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Un entrainement plutôt...matinal [ Vil, Dohrian et Siobane ]
Tsukiyomi Ayame
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Tsukiyomi Ayame
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26.01.12 23:02
Le jour était a peine levé que déja j'arpentais les couloirs de la citadelle. Étant encore légerement endormie, je tentais de retrouver siobane. Nous étions plusieurs apprenti(e)s a avoir la chef des mercenaires comme maitre mais ce matin, ceux qu'elle voulait voir c'était Siobane et Moi. Ce matin j'étais a peine réveillée qu'un ordre de viladra me fit sortir du lit. Biensur je devais me dépecher pour ne pas etre en retard. Le hic : Siobane était totalement introuvable.Sa commencait bien sa ! Je vais l'étouffer si elle ne pointe pas le bout de son nez bientot. Apres avoir poussé un soupir, je passa ma main dans mes cheveux écarlates. Je me décida alors de me diriger dehors ''au cas ou'' et bien sur, fallait qu'elle s'y trouve ! Aie aie aie ! Fallait vraiment etre idiote pour oublier d'aller chercher dehors. Pourtant Normalement je suis bien plus intelligente que sa ! Si viladra venait a apprendre que je n'ai pas penser a aller chercher a l'extérieur...comment réagirais t-elle ? Mais bon, elle ne l'apprendra jamais si je ne le mentionne pas.Bref, j'aurais juste pu etre une peu plus brillante.

-Aller tsuki, reprend toi ! tu n'est pas une idiote. Alors la prochaine fois pense un peu !

Je m'approcha doucement d'elle en faisant le moins de bruit possible. Elle était pres des mannequins qui servait a s'entrainer au combat. Si si ! il y en a ...quelques uns. Arrivée derriere elle, je pris mon éternelle position de mini chef : Poing sur les hanches,et tete penchée légerement vers la droite. Je pris ton arrogant que j'aimais tant et commenca a parler.

-Ahhh t'est la toi ! Sa fait je ne sais pas combien de temps que je te cherche a travers toute la citadelle ! Viladra veut nous voir toute les deux alors tu ramene ton derriere ici et tu me suis ! Mais Aller grouille toi ont a pas toute la journée !!!

[Hors RP : Excusez moi de la ''courteur'' de ce RP. La prochaine fois sa sera plus long promis ]
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02.02.12 22:37
    Dohrian s'était accordé sa première journée de repos depuis des mois.
    Il faisait partie des mercenaires du chaos depuis un mois et demi, et n'avait pas encore rencontré les autres apprentis de Viladra. Il avait de lui-même décidé de mettre les bouchées doubles. Même les journées où Viladra ne le harcelait pas de conseils type : "Ne pare jamais ce genre de coups, tu serais vulnérable au suivant. Fais une pirouette, donne un coup de pied et frappe.", il les passait à courir ou à demander quelques leçons d'escrimes dans la salle d'entraînement.
    Réveillé tôt, couché tôt, exercice toute la journée, cela développait une musculature digne d'un mentaï, cette fois.
    S'il battait des personnes comme Villadra ou les autres bons bretteurs parmi les mercenaires, ce ne serait dû qu'à la chance ou au dessin. Néanmoins, il ne craignait plus les petits combattants.
    Quoique...Il avait lu cette histoire à propos d'un combattant qui, en son temps, fut l'Edwin de l'époque...Et qui mourut d'une fourche dans les intestins lors d'une émeute.

    Il était donc allongé sur un hamac qu'il avait placé dans sa chambre. Il avait horreur des lits, il avait vécu à la rue pendant longtemps et il avait appris que les matelas et oreillers étaient non seulement futiles, mais en plus peu confortables. Le luxe, pour lui, c'était à manger tous les soirs et un toit sur la tête.
    Il était bon de regarder le plafond, de chasser les pensées et...
    "Entraînement de groupe."
    - Bordel de chienne de Dame...
    Il saisit un poignard, deux couteaux de lancers rangés à la volée à sa ceinture et prit un sabre en passant devant un râtelier. Viladra l'attendait.

