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Trouver un camarde dès son arrivée, c'est compliqué.
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26.04.16 8:25
La jeune fille ouvrit les yeux. Les ferma. Les rouvrit.

Devant elle se trouvait un décors... Et bien, totalement différent de ce qu'elle aurai dut voir. Elle se trouvait, quelque secondes auparavant, enfonçant les clefs dans la serrure de la porte, et voilà qu'elle se trouvait dans une forêt! Et quelle forêt! Ce n'était pas une petite forêt qu'elle pouvait voir à Londres, comme la Epping Forest, mais une grande forêt, à la végétation danse et variée. Loin, au dessus des arbres, brillait un soleil éclatant, surement d’après-midi. Et elle avait chaud. Très chaud. Elle enleva une par une les couches qui recouvraient son corps, jusqu'à se trouver en simple débardeur avec un jean. Puis, elle commença à penser à s’inquiéter.

-Alexy? C'est encore une de tes stupides blagues que tu considèrent comme génial? , dit elle d'une voix angoissée


Son frère, le dénommé Alexy, était un farceur de 15 ans, pas spécialement mature, et il pourrait très bien avoir mit en place ce décors pour lui joué un tours. Mais tu es stupide, bien sur que non, il ne pourrait pas faire tout ça! Les odeurs, la chaleurs, les arbres... C'est strictement impossible pour un gamin de son âge! Bon, ok, c'était une idée débile. Mais alors, je suis ou? A la forêt de Baraïl. Pardon? Ou? A la forêt de Baraïl. Ahhhhhhhh, OK, J'avait pas comprit. Du coup je fais comment pour rentrer chez moi? Tu peux pas. Ok. Et, tu es qui? Je suis la part de toi qui sais ou tu es. D'accord, donc je suis ou? A la forêt de Baraïl Tu l'as déjà dis. Tu m'as poser le même question. Mais plus précisément, je suis ou? A Gwendalavir, dans un monde parallèle. Dis, tu te moque de moi? Non. Tu devrais courir, il y a un ours élastique derrière toi. La jeune fille se retourna. Une abominable bête, grande d'e beaucoup plus qu'un ours normal, se trouvait juste dans son dos, et semblait très prête à attaquer. Sans réfléchir plus de 1 minutes elle s'élança à travers les arbres de la forêt, sans prendre la peine d'éviter les brindilles qui fouettaient son visage et son corps. C'est un ours élastique. Ta gueule, tu l'as déjà dis! Je dois faire quoi? Courir. Mais encore? Courir plus vite. Il va te  rattraper.

La jeune fille redoubla la cadence. Elle nota dans un coin de sa tête qu'il faudrait qu'elle pense à remercier son entraîneur d'endurance, grâce à lui, elle allait peut-être avoir la vie sauve. Ce qui serai juste génial. Tu ne le reverras plus jamais. Pourquoi? Je suis bien arrivé ici, je ne peux pas repartir? Si tu pouvais repartir, tu l'aurais déjà fais. Tu ne serai pas pessimiste, toi? Non. Et dans tous les cas, ta situation est désespérée. Il va te rattraper et te bouffer.
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Stormer Nuva
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Stormer Nuva
Marchombre



26.04.16 21:26
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Stormer s'était levé tôt ce matin.

D'ailleurs plus tôt que son amie Splith, avec qui il voyageait. Voyant qu'elle ne se réveillerait que beaucoup plus tard dans la matinée, il avait mangé un morceau de viande de siffleur -très salée mais nourrissante- et lui avait écrit un mot qu'il avait fourré dans son poing. Au moins, il était sûr que ce papier ne s'envolerait pas au moindre souffle de vent.

Marchant dans la plaine et heureux face à ce paysage immobile, du moins en apparence, Stormer repensa à son écrit. Ce n'était là que formalité : le jeune homme était certain que même s'il ne l'avait pas alertée, son amie l'aurait retrouvé sans aucun problème. C'était juste que, Stormer eu presque une esquisse de sourire à cette pensée, Splith détestait quand il partait sans elle et sans prévenir, il supposait donc que le billet apaiserait sa fureur quand elle découvrirait son départ matinal.

Les cheveux au vent, le marchombre regardait le ciel. Il ne les avait pas noué pour accentuer encore plus ce sentiment de liberté qui l'emportait telle une vague dévastatrice. Sa démarche, caractéristique de bien des marchombres, ne créait aucun son, lui permettant d'écouter le vent à loisir.

Le jeune homme se mit à ressasser les événements qui l'amenaient à cet endroit précis.

- Splith, avait-il déclaré, le village où nous nous sommes arrêtés est tout près de la forêt de Baraïl. Je souhaiterai aller là-bas pour me ressourcer.

Dans l'auberge, le coude sur la table, Splith avait fait mine de ne pas comprendre.

- Tu sais bien que c'est là que j'ai perdu mon père. Et je voudrai aussi faire quelques affaires de marchombre.

Voyant que son amie faisait la moue, Stormer avait achevé de la convaincre.

- En chemin, il y aura peut-être des tigres des prairies puis dans la forêt des ours élastiques et je ne sais quelles autres bêtes! Tu auras l'occasion de t'entraîner!

Ils étaient donc partis pour la forêt de Baraïl.

Stormer y arriva lorsque le soleil commençait à dévier légèrement vers l'horizon.

Il choisit un arbre, l'escalada, et, une fois juché sur la plus haute branche pouvant supporter son poids, calqua sa respiration sur le souffle du vent.
Inspiration.
Expiration.
Inspiration. Paumes levées au ciel.
Expiration. Mains descendant lentement.
Inspi...

Le rugissement d'un ours élastique interrompit sa gestuelle marchombre.

Stormer descendit sur une branche plus basse silencieusement pour voir ce qui avait bien pu l'énerver. Il eu la surprise de découvrir une jeune femme ayant de longs cheveux blonds courir, poursuivie par ce même ours élastique.《Elle n'en a plus pour longtemps si je le laisse la poursuivre !》N'ayant pas l'âme d'un bourreau, le jeune homme décida d'intervenir. Après avoir vérifié brièvement que personne n'était susceptible de voir, Stormer lança de sa main gauche une pointe de glace grande comme un javelot qui alla directement sectionner un des bras de l'ours élastique. Celui-ci rugit de douleur et se tourna vers l'endroit d'où provenait l'objet de son mal. Le marchombre remonta dans l'arbre de façon à être plus haut que la tête de la bête et enfila ses griffes. Une fois l'ours assez près, il lui sauta dessus et lui coupa la tête. Le corps de la bête chuta et Stormer se dégagea immédiatement pour ne pas être écrasé.

- Pfou, souffla-t-il les mains sur les genoux.

