| Aller à la page : 1, 2  | | | 21.02.12 18:54 [H.R.P: C'est mon premier Rp]
Eris ouvrit les yeux. Ondiane. Mais que faisait-il ici ? Soudain, il se rappela. Des bandits avaient voulu le détrousser et il avait résisté, deux bandit ne pouvaient rien face un marchombre. Mais il n'avait pas prévu l'arrivée de sept nouveaux personnages. La bataille aurait duré quelques minutes si un nouveau groupe de trois n'était pas intervenu. Eris perdit conscience suite à un violent coup de gourdin derrière le crâne. Il s'était réveillé quelques heures plus tard sans argent ni armes et s'était traîné jusqu'à une auberge. N'ayant pas assez d'argent pour payer une chambre, il s'était contenté de se reposer quelques minutes et il était partie vers la forteresse de rêveurs. Le voyage fut douloureux pour Eris car ses côtes fêlées lui faisaient horriblement mal. Arrivé à destination, il s'était écroulé de fatigue et de douleur. Le marchombre essaya de bouger, n'y parvint pas.
- Je vois que vous êtes réveillé. Avait prononcé une voix derrière lui.
- Apparemment. Avait -il rétorqué.
En pivotant la tête, il parvint à apercevoir son interlocuteur. C'était un homme d'âge mûr, probablement un rêveur. Il regarda Eris essayer de se relever en souriant.
- Vous n'êtes tout à fait soigné. Dit simplement l'homme en robe blanche.
Abandonnant toutes tentatives, Eris se repassa encore une fois les derniers événements. Pourquoi s'était-il balader à des
kilomètres de l'endroit où il dort d'habitude ? Il se rappela soudain. Son ancien maître l'avait invité dans une auberge pour des retrouvailles tant attendues. Sans faire attention à ses blessures et avec un immense effort de motivation, le marchombre se leva, et se mit à courir. Des bruits retentirent derrière lui. L'homme qui état censé le surveiller le suivait.
Soudain, une silhouette féminine stoppa sa cours. | | Âge : 27
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| 21.02.12 20:13 Roxane s’était levée de plutôt bonne humeur. En fait, un peu comme à son habitude. Il était vrai qu’elle était souvent joyeuse, heureuse, rayonnante…Et cela plaisait à l’entourage. En…général. Parce-que, il fallait l’avouer, des fois…Mon dieu ! Qu’est-ce qu’elle pouvait être ennuyante ! A chantonner alors qu’on essaie de se concentrer…Mais bon, on l’aime comme ça notre petite Roxy. Et puis…[dis le narrateur ? Tu pourrais abréger ? En venir au but ?]…Roh, ça va hein. Si on peut même plus narrer comme on veut. Bref, je disais donc, que notre chère petite rêveuse s’était levée de bonne humeur. Elle avait enfilée une fine robe blanche, soutenue par un cordon bleu qui soulignait sa poitrine. Ses longs cheveux roux étaient retenus en une élégante queue de cheval, et elle avait décidé en ce jour lumineux de ne pas mettre de chaussures. Ne pas chercher à comprendre les plaisirs de la jeune fille…ils sont parfois un peu…simples. Enfin, soit. Elle s’était alors dirigée vers la cantine, où elle avait discuté pendant un long moment avec un des rêveurs qui était assis à la même table qu’elle. -Sérieusement, je pense qu’il faudrait revoir certaines chambres, fit Roxane, la bouche pleine.
-Il est vrai que nos visiteurs s’amusent à bouger des meubles ou autre…Des fois, ils en viennent même à voler.
-Oui, je sais…Enfin, certaines pièces manquent de matériel. Ca serait sympa de renouveler ça.
-J’en parlerai au chef.
Le rêveur lui adressa alors un clin d’œil avant de se lever. Il se nommait Eghir et il avait été tenu de remplacer un autre homme pour veiller sur un nouvel arrivant. Il était salement amoché, et les premiers soins avaient été déjà faits. Mais il fallait le laver pour mieux percevoir ses blessures… L’homme de la veille s’était acquittée de cette tâche, et avait veillé sur lui toute la nuit. Il avait été convenu que si les symptômes devenaient graves, Roxane serait réveillée. C’était l’une des plus grandes rêveuses d’Ondiane…Dans les deux sens du terme. Mais ça, c’est autre chose. Au départ, lorsque les soigneurs avaient accepté une femme dans leur rang, il n’y avait pas trop cru…Mais bien vite, ils durent admettre qu’elle était plus délicate et plus attentive que le plus doué d’entre eux. Je dis ça, ce n’est pas pour vanter ce personnage. Il faut juste l’admettre… Bref, l’homme de la veille était revenu, les traits fatigués, pour laisser place à Eghir. La jeune fille lui avait adressé un sourire, mais il était bien trop endormi pour le remarquer. Alors elle se leva et arpenta les couloirs du château, en attendant qu’on ait besoin d’elle…Ce qui ne se fit pas attendre. Elle vit Eghir en train de poursuivre son malade, et celui-ci de lui échapper. Se félicitant elle-même de n’avoir pas mis de chaussures, elle courut au devant du jeune garçon pour l’arrêter. Il la regarda, sans comprendre, et elle le gronda : -Non mais oh ! Tu te prends pour qui ? Tu n’es pas bien, tu dois rester ici ! Et ce pour quelques-jours, voir quelques semaines. Alors je sais pas où tu comptes aller, mais tant que je serais dans les parages, pas bien loin. Compris ?!