    - Excusez-moi, mais un entraînement de groupe suggère qu'on soit un groupe.


    Lui qui faisait de l'humour... Décidément, il se métamorphosait. Il gardait la même douleur à l'intérieur, mais il avait finalement perfectionné son jeu.


C'est court, je ne savais pas trop quoi mettre...
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Viladra Memphis
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Viladra Memphis
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03.02.12 19:16


.:I Allons bichoner mes petits protégés hu hu hu I:.


"Que c'est un dur métier que d'être belle femme,
Et que c'est le travail banal
De la danseuse folle et froide qui se pâme
Dans un sourire machinal ;

Que bâtir sur les cœurs est une chose sotte ;
Que tout craque, amour et beauté,
Jusqu'à ce que l'oubli les jette dans sa hotte
Pour les rendre à l'Eternité !"


Un entrainement plutôt...matinal [ Vil, Dohrian et Siobane ] 86141034lj

T’aurais du décrire à quel point tu idolâtrais Viladra *sbarf*

Le soleil n’était pas encore levé lorsque j’ouvris les yeux. Ma chambre plongée dans la pénombre était aussi silencieuse qu’une tombe et ce fut sans bruit que je posai les pieds au sol avant de m’habiller. Les personnes en dehors de la forteresse avait toujours du mal à imaginer les mercenaires effectuer des tâches du quotidien… Aussi étrange que cela paraisse, nous avions tous besoin de manger, de boire et de dormir. Nous ne passions pas notre temps à tuer des innocents ou à nous entrainer dans des bois obscurs et hantés… Nous restions des êtres vivants, après tout. Encore que, parfois il est possible d’en douter…
Procédant à mes habitudes, je me préparais au fur et à mesure que la forteresse s’éveillait et sortis enfin de mon étage pour commencer les premières tâches de la journée. En tant que chef des mercenaires du chaos, j’avais sans cesse à faire à des réclamations, des demandes de jugement ou des sanctions à appliquer… Sans parler du coté administratif qui, contrairement à ce que l’on pouvait croire, était réellement présent surtout depuis que j’avais décidé de mieux fournir mes effectifs. Avec tout ça, en excluant mes projets personnels, autant dire que le temps que j’accordais à mes élèves était limité ou présent au prix de quelques sacrifices de ma part… Oui, on avait beau dire que j’étais quelqu’un de cruel et de violent, je conservais tout de même un coté généreux…

« Se jeter des fleurs dès le matin, si ce n’est pas pitoyable…
C’est pour me mettre de bonne humeur !
Quand tu es de bonne humeur, tu es pire qu’à l’ordinaire…
C’est tellement bon de se sentir soutenue. »

Arrivant au pied de la tour, on pouvait désormais apercevoir quelques lueurs rougeâtres pointer leur nez à l’est mais les étoiles piquetaient toujours le ciel de leur lumière blafarde. Les sentinelles se redressant à mon approche, elles conservaient tous une expression impassible malgré la sueur que je pouvais voir perler le long de leur nuque. Dès mon accession au sommet, j’avais instauré un commandement plus ferme et plus dangereux afin que tous me prennent au sérieux malgré mon statut de femme. Depuis, la docilité dont ils faisaient preuve valait tout l’or du monde… Ou presque ; j’aimais bien que l’on me tienne tête. Mes des hommes de cette carrure manquait trop… Beaucoup pouvaient parler, mais ce que je souhaitais secrètement était bien de rencontrer la personne qui saurait dominer et mon âme, et mon esprit. Etonnant, n’est-ce pas ? On pouvait penser à première vue que je voulais être impératrice du mal de tout cet univers, et si cette idée ne me déplaisait, la monotonie qu’elle semblait apporter m’effrayait… Un peu de difficulté peut toujours être si agréable… Et c’était pour cette raison que j’avais choisi des élèves. Quatre garçons et deux filles… L’un était mort en mission, le deuxième porté disparu, le troisième devenue mercenaire confirmé et Siobane manquait à l’appel depuis que je l’avais envoyé en repérage dans la forêt ombreuse. Au final, il n’en restait que deux qui soient toujours biens portants… Je ne savais pas que mon enseignement était aussi dur. En même temps, l’idée de former ceux qui deviendraient bientôt en passe de devenir l’élite du chaos était jouissive pour moi, car je savais qu’ils seraient non seulement ma plus grande fierté, et que l’amour que j’éprouvais était sans limite, mais ils étaient aussi ceux qui deviendraient ma plus grande menace…