Le marchombre sentit un liquide poisseux et regarda ses jambes, puis ses mains, et enfin son buste : il était recouvert de sang de la tête aux pieds! Soudain il entendit marcher derrière lui. Le jeune homme se retourna vivement et aperçu celle qu'il avait sauvé. Ses cheveux blonds étaient parsemés de feuilles et de brindilles tandis que le reste de son corps était couvert d'égratignures. La jeune femme avait l'air perdue et ses vêtements, étranges.

- Qui es-tu? lui demanda Stormer, les sourcils froncés et la toisant de son regard glacial.
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28.04.16 20:54
Splith se réveilla puis se leva rapidement pour ne pas retomber dans son sommeil. Elle se rendit compte que Stormer l'avait laissé toute seule et pourtant, il savait qu'elle détestait cela par dessus tout! Ah non, elle a encore plus horreur des Frontaliers... En pensant à ça, la jeune femme lâcha un grognement puis remarqua qu'elle avait un morceau de papier dans sa main. Elle le déplia et reconnu l'écriture de son compagnon, enfin... De son amour secret! Splith sortit de ses pensées pour lire le message. Il était donc partit dans la forêt de Baraïl! Elle pris ses affaires et se pressa de se mettre en route.

Splith traversa la vaste plaine parcemée d'herbes hautes menant à cette forêt et eu la mauvaise idée de repenser à son réveil :
- Stormer va passer un sal quart d'heure, marmonna la Frontalière. Il ne perd rien pour attendre!

Elle vit un ours élastique au loin,entre deux grands arbres. Il était assoupit, détendu et n'apercevait pas Splith. Elle en profita pour s'en approcha doucement puis lui sauta dessus la hache à la main pour s'entraîner. Elle répéta plusieurs fois cette action pour à peu près chaque cible qu'elle apercevait. Un certain temps plus tard, elle s'apprêtait à répéter cela pour la énième fois quand soudain elle s'aperçut qu'il était déjà mort.

- Qui m'a volé mon entraînement?! s'exclama-t-elle; elle savait bien que personne ne pouvait lui répondre -ou alors elle devenait folle- mais c'était son seul moyen de soulager la colère qu'elle avait amassé durant le début de sa journée.

Splith repris sa route, plus mécontente qu'au levé, et repris sa route en bougonnant des mots incompréhensibles. Elle traversait un sentier tracé par les personnes qui avaient emprunté le même chemin puis entendit deux voix. Bien sûr, elle reconnu tout de suite une des deux... Celle de son coéquipier! Furieuse et pressée de lui faire comprendre son mécontentement, elle s'approcha rapidement de Stormer, ne pris pas le temps de regarder son interlocutrice et lâcha :
- Stormer! Espèce de Raï dégarni sans cervelle! T'as intérêt à avoir une bonne excuse pour être parti sans moi!!!
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Idir Faragan
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Idir Faragan
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30.04.16 2:43
Lorsque je quitte mon lit ce matin là, le soleil venait à peine de se lever. Je n'aime pas les adieux. Alors je profite que la plupart des habitants dorment encore, pour quitter le village. Alors que je  traverse le couloir, je ne peux m’empêcher de marquer un arrêt devant la porte ouverte de ma sœur. Il observe cette silhouette qui se dessine sous d'épaisses couettes, on ne distingue réellement qu'une cascade de cheveux blonds Ces derniers jours elle a été clouée au lit par une mauvaise grippe. Sa santé ne s'était pas améliorée avec le temps. Elle était toujours aussi petite et frêle.  Même si ses parents m'assurent de ne pas m’inquiéter,  je ne peut m'en empêcher. Elle est la seule sœur qui me reste, alors que l'on était une joyeuse et nombreuse fratrie.. Dans un soupir je me détourne et descend lourdement les quelques escaliers qui séparent l'étage du rez de chaussé. Sans surprise je trouve ma mère, assise vers la fenêtre, observant le dehors. Depuis toujours, ma mère était la première debout, se souciant que chacun trouve un petit déjeuner en se levant. Mais à chacun   de mes départs, elle se trouvait là, l'attendant. Pendant un moment je me demandais si elle restait là toute la nuit, mais je me suis résigné à penser que son instinct de mère lui soufflait le moment   idéal où elle devra se lever pour ne pas rater son départ. Et puis comme toute mère, elle avait toujours cette crainte de voir son fils partir au loin. La vie peut être bien dangereuse. Elle avait perdu tant d'enfants...
Mère se tourne vers moi alors que je m'approche. Sans lui laisser le temps de se lever, je m'abaisse à sa hauteur, mettant un genou à terre. Il observe ce visage délicat attaqué par les années. Mais elle est toujours aussi belle avec ces cheveux blonds méchés d'argents. Dans un sourire doux, elle effleure son visage. Ses doigts longent ses cicatrices. Quand à moi je m’imprègne de cette douceur maternelle. J'aime me dire que j'en emporte une partie avec moi, alors que je pars au loin. Finalement, j'effleure son front de mes lèvres, et me redresse. En me dirigeant vers la porte, je récupère le sac posé sur la table massive du séjour. Je sais que lorsque je l'ouvrirai j'y trouverai de nombreuse de denrées pour son voyage, ainsi que quelques gourmandises. Kali a toujours su faire de bons gâteaux et autres pâtisseries.
Dehors je me dirige derrière la maison. Je retrouve Fable en train de paître tranquillement. Ma jument redresse sa tête en grande partie blanche vers moi, ronflant doucement. Elle sait que c'est l'heure du départ. Avec des gestes rendus mécaniques par l'habitude, je l'harnache à la carriole et la guide à la main jusqu'à l'extérieur du village.

On avait passé la journée sur les routes. Des cahots me secouent du haut de la carriole alors qu'on voyage sur une piste vaguement dessinée. Je sais que de nombreuses personnes me déconseillerai de passer si proche de le foret d'Ombreuse sans escorte, mais je ne craignais pas réellement les mauvaises rencontres. Après tous je suis un Thül. Je sais me battre et je n'hésite pas à le faire. Ma fidèle hache est posée à coté de moi, prête à être utilisée. Et j'ai de nombreuses armes en réserves sous la bâche derrière moi. Je sais aussi bien les utiliser que ma hache. Bon elles sont à vendre normalement mais bon. Dans une situation délicate, je ne m'attarde pas sur ce genre de détail. Mon regard dérive de la piste pour observer la croupe ronde de Fable. Je n'ai que peu de choses auxquelles je tiens vraiment : ma famille, ma hache, la pipe de Jan, la dague de Belik et Fable. J'avais trouvé cette jument de trait alors qu'elle n'était qu'une jeune jument. J'avais besoin d'un animal solide et j'avais été charmé par cette grande bête aux longues jambes avec une tête qui semblait trop grande et une courte crinière. Depuis ce jour elle m'accompagnait partout autant pour tirer la carriole que pour me servir de monture. Elle devenu aujourd'hui une grande jument aux jambes solides et épaisses qui se finissent par d'élégants fanons blancs.