Roxane le martelait sa poitrine de son doigt, tandis qu’elle tenait ses propos. Il ne disait mot…Alors elle s’avança pour le faire reculer jusqu’à sa chambre. Elle se retourna au dernier moment vers Eghir et lui annonça : -Je m’en occupe.Avant qu’il n’ait pu protester ne serait-ce qu’une seconde, elle ferma la porte à son nez, et mis ses mains sur ses hanches : -Pourquoi étais-tu si pressé ? La demoiselle pencha sa tête, et s’approcha du garçon. Il avait lui aussi des cheveux roux mais chez lui, évidemment, ils étaient courts. Ses yeux étaient d’un magnifique vert, pareil à de l’émeraude. Son teint était hâlé, signifiant de longues journées passées dehors. Elle lui sourit. Enfin, c’est vrai quoi…Elle ne tenait pas à faire peur à son malade. | | | 22.02.12 11:48 La femme rousse qui lui barrait le passage s'était mise à crier si fort qu' Eris n'osa pas ouvrir la bouche pour protester.
-Non mais oh ! Tu te prends pour qui ? Tu n’es pas bien, tu dois rester ici ! Et ce pour quelques jours, voir quelques semaines. Alors je sais pas où tu comptes aller, mais tant que je serais dans les parages, pas bien loin. Compris ?!
La rêveuse enfonçait son doit dans sa poitrine pile à l'endroit ou sa côte s'était fêlée. La douleur fut si vive qu'il cria.Voulu crier car sa gorge n'émis pas un mot. Alors, quand elle avança le choc fut terrible. Elle se retourna et prononça quelques mots au rêveur en blanc.
-Je m’en occupe. Avait-elle dit.
Puis elle s'était retournée et avait prononcé les mains sur les hanches :
-Pourquoi étais-tu si pressé ?
Le marchombre n'en revenait pas. Il voulait lui crier de se mêler de ses affaires mais il se contenta de dire :
-J'ai un rendez-vous important avec quelqu'un qui l'est encore plus.
En attendant sa réponse, l'homme mis en place un plan. Dès que la fille dormira, il sommera la pagaille dans la tour. Ensuite il s'échappera par la fenêtre, profitant de la diversion qu'il aura crée pour retrouver son maître. Il regarda la femme. Il lui faudrait des armes le tant de retrouver ses dagues. Ne laissant pas le temps à la rêveuse de parler, il enchaîna:
-Auriez vous des dagues ou autres armes légères que je puisse emprunter ?
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| 24.02.12 12:28 -J'ai un rendez-vous important avec quelqu'un qui l'est encore plus. La jeune fille haussa un sourcil. Parce-qu’il avait un rendez-vous, il voulait quitter les soins qu’on lui apportait ? Il risquerait d’avoir diverses infections, juste pour ça… ? N’en revenant pas, Roxane allait lui répondre mais déjà il enchaînait : -Auriez vous des dagues ou autres armes légères que je puisse emprunter ? Elle se passa la langue sur ses lèvres, et s’assit sur le lit de son invité. Elle le regarda trois dans les yeux, se demandant si cet homme n’avait ne serait-ce qu’un gramme de conscience… Ce qu’elle ne tarda pas à lui faire remarquer : -T’es vraiment inconscient.
Il haussa les sourcils à son tour, mais elle continua : -Non mais c’est vrai ! Déjà tes soins sont pas finis. Puis après, d’accord tu seras guéri mais tu vas devoir te reposer encore une semaine au moins. Elle se leva, et s’approcha son visage du sien. Ils n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, limite si un coup de vent passait ils seraient là, bouche collée l’une contre l’autre. Ce que la rêveuse ne souhaitait pas. Après tout, elle appartenait à un autre… -Je t’en prie. Je vais pas me mettre à genoux non plus, mais tu DOIS te reposer. J’irais voir ton ami si tu veux et je lui expliquerai pourquoi tu ne sais pas venir.