Les mercenaires envoyés en espionnage à Al’jeit sont revenus, ma Dame.

Acquiesçant distraitement, le mercenaire venu m’apporter la nouvelle s’empressa de partir tandis que je me disais que je devenais de plus en plus molle. Depuis quelques temps, je me laissais aller et j’avais comme l’impression de sentir un relâchement non seulement chez moi, mais aussi chez les mercenaires… Peut-être allait-il falloir que je me remue un peu. Passer mes journées, plantée sur une chaise à vérifier que tout soit correctement exécuté était certes utile mais extrêmement ennuyeux. Il allait falloir que je me trouve peut-être quelqu’un pour m’assister étant donné que mon bras droit passer plus de temps à batifoler avec des marchombres qu’à m’aider dans mes tâches… Rasinar et Ledwin étaient bien les deux électrons un peu trop libres de ma forteresse. Tôt ou tard il me faudra aller vérifier leur loyauté… En attendant j’avais un rendez-vous que je ne voulais pas oublier…
Mes apprentis ne logeaient pas dans la tour mais dans des bâtiments juste à coté qui donnaient non seulement sur les espaces d’entrainement mais sur les écuries. Ce fut donc sans surprise que je vis une petite silhouette sortir par l’une des entrées et attraper un sabre accroché à une balustrade. Ses longs cheveux noirs (je me base toujours sur ta description écrite et non ton avatar, hein ?) furent facilement reconnaissables et ce fut avec un léger sourire sarcastique que j’accueillis Dohrian Alwar, apprenti fraichement recruté dans les bas fonds d’Al’Far. Vulgaire vagabond des villes auparavant, cela ne faisait qu’un peu plus d’un moi qu’il était là et pourtant sa musculature s’était déjà développée en plus de son endurance. Ses gestes manquaient encore de fluidité et je savais qu’il allait falloir un peu de temps pour améliorer ses réflexes mais dans l’ensemble, il dépassait largement mes attentes.

« On dirait une mère admirative devant ses enfants… Décidemment, tu deviens de plus en plus molle !
Arrête, rien que l’idée de parler de famille aux bambins baveux et aux pères accros à leur femme me terrifie…
Je crois bien que tu seras la dernière de ta lignée si tu réfléchies comme ça !
Ca ne me dérange pas… ! »

La voix de Dohrian me ramena à la réalité et j’y notais avec une certaine satisfaction une petite pointe d’humour qui, avant, n’aurait jamais eu lieu. Quand on regardait droit dans ses yeux sombres on pouvait y déceler toujours la même lueur de tristesse mêlée à de la haine mais il avait désormais admis que l’on pouvait toujours faire quelque chose de sa vie… C’était d’ailleurs la raison pour laquelle il m’avait suivi, je me doute bien que pour lui, notre seigneur du chaos ne signifie pas grand-chose... Mais tout vient à point à qui sait attendre et même les ignorants peuvent se cultiver par la suite.

A nous deux, nous formons déjà un groupe, Dohrian. Répliquais-je, mon demi-sourire toujours présent. Mais nous allons agrandir un peu le cercle aujourd’hui… Tu vas faire la connaissance de Tsukiyomi et Siobane…

« Siobane… »

… Qui sont un peu comme le jour et la nuit. L’une d’elle te semblera faible et apeurée tandis que l’autre devra t’obliger à exercer un contrôle continu sur toi.