Un cri animal me sort de mes pensées. Fable ralentit, redressant la tête alors que ses oreilles pivotent. Je la rassure d'un murmure, tous en tendant l'oreille. C'était un ours élastique. Assez dangereux si on croise leur chemin si on ne fait pas le poids. Mais celui-ci semble loin, mais il y a eu forcement quelque chose qui a attiré son attention. J'espère que ce n'était pas un voyageur imprudent...
Nous continuons encore quelques minutes avant que je vois une éclaircit d'arbres. Arrêtant Fable, je descend du véhicule. Ensemble, ma main sur sa bride, nous traversons l'herbe haute pour nous réfugier sous le couvert des arbres. Je ne préfère pas camper près de la route. Je trouve préférable d'être surpris par une bête plutôt que par les hommes. Je débarrasse ma jument de ses brides, et l'attache à un piquet que je plante au sol. Une seconde fois l'ours élastique se fait entendre. Le secondes passent. Il ne se manifeste pas de nouveau. Les grognements ont pris fin trop brutalement. Il est mort. Un instant je reste debout, observant juste les alentours quand un bruit attire mon attention. C'est un cri de colère Et celui-ci est bien humain. Ma jument confirme mon observation d'un long hennissement, la tête tourné vers les bois. Elle a toujours été curieuse.
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04.05.16 16:04
Alyss sentait sa fin approcher. Très rapide, la fin. Et elle avait pris la forme d'un grand ours, qui poussait des hurlements... Plus d'hurlement. Juste un bruit sourd de chute qui fait bien mal. Stupéfaite, elle se retourna, pour voir alors que la créature n'était désormais plus qu'un cadavre ensanglanter à qui il manquer une tête et un bras. Elle le regarda avec horreur, se demandant si ses membres manquants allaient repousser.Bien sur que non, c'est un ours élastique! D'accord. Donc il ne va pas ressusciter.Houlà, il est flippant! C'est pas faux. Heureusement qu'il est mort.Je parle du mec, juste derrière toi. Mais pourquoi toujours derrière moi! Ils ne peuvent pas se mettre devant moi! C'est incroyable!!

La jeune fille se retourna. Elle était dos au dit homme, qui se trouvait couvert de sang. Et si, pour la sauver, il s'était sacrifié! Ce serai horrible! Mais il tenait debout. Alyss s'approcha de lui. Il se retourna. Alors, en un instant, la jeune fille ressentit un coup à l'estomac. Violent, le coup. Il avait des cheveux blanc, et ses yeux... Incroyable yeux, d'une couleur bleu froid, qui semblait raconter une histoire criminel atroce...Si c'était un criminel, tu serai morte. Tiens, c'est peut-être un criminel. Il a tranché la tête de cette créature et son bras sans le moindre état d'âme! C'est vrai! Pauvre créature qui n'avait jamais rien fait de mal. Elle allait juste te bouffer, idiote!
Ce qui se passa dans la tête d'Alyss à ce moment là ne peut pas se décrire. Elle entendit la voix tranchante de l'homme, sans en comprendre le moindre mot:

- Qui es-tu?

Ses yeux la toisait durement, comme pour la juger du regard. Tout, en cet homme, était le contraire d'Alyss. Alors que chez elle tout était accueillant, en passant de ses cheveux à ses formes, l'homme dégageait une incroyable impression de froideur. Pourtant, elle se sentit irrésistiblement attiré par lui. Puis, son esprit mit la main sur la langue qu'il parlait. Le français! Elle avait pris l'habitude de parler français, et on pouvait dire sans lui jeter des fleures que ses compétences en cette langue était excellente.

Heu... On peut pas dire grand chose en réponse à qui es-tu, a part que je suis un être humain...

A mesure qu'elle parlait, avec son délicieux accent d'anglaise, elle se sentait bien plus rassuré, malgré le fait que son interlocuteur dégoulinait de sang.

Mais, si tu veux savoir mon nom, je me nomme Alyss.

Elle tenta un sourire, mais le visage taciturne de l'homme la découragea. Elle prit alors la tête qu'elle avait pris lors de crémation de sa grand mère et regarda ses pieds.
Soudain, une voix retentit derrière encore elle, encore en français.

- Stormer! Espèce de Raï dégarni sans cervelle! T'as intérêt à avoir une bonne excuse pour être parti sans moi!!!

Raï dégarni sans cervelle. C'est... Original... C'est une créature de ce monde. Ils sont immondes.

La jeune fille commença à s'énerver. Elle de vivre la peur de sa vie, il n'était pas le peine que des abruties lui filent un crise cardiaque en se faisant le plus flippant possible! Alors, sans pouvoir se contenir, elle cria de la voix la plus forte qu'elle pouvait.

-Mais merde, vous êtes obligé de me faire tous le plus peur possible! Arrêtez de venir par derrière! C'est dangereux, bandes de crétins des alpes! Si encore quelqu'un me surprend, je lui met la tannée de sa vie! Et quelqu'un peut-il me dire ce que je fous ici! Bordel!



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Stormer Nuva
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Stormer Nuva
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04.05.16 22:14
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Les mains sur les hanches et les jambes écartées, Stormer toisait la jeune femme. Celle-ci tressaillit à la vue du sang le recouvrant puis, reprenant le contrôle d'elle-même, eu l'air de réfléchir avant de répondre :

- Heu... On peut pas dire grand chose en réponse à qui es-tu, à part que je suis un être humain... Mais, si tu veux savoir mon nom, je me nomme Alyss.

Elle avait un drôle d'accent. Le marchombre releva un sourcil en le remarquant. D'où pouvait-elle bien venir ? Et comment une femme comme elle avait-elle pu se retrouver ici ?

Lorsqu'elle lui sourit d'un air niais, Stormer plissa les yeux, se demandant ce qu'elle voulait de lui. Mais, voyant que cela ne le faisait pas réagir, elle prit soudain un visage triste, perdu, et baissa les yeux au sol. Ce changement immédiat et inattendu de comportement eu le don d'exaspérer le jeune homme, qui n'avait de plus pas reçu de réponses à ses questions.

Il allait l'interroger sur certains points qu'il voulait éclaircir lorsque Splith surgit des fourrés et hurla à pleins poumons :

- Stormer! Espèce de Raï dégarni sans cervelle! T'as intérêt à avoir une bonne excuse pour être parti sans moi!!!


Le jeune homme en question soupira. Apparemment, son message n'avait nullement apaisé la colère de son amie qui, au contraire, était plus ardente et dévorante que jamais. Ses yeux se posèrent sur elle. Le visage de celle qu'il considérait comme sa sœur était fermé et ses yeux étincelaient de rage, mais il savait que cette petite altercation se réglerait rapidement. Ils ne voyageaient pas ensemble pour rien! Ils avaient de toute façon plus urgent à gérer. Comme par exemple cette inconnue qui semblait sur le point d'exploser :

- Mais merde, vous êtes obligé de me faire tous le plus peur possible! Arrêtez de venir par derrière ! C'est dangereux, bandes de crétins des alpes! Si encore quelqu'un me surprend, je lui mets la tannée de sa vie! Et quelqu'un peut-il me dire ce que je fous ici! Bordel!