Elle marqua une pause, pour réfléchir. Puis elle reprit, un grand sourire affiché sur les lèvres : -Je pourrai même te l’amener, si tu le souhaites. La demoiselle recula. Elle espérait qu’il dirait oui. Elle ne pensait après tout qu’à la médecine, au soin. Les parents offraient un corps, une vie à un humain…Il ne fallait pas le gaspiller. On en avait qu’un seul et il fallait vraiment en prendre soin. [HS : désolée c’est court…Tu devrais toi essayer (je te donne des trucs ;) d’écrire plus sur les sentiments de ton personnage, tu devrais décrire la pièce où tu te trouves, les personnages à qui tu parles, comment tu ressens ce qu’ils disent…Hésite pas à me faire bouger, mais un peu genre je fronce les sourcils ou n’importe…Ok ?=] | | | 24.02.12 15:44 -T’es vraiment inconscient.
Lorsque la femme s'était assise sur le lit, le souffle du marchombre s'était coupé.
La femme avait prononcé cette phrase sans la moindre crainte. Ils étaient pourtant seuls dans la pièce et Eris savait se battre. Elle avait cependant raison. Il ne frapperai jamais si belle créature. D'autant plus qu'elle et ses proches l'avaient sauvé d'une mort certaine. Il se contenta de lever les sourcils.
-Non mais c’est vrai ! Déjà tes soins sont pas finis. Puis après, d’accord tu seras guéri mais tu vas devoir te reposer encore une semaine au moins.
Lorsqu'elle se leva et approcha son visage de celui du marchombre, ce dernier eu de nouveau le souffle coupé. Il était complètement sous le charme. Il plongea ses yeux dans ceux de cette femme aux magnifiques cheveux roux.
-Je t’en prie. Je vais pas me mettre à genoux non plus, mais tu DOIS te reposer. J’irais voir ton ami si tu veux et je lui expliquerai pourquoi tu ne peux pas venir.
Eris serra les dents. Obéir à cette jeune femme qui ne veut ni plus ni moins que son bien ou aller voir son maître au rendez-vous qui était fixé. Serait-il là ? Il jeta un coup d'œil sur la rêveuse qui lui affichait un grand sourire.
-Je pourrai même te l’amener, si tu le souhaites.
Eris n'en revenait pas. Cette femme l'avait soigné, souhaité qu'il se rétablisse, et voulait l'aider encore une fois. Il n'en était pas question. Le marchombre se leva d'un bond. Et ouvrit la fenêtre. Cette fois, il ne s'en était pas tenu au plan mais pendant que la rousse blablatait, il s'était dit que sa curiosité la pousserai sûrement à lui poser des questions toute la nuit, faisant échouer son plan. La confusion fut totale quand il se retourna. La jeune femme était là et souriait. Un de ces sourire qui indique que votre réaction était prévisible. Et prévue. | | Âge : 27
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| 26.02.12 15:09 -Enfin, moi je te conseille de rester ici, tu auras tout le confort que tu souhai… Roxane n’acheva pas sa phrase. Son jeune invité était en train d’escalader vers la fenêtre, cherchant à suivre. Chose qui était tout à fait inutile, car les fenêtres étaient beaucoup trop hautes pour qu’il ne se plante pas, de n’importe quelle guilde qu’il soit. Il se retourna vers elle, et elle le regarda, souriante. Il pensait fuir, mais il n’y arriverait pas. Elle le lui fit d’ailleurs remarquer : -Où comptes-tu aller ? En allant par là, tu ne réussirais qu’à te faire encore plus mal. Elle s’approcha de lui et lui prit le bras, l’attirant sur le lit. Elle le força à se coucher, et reprit d’une voix calme : -Ca ne sert à rien de persévérer comme ça. Tu fais pire que mieux. La jeune fille caressa du bout des doigts ses cheveux, comme une mère à son enfant. Puis elle déposa ses doigts froids sur ses côtes fêlées, et commença son rêve. Chaque os fut ainsi réparées, et le jeune homme put respirer à nouveau librement. Lorsqu’elle eut fini, elle ouvrit les yeux et, penchant la tête, lui demanda : -Tu t’appelles comment, au fait ? Elle continua de lui sourire, et se présenta elle-même : -Moi c’est Roxane, j’ai quinze ans et, tu l’auras deviné, je suis rêveuse. Ca fait longtemps que j’apprends ce disons ‘métier’, et ça me plait énormément. Elle fit une courte pause puis repris, joyeuse : -Tu fais quoi comme ‘métier’, toi ? Elle avait conscience de le bombarder de questions. Mais bon, c'était Roxane quoi... [HS: sorry, c'est court mais j'ai pas d'idées =/] | | | 26.02.12 16:37 -Ca ne sert à rien de persévérer comme ça. Tu fais pire que mieux.
