerait que ce soit mon jour de bonté, je vais vous laisser quelques instants supplémentaires pour réfléchir à votre réponse concernant ma proposition, en sachant que vous ne pourrez plus jamais revenir dessus. Et en attendant que vous me donniez votre véritable nom, je vous nommerais Féli.
Il plongea ses yeux clairs dans ceux, sombres comme les ténèbres, de la marchombre avant de s’éloigner. Elle serait capable de lui assener un terrible coup de boule, et il n’avait pas besoin de ça, les gens se poseraient des questions. Il tourna donc autour de sa prisonnière et se plaça dans son dos. Lentement, il dénoua la tresse de la jeune femme et, laissant ses doigts froids traîner (#Jesuiscirconflexe xD )sur la peau brûlante (#Jesuiscirconflexe bis) de sa victime, il prit un malin plaisir à caresser cette peau douce. Il sentait les veines palpiter sous ses doigts. Elle était totalement à sa merci. Il s’amusa donc quelques temps, à parcourir la nuque, la gorge ainsi que les épaules en relevant petit à petit l’imposante chevelure de la femme. Il s’attardait régulièrement sur la carotide saillante qui le tentait tant, mais résistait à la tentation. Approchant finalement sa bouche de l’oreille de Féli, il laissa son souffle caresser la peau frissonnante de la demoiselle.
-Alors, votre décision dame Féli ? La torture ou une discussion en tout bien tout honneur ?
Mais dis donc ! Quelle tension sexuelle entre vous ! :O Sinon, le style est bon, il y a juste quelques tournures de phrases qui m'ont gênée mais c'est probablement juste moi ^^' | | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
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| 19.07.16 22:41 hahaha ! merci :P C'est un peu le but, contente que ça ait fait cet effet ! Les accents c'est pas mon délire, j'ai tendance à ne jamais en mettre U.u Ce qui n'est pas bien parce que j'oublie où ils doivent réellement aller. xD Mais j'ai aimé ton # je crois que j'ai rectifié quelque peu les tournures que tu trouvais étranges :) Oui, Caym est partout ! hahaha ! Donc... une autre petite relecture ? ça serait chuper je crois qu'il est un peu long... - encore un ! :
Caym marcha au hasard des allées, le nez en l’air, enregistrant le plus de détails possible. L’implantation des bâtiments, leur système constructif, les passants… Tout. Ces infomations lui permettraient d’établir un plan. Mais avant de rendre son verdict il devait savoir ce qu’il se passait réellement ici. Si une famille de bourgeois décidait de voler sans vergogne, ils pourraient être tolérés par les mercenaires du Chaos, contre monnaie sonnante, mais Caym sentait qu’il y avait autre chose. De quelque chose de plus complexe. Ce qui le travaillait était cette rumeur sur le funeste destin des mercenaires du Chaos. Si ces noblions avaient osés s’en prendre à sa guilde, ils venaient de signer leur arrêt de mort. Le mentaï n’appréciait guère cette manière de ne laisser entrer que les riches, si certains voleurs étaient impressionnés, le mentaï ne l’était pas, tous méritaient leur chance, et condamner des innocents à une mort certaine avait le don de le rendre fou. Dit comme ça, ça sonnait presque chevaleresque, mais ça ne l’était pas. L’avidité est le défaut de tout homme, et un des pires qui soit, du point de vue de Caym. Ce défaut est à l’origine de la tragédie de sa vie. Avec le temps, il avait fini par haïr le monde entier pour sa lâcheté et son hypocrisie, jamais il n’oublierait. Et peut-être devrait-il rappeler à ces riches bourgeois la dure réalité de la vie. Les rides formées sur son front par son mécontentement finirent par disparaitre, en même temps qu’il approchait de ce qui ressemblait à une taverne. Un joyeux bouquant s’en dégageait, accompagné par une odeur de transpiration, d’alcool. Poussant la porte la mercenaire scruta rapidement les lieux, prêt à réagir. Repérer les possibles sorties, les tonnelets de bière, les clients bagarreur, ceux qui ne résisteraient pas et les autre, les clients-surprises dont il fallait se méfier. Mais son analyse se stoppa brusquement lorsqu’il aperçut la fine silhouette à la chevelure de feu qui fonçait droit sur lui. Enfin, vers la sortie.