Calmement, Stormer ôta les griffes de ses mains, se pencha, pris une poignée d'herbes et essuya ses armes avant de les accrocher à sa ceinture, tandis que les deux femmes criaient, hurlaient et fulminaient. Il n'avait pas aimé ce qu'avait dit Alyss, mais ne releva pas l'insulte pour ne pas empirer la situation qui était déjà... particulièrement mal partie. Il se décida à attendre quelques secondes avant de lever la main et de déclarer :

- Stop.

Alyss arrêta alors aussitôt de produire de bruyantes expressions dépressives et désespérées, mais Splith continua de vociférer: elle s'était faite à cette façon distante, froide et parfois autoritaire avec laquelle son ami avait l'habitude de parler. Le jeune homme se tourna donc vers sa compagne de voyage et planta un regard sincère dans ses yeux couleur océan, se préparant à hausser la voix.

- Splith, je m'excuse d'être parti sans toi. J'aurai dû t'attendre, tu as donc tout à fait le droit d'être en colère, mais vois-tu, j'avais envie d'être un peu seul. Tu sais qui je suis, après tout,  finit-il en faisant référence à sa nature de marchombre.

Tout était désormais silence car les deux jeunes femmes l'écoutaient attentivement. Il pivota vers l'inconnue, toute tremblante et qui paraissait fragile, tenant avec peine sur ses fines jambes élancées.

- Alyss, qui que tu sois et d'où tu viennes, je vois que tu es perdue et je ne peux pas te laisser comme ça. Splith, que tu l'accepte ou non, j'aimerais au moins la conduire au village le plus proche: on voit bien qu'elle ne sait pas se battre et ce serait du suicide pour elle que de rester seule ici!

Tandis que sa sœur de cœur lui répondait, Stormer entendit une respiration non loin d'eux. Il tourna vivement la tête et s'exclama, coupant la parole à Splith:

- Et si ce cher monsieur qui a l'air de nous écouter depuis un moment se présentait à nous?!

En effet, celui qu'il avait repéré était un homme... ou plutôt un Thül...
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07.05.16 17:50
- Stormer! Espèce de Raï dégarni sans cervelle! T'as intérêt à avoir une bonne excuse pour être parti sans moi!!!

Comme Splith s'y attendait, Stormer soupira assez bruyamment, histoire de faire comprendre à sa partenaire d'arrêter de crier. Une bombe explosa juste à côté d'eux : une jeune femme cria elle aussi après notre Frontalière. Le malheureux Stormer qui avait l'air complètement désespéré de ces deux cas fit un air glacial pour exprimer son mécontentement.

Splith cria sur l'inconnue :

- Toi, ferme ta gueule de goule! Je t'ai pas sonnée!

Pour répliquer, cette femme hurla quelque chose qui ne plut pas à Splith, qui la traita de Ts'lich sans pattes et de mentaï ne maîtrisant pas le dessin... Ce qui n'arrangea pas la conversation! Elles continuèrent à se disputer très bruyamment quand soudain, Stormer leur sortit :

- Stop.

En face de Splith, la femme s'était tue. Notre Frontalière qui était habituée au comportement de son coéquipier s'exclama :

- Pourquoi je devrais me taire?! Je n'ai d'ordres à recevoir de personne! Et on n'en a pas fini tous les deux!

Stormer la coupa, puis prit un air sérieux :

- Splith, je m'excuse d'être parti sans toi. J'aurai dû t'attendre, tu as donc tout à fait le droit d'être en colère, mais vois-tu, j'avais envie d'être un peu seul. Tu sais qui je suis, après tout.

Splith resta sans voix, déconcertée par sa tirade. Quand à elle, la jeune femme aussi écoutait attentivement. Désormais un silence planait autour d'eux. Stormer en profita pour se tourna vers l'inconnue, puis continua :

- Alyss, qui que tu sois et d'où tu viennes, je vois que tu es perdue et je ne peux pas te laisser comme ça. Splith, que tu l'accepte ou non, j'aimerais au moins la conduire au village le plus proche: on voit bien qu'elle ne sait pas se battre et ce serait du suicide pour elle que de rester seule ici!

Splith réfléchit un court instant à l'ordre de son confrère. Il lui imposait d'accompagner une inconnue, jusqu'à un village! Même si il était proche, ce serait un voyage de trop avec cette Alyss! Elle s'y opposa donc :

- Stormer! On ne peut pas débuter un voyage avec une inconnue, même un court!

Stormer l'avait coupé. Il semblait tout d'un coup concentré, puis il lâcha :

- Et si ce cher monsieur qui a l'air de nous écouter depuis un moment se présentait à nous?!

En effet, un homme de grande taille se trouvait derrière un arbre, mais quand on y faisait attention, il était assez repérable par sa forte musculature. Splith étant curieuse, elle se rapprocha de l'homme et le dévisagea silencieusement. Il avait l'air désemparé que la jeune femme le regarde fixement. Elle fini par dire :

- Stormer, tu connais ce clown? Il n'a pas l'air très malin, même pour un Thül!

Stormer fronça les sourcils et lui répondit que non, il ne connaissait pas cette personne. Le Thül était énervé à vue d’œil, mais ne répondit pas à la tirade provocatrice de Splith. Alyss, de son côté, avait l'air d'essayer de s'écarter comme pour dire "je ne la connais pas" ou pour s'enfuir de la possible dispute.
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Idir Faragan
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Idir Faragan
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15.05.16 14:33
Je suis resté un instant sans bougé, à tendre l'oreille. Il y a bien des gens un peu plus loin. Et si je me réfère aux bruits qu'ils font, ils n'ont pas l'air contents. Ce n'est peut être pas nécessaire que je m'approche plus. Je n'ai pas envie de me retrouver en plein milieu dans un conflit. En plus cette soirée promettait d'être tranquille. Fable remue la tête, puis me pousse le bras de son museau. On dirait qu'elle n'est pas de cette avis. Je la regarde alors qu'elle fait de même. Elle a toujours eu un regard expressif, elle n'est pas de ces simples chevaux de bat que l'on peut croiser sur la route. Je pousse un soupir, et lui gratte le front.

-Tu reste sagement là, d'accord ma grande.