Tsukiyomi était une jeune fille effrontée qui se forçait à m’obéir et à me respecter. Du moins, le pensais-je… Il était toujours mieux qu’ils obéissent volontairement. Siobane, discrète mais volontaire, ne ressemblait pas du tout à une mercenaire malgré l’évidence même qu’elle était une fille du chaos alors que Tsukiyomi dégageait une aura pleine de morgue et de suffisance qui dévoilait là le coté plus sombre des mercenaires. Je ne pouvais pas lui reprocher son impertinence, ni juger le coté renfermé de Dohrian ou le comportement trop délicat de Siobane… Avec un caractère comme mien, il serait plutôt mal placé. Après tout, tant qu’ils font ce qu’ils doivent faire et qu’ils ne me provoquent pas, ou peu, ils étaient libres de faire ce qu’ils voulaient…
Nous marchions jusqu’aux terrains où j’aperçus Tsukiyomi toisait de son éternel air hautain Siobane dont la pâleur me fit hausser un sourcil. Vu son état, l’entrainer était synonyme de mort… Je lui ordonnai donc de rentrer et de nous rejoindre lorsqu’elle se sentirait mieux. Peut-être avais-je abusé la fois dernière… Tant pis, on ressort toujours plus fort de ce qui ne nous tue pas.

Bien ! M’exclamais-je d’un ton jovial qui contrastait étrangement avec mon regard froid. J’ai trouvé un super exercice pour vous…

Et sans attendre, je posais mes mains sur leurs épaules avant de disparaitre avec eux d’un pas sur le coté.
Nous réapparûmes aux dentelles vives, des corniches acérées qui plongeaient dans les tourbillons mortelles d’une eau malsaine. Juste au bord du gouffre, le vent fouettait nos visages sans que je n’y prenne garde et je pointai en face de nous une aiguille rocheuse qui pointait droit vers le ciel, son sommet déchiqueté. Cette excroissance naturelle prenait racine directement dans les flots, se positionnant entre les deux falaises comme si une épine divine était tombée là par hasard. Me tournant vers eux avec un sourire ambigu, je les regardais un à un avant de parler.

Les mercenaires croient à tord que ce qui nous rend puissants est notre individualisme… Commençais-je. Ce n’est pas faux, on est toujours mieux servi que par soi-même ; seulement parfois il faut savoir accepter de coopérer en équipe. C’est parce que tous les deux vous êtes restés trop longtemps repliés sur vous-même que je vous ai amené ici…

Tendant la main, vers l’aiguille rocheuse, ils pouvaient peut-être sentir l’agitation dans les spires lorsque j’y sortis une plate forme de bois qui vint se tenir en équilibre sur la pointe. Etant donné que ce n’était pas pointu comme une aiguille, cette fragile plaque de bois pouvait assurer une solidité efficace à condition que l’on ne bouge pas et que l’on répartisse correctement et que, dans le meilleur des cas, on soit seul. Seulement, je ne les avais pas amené ici pour qu’ils soient dans le meilleur des cas…
Posant une nouvelle fois mes mains sur leur épaule, je me re-matérialisai sur mon dessin qui tangua dangereusement sous notre poids. Ayant pris son d’apparaitre au milieu avec l’un de chaque coté, pour le moment tout tenait en équilibre mais je disparus aussitôt pour revenir sur le bord de la corniche.

Bien, mes consignes sont claires… Dis-je tranquillement en m’asseyant au bord du vide. Ne tombez pas, car sinon vous mourrez dans tous les cas car votre niveau de dessin ne vous permet pas encore d’effectuer des pas sur le coté, et je vous demande alors de vous affronter en duel… Sans vos armes, pour commencer.