Eris Hulum n'en doutait pas une seul seconde mais il voulait plus que tout retrouver son maître. La jeune femme magnifique selon le marchombre le força a s'allonger sur la lit. Il ne résista pas, il ne s'échapperai sûrement jamais. Mais pourquoi ne voulait-il pas qu'elle aille le chercher ? Sûrement souhaitait-il qu'elle reste avec lui. L'homme frissonna. Cette femme était certes magnifique mais il ne s'attendait pas à avoir un quelconque attachement pour elle. Un attachement dont il s'apprêtait à lui faire part quand elle le coupa dans son élan. Elle se pencha et caressa ses cheveux. Elle enchaîna les geste en posant une main sur la côte d'Eris. Petit à petit, il commença à reprendre des forces et son mal s'apaisa. Petit à petit, il oublia son maître. Petit à petit, il se laissa bercer par le plaisir de vivre un rêve (dans les deux sens). Pui la rêveuse pencha la tête et le fixa.
-Tu t’appelles comment, au fait ? avait-elle dit
Le marchombre s'apprêta à lui donner son nom quand elle enchaîna:
-Moi c’est Roxane, j’ai quinze ans et, tu l’auras deviné, je suis rêveuse. Ca fait longtemps que j’apprends ce disons ‘métier’, et ça me plait énormément.
"Je suis enchanté" avait faillit répondre l'homme. Mais tout de suite, la femme posa une nouvelle question:
-Tu fais quoi comme ‘métier’, toi ?
- Je suis un marchombre nommé Eris. Qui plus est je suis le plus heureux des hommes car j'ai le plaisir de goûter à la beauté d'une magnifique rêveuse.
Roxane ne dit pas un mot. Alors, "le plus heureux des hommes" poursuivi:
- Et j'irai chercher mon maître avec vous si vous le permettez.
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| 27.02.12 21:49 -Je suis un marchombre nommé Eris. Qui plus est je suis le plus heureux des hommes car j'ai le plaisir de goûter à la beauté d'une magnifique rêveuse. Roxane ne dit rien, et ce contenta de l’observer. Attends…Mais il venait de la flatter là ? Elle déglutit, et baissa la tête pour que ses longs cheveux roux recouvrent son visage…Elle était en effet rouge pivoine ! Les compliments, ça lui faisait toujours ça… Le dénommé Eris poursuivit : -Et j'irai chercher mon maître avec vous si vous le permettez.
Elle hocha la tête pour exprimer son accord. Elle attendis encore quelques instants avant de la relever, plus du tout rouge, et dit de vive voix : -Bien, j’accepte. Ton rendez-vous est pour quelle heure ? Elle se releva vivement du lit. Elle espérait qu’il ne lui dise plus des mots doux comme ça…Ca la gênait terriblement ! Mais elle n’en fit rien savoir et, comme à son habitude, lui offrit un grand sourire. Elle murmura quelque-chose comme ‘je vais te chercher quelque-chose à manger’ puis sortit de la pièce. Elle savait qu’il ne fuirait pas. Elle avait confiance. Et puis, des rêveurs étaient postés à l’entrée de cette chambre, comme elle put le remarquer lorsqu’elle sortit. Elle lâcha : -Hé bien ! En les voyant ainsi postés, elle éclata de rire. Elle alla ensuite en cuisine, et prit tous ce qui pouvait comporter un repas bien équilibré. Elle en prit une double portion, pour elle et pour si jamais il avait vraiment très très faim… Lorsqu’elle revint dans la chambre, la rêveuse eut le plaisir de constater qu’Eris n’avait pas bougé d’un poil. Elle ignorait s’il avait tenté de fuir et que les gardes avaient réussi à le retenir, mais son ‘patient’ était là et c’était le principal. Elle lui tendit alors le plateau chargé de victuailles, en disant d’une voix joyeuse : -C’est pour toi et un peu pour moi aussi…sers-toi d’abord, je mangerai après. Elle fit une petite pause avant de reprendre : -Ensuite, on ira à ton rendez-vous. Tu m’as pas dite c’était à quelle heure ! Bon appétit, en tous cas.
Elle ne prenait même pas conscience que, s’il ne lui avait effectivement pas désigné l’heure, ce n’était pas qu’il ne voulait pas mais…qu’il n’en avait pas eu le temps. Bavarde comme une pie, la jeune fille ne s’en rendait même pas compte, parfois… Roxane fronça alors les sourcils. Elle venait de se rendre compte de ses propos. C’était un marchombre, apparemment…L’ennemi des mercenaires. L’ennemi de… [Mwahaha ! Tu sauras pas qui-heu !] | | | 03.03.12 13:48 Au moment même ou le garçon avait prononcé le compliment, la jeune fille avait baissé la tête, laissant voguer ses magnifiques cheveux roux sur son visage. Mais quand il lui avait fait la proposition de l'accompagner, il la vit hocher la tête ce qui lui fit hausser les sourcils d'étonnement. Tout se passerai donc biens. Alors, quelques minutes plus tard, elle se leva et prononça à haute voix:
-Bien, j’accepte. Ton rendez-vous est pour quelle heure ?