Avec seules armes mes mains, je m'enfonce entre les arbres. Qu'est-ce qui me pousse réellement à aller à la rencontre de ces gens ? L'envie de faire de nouvelles rencontres ou la curiosité ou le fait que ma mère m'a inculpé quelques règles de politesse? je pense qu'il y a un peu de tout. Plus je m'avance, plus j'entends des insultes volées. Je souris. Les voix semblent bien féminines mais cela n'empêche pas que les insultes qui sortent de leur bouche sont bien colorées. J'ai toujours eu l'habitude de ne pas jurer en présence d'une dame. Mais on dirait que celles-ci ne semblent pas avoir besoin d'aide pour trouver des insultes. Je me stoppe au niveau d'un arbre. Chercher à me cacher derrière ne sert pas à grand chose : il faudrait que l'en trouve un pas trop maigre et de plus je n'ai pas cherché à être particulièrement discret quand je me déplace... Donc je reste juste là à observer ce qui se passe sous mes yeux.
Tous d'abord ce que je vois c'est l'ours élastique. Mort. Il n'est plus qu'une masse informe de fourrure, une effroyable plaie au niveau du cou où le sang s'est écoulé paresseusement sur le sol. Puis je remarque qu'ils sont trois. Un homme et deux femmes. Je fronce les sourcils quand je vois dans quel état le premier. Tous son corps est recouvert de sang. Cela est sûrement dû à l'ours... J'observe ses vêtements de cuir, sa peau pâle marbré de rouge et ses cheveux longs, blancs, qui tombent le long de son dos. J'ai croisé quelques marchombres lors des convois que j'accompagnais, et ce garçon donne la même impression.
Ils semblent tous avoir une vingtaine d'années. Mais la jeune femme au vêtements étranges semble plus jeune. Elle dégage une espèce de douceur ou d’innocence que l'on trouve chez de rares personnes. Même là la douceur est légèrement effacé par la colère qui enveloppe. Mais une espèce de détresse suinte des pores de sa peaux. Qu'est-ce qui a bien pu lui arriver ? Qu'est ce qui la relie à ce marchombre et cette femme guerrière.

-Stop.

L'homme n'a pas crié. Mais cela a suffit à stopper tous le monde. Il se tourne vers la seconde jeune femme armée d'une lourde arche à la ceinture.

- Splith, je m'excuse d'être parti sans toi. J'aurai dû t'attendre, tu as donc tout à fait le droit d'être en colère, mais vois-tu, j'avais envie d'être un peu seul. Tu sais qui je suis, après tout. Il se tourne vers la seconde jeune femme. Alyss, qui que tu sois et d'où tu viennes, je vois que tu es perdue et je ne peux pas te laisser comme ça. Splith, que tu l'accepte ou non, j'aimerais au moins la conduire au village le plus proche: on voit bien qu'elle ne sait pas se battre et ce serait du suicide pour elle que de rester seule ici!

Celle qui semblait être son amie, Splith, s'opposa à lui avec virulence. Elle semble bien caractériel celle ci... Et elle ne semble pas aimer les inconnus. Je pense que c'est plus de la méfiance mais quand on regarde l'autre fille au regard perdu de quoi on pourrait se méfier ? Mais la voix du jeune homme me ramène à la réalité :

- Et si ce cher monsieur qui a l'air de nous écouter depuis un moment se présentait à nous?!  

Ah, enfin ! Je me redresse de l'arbre sur lequel j'avais pris appuie avec mon épaule. J'avance tandis que la jeune femme armé fait de même. Elle se poste devant moi, et me fixe des ses yeux bleus. Puis sa voix s'élève :

- Stormer, tu connais ce clown? Il n'a pas l'air très malin, même pour un Thül!

Pardon ? Est-ce que j'ai bien entendu ? D'où est-ce qu'elle se permet de me parler comme cela ? Un clown ? Je croise mes bras sur mon torse, les poings fermés. Je lui en donnerai moi des clowns à cette sauterelle ! Je ne prête pas attention à la réponse de son ami, Stromer. Non, j'hésite à la gifler maintenant ou pas.. Ses parents ne lui ont pas appris de ne pas énerver les gens que l'on ne connaît pas. Parce que sinon je veux bien m'en charger. Finalement je quitte des yeux la fille pour les tourner vers le marchombre, toujours aussi impassible. Je tente de chasser la colère tandis que je prends la parole :

-Je me présente, Idir Faragan. J'étais en train d'établir mon camps un peu plus loin quand je vous ai entendu. Je peux vous proposer un repas et de l'eau pour vous débarbouiller, si vous le souhaitez. De plus il va bientôt faire nuit.Je me tourne vers la guerrière. Mais je ne force absolument personne... Mon attention se tourne de nouveau vers Stromer, désignant l'autre blonde du menton. De plus certain on eu l'air d'avoir une journée difficile.
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03.07.16 20:03
L'autre blonde, qui semblait tenir à l'homme aux cheveux blanc, protesta vivement quand celui-ci lui dit de se taire. De toutes les forces qui lui restaient dans son corps, elle essaya de lui envoyer un message mentale.Mais écoute le, écoute le et fermes la! Ta voix criarde résonne dans mes oreilles et j'en ai marre, mais marre...Malheureusement, ça ne marcha pas. Néanmoins, le prénommé Stormer reprit son dialogue, et enfin elle se tut.

- Splith, je m'excuse d'être parti sans toi. J'aurai dû t'attendre, tu as donc tout à fait le droit d'être en colère, mais vois-tu, j'avais envie d'être un peu seul. Tu sais qui je suis, après tout.

Alyss ne chercha pas a comprendre. Un peu comme d'habitude, quoi. T'étais pas obliger de te la ramener, présentement.
Stormer continua.

- Alyss, qui que tu sois et d'où tu viennes, je vois que tu es perdue et je ne peux pas te laisser comme ça. Splith, que tu l'accepte ou non, j'aimerais au moins la conduire au village le plus proche: on voit bien qu'elle ne sait pas se battre et ce serait du suicide pour elle que de rester seule ici!

A ce moment, Alyss commença à se dire que l'homme faisait autant marque de politesse envers elle que son frère envers son prof de techno. Qui n'avait aucune autorité, évidemment. Ne sait pas ce battre, c'est pas quelque chose a dire devant quelqu'un. Sauf si on veux l'emmer*** jusqu'au bout, ce qui ne semblait pas être le but du jeune homme. En même temps, je veux dire, tu ne sais pas se battre....Ferme la, veux-tu.
De nouveau, la certaine splith (qu'elle non étrange...) recommença a protester. Ca devait être dans ces gênes, et, en tout cas, elle le faisait très bien.

- Et si ce cher monsieur qui a l'air de nous écouter depuis un moment se présentait à nous?!


Un homme grand s'avança. Il ne dit rien, mais Splith se planta quand même devant lui avant de lui lacher deux ou trois paroles bien senties mais pas mériter.

- Stormer, tu connais ce clown? Il n'a pas l'air très malin, même pour un Thül!

Elle non plus n'avait jamais appris les règles de base de la politesse. L'homme, grand, très grand, ne réagit pas malgré la colère qui modifia un instant l'expression de son visage. Au lieu de lui dire de se la fermer et lui passer un savon dans les règles il se présenta.