Tsukiyomi Ayame
Il la reconnu sans même avoir de besoin d’observer son visage. Il la sentait, comme il l’avait toujours sentie. Déjà lorsqu’elle était la protégée de Viladra elle dégageait cette sensation d’indiscipline, de danger et de folie, un mélange bien trop explosif et incontrôlable au gout du mercenaire, mais sa chef en avait décidé autrement. Jouer avec le feu lui plaisait. Elle était partie et Ayame s’était retrouvée à la tête de forteresse mais pas pour longtemps. Elle avait lâchement fuit, lançant ainsi le départ d’une superbe chasse à l’homme (enfin, à la femme dans ce cas présent). Caym avait ralenti les recherches afin de laisser à la jeune femme un peu de temps pour s’enfuir et se préparer à la traque. Il ne l’appréciait pas, mais par égard pour l’amitié que lui portait Viladra, il devait le faire.
La tête de la jeune femme avait été mise à prix, comme celle de tous les déserteurs. Cependant, au vu de son implication chaotique, il avait été précisé qu’elle pouvait être ramenée vivante à la forteresse. Lui laisser une chance de s’expliquer n’était pas forcément synonyme d’avoir le vie sauve.
Enfin, peu important pour le moment, Caym allait devoir agir. La tuer ? La laisser s’enfuir et poursuivre sa mission ? Réagissant au quart de tour, il pivota et laissa la rousse sortir de l’établissement et s’élança à sa suite. Plus grand qu’elle, il la rejoint rapidement et lui fit une jolie clef de bras, avant de la projeter à l’intérieur d’une maison. Caym entra à sa suite puis la lâcha avant de refermer la porte. Il avait besoin de calme. De discuter. Peut-être savait-elle des choses.
Et s’il devait la tuer ?
Il grimaça à l’idée, il ne l’appréciait pas (pour dire vrai, il n’appréciait pas grand monde) mais elle restait une mercenaire et à la vue du sang qui maculait dorénavant son précieux sabre, elle ne s’était pas éloignée de la Voie.
-Ayame, quelle plaisir de te revoir enfin. L’ironie suintait de sa voie, et il accompagna le tout d’un sourire moqueur. Cependant il ne comptait pas perdre plus de temps en badinage.
-Enfin t’es mignonne mais j’ai une mission. J’ai entendu dire que les mercenaires du Chaos s’étaient fait botter le cul par les propriétaires de cette charmante ferme. Sa voix était devenue grave, toute trace d’humour avait disparue. Il alla droit au but. Si c’est vrai, je vais leur remettre les idées en place et leur avouer que si les gens tremblent en entendant notre nom, c’est qu’il y a une raison. Et si cette rumeur est fausse… Eh bien, je pense quand même leur laisser un petit souvenir. Il se tu, attendant la réaction de la jeune femme. Il ne complait certainement pas lui demander son aide, il n’en avait pas besoin, mais si elle désirait aider, il accepterait et en ferait part au conseil lorsqu’elle sera jugée. Dans tous les cas il la ramènerait à la forteresse, consciente ou non. Le mentaï était sur ses gardes, en position de combat, mais également prêt à dessiner. Il savait que sa potentielle adversaire maniait les orages et autres trucs météorologiques et surtout qu’elle était redoutable avec un sabre entre les mains, ce qui était le cas. Avec tout ce qu’il y avait à faire dans cette ferme fortifiée, se battre contre une de ses paires ne lui plaisait pas vraiment, perte de temps et d’énergie.
| | Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
Messages : 10802
Date d'inscription : 28/11/2010
Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 23.07.16 19:09 Xail ..? J'ai envie de poster.... Donne-moi un petit signe de vie, sinon... je posterais avant la fin du week-end. | | | 23.07.16 22:44 Mince, j'étais persuadée de l'avoir déjà corrigé ! - encore une correction ! :
Caym marcha au hasard des allées, le nez en l’air, enregistrant le plus de détails possible. L’implantation des bâtiments, leur système constructif (Drôle de formulation), les passants… Tout. Ces informations (Faute de frappe) lui permettraient d’établir un plan. Mais avant de rendre son verdict il devait savoir ce qu’il se passait réellement ici. Si une famille de bourgeois décidait de voler sans vergogne, ils pourraient être tolérés par les mercenaires du Chaos, contre monnaie sonnante, mais Caym sentait qu’il y avait autre chose. De (Le mot "de" est en trop je pense) quelque chose de plus complexe. Ce qui le travaillait était cette rumeur sur le funeste destin des mercenaires du Chaos. Si ces noblions avaient osé (Faute d'accord, pas de "s" puisqu'on utilise l'auxiliaire avoir) s’en prendre à sa guilde, ils venaient de signer leur arrêt de mort. Le mentaï n’appréciait guère cette manière de ne laisser entrer que les riches, si certains voleurs étaient impressionnés, le mentaï ne l’était pas, tous méritaient leur chance, et condamner des innocents à une mort certaine avait le don de le rendre fou. Dit comme ça, ça sonnait presque chevaleresque, mais ça ne l’était pas. L’avidité est le défaut de tout homme, et un des pires qui soit, du point de vue de Caym. Ce défaut est à l’origine de la tragédie de sa vie. Avec le temps, il avait fini par haïr le monde entier pour sa lâcheté et son hypocrisie, jamais il n’oublierait. Et peut-être devrait-il rappeler à ces riches bourgeois la dure réalité de la vie. Les rides formées sur son front par son mécontentement finirent par disparaitre, en même temps qu’il approchait de ce qui ressemblait à une taverne. Un joyeux boucan (Orthographe) s’en dégageait, accompagné par une odeur de transpiration, d’alcool. Poussant la porte le (Encore trompée de genre xD ) mercenaire scruta rapidement les lieux, prêt à réagir. Repérer les possibles sorties, les tonnelets de bière, les clients bagarreurs (Accord du pluriel), ceux qui ne résisteraient pas et les autre, les clients-surprises (Là par contre je pense qu'il n'y a pas de "s" mais je ne suis pas certaine) dont il fallait se méfier. Mais son analyse se stoppa brusquement lorsqu’il aperçut la fine silhouette à la chevelure de feu qui fonçait droit sur lui. Enfin, vers la sortie.
Tsukiyomi Ayame (Pas de point ?)
Il la reconnut (Mauvaise terminaison) sans même avoir de (Le mot est de trop je pense) besoin d’observer son visage. Il la sentait, comme il l’avait toujours sentie. Déjà lorsqu’elle était la protégée de Viladra elle dégageait cette sensation d’indiscipline, de danger et de folie, un mélange bien trop explosif et incontrôlable au goût (#Jesuistoujourscirconflexe) du mercenaire, mais sa chef en avait décidé autrement. Jouer avec le feu lui plaisait. Elle était partie et Ayame s’était retrouvée à la tête de forteresse mais pas pour longtemps. Elle avait lâchement fui (Sans "t" sinon c'est la forme conjuguée du verbe), lançant ainsi le départ d’une superbe chasse à l’homme (enfin, à la femme dans ce cas présent). Caym avait ralenti les recherches afin de laisser à la jeune femme un peu de temps pour s’enfuir et se préparer à la traque. Il ne l’appréciait pas, mais par égard pour l’amitié que lui portait Viladra, il devait le faire.