"Hier à 20h, mais mon maître est sûrement toujours sur les lieu. C'est un homme très…Patient" Avait faillit répondre Eris. Mais tout de suite la rêveuse s'éloigna en utilisant comme prétexte qu'elle allait chercher à manger.
- Enfin !!!!! c'était écrié insolemment le marchombre sans se rendre compte de ses actes. Mais heureusement, Roxane n'était déjà plus là. Il l'entendit rire dans le couloir. L'homme décida de ne pas trahir sa confiance.Si il s'enalait, il n'aurai aucune rêveuse et aucun rêveur pour soigner ses plait. De plus, il aurait très certainement des provisions si il partait avec elle. La femme revenait avec un plateaux remplit de vivres.
-C’est pour toi et un peu pour moi aussi…Sert-toi d’abord, je mangerai après. Avait –elle prononcé.
Le marchombre affamé se jeta sur ses aliments préférer… Quelques secondes plus tard, la rêveuse reprit:
-Ensuite, on ira à ton rendez-vous. Tu m’as pas dit c’était à quelle heure ! Bon appétit, en tous cas.
- Merci, merci beaucoup. De m'avoir soigner, de m'accompagner, me donner de la nourriture sans riens attendre en retours… Merci…Mon rendez vous était à 18 heures hier mais mon maître est patiens…Il sera sans doute là. Et bonne appetit.
Le marchombre se leva des qu'il eut fini de manger. Il prononça une dernière phrase avant d'ouvrir la porte.
On y vas.
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| 03.03.12 23:38 -Merci, merci beaucoup. De m'avoir soigner, de m'accompagner, me donner de la nourriture sans riens attendre en retours… Merci…Mon rendez vous était à 18 heures hier mais mon maître est patient…Il sera sans doute là. Et bon appétit. 18 heures hier…Oups. Il avait raté son rendez-vous, vraiment…Mais il semblait sur de lui. Il semblait certain que son maître l’attendait encore et, après tout, il le connaissait mieux que quiconque. Il mangea en même temps que Roxane puis, une fois leur repas terminer, il se releva. Ses mouvements n’étaient plus ‘brouillons’ comme quelques minutes avant, puisqu’il avait subi les soins de la rêveuse. Il pouvait à nouveau agir aisément, mais ce n’était pas pour cela qu’il devait tout de suite courir ou faire les différents exercices bizarres des marchombres…Non, comme elle lui avait dit, il devait encore rester ici quelques semaines. Eris ouvrit la porte et dit par dessus son épaule : -On y va. La rêveuse sourit devant son empressement, et se leva à son tour. Il était déjà dehors, les gardes lui barrant le passage. Elle leur adressa un signe de tête avant de leur dire : -Il est avec moi, c’est bon. Vous pouvez aller vous occuper, maintenant. Je le prends sous ma charge.
Les deux rêveurs se regardèrent, indécis, puis à la vue du regard conciliant de la jeune fille, ils se décidèrent d’un hochement commun de tête. Ils avaient assez confiance en la rêveuse et la connaissait assez bien pour savoir qu’elle prendrait soin de lui et qu’elle ne le laisserait pas partir si facilement. Ils s’en allèrent ainsi, et Roxane leur demanda de préparer deux chevaux ainsi que de quoi se nourrir et boire et, bien entendu, de l’argent. Elle attendit en silence avec le marchombre à l’entrée, impatiente de voir la tête du maître d’Eris. A quoi pouvait-il bien ressembler… ? D’abord, était-il beau ? Même si son cœur appartenait à quelqu’un, elle ne pouvait résister devant le visage parfait d’un homme… Mais bon, s’il était affreux…Il serait peut-être drôle ? Et alors ils s’amuseraient vraiment bien ensemble. Mais cela étonnerait Roxane. Vu le caractère sérieux de son élève, il ne pouvait aimer rire comme elle l’aimait…Peut-être une blagounette de temps à autre, mais rien de plus. Les pensées de la rêveuse furent brisées lorsque Eghir leur apporta deux magnifiques chevaux scellés. Ils se sourirent mutuellement et demanda gentiment à la demoiselle : -Ca ira pour monter ? Mais avant qu’il n’ait pu finir sa phrase, elle était déjà sur le cheval, radieuse. Elle lui tira la langue et il éclata de rire. Se tournant pour vérifier que le marchombre allait bien, il s’inclina et leur souhaita bon voyage. Les portes s’ouvrirent ainsi, vers le monde extérieur à Ondiane. Roxane se tourna vers Eris et lui demanda : -Je ne sais pas où se trouve ton maître alors…je te suis. Tu seras mon guide ! Elle lui sourit avant d’entamer une conversation : -C’est comment, être marchombre ? Vous avez le droit de voir votre famille ? Ou d’avoir des amoureuses ? Enfin, raconte-moi un peu ce que vous faites, avez le droit ou non de faire dans votre guilde… La rêveuse ne cherchait aucunement à avoir des informations secrètes pour les transmettre à qui que se soit. Elle était simplement curieuse, voilà tout… | | | 04.03.12 19:16
La rêveuse se leva et sourit. Mais déjà Eris se précipita à l'extérieur…
- Revenez !!!!!!! Cria un garde. Mais déjà Roxane sortait pour le faire signe que tout allait à la perfection.