-Je me présente, Idir Faragan. J'étais en train d'établir mon camps un peu plus loin quand je vous ai entendu. Je peux vous proposer un repas et de l'eau pour vous débarbouiller, si vous le souhaitez. De plus il va bientôt faire nuit. Mais je ne force absolument personne... De plus certain on eu l'air d'avoir une journée difficile.

Alyss ne réflechit pas trop longtemps. Directement après que les paroles d'Idir eurent pénétrer son esprit, elle sortit:

-Yes, of course! Enfin, pardon. Oui, bien sur! Mais vous savez comment aller... Ailleur? Je veux dire... C'est dans un autre monde, et j'y était il y a quelque minutes, puis je me suis retrouvé ici... Vous savez comment je peux y retourner?
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Stormer Nuva
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Marchombre



08.07.16 15:11
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Splith... À peine arrivée et elle insultait un Thül sans autre raison que de le voir désemparé! Si Stormer ne la connaissait pas personnellement, il aurait sûrement cru qu'elle se moquait de lui. Patiemment, lorsqu'elle lui demanda s'il connaissait cette personne -question pour le moins curieuse car Splith était bien plus familière avec les Thüls que lui- l'homme aux cheveux blancs secoua légèrement la tête d'un air négatif.

- Je me présente, Idir Faragan, déclara le Thül, ignorant le commentaire de la sœur de cœur de Stormer. J'étais en train d'établir mon camps un peu plus loin quand je vous ai entendus. Je peux vous proposer un repas et de l'eau pour vous débarbouiller, si vous le souhaitez. De plus il va bientôt faire nuit.

Bien qu'il cache habilement son énervement, le Marchombre discerna sans mal sa colère. Ses bras étaient croisés et ses poings, fermés. Sa respiration saccadée en disait long, elle aussi. Et bien... L'ex-Frontalière l'avait bien énervé : elle était parfois un peu trop franche. Idir se tourna d'ailleurs vers Splith et lâcha :

- Mais je ne force absolument personne...

Puis il pivota vers l'homme aux yeux bleus glace et, tout en montrant Alyss d'un signe du menton, poursuivit :

- De plus certain on eu l'air d'avoir une journée difficile.

En effet, surtout si on se fait poursuivre par un ours élastique...

- Yes, of course! s'exclama Alyss, semblant soulagée de cette proposition.

Pardon? Que venait-elle de dire? Yèsse offe course? Stormer releva un sourcil, signifiant par là son incompréhension. C'était comme si elle parlait une autre langue. Décidément, cette jeune femme devait avoir beaucoup de choses à raconter! Voyant le désappointement de ceux qui l'entouraient, elle se corrigea.

- Enfin, pardon. Oui, bien sur! Mais vous savez comment aller... Ailleurs? Je veux dire...

Alyss semblait peiner à s'expliquer. Stormer se demanda brièvement quelle en était la cause.

- C'est dans un autre monde, et j'y étais il y a quelques minutes, puis je me suis retrouvée ici... Vous savez comment je peux y retourner?

Ses propos étant confus, l'homme aux cheveux blancs s'adressa au Thül après avoir observé que le soir tombait :

- Quand à moi, je pense que tout cela mérite une explication claire et précise autour d'un repas et d'un feu. Je te remercie donc pour ta proposition que j'accepte. Mais...

Il jeta un coup d'oeil à ses vêtements et compléta :

- Je vais d'abord me laver pour enlever tout ce sang. J'ai repéré un point d'eau près d'ici. J'y vais de ce pas et je vous rejoins ensuite.

Il fit quelques pas en direction dudit point d'eau, et, passant près de Splith, il lui chuchota :

- Au fait, ce Thül n'est pas aussi idiot que tu semble le croire. Je suis sûre que tu pourrais bien t'entendre avec lui...

Il n'attendit pas qu'elle lui réponde et poursuivit sa route. Lorsqu'il arriva à l'endroit prévu, il se défit de ses vêtements et plongea nu dans l'eau claire. Elle était glaciale, mais revigorante. Stormer prit ses vêtements et les nettoya. Heureusement, le sang n'était que sur la surface du cuir et le Marchombre n'eut pas à tremper entièrement ses habits pour qu'ils puissent être propres. Tandis qu'il s'efforçait d'enlever ce liquide rouge de ses cheveux originellement blancs, il aperçut brièvement son reflet sur la surface de l'eau. C'était celui d'un homme à la peau pâle et aux muscles développés ayant de nombreux hématomes sur quasiment tout le corps. Il haussa les épaules. Après tout, qu'était l'apparence sinon le fruit du regard ?
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23.07.16 16:30
Le Thül semblait énervé. Splith vit qu’il essayait de se calmer, puis après un court instant, il se tourna vers le marchombre et se présenta :

- Je me présente, Idir Faragan. J'étais en train d'établir mon camp un peu plus loin quand je vous ai entendu. Je peux vous proposer un repas et de l'eau pour vous débarbouiller, si vous le souhaitez. De plus il va bientôt faire nuit. Mais je ne force absolument personne... De plus certain ont eu l'air d'avoir une journée difficile.

En effet, Splith n’avait aucune envie de voyager avec ce Idir et encore moins de se taper l’autre fille plus lui. Elle pensa : « Et puis quoi encore, je ne vais pas être obligée de camper avec ce mec ! De plus, on vient tout juste de se rencontrer!!! »

La Frontalière reconnu la voix d’Alyss :

- Yes, of course! Enfin, pardon. Oui, bien sûr! Mais vous savez comment aller... Ailleurs? Je veux dire... C'est dans un autre monde, et j'y étais il y a quelques minutes, puis je me suis retrouvée ici... Vous savez comment je peux y retourner?

Dans sa tête, Splith s’exclama :  « Quoi ??? Qu’est-ce qu’elle vient de dire ?! » Se sentant un peu perdue, elle regarda furtivement autour d’elle pour voir si elle était la seule à ne pas comprendre… Ouf ! Vue l’expression de Stormer, ce n’était en effet pas leur langue...

Le confrère de Splith expliqua donc qu’ils parleraient des propos d’Alyss plus tard, autour d’un repas et d’un feu. Au grand désarroi de la jeune femme, Stormer accepta la proposition du Thül. Là, Splith préféra garder le silence ; son compagnon, après avoir jeté un coup d’œil sur ses vêtements compléta :

- Je vais d'abord me laver pour enlever tout ce sang. J'ai repéré un point d'eau près d'ici. J'y vais de ce pas et je vous rejoins ensuite.

Il passa devant Splith en ajoutant à voix basse :

- Au fait, ce Thül n'est pas aussi idiot que tu sembles le croire. Je suis sûre que tu pourrais bien t'entendre avec lui...

La Frontalière lui répondit au même ton :

- Je veut bien essayer, mais c'est bien parce que c'est toi...
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Idir Faragan
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25.08.16 21:59
-Yes, of course! Enfin, pardon. Oui, bien sur! Mais vous savez comment aller... Ailleur? Je veux dire... C'est dans un autre monde, et j'y était il y a quelque minutes, puis je me suis retrouvé ici... Vous savez comment je peux y retourner?

