Il Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


[left]Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à ...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs !

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur ...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement.

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, ...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il s'élança en hurlant : ...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il s'élança en hurlant : ...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il s'élança en hurlant :

-Tuez Kiriiiiiieeeeeeeeeeel !

Justement, celui-ci arriva et...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il s'élança en hurlant :

-Tuez Kiriiiiiieeeeeeeeeeel !

Justement, celui-ci arriva et alla rapidement se trouver un cheval pour fuir ce changement de situation.

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il s'élança en hurlant :

-Tuez Kiriiiiiieeeeeeeeeeel !

Justement, celui-ci arriva et alla rapidement se trouver un cheval pour fuir ce changement de situation. Sil'Afian, toujours avec sa sucette dans la bouche, ...

Il était une fois en Gwendalavir, un chevalier qui s’ennuyait. Il avait pourtant cherché à s'occuper ! Il avait fait une promenade dans l'espoir de pouvoir se battre mais il n'avait pas croisé le moindre bandit... alors il s'est mis à se battre contre un arbre et a réussi à perdre car une branche lui tomba dessus le rendant fou furieux. Il commença alors à sautiller de colère un peu partout et attaqua un écureuil qui ne faisait que manger une noisette. Il tournoya sur lui même et abattit son épée, mais l'écureuil esquiva et lui fit un bras d'honneur. Effondré, le chevalier commença à pleurer comme une madeleine et à se moucher dans ses gantelets (amorçant une rouille prématurée); ému, l'écureuil partagea sa noisette pour rattraper son insulte, mais elle était pourrie ! C'en était trop pour le chevalier qui se leva et planta sa tête dans le sol, bien décidé à en finir. Le prenant pour une autruche, un marchand itinérant et malvoyant tenta de lui arracher ses plumes. Mais tout ce qu'il réussit à arracher, ce fut le pantalon du chevalier, dévoilant ainsi une belle paire de gantelets plaqués or, accroché à l'arrière de sa ceinture. Le marchand découvrit alors son erreur, et pour se racheter, lui enfila un caleçon en mithril.


Passant par là, Edwin et Neleam, saouls comme à l'accoutumée, parlaient de Kiriel, cet étrange petit homme avait été pris en flagrant délit de blasphème. En effet, il avait clamé le Grand honneur et privilège de passer ses nuits en compagnie de Sil'Afian pour le succéder par la suite des choses. Le pauvre chevalier, fier de son nouveau caleçon en mithril, vint se planter devant le couple alcoolique pour leur demander si -diantre !- ils n'avaient pas de chocolats à lui dépanner pour qu'il puisse aller les offrir à Kiriel, le futur Empereur. En fouillant ses poches, Edwin dénicha un caramel à moitié fondu sur lequel étaient collés quelques bouts de papier, une lame de rasoir, quelques pièces de monnaie, un gant, un petit morceau de bois, et une feuille de rougeoyeur dont ne subsistaient que quelques miettes rosées. Le chevalier, soucieux de sa santé refusa distraitement car son attention était rivée sur cette magnifique bouteille de grand cru que portait Neleam. Pensant qu'il la reluquait, Neleam la cacha dans son dos et partit en courant.

Sans support, Edwin tituba et effectua un triple salto avant. Quant à Neleam, elle n'avait pas fui, contrairement à ce que les apparences laissaient croire, elle courait après un sanglier, la faim la tenaillant. La pauvre bête, le sanglier et pas Neleam, partit se réfugier derrière Edwin qui lui semblait fort et protecteur. Car il avait du pif, ce sanglier. Il se voyait en lui, et le sanglier se voyait en lui. Un ours élastique venu de nul part interrompit ce moment magique en chorégraphiant une cucaracha et en dansant la valse avec Edwin. Le chevalier, ne voulant pas être en reste, se réveilla enfin de son cauchemar. Mais la toupie tournait encore comme la tête d'Edwin et Neleam. Qui leur avait donc apporté le petit-déjeuner au lit ? Telle est la question. Enfin jusqu'à ce que Neleam découvre la petite note qui est écrite, selon la signature, par le "Futur Empereur de Gwendalavir". Il écrit: "Cher nouveau couple, quand Ellana reviendra à Gwendalavire, elle sera accompagnée de la grande et redoutable légion noire afin de se débarrasser d'une conspiration visant à assassiner l'empereur actuel. Je compte sur vous pour intercepter et détruire le cookie géant empoisonné qui pourrait la corrompre. Vous avez deux jours."


Neleam accepta à regrets : il fallait anéantir ce cookie avant qu'il domine Gwendalavire. Elle donna une claque à Edwin pour le punir d'avoir insisté pour l'orgie de la veille. Elle ne devait pas répéter le mouvement de la main qu'Edwin était déjà au garde à vous, prêt à obéir à tous ses désirs ! Bien sûr, ce cher Frontalier étant maladroit, il se prit les pieds dans un pli du tapis et se rattrapa in extremis sur Neleam qui tomba honteusement. À plat ventre sur le sol et Edwin sur elle, la jeune femme éternua à cause de la poussière abondante au sol. Bien que patraque, elle se releva et sortit de cette chambre de malheur.

Au dehors, Sil'Afian les attendait en mangeant une sucette. Quand il vit Neleam, il s'élança en hurlant :

-Tuez Kiriiiiiieeeeeeeeeeel !

Justement, celui-ci arriva et alla rapidement se trouver un cheval pour fuir ce changement de situation. Sil'Afian, toujours avec sa sucette dans la bouche, construisit un lasso afin d'empêcher le traître de fuir.