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Etrange matinée...[Garrus/Izaac]
Garrus Auraya
Masculin
Âge : 26
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 603
Date d'inscription : 25/07/2011

Mon personnage
Sexe et âge: Homme - La trentaine
Aptitudes: Maître de la lame, maître du combat à mains nues, compétent au lancer de couteaux, compétent à l'arc, compétent au combat à deux lames, compétent en toutes disciplines d'agilité et de discrétion, peu efficace au combat à l'arme lourde.
Garrus Auraya
Chevalier__Membre



31.07.11 19:47
Il faisait froid. Très froid. Les vêtements habituels du faël ne le protégeaient suffisamment du vent glacé qui le piquait, et parcourait tout son être. Le dessinateur au sol, qui par ailleurs, ronflait, n'avait pas l'air de s'en soucier. Que faisait un faël et un dessinateur devant ces montagnes... ?

C'était un soir, à Al-Jeit. L'air était lourd de chaleur, et les rues encore grouillantes malgré l'heure tardive. Il en allait de même pour les boutiques et échoppes, telles que les tavernes. C'est dans l'une de ces tavernes que l'histoire débute.
Celle où le faël s'était rendu se nommait " L'abracadabrante boisson ". Il désirait tout d'abord s'asseoir dans un endroit calme, car le surplus de population le fatiguait au plus haut point, et, de surcroit, un ami lui avait parlé de cette taverne qui portait bien son nom, car la boisson en question était un alcool très puissant fait manuellement par le tavernier, et que l'ami en question disait avoir vécu une superbe expérience en buvant ce brevage. Donc, imaginez vous à la place du jeune Garrus, qui souhaitait se reposer un peu, et qui comme par miracle s'était retrouvé devant cet établissement. Il prit ceci comme un clin d'oeil des dieux.
Ainsi, il s'installa au fond de la salle, qui étrangement, était peu peuplée. Par la fenêtre, il observa des heures durant les formes impressionnantes de la cité, et regardait la descente du soleil dans le ciel. Plus tard, il commanda la boisson " abracadabrante ".
Les effets furent longs à venir. Il eut le temps de sortir de la pièce, car il commençait à s'ennuyer ferme.
Dans la nuit, il se dirigeait vers l'auberge où il avait l'habitude de loger, quand il tomba nez à nez, au coin d'une ruelle, avec un homme en robe, typique des dessinateurs de l'académie d'Al-Jeit. C'est à ce moment que la boisson " s'activa ". Il eut d'abord une perception différente des couleurs, puis, chaque son devenait une douce mélopée... Puis, perdant son équilibre, il vacilla, et tomba presque sur le dessinateur. L'homme devant lui, guère dans un meilleur état que le faël, choisit hélas ce moment pour s'emmêler les pieds et tomber aussi. S'accrochant au bras du faël dans une tentative désespérée, il lâcha un petit cri, avant d'effectuer un pas sur le côté.

Il faisait froid. Et cet imbécile de magicien dormait paisiblement sur une épaisse couche de glace, pendant que le faël se relevait en grelottant. Heureusement pour lui, il avait conservé son arc, son coutelas d'acier flambant neuf, et son carquois.
Oui, il pouvait remercier le ciel, car un vacarme se fit rapidement entendre. Ainsi qu'un panorama d'odeurs nauséabondes.
Les guerriers cochons qui débarquaient. Ils étaient à environ 100 pieds de Garrus. Lorsqu'il furent à portée de flèche. Il se saisit de son arc, et les décima, bien que difficilement, les effets de l'alcool commençaient à se dissiper, mais étaient toutefois présents... La troupe de raïs devait être une troupe de bas grade, si seulement ils y avait une hiérarchie chez ces animaux armés. Ils étaient armés d'armes de toute taille, et étaient organisés très maladroitement, et ne pouvaient donc pas profiter de l'avantage du nombre sur le jeune faël.
Il lâcha le premier trait de mort. Il toucha l'oeil gauche de l'un des pseudo guerrier, et ce dernier s'effondra. L'effet fut instantané, car les autres attaquants s'arrêtèrent un instant, et le jeune homme le mit à profit pour armer trois flèches. La masse de raïs était telle qu'il suffisait de tirer dans le tas. Néanmoins, il veillait à ne pas gaspiller de flèches, celles-ci étant ses meilleures armes. Il lâcha donc la corde, laissant ainsi partir les trois ombres mouvantes dans l'air. La première atteignit la tête d'un des guerriers cochons. La deuxième passa au travers de la trachée d'un lancier cochon. La dernière perça la ventre d'un autre, qui s'étala au sol, agonisant.
La horde, assoiffée de sang, chargea, plus avide de sang que jamais. Il réussit par ailleurs à en stopper une bonne moitié, sans jamais gaspiller une flèche. Le reste était désorganisé, il fit sauter la garde de l'un tout en parant la hache d'un autre, et esquivant l'épée d'un autre encore. Sa danse de la mort fut rapide et efficace. Plus un seul semi cochon n'était debout. Il se dirigea vers les corps pour récupérer ses flèches...
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31.07.11 23:31
Izaac entendit le bruit caractèristique des raïs, il sapprocha doucement. Il ecarta les feuillage et vit un faël a l'air paule entrain de les abattre. Un peu facile constata-t-il. Pas étonnant, les guerriers-cochon sont saoul. D'ailleurs les effets d'une boisson se dissipe sur le faël et très certainement sur l'homme qui dort a ces pieds. Il sortit des buissons en disant qu'il était frontalier et qu'il ne craignait rien. Il dit aussi ceci :