Je fronce des sourcils et tourne complètement la tête vers la jeune fille. Je n'ai absolument pas compris la première partie de sa phrase. Je sais que différentes langues existent sur Gwendalavir, mais je n'ai absolument jamais entendu celle-ci. Malgré ses propos confus, ceux-ci font écho à des conversations passées.
C'était avant la Grand Bataille, nous attendions les ordres mes frères et moi, ainsi que quelques uns de mes camarades. Tandis que Belik fumé la pipe, lui et son second frère écoutaient avec attention les dires d'un Thül assis face à eux. Il expliquait ce qui allait se passer et pourquoi. Et il avait parlé de cette jeune femme qui était étrangère à ce monde. Blonde, aux yeux violets. Sa quête qui a sauvé l'Empire, ainsi que les personnes qui l'entouraient, devenant de plus en plus célèbres. Cette petite blonde serait-elle aussi une étrangère à ce monde ?  

- Quand à moi, je pense que tout cela mérite une explication claire et précise autour d'un repas et d'un feu. Je te remercie donc pour ta proposition que j'accepte. Mais... Il jette un coup d'oeil à ses vêtements sanglants.Je vais d'abord me laver pour enlever tout ce sang. J'ai repéré un point d'eau près d'ici. J'y vais de ce pas et je vous rejoins ensuite.

Je le suis quelques secondes du regard, j'ai le temps de le voir se pencher vers son amie pour lui chuchoter quelque chose. Je détourne la tête. Ce sont leur affaire. Je dirige mon attention vers celle qui se fait appeler Alyss.

-On y va ?

Sans accorder une parole à Splith, je peux être un peu rancunier quand je le veux.Je me mets en marche. Il ne faut pas longtemps pour arriver au campement. Fable nous accueille par un ronflement en secouant son encolure. Tous en faisant un geste du bras j'invite mes invitées, si on peut dire cela, à s'asseoir autour du futur foyer, où s'entasse déjà le nécessaire. Dans le chariot je récupère le sac que m'a donné ma mère. Je l'observe un instant avec une moue. J'avais pensé profiter pleinement de cette nourriture que je sais, délicieuse. Mais bon, même si je n'avais pas prévu passer une soirée avec des invités, je ne suis pas du genre égoïste. Tous en retournant vers les jeunes femmes, je fouille à l'intérieur. Sans problème je trouve un cake préalablement coupé, du fromage et du pain, le tous enveloppé dans du tissu. Je tend tous ceci à la plus jeune, ainsi qu'un couteau pliant.  :

-Sers toi et fais passer.

Après m'être éloigné de quelques pas je m'accroupis vers le foyer. En quelques gestes vifs et habitués, des étincelles volent sur les brindilles. Je me penche en avant, souffle en douceur donnant vie aux flammes. Après l'ajout de quelques branches, le feu a gagné en vigueur et repousse un peu l'obscurité qui s'est installée autour de nous. J'observe une dernière fois autour du camps. Le marchombre est revenu, et bien sur je ne l'ai pas entendu. Rien ne semble errer dans les environs donc je peux me permettre d'accorder de l'attention à mes nouvelles connaissances. Je m'assois sur le sol en soupirant, et enfin installé je me tourne vers la jeune fille.

-Alors, Alyss, explique nous calmement ce qui t'es arrivé.
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25.08.16 22:54
Immediatement après avvoir parler, la jeune fille se mordit les lèvres. Personne ne devait avoir comprit. Et surtout, qu'est ce qui lui avait prit de parler Anglais? Au début, elle c'était mise à parler français dans l'afolement. Après, lorqu'elle avait entendu tous ses gens parler français, elle avait continuer e avait finit pas ne plus y penser. Et là, surement sous l'effet du soulagement, elleavait parlait sa langue natale. Cétait pas grave, du temps qu'elle ne recommencer pas. Petit problème. Elle ne maitrisait pas le français à la perfection. A un moment ou un autre, elle allait devoir parler Angais. Il fallait qu'elle s'explique avant.

- Quand à moi, je pense que tout cela mérite une explication claire et précise autour d'un repas et d'un feu. Je te remercie donc pour ta proposition que j'accepte. Mais...   Ho, non... Pourquoi faut-il toujours qu'il y ai un "mais". Les "Mais" n'anonçait jamais rien de bon. Tu es toujours aussi pessimiste? Ouai, mais non, en fait. Ferme là...

-Je vais d'abord me laver pour enlever tout ce sang. J'ai repéré un point d'eau près d'ici. J'y vais de ce pas et je vous rejoins ensuite.

Très bien. Du temps qu'il les rejoignait. San la moindre explication logique, elle se sentait bien, avec cette homme. Tranquille, paisible... En sécurité, peut-être parce qu'il l'avait sauver d'un... Quoi, déjà? Un ours elastic. Merci. D'un ours elastic. La jeune fille lui lança un charmant sourire, avant de le voir se pencher à sa compagne pour lui parler à voix basse. Immediatement, une moue dedaigneuse s'afficha sur son visage; l'avantage d'avoir était élevée par une famille riche était que, à force de voir les parents faire des moues dedaigneuse envers les personnes qu'ils meprisaient, on savait les reproduire à la perfection

-On y va?

C'était l'homme qui restait qui avait parler. Habituellement, bien qu'elle fase facilement confiance aux gens, elle n'aurai pas accepter. Mais là, elle se trouvait dans un monde parallèle, et elle devait admètre qu'elle était perdue, et pas qu'un peu. Après avoir sortit son portable et son prteffeuille de ses poches arrières pour s'assurer qu'ils étaient toujours là, elle fit un petit ochement de tête en direction de l'homme. Elle se sentait incapable de parler.

Ils marchèrent deux minutes jusqu'au campement de l'homme. Celui-ci, après avoir fouiller dans son sac, en sortit un cake qu'il lui donna. Il lui dit de se servir, et de le faire passer aux autres. Puis, il la questionna sur ce qu'ils voulaient surement savoir tous. Des explications.

Well... Comme vous le savez déjà, mon nom est Alyss. A écrire A-L-Y-S-S, et pas de commentaire s'il vous plais. Je suis née à Londres, mais je suis à moitié française, sinon je n'aurai pas pus vous parler. Tout à l'heure, j'ai fallit percuter quelqu'un. Un ecrivain. Il m'a décrit son histoire, son monde parallèle, et maintenant j'y suis. Je n'e connais pas le moin du monde mes vaccins, sauf celui contre le Tetanos, ni mon groupe sanguin, donc ne me les demandaient pas. Voilà, c'est tout.