-Il est avec moi, c’est bon. Vous pouvez aller vous occuper, maintenant. Je le prends sous ma charge.
Cette dernières phrase fit sourire le marchombre… Que ferait-il sans les rêveurs ? Ils lui avaient sauvé la vie…Et…Il regarda la femme. La magnifique femme…Ils lui avaient permient de la rencontrer. Les gardes laissèrent finalement place et la rêveuse leur demanda d'atteler deux chevaux, des provisions, et de l'argent. En les attendant, Eris regarda Roxane. Elle pensait. À quoi ? À qui ? Le marchombre l'ignorait… Le moment tant attendu arriva enfin. Les portes s'ouvrir et Eris retrouva son milieu naturel.
-Je ne sais pas où se trouve ton maître alors…je te suis. Tu seras mon guide ! Avait dit la femme.
Puis elle avait ajouté :
-C’est comment, être marchombre ? Vous avez le droit de voir votre famille ? Ou d’avoir des amoureuses ? Enfin, raconte-moi un peu ce que vous faites, avez le droit ou non de faire dans votre guilde…
Eris sourit. Cette Roxane était vraiment curieuse.
- Être marchombre, c'est être libre… On est en harmonies avec le monde. Certaines rumeurs disent que nous sommes des voleurs. Cela me blesse profondément. La liberté apporte de donc biens des choses et ne nous enlève pas le droit de voir notre famille ou de ce marié. Mais je n'ai d'attirance que pour une femme. Une magnifique rêveuse qui se trouve prés de moi en ce moment.
Le marchombre se retourna et vit Roxane baisser la tête, laissant ses cheveux recouvrir son magnifique visage.
- Et ça fait quoi d'être rêveuse ?
| | Âge : 27
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| 07.03.12 21:50 -Être marchombre, c'est être libre… On est en harmonie avec le monde. Certaines rumeurs disent que nous sommes des voleurs. Cela me blesse profondément. La liberté apporte donc bien des choses et ne nous enlève pas le droit de voir notre famille ou de se marier. Mais je n'ai d'attirance que pour une femme. Une magnifique rêveuse qui se trouve près de moi en ce moment… Roxane senti le regard d’Eris posé dès lors sur elle, aussi baissa-t-elle la tête, laissant ses longs cheveux recouvrir la moitié de son visage. Ainsi donc il craquait pour elle…Il allait être déçu, le pauvre, lorsqu’il apprendrait que son cœur était déjà pris… Mais elle lui en parlera un peu plus tard, lorsque l’occasion se présenterait…Elle n’aimait pas vraiment gâché les rêves ou les espoirs des personnes…Mais bon, elle y était contrainte… -Et ça fait quoi d'être rêveuse ? Elle releva la tête vers lui et lui sourit. Être rêveuse…Elle ne s’était à vrai dire jamais posé la question. Qu’est-ce que cela faisait d’être rêveur ? Il lui posait une colle là, en fait ! Elle réfléchit aux mots qu’elle utiliserait et essaya de s’expliquer du mieux qu’elle put : -Être rêveuse…C’est quoi ? Hé bien… Roxane pencha la tête et regarda vers le ciel, laissant sa chevelure chatouiller le dos du cheval. Elle sourit de plus belle et répondit : -C’est merveilleux, si tu savais…Le regard pleins de reconnaissances des personnes que tu soignes, ou celui des personnes qui viennent d’être mère…Donner naissance à un bébé c’est…waw ! Bon, je te l’accorde, après tu as les mains pleins de sang et c’est dégelasse… Elle éclata de rire avant de reprendre, observant Eris : -Mais ça vaut le coup, vraiment. Je n’oublie jamais une seule personne que je soigne, comme elles ne m’oublient pas. C’est quelque-chose d’extraordinaire que d’être rêveur, même si au départ j’ai eu du mal à me faire accepter, étant une femme… La jeune fille baissa la tête. La suite de ses paroles risquaient peut-être de le contrarier ou de le vexer…Mais il fallait bien qu’elle arrête ses rêveries, même si cela lui coûtait de le faire… -Je suis amoureuse d’une personne, déjà. Je peux te dire son prénom si tu le souhaites, mais je ne te dirais rien de plus. Tu n’as pas à savoir… Roxane ne voulait pas imaginer la catastrophe, sinon…Leur route se croiserait peut-être un jour, et s’il apprenait que l’homme en face de lui était Rasinar, peut-être aurait-il envie de lui déglinguer la figure… Ou pire ! Si elle lui disait là maintenant qu’il était mercenaire, il risquait de ne plus vouloir l’approcher, la prenant