-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

 :: Côté Hors-Jeu :: RP d'Antan :: Nord Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Fraîcheur de la nuit.Enlacement de la bête.Froid. [Delarmus
avatar
Invité
Invité



24.10.12 0:22
Il étais tôt. Je n'avais presque pas dormis de la nuit. J'étais dans mon labo dans la Forteresse du Chaos. Il y avait deux personne enchaîné au mur, Sur une grande table en bois qui mesurait dans les deux mètres de longueur et un mètre cinquante s'étendait un cadavre à moitié disséqué. Sur le plan de travail on pouvais apercevoir des plantes, une sarbacanes, des flèches et des fioles contenants des liquides de toutes les couleurs. J'attrapa une seringue sur une étagère fixée au mur, pris du liquide orange, regarda les deux personnes enchaînées. Il y'avait une femme d'une trentaine d'années et un homme âgé. On pouvais lire dans leur regard une crainte et il poussaient des gémissements et pleuraient a moitié.
- LA FERME !! je criai.
-Bon tu veux pas vu que tu n'as pas trop l'aire de te dédier de te calmer je vais te faire une petite injection
Je pris le bras de la femme et y inséra le liquide orange.
Elle commença à avoir des convulsion et du sang lui sortit du nez et des oreilles.
Elle lâcha à plusieurs reprise des cries de douleurs, commença à avoir les yeux rouges et décéda.Le vieillard la regarda les yeux grand ouvert.
-Mon poison de mort est enfin prêt. Mais il me manque plus qu'une chose et ma collection sera finit.
-Je vais partir en voyage Mais ne t’inquiète pas je ne vais pas te laisser mourir de faim. Un rictus mauvais s’afficha sur mon visage.
Je pris mon couteaux. Cette lame je l'avais achetée quand j'avais treize ans, je ne m'en était jamais séparé. Je pris je bras gauche de l'homme et lui tranchai les veines, pris mes fléchettes, ma sarbacane, mon Katana sortis du laboratoire ferma la porte à clef et parti dans ma chambre me reposer car le lendemain s'annonçait  long je devais trouver deux ou trois personnes pour m'accompagner aux frontières de glace pour capturer une goule pour comprendre d''ou viens le froid qu'elle génère en touchant une personne. Je m'étais bien préparé à cette expédition. Je savais comment tuer une goule. Dans mon lit je pensa aux personnes pour m’accompagner j'avais pensé à Daëlia Nörel qui était une mercenaire reconnut. Il risquait d'y avoir des dégâts donc un rêveur ne serait pas de trop. Mais il me tardais que deux choses: Dormir et attraper cette goule. Le sommeil m'emporta sans fin, lourd , désagréable et remplits de cauchemars horrible.

Edit Lulu: Delarmus, attention à ton orthographe. Et relis peut-être tes prochains rp avant de les poster, il y a des phrases incohérentes. Je te rappelle aussi que les chiffres comme "13 ans", dans un texte, s'écrivent en lettres, "treize ans". Et, enfin, au passé simple, la finale n'est pas -a à la première personne du singulier (pas "je cria"), mais -ai ("je criai"). Si tu n'es pas certain de ta conjugaison, tu peux utiliser ce site pour te dépanner: http://leconjugueur.lefigaro.fr/conjugaison/verbe/crier.html
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité



24.10.12 20:39
À Al-Jeit, après un dîner (trop) bourratif.

Assise sur un banc, seule. Je regardais les gens passer. Le ventre plein qui hurlait presque de douleur. J'avais englouti mon repas avec d'une vitesse effroyable, et maintenant, mon estomac faisait des bruits étranges. Des genre de gargouillis bitouillis craquouillis patouillis flatouillis.
Affalée sur un banc. Sur une place peuplée. J'aimais à focaliser mon attention sur une personne précise et décrypter la signification de chaque geste.

Celui-ci par exemple; habillé de noir, discret, les cheveux courts et blonds. Il marchait d'un pas assuré. Mais il porta au moins trois fois la main à sa bourse, en traversant la place. Ce qui trahissait une certaine anxiété. Peut être avait il simplement peur pour son argent mais on pouvait aussi émettre l'hypothèse qu'il y avait dedans quelque chose de bien plus précieux. De rare...
Cette autre, une jeune fille d'une quinzaine d'années, les cheveux châtains, mi-longs. Un petit sac violet sur l'épaule. Celle ci marchait d'un pas tranquille, calme, le visage serein. Elle semblait avoir une vie normale comme un habitant ordinaire de la capitale. Mais souvent, ce sont ceux qui le cachent le mieux qui le sont le moins, ordinaires...