Spoiler:



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Tsukiyomi Ayame
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Tsukiyomi Ayame
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05.02.12 4:07
A Peine quelques secondes apres que j'aie enfin trouver siobane,Viladra Apparu Derriere nous avec un jeune homme que je n'avais jamais vu... En le regardant de la tete au pied,je sentis tout de suite que cela ne faisait pas des lustres qu'il était parmi nous... Viladra posa son regard sur siobane. Elle dut remarquer sa Paleur excessive Car elle lui ordonna d'aller se reposer pour ensuite revenir a l'entrainement en pleine forme. Siobane s'éloigna alors de l'endroit ou nous étions,pour aller vers le batiments des apprentis. Tout en gardant mon air hautain, je me retourna vers Viladra et le garcon qui l'accompagnait. Les deux avancerent vers moi,et viladra prit la parole alors que je fixais celui qui l'accompagnait d'un regard qui voulait dire : '' qui est tu, et que fait tu ici toi -_-''.

-Bien ! j'ai un petit exercice pour vous...

Elle disa cette courte phrase avec un air qui semblait trop joyeux pour son regard de glace. Eh bien Eh bien...qu'avait-elle derriere la tete ? Tant qu'elle ne me faisait marcher pied nu en sous-vetements dans les frontieres de glace,tout allait etre correct. A peine avait-elle fini de parler,qu'elle nous pris par les épaules et nous entraina dans un pas sur le coté. L'ont réaparraissa aux Dentelles Vives.Les corniches acérés déscendant jusqu'a des tourbillon d'eau Me donnait legerement le vertige.Je failli tomber a la renverse. Je détestait les pas sur le coté... Peut etre que c'était dû au fait que je ne sois pas née a Gwendalavir...Bref.Viladra pointa devant nous une aiguille rocheuse qui pourrait presque atteindre le ciel. Sur le bord de la corniche,le vent fouettait si fort que vu ma petite taille et ma fine taille,je crus que j'allais m'envoler. Elle nous regarda ensuite droit dans les yeux avant de commencer a nous expliquer pourquoi nous étions ici.

-Les mercenaires croient à tord que ce qui nous rend puissants est notre individualisme… Ce n’est pas faux, on est toujours mieux servi que par soi-même ; seulement parfois il faut savoir accepter de coopérer en équipe. C’est parce que tous les deux vous êtes restés trop longtemps repliés sur vous-même que je vous ai amené ici…

Pardon ? Cooperer ? Désolée, mais les mots ''coopérer en équipe'' en équipe ne font pas parties de mon vocabulaire. Encore moins avec...(regardant l'autre apprenti de haut en bas) lui. Mais bon, si je joue le jeu et que je ''coopere'' avec l'autre, peut etre qu'elle sera fiere de moi. Tout en tendant sa main vers l'aiguille rocheuse,elle commenca a dessiner. Ayant moi meme une variante du don du dessin, je sentit les spires s'activer. Une planche de bois apparu sur l'aiguille. Je voyait bien ou elle voulait en venir. si moi et ''L'autre'' ont ne cooperait pas, ont allait tous les deux tomber et notre vie allait s'achever ou elle avait commencer. Elle nous repris par les épaules et nous entraina sur la planche de bois grace a un autre pas sur le coté. Elle elle apparu en plein milieu de la planche de bois tandis que moi et le jeune homme étions chacun de notre coté. Elle se dématérialisa pour ensuite reapparaitre sur le bord de la corniche. La planche tanguait dangereusement nous menacant de nous faire tomber a tous moment. Je plongea mon regard rougeatre dans les yeux du mec devant moi. Un faux pas et je risquais de tomber et de mourir...

-Bien, mes consignes sont claires… Ne tombez pas, car sinon vous mourrez dans tous les cas car votre niveau de dessin ne vous permet pas encore d’effectuer des pas sur le coté, et je vous demande alors de vous affronter en duel… Sans vos armes, pour commencer.