La tête de la jeune femme avait été mise à prix, comme celle de tous les déserteurs. Cependant, au vu de son implication chaotique, il avait été précisé qu’elle pouvait être ramenée vivante à la forteresse. Lui laisser une chance de s’expliquer n’était pas forcément synonyme d’avoir la (Faut de frappe) vie sauve.
Enfin, peu important ("Peu importait" plutôt non ?) pour le moment, Caym allait devoir agir. La tuer ? La laisser s’enfuir et poursuivre sa mission ? Réagissant au quart de tour, il pivota et laissa la rousse sortir de l’établissement et (Trop de "et" dans la même phrase !) s’élança à sa suite. Plus grand qu’elle, il la rejoignit (Conjugaison, pas le bon temps) rapidement et lui fit une jolie clef de bras, avant de la projeter à l’intérieur d’une maison. Caym entra à sa suite puis la lâcha avant de refermer la porte. Il avait besoin de calme. De discuter. Peut-être savait-elle des choses.
Et s’il devait la tuer ?
Il grimaça à l’idée, il ne l’appréciait pas (pour dire vrai, il n’appréciait pas grand monde) mais elle restait une mercenaire et à la vue du sang qui maculait dorénavant son précieux sabre, elle ne s’était pas éloignée de la Voie.
-Ayame, quel (Mauvais accord, c'est masculin) plaisir de te revoir enfin. L’ironie suintait de sa voie, et il accompagna le tout d’un sourire moqueur. Cependant il ne comptait pas perdre plus de temps en badinage.
-Enfin t’es mignonne mais j’ai une mission. J’ai entendu dire que les mercenaires du Chaos s’étaient fait botter le cul par les propriétaires de cette charmante ferme. Sa voix était devenue grave, toute trace d’humour avait disparue. Il alla droit au but. (Il faudrait peut-être marquer le fait que c'est de la narration et non pas dans sa tirade, d'une manière ou d'une autre.) Si c’est vrai, je vais leur remettre les idées en place et leur avouer (Le verbe colle pas ici, "avouer" ça fait faible, il faudrait plutôt mettre "leur faire comprendre" ou un truc dans le genre) que si les gens tremblent en entendant notre nom, c’est qu’il y a une raison. Et si cette rumeur est fausse… Eh bien, je pense quand même leur laisser un petit souvenir. Il se tut (Mauvaise terminaison), attendant la réaction de la jeune femme. Il ne complait (Hein ?) certainement pas lui demander son aide, il n’en avait pas besoin, mais si elle désirait aider, il accepterait et en ferait part au conseil lorsqu’elle sera jugée. Dans tous les cas il la ramènerait à la forteresse, consciente ou non. Le mentaï était sur ses gardes, en position de combat, mais également prêt à dessiner. Il savait que sa potentielle adversaire maniait les orages et autres trucs météorologiques et surtout qu’elle était redoutable avec un sabre entre les mains, ce qui était le cas. Avec tout ce qu’il y avait à faire dans cette ferme fortifiée, se battre contre une de ses pairs (Orthographe) ne lui plaisait pas vraiment, perte de temps et d’énergie.
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| Caym CaliEnvoutant_Mentaï _Caym_Membre
23.07.16 23:06 haha ! eh non ^^' J'ai bien fait de relancer alors :P
T.T L'habitude d'écrire au féminin, ça transforme mon bel homme en demoiselle ! hahaha !
-> ça se dit du style "Ne compte pas sur moi", ou "je comptais te demander ton avis"... cou c'est "conter" ? enfin j'ai tout rectifié ! merci beaucoup !
(mine de rien, y a pas mal de rouge ! x) | | | 24.07.16 21:15 Non c'est "compter" dans l'expression "compter sur quelqu'un" :)
Bah c'est surtout parce que je fais de grandes phrases pour chaque truc xD Alors qu'une faute de frappe y a pas grand chose à dire dessus en fait ^^ | | | |
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