Je décidais de me lever et de me balader dans les rues, sans suivre un itinéraire précis. Cela faisait quelques semaines que je tournais en rond, n'ayant pour le moment ni mission, ni traque, ni aventure. Et je commençais à m'ennuyer sérieusement. Cette ville avait beau être magnifique et pleine de ressource, j'en avais marre.

Je repensais à ce que j'avais vécu quelques mois plus tôt aux côtés de Ace D'Ometa et de Seiko, ce grand homme étrange et si difficile à comprendre...

Mes pas me guidèrent devant une petite auberge où je décidais de prendre une chambre pour le soir. « La souris chauve ». Ce nom me plaisait !
Je ressortis, le soleil commençait à redescendre, et une brise se levait. Je me mis à marcher vers la sortie d'Al-Jeit, décidée à aller courir dans la forêt, pour me maintenir en forme. Je m'entraînerais ensuite au lancer, puis je ferais quelques étirements, histoire de bien fini la journée. Je surpris un doux sourire sur mes lèvres, le calme me faisait finalement autant de bien que l'action.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité



26.10.12 21:51


Je serais sage...

Fraîcheur de la nuit.Enlacement de la bête.Froid. [Delarmus 20785822t

« C’est quoi ça ? » demandai-je

Je me tournai vers Moon en désignant mon armoire. Elle sourit, haussa les sourcils avec un air ravie. Moi aussi, je haussais les sourcils mais avec l’air de dire « C’est quoi ce délire ? ». Pom pote, le chat était tranquille en train de dormir sur le lit.

« Non mais franchement, c’est quoi ça Moon ? » insistai-je

Mon amie venait de revenir de mission et Kem lui, était partit le matin même. Et là, j’étais entré pour me changer parce que j’avais fait une tâche sur mon tee-shirt en cuisinant. J’avai ouvert mon placard et découvert que tous mes anciens vêtements avaient disparue et avaient été remplacés par des trucs très sexy. Genre des habits moulants, transparent et avec de très grands décolletés ! Ou alors complètement excentrique. Et heureusement quelque truc à peu près normal…

« Avant de rentrer je suis allé faire du shoping, commença la mercenaire, Et puis je me suis dit que tu n’avais plus tellement de vêtements et donc j’ai renouvelé ta garde-robe.
-Et avec quel argent ? demandai-je
-La facture et sur ta table de nuit. » dit-elle avant de partir en riant

J’allais chercher le papier et je le reposais immédiatement. Cinglée ! Complètement frappée cette fille. Qu’est-ce qu’allait dire Kem ? Oh… Il allait être ravi bien sûr vu mes nouveaux vêtements et je sentais que son regard allait souvent descendre.
Je sortis de la chambre en soupirant et entrais dans la cuisine. Dan était là, en train de déjeuner parce qu’il venait de se lever. Ses cheveux étaient très, très en bataille, on avait l’impression que quelque chose avait explosé sur sa tête. Je pouffais en le voyant alors que Moon relevait ses yeux de ses ongles qu’elle était en train de limer.

« Ouais t’as vu. Je me demande comme il dort en fait… » dit-elle avant de se replonger dans son activité siiii intéressante

Mon cousin répliqua par un bien joli grognement qui signifiait sûrement « M’emmerde pas je m’en de me lever. » Je souris et enlevai son assiette de la table parce que je sentais qu’il allait finir par se rendormir et se retrouver avec la tête dedans. Kem commençait déjà me manquer. Reviens mon mercenaire d’amuuuur ! J’ai peur ! J’ai peur du noir et puis de mon cousin aussi quand il a une tête de quelqu’un qui se shoote aux fleurs ! Non bon sérieusement. J’étais surtout inquiète pour lui. Vu qu’il devait attirer autant de problèmes que moi j’avais peur que ça finisse mal.
Je fis un tour des blessées qui était chez moi en ce moment puis je me rendis dans la salle du piano et je me mis à jouer. Il fallait que j’en fasse régulièrement pour éviter d’oublier. Puis ce fut au tour du violon que Kem m’avait offert. Entre le souvenir de la main coupée de mon oncle me revint en mémoire ainsi que le marché qu’il avait proposé à Viladra. Je me retins de fracasser l’instrument contre le mur sous l’effet de la rage. Ok c’était de ma faute tout ça mais ce n’était quand même pas une raison pour proposer ma mort en échange de sa liberté. Surtout que je lui faisais confiance…
Je chassai rapidement son image de ma tête en reprenant mon morceau. Zen poulette, zen !