Pardon ?! Aie Aie Aie... Moi qui s'était habituée a me battre avec mes armes...Bon allons-y alors. Étant donnée que j'étais une fille, j'étais plus légerte que lui. En toute fluidité je tenta de m'approcher de lui,mais la planche pencha de son coté. JE recula en vitesse a ma place initiale. Avec mon ton arrogant et grognon de mes bons jours,j'ouvrit la bouche.

-Ohh oui génial comme exercice ! Surtout qu'ont ne peut pas s'approcher l'un de l'autre sans manquer de tomber dans le vide et de se faire embrocher ! Je ne critique pas ton enseignement. Je n'ai pas peur de mourir, mais avant j'aimerais AU MOINS devenir un mercenaire complété !

Je me retourna ensuite vers l'autre apprenti.

- Et toi,j'ignore qui tu est mais faudrait peut etre que tu t'approche un peu du du milieu si tu veut que je puisse te flanquer une volée !

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07.02.12 20:02
    Foutue bonne femme insupportable. Dès le début, elle me prouvait qu'elle n'était qu'une petite débile qui se prend pour une reine. Viladra avait beaucoup de maîtrise de soi pour ne pas lui éclater la tête contre un mur.
    Et Viladra était d'ailleurs une horrible tricheuse qui s'aidait de sphère graphe pour faire faire un pas sur le côté à deux personnes à la fois...Enfin bon.
    Discours inintéressant sur l'esprit d'équipe et...Dohrian éclata de rire mentalement.
    Un pugilat sur une plate-forme instable qui peut couter la mort à l'un d'eux après un discours sur l'importance du groupe ? Elle n'était quand même pas suffisamment débile...Enfin, le piège était grossier, là.
    Tsukiyome fut percutée à la joue par une petite sphère de plomb sortie de l'imagination.

    - Tu es jolie, petite, dommage que tu sois si stupide. On parle d'un combat qui peut entraîner la mort de l'un de nous, voire les deux, juste après avoir parlé de coopérer en équipe. Notre maître est quand même plus intelligente que ça.

    Dohrian était en réalité parfaitement furieux...Qu'elle prenne cette petite gamine pour une débile tant que ça lui chante, mais lui...Il cacha derrière son dos son poing qui tremblait de colère.

    - Sérieusement... Coopérer ? Vous nous donnez deux consignes contradictoires, parlez de coopération et de combat. Si vous nous disiez en quoi consiste vraiment cette épreuve ?

    Il s'introduit dans l'imagination et prépara un pal en bois au cas où la gamine lui ferait un mauvais coup. A la moindre erreur, elle était empalée. A moins qu'elle ait perçu son dessin, auquel cas...Bah, c'était un quitte ou double, autant ne pas lui faire confiance.
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Viladra Memphis
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Viladra Memphis
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15.02.12 12:44


.:I Une lueur dans l'obscurité. I:.


"C'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes,
Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs
Et des esclaves nus, tout imprégnés d'odeurs,

Qui me rafraîchissaient le front avec des palmes,
Et dont l'unique soin était d'approfondir
Le secret douloureux qui me faisait languir."


Un entrainement plutôt...matinal [ Vil, Dohrian et Siobane ] 86141034lj

Comme je m’y attendais, le caractère enflammé de Tsukiyomi prit le dessus sur la réflexion et elle chercha activement le combat avant de vraiment analyser la scène. Apprentie agile à la souplesse et à la vivacité remarquable, elle affichait néanmoins un tempérament impétueux qui pourrait un jour la perdre… Moi-même ayant été dans son cas il y avait de là quelques années, je savais que trop se hâter pouvait conduire à sa perte et c’était en partie pour combler ce défaut que je l’avais mise dans une situation aussi… improbable.
(sorry Dohrian pour le pas sur le coté à deux xD j’avais totalement zappé ! Bien trouvé le coup de la sphère graph) Dohrian quant à lui était quelqu’un de tout aussi impulsif mais de façon plus réservé. Si j’avais lu l’envie de combattre dans les yeux de Tsuki, dans les siens je ressentais la douce colère qui l’envahissait et l’énervement de se voir pris pour un débutant…
Esquissant un sourire quand je sentis l’imagination bouger tandis qu’il faisait apparaitre une bille de métal qui fonçait sur Tsuki, je me dis que finalement, ce petit pugilat allait servir à beaucoup d’autres choses que de simplement faire marcher leur réflexion.