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Stormer Nuva
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26.08.16 15:40
https://ewilan.forumactif.fr/t3127-souvenirs-de-stormer-glacon-a
Séché le plus rapidement possible, Stormer n'eut aucun mal à retracer le chemin de ses compagnons. Il les retrouva autour d'un feu que le Thül s'employait à allumer, près d'un cheval et d'un chariot. Ceux-ci, en bordure du campement, appartenaient à Idir, sans aucun doute. Quant aux deux jeunes femmes, elles mangeaient de la nourriture offerte par leur hôte. À la vue de la moue appréciative de Splith, elle semblait délicieuse. Enfin, après sa rapide inspection des lieux, le Marchombre vint s'asseoir à une autre extrémité du feu. Placé de cette façon, il avait Idir en face de lui, Splith à sa droite et Alyss à sa gauche.

Une fois avoir jugé son feu satisfaisant, le Thül se releva et balaya les alentours du regard. Apparemment, il n'avait pas entendu l'homme aux cheveux blancs arriver car ses yeux s'attardèrent sur lui. Idir s'asseya ensuite en soupirant puis se tourna vers l'étrange jeune femme.

-Alors, Alyss, explique-nous calmement ce qui t'est arrivée.

- Well... Comme vous le savez déjà, mon nom est Alyss. À écrire A-L-Y-S-S, et pas de commentaires s'il vous plaît.

Cette remarque fit hausser un sourcil du Marchombre. Pourquoi ferait-il un commentaire ? À part son écriture originale, il était on ne peut plus basique...

- Je suis née à Londres, continua-t-elle, mais je suis à moitié française, sinon je n'aurai pas pu vous parler. Tout à l'heure, j'ai falli percuter quelqu'un. Un écrivain. Il m'a décrit son histoire, son monde parallèle, et maintenant j'y suis. Je ne connais pas le moins du monde mes vaccins, sauf celui contre le Tetanos, ni mon groupe sanguin, donc ne me les demandez pas. Voilà, c'est tout.

Un silence d'incompréhension suivit la fin de son discours. Ce fut Stormer, ayant deviné la raison de l'air perdu de l'anglaise, qui décida de le rompre :

- Et bien... Je n'ai pas compris tout ce que tu viens de nous dire, mais il y a au moins une chose que je sais : tu viens de l'autre monde. La Terre, n'est-ce pas ?

Elle acquiesça et le Marchombre reprit :

- Après, il n'y a pas des dizaines de façons de se rendre à Gwendalavire, soit tu as dû être en contact avec une voyageuse, soit tu es une Dessinatrice et tu as fait un grand pas.

Voyant qu'elle n'avait absolument pas compris ce qu'il venait de dire, l'homme aux cheveux blancs laissa échapper un soupir puis expliqua ce qu'il venait de dire.

- Les voyageuses ont l'apparence de billes, de perles. Je ne peux pas te les décrire en détail car je n'en ai jamais vu.

Il se tourna vers Splith et Idir, mais ils lui répondirent eux aussi négativement.

- Bref, pour faire simple, ces voyageuses te permettent d'aller à l'endroit que tu visualises en les tenant. Pour les grands pas... Je pense que Splith pourras t'expliquer mieux que moi, étant donné que je ne suis pas un Dessinateur.

Ceci dit, il orienta son regard vers sa soeur de coeur, se demandant si elle allait bien vouloir aider la terrienne.
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27.08.16 14:30
Pendant que Stormer partait laver ses vêtements, le Thül s’adressa à Alyss :

- On y va ?

Splith croisa les bras et commenta en son for intérieur : « Entre nous, c’est lui qui cherche la guerre, maintenant… » Bref, Idir guida les filles à son campement. Voyant qu’il était assez proche de leur lieu de rencontre, la Frontalière ne put se retenir de commenter à haute voix :

- Eh bien, on peut dire que tu avais bien choisi ta place pour nous espionner !

Mais visiblement, Idir n’entendit pas (ou fit semblant de ne pas entendre)… La jeune femme, vexée, lui fit une moue dédaigneuse. Il était apparemment trop occupé à fouiller son sac. Tout de même il les invita à s’installer autour de son futur feu. De son sac, il sortit un cake au préalable coupé en tranches qu’il passa à Alyss. Une fois celle-ci servie, elle passa la nourriture à Splith. Elle prit une part de ce fameux gâteau et le trouva délicieux. Elle pensa tout de suite qu’elle pourrait rapidement lui pardonner avec des plats de ce genre… Stormer arriva, s’assit en silence pendant qu’Idir allumait son feu. Une fois qu’il l’eu jugé assez fort, il commença par questionner la voyageuse :

- Alors, Alyss, explique-nous calmement ce qui t'est arrivée.

L’intéressée commença son monologue par un mot que Splith n’avait jamais entendu :

- Well... Comme vous le savez déjà, mon nom est Alyss. À écrire A-L-Y-S-S, et pas de commentaires s'il vous plaît. Je suis née à Londres, mais je suis à moitié française, sinon je n'aurai pas pu vous parler. Tout à l'heure, j'ai falli percuter quelqu'un. Un écrivain. Il m'a décrit son histoire, son monde parallèle, et maintenant j'y suis. Je ne connais pas le moins du monde mes vaccins, sauf celui contre le Tetanos, ni mon groupe sanguin, donc ne me les demandez pas. Voilà, c'est tout.

Au fond d’elle, la Frontalière se demanda pourquoi elle parlait de groupe sanguin ou de vaccins. Elle préféra  ne rien dire pour ne pas faire débuter un autre discours inutile. Un blanc se fit entendre au campement. Stormer décida de le briser :

- Et bien... Je n'ai pas compris tout ce que tu viens de nous dire, mais il y a au moins une chose que je sais : tu viens de l'autre monde. La Terre, n'est-ce pas ?

Alyss répondit par un hochement de la tête puis le jeune homme continua :

- Après, il n'y a pas des dizaines de façons de se rendre à Gwendalavire, soit tu as dû être en contact avec une voyageuse, soit tu es une Dessinatrice et tu as fait un grand pas.

Stormer, voyant que la jeune fille ne comprenait pas, expliqua que les voyageuse étaient sans doute des sortes de billes. Splith et Idir lui dirent qu’eux non plus n’en avaient jamais vu. Le comparse de la jeune femme finit par annoncer :

- Bref, pour faire simple, ces voyageuses te permettent d'aller à l'endroit que tu visualises en les tenant. Pour les grands pas... Je pense que Splith pourras t'expliquer mieux que moi, étant donné que je ne suis pas un Dessinateur.

Il se tourna vers l’intéressée et, vu son regard insistant, voulait qu’elle lui explique. Splith essaya donc de se souvenir de son unique expérience d’un pas sur le côté.

- Je n’ai jamais fait de grand pas mais un seul pas sur le côté. J’imagine que ça doit être à peu près la même chose… En gros, dessine dans ta tête l’endroit où tu voudrais te rendre et… Tu t’y retrouve, tout simplement !

Alyss semblait ne pas avoir très bien compris  l’explication peu précise de la Frontalière donc celle-ci essaya de vulgariser un minimum… mais c’était sans succès.
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