-que fait-tu ici, et que fait ce dessinateur bourré a tes pieds ?

Izaac leva la tête, le soleil se couchait, ll fallait d'abord préparer un campement, on verrait le reste après. Il se tourna de nouveau vers le faël. Et annonça :

-viens suis moi, je connais une clairière aBritée du vent. La-bas nous installerons un camp.

Izaac pris l'homme sur ses épaules et se dirigea vers l'endroit prévu. Il marchèrent un bon quart-d'heure puis Izaac s'arrêta au milieu d'une clairière, le vent ne soufflait pas ici. Il deposa l'homme et dit :

-occupe toi du feu pendant que j'installe de quoi faire un "lit".

Ils se mirent au travaillent et Izaac entreprit de faire trois lit de mousse avec des feuilles mortes, il y installa dans un l'homme et distribua les couvertures. Le foyer entouré de pierre etait entre Izaac et le faël.

-comment te nomme tu, jeune faël ? Et que fait tu ici avec cet homme ?
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Garrus Auraya
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Garrus Auraya
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01.08.11 23:08
Lorsqu'il eut décimé la meute informe que formaient les guerriers cochons, un frontalier - d'après ses dires - fit son apparition. A peine eut-il le temps de ramasser ses flèches que l'homme l'assaillait de questions. Le cerveau encore embrumé, il ne répondit que de vagues grommellements... Le soldat semblait savoir beaucoup de choses sur sa situation. Le dessinateur au sol ne semblait pas ivre, même s'il fallait avoir atteint un certain stade de folie pour dormir sur du givre.
Le frontalier lui proposa, ou plutôt lui ordonna puisqu'il s'en alla aussitôt, d'aller s'abriter dans une clairière à l'épreuve du vent. Il le suivit, bien qu'assez anxieux quant aux motivations de l'homme devant lui... Il était tellement plus simple de se rendre à la forteresse des frontaliers, et tellement plus sûr. Mais cet homme l'emmenait il ne savait où, soi disant à l'abri. Garrus supposait d'être un peu paranoïaque, mais il décida de rester méfiant, sait-on jamais.

Arrivé au lieu dit, il s'avéra que le vent ne soufflait effectivement plus.


-Occupe toi du feu pendant que j'installe de quoi faire un "lit".


Il assembla des morceaux de bois, en fit un tas, et par un simple dessin, à la portée d'à peu près n'importe quel Alavirien lambda, il fit flamber les brindilles et morceaux de bois plus consistants.
Le surhomme, si on peut le nommer ainsi, le questionna :


-Comment te nomme tu, jeune faël ? Et que fait tu ici avec cet homme ?


Il répondit, néanmoins sans parvenir à masquer la méfiance dans sa voix :

- Mon nom importe peu...
Je peux toutefois l'expliquer comment je me suis retrouvé ici en présence de ce pauvre homme...

Il entama le récit, en commençant par la balade dans les rues de la capitale, puis finissant par la rencontre inattendue avec le dessinateur.

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