…Si vous nous disiez en quoi consiste vraiment cette épreuve ?

Me retenant d’éclater de rire, je me contentais d’afficher un sourire faussement vexé. Moi ? Cacher des éléments de mon épreuve ? Comme si c’était mon genre…

« Je le savais que t’étais tordue !
C’est maintenant que tu t’en rends compte ?
A vrai dire, je ne le réalise que maintenant…
Ho, vous me vexez, vraiment… »

En quoi consiste vraiment cette épreuve ? Répétais-je innocemment malgré le sourire sarcastique omniprésent sur mon visage. Je ne souhaite qu’un humble combat sur une humble planche ne bois et…

« Vila’ ! Ca suffit un peu ! »

J’ai compris… Murmurais-je dans un soupir bien qu’ils ne pouvaient pas entendre mes voix secondaires.

Ramenant distraitement mes cheveux en arrière tandis que je sentais presque bouillonner l’imagination tant mes deux apprentis se tenaient à la bordure de celle-ci, je pris le temps de réfléchir sans me soucier de la planche en bois qui oscillait lentement sous l’effet du vent et de leur poids.

Comme vous le savez, vous avez un défaut particulièrement tenace qui consiste à se reposer sur soi, et uniquement sur soi… Commençais-je tranquillement. Il est évident que coopérer et s’affronter en même temps est un paradoxe, cela va de soi… Mais viendra le jour où vous découvrirez que la victoire ne dépend pas seulement de vos choix mais aussi de ceux de votre adversaire.

Difficile à imaginer, en effet… Même si je répugnais à le dire, les marchombres avaient parfaitement compris où je voulais en venir avec le fait de posséder le temps d’un adversaire… Mais arriver à atteindre ce niveau était compliqué et seule l’élite y parvenait… Arriver à s’approprier quelque chose d’impalpable par la force seule de son esprit n’était pas une simple question d’analyse… Il ne suffisait pas de regarder autour de soi pour pouvoir réussir là où quelqu’un n’y arriverait pas ; l’expérience non plus ne pouvait pas triomphait de tout.

Ce que vous ne comprenez pas c’est qu’un bambin qui saurait utiliser cette force saurait vous mettre KO en deux trois mouvements… Je ne parle pas de simple anticipation, je parle d’éveiller un sixième sens au sens propre.

Rares étaient ceux qui connaissaient la particularité qui avait fait de moi une combattante à part. En arrivant à faire abstraction de l’un de mes sens, j’avais réussi à développer un dernier qui me permettait non seulement de capter jusqu’aux moindres bruits mais qui m’avait apporté une notion de sensation supérieure à celle des autres.

Contrairement à ce que l’on croit, dans l’espace de combat où vous êtes, la vue ne vous est d’aucune utilité…

« Difficile de le croire, on aurait tendance à penser le contraire… »

Je comptais sur vous pour utiliser l’imagination, et l’imagination seule ce qui vous aurait permis de comprendre peu à peu qu’un combat pouvait commencer sans aucune action physique, mais je vais accélérer les choses. Mes chers petits, je vais vous apprendre la technique qui a fait ma réputation… Fermez les yeux et quand la clarté aura remplacé l’obscurité, vous pourrez enfin commencer à vous affronter.

Peu d’instruction, je les laissais vraiment dans le vague et connaissant leur caractère, ils allaient sans doute s’énerver. Mais j’aimais tant les voir se dépêtrer d’une situation qu’il ne maitrisait pas…




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