pour une traître. Ses pensées se tournèrent alors vers Rasinar, justement. Il lui manquait, terriblement. Habituée à porter un masque pour se cacher derrière ses réels sentiments, elle ne montrait à personne dans quel état elle se trouvait parfois. La jeune femme avait espérer que ce ne soit qu’un amour sans lendemain, qu’elle l’oublierait au bout du troisième jour. Mais rien n’était. Elle en crevait de ne pas le voir. De ne pas pouvoir le sentir, le caresser ou l’embrasser. Il lui arrivait de pleurer la nuit, lorsqu’elle était seule et qu’elle était sure que personne ne viendrait la déranger. Car jamais elle ne pourrait dire ce qu’elle ressentait au fond de son cœur. Personne ne pourrait comprendre pourquoi elle s’était entichée d’un mercenaire. Personne. | | | 11.03.12 19:10 Être rêveuse…C’est quoi ? Hé bien…
Eris vit que Roxane avait du mal à trouver ses mots. La poésie marchombre l'aiderait sûrement, mais elle n'en était pas une… Il pourrait peut être l'attirer sur la voie et… Non, Il chassa cette idée absurde de sa tête. À présent, l'homme attendait une réaction sur sa subite déclaration d'amour. Elle se contenta de dire:
-C’est merveilleux, si tu savais…Le regard pleins de reconnaissances des personnes que tu soignes, ou celui des personnes qui viennent d’être mère…Donner naissance à un bébé c’est…waw ! Bon, je te l’accorde, après tu as les mains pleins de sang et c’est dégelasse…
Elle plongea ses yeux dans ce compréhensif du d'Eris avant de lancer :
-Mais ça vaut le coup, vraiment. Je n’oublie jamais une seule personne que je soigne, comme elles ne m’oublient pas. C’est quelque chose d’extraordinaire que d’être rêveur, même si au départ j’ai eu du mal à me faire accepter, étant une femme…
Il vit Roxane hésiter puis ajouter la tête baissée:
-Je suis amoureuse d’une personne, déjà. Je peux te dire son prénom si tu le souhaites, mais je ne te dirais rien de plus. Tu n’as pas à savoir…
La Eris eut du mal à déglutir… C'était sans aucun doute un mercenaire: cette femme rieuse et magnifique serait près à dévoiler sa vie à n'importe qui. Sauf si cela mettait quelqu'un en danger. Elle pensait sûrement qu'il la tuerai si il savait qu'elle aimait un Mercenaire Du Chaos … Il n'en sera rien. Il ne tarda pas à lui faire savoir:
-Je m'intéresserait en effet au nom de votre ami. Mais sachez que son statue de mercenaire ne changera rien à nos relation trop peut développées à mon goût. Je ne lui casserai pas non plus la figure si je le croise rassurez-vous.
La femme était bouche bée. Elle ne s'attendait sûrement pas à ce qu'il la mette à nue comme ça. Il plaça aussitôt sa mais sur son visage. Il venait de se rendre comte d'une grosse boulette.
- Je souhaiterai que l'on se tutoie. Et vous ?
Il n'écouta pas la réponse il la savait affirmative. Sue ce ils se mirent en route vers l'auberge dans un voyage rythmer par des blagues tantôt drôle tantôt écœurante. Enfin arrivés à l'auberge, nos amis descendirent de leurs chevaux …
[HRP: Mon maître est jouable par toi et moi ok ? ]
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| 28.04.12 12:15 -Je m'intéresserais en effet au nom de votre ami. Mais sachez que son statut de mercenaire ne changera rien à nos relations trop peut développées à mon goût. Je ne lui casserai pas non plus la figure si je le croise, rassurez-vous. Roxane le regarda, bouche-bée. Comment avait-il pu deviner que son amoureux était un mercenaire ? Elle ne lui avait absolument rien dit pour qu’il y pense. A moins d’être vraiment doué, elle ne voyait pas comment il pouvait savoir ainsi tant de choses en si peu de mots. Mais elle ne s’en formalisa pas, rassurée qu’il lui promette de ne pas toucher à Rasinar. Enfin, vous savez comment elle est… Tellement crédule et naïve. Peut-être qu’effectivement, Eris s’en tiendrait à ce qu’il avait dit. Ainsi, si un beau jour il rencontrerait le mercenaire, il ne ferait que lui parler gaiement ou passer son chemin, ce qui, à mon avis, était fort peu probable. Mais la demoiselle était ainsi tellement innocente que l’idée qu’il ait pu lui mentir ne lui traversa même pas l’esprit. -Je souhaiterais que l'on se tutoie. Et vous ?
-Oh, bien sur. C’est vrai que toutes ses formalités ! Ils partirent ainsi gaiement en direction du prochain village, parlant et plaisantant ensemble comme de bons vieux amis. Après une ou deux heures de ballade à cheval, ils arrivèrent en vue d’une auberge. Ils descendirent ainsi de leur monture et les donnèrent à un palefrenier pour qu’il s’en occupe comme il le devait. Ils le payèrent ainsi en avance et entrèrent dans l’énorme bâtisse. La décoration à l’intérieur était fort simple, comparée à l’extérieur où la technique de construction avait été mise à l’effort. Des tables basses en bois, ornées toutes d’une seule fleur dans un pauvre vase tenaient lieu en tout meuble. Le tavernier possédait sans aucun doute une immense armoire où il entreposait verre et assiette mais l’ensemble en était tout de même assez pauvre. Roxane regarda autour d’elle, cherchant un homme qui aurait pu avoir l’allure d’un maître marchombre mais Eris l’attira vers une table mise à l’écart où une personne attendait, un verre posé devant lui. Ils s’assirent dans un ensemble parfait et la jeune fille commença à parler : -Bonjour ! Enchantée. Je suis Roxane, rêveuse, et j’accompagne ici Eris qui devrait être votre élève…Enfin, si vous êtes bien son maître. Si vous l’êtes pas, tant pis pour vous ! Ces informations vous seront complètement inutiles. Elle se tut, attendant une réaction quelconque mais comme il ne répondit rien, elle reprit, plus sérieuse : -Eris a été attaqué par des bandits, je pense. Enfin, bref, il a réussi à se traîner-littéralement-jusqu’à la forteresse des rêveurs et je l’ai pris moi-même en charge. Voilà. La rêveuse sourit. Elle n’avait aucune idée si elle avait le droit de parler ainsi à un maître marchombre. Mais bon, comme elle l’avait dit ‘les formalités’… [Hs : sorry, panne d’idées ^^’] | | | 07.05.12 17:50 [HS= je vais parlé d'une parti qui est pas décrite dans ton truc à un moment… Mon maître est un PNJ jouable par tous le monde… Mais respecte le fait que c'est un maître marchombre ^^. Je dit que tu m'a donné le nom de Rasindar… Si sa te dérange, envoie un mp]
Quand il arriva au village Il chercherent vivement l'auberge qui avait comme nom "La grenouille qui vole ^^) ou ils avaient rendez-vous. Soudain, une questions revint à l'esprit d'Eris…
Au fait , qui est votre petit-ami ???
Il l'entendit qui répondait vivement un nom que Eris tacha de retenir…
***
Quelque seconde plus tard Il trouvent enfin l'auberge. Ils y entrèrent sans problèmes. L'auberge était vraiment en piteux état. On y voyait des alcolos avachis sur leur table. Il y
avait même un homme aparament mort au sol.
- Mais pourquoi Alestonn m'a-il condit ici … Murmura Eris pour lui même…
Il jeta un œil à la rêveuse. Elle n'avait pas vu cela. Heuresement, transporter un corps évanouie n'a jamais était génial… Son maître attendait à une table. Il attira Roxane à celle-ci. Lorsqu'elle vu l'homme assis face au marchombre, elle pris la parole.
-Bonjour ! Enchantée. Je suis Roxane, rêveuse, et j’accompagne ici Eris qui devrait être votre élève…Enfin, si vous êtes bien son maître. Si vous l’êtes pas, tant pis pour vous ! Ces informations vous seront complètement inutiles.
Ces mots tirairent un sourire aux deux hommes… Elle continua:
-Eris a été attaqué par des bandits, je pense. Enfin, bref, il a réussi à se traîner-littéralement-jusqu’à la forteresse des rêveurs et je l’ai pris moi-même en charge. Voilà.
Le maître marchombre failli prendre la parole mais son apprenti le coupa:
-Alestonn, voici Roxane… Une… amie à moi. Roxy, je te présente mon ancien maître, Alestonn…
Eri!s se mordit les lèvres jusque au sang.
Roxane, désoler pour ce surnom… C'est sortit comme ça, Je vous… te pris de m'excuser…
Elle répondit quelque chose que Eris ne pris pas la peine d'écouter…
-Enchanter, commença le maître en tendant une main vers la jeune femme. Mais celle – ci n'eu pas le temps de la serrer car un alcoolique se tenait derrière Eris. Il s'écria:
-Une femme dans c'toberge ??? Ah,ah,ah. F''zais longtemps q'javais pas vu n'paire d'sein Eheh.
La remarque fit rire un bon nombre de personne.
-Approche un peu que j'te montre un truc cool. Repris l'individu peu fréquentable.
Eris sorti ces dagues…
Au même moment, u!ne nuée de personnes se levèrent et s'amassèrent devant Eris telle des zombies face à de la viande fraîche… le marchombre passa au combats…
***
Quelque seconde plus tard, 18 blessé grave se tordaient au sol, 3 mort gisaient dans une mare de sang face à la mine décomposer de la réveuse.
-Alors ???
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