•••

Le lendemain je me levais tôt, c’est le chat qui m’avait réveillé pour sortir. J’avais oublié qu’il était là et j’avais fermé la porte. Et pas d’accès à la gamelle veut dire un réveil matinal par le minou. Je me trainai donc hors du lit, à limite de ramper. J’étais une marmotte moi, il fallait me laisser dormir ! Après m’être recoucher et avoir attendu un certain temps, je me fis à l’évidence. Je n’arriverai pas à me rendormir. Alors je me mis à passer en revue tous mes nouveaux habits. Il fallait que je trouve des trucs à peu près normaux là ! Je n’allais pas me trimballer avec un chemisier super transparent quand même ! Je finis par trouver une chemise à carreau et un jean à bretelle. Bien sûr les bretelles il fallait les laisser pendre, sinon, beurk !
Ensuite vinrent les chaussures. Je faillis aller étrangler Moon mais je me retins en me répétant que j’étais une petit non-violente toute mimi pas méchante que je ne devais pas aller butter la conne qui ne m’avait laissé que deux paires de chaussures plates. Bon ok, un peu de plus quand même mais bon…. Surtout que les talons des autres étaient pour la plupart très hauts. Voir très, très hauts. J’avais l’habitude d’en mettre mais quand même !
Même si je n’arrêtais pas de râler à cause ça, je pris quand même une paire avec des talons parce qu’elle allait bien avec le reste de mes habits.
Je sortis de ma chambre avec avoir arrangé mes cheveux et je trouvais Moon et Dan en pleine euh… Je ne savais pas trop si c’était un jeu ou une dispute. Ils étaient en train de s’ébouriffer les cheveux. Le but devait être que l’un ne touche pas la chevelure de l’autre et inversement. Je haussais un sourcil puis je levais les yeux au ciel.

« -Oh les gamins vous pourriez arrêter un peu de vous disputer. commençai-je, Dîtes, c’était pas censé être moi la plus jeune ?
-Oh ! Si tu avais été là avant je suis sûr que tu serais en train de faire la même chose que nous. dit Moon
-Ah non non ! Je crois pas non.
-Si ! T’aurais même pu commencer ! ajouta Dan
-Toi le méchant roux tu te tais !
-T’es rousse aussi je te rappelle !
-Ouais mais je suis pas méchante.
-Ça c’est encore à voir… »

Quelqu’un frappa à la porte et nous nous arrêtâmes. J’allai ouvrir et je me retrouvai face à un homme grand aux longs cheveux noirs et aux yeux sombres. Il avait l’air ténébreux.

« Bonjour. dis-je, Je peux vous aider ? Quelqu’un ait blessé ? »

Je souris, un grand sourire je pense assez triste. Depuis que j’étais ici, avoir des blessés me rappelaient sans cesse où j’étais. Je ne me trouvais plus à Fériane où on soignait ceux qui étaient blessés par les « méchants ». Non, maintenant, c’était eux que je soignais, les mercenaires… Eux pour qui tuer étaient quelque chose de quotidien, pour qui torturer était un jeu. Depuis le début tout ça me dégoutait et j’avais tenté en vain de me rebeller. Résultat, ça n’avait rien changé et mon oncle n’avait plus qu’une main. Ah si. Kem, Dan et peut être Moon, ils n’étaient pas comme les autres, pas aussi froids et plutôt attachants. Je les aimais beaucoup.
Mais maintenant je m’étais promis de me tenir tranquille pour éviter les problèmes. Alors maintenant je ne remballais plus les mercenaires, je me montrais simplement poli. Rester digne, se tenir droite, ne pas craquer. C’était difficile des fois. J’avais envie de les remballer, de voir leurs visages se décomposaient en comprenant que je les avais eu. Le regard que je portais sur le mercenaire devait sûrement se faire un peu suppliant. Aucune peur de l’habiter. Ca faisait longtemps qu’elle m’avait quitté quand je regardais tous ces gens si dangereux ici. Non, je voulais juste qu’il soit intelligent, qu’il ne m’énerve pas. Derrière moi, j’entendis Moon et Dan s’éloigner. Je reportais mon attention sur le mercenaire alors qu’il ouvrait la bouche pour me répondre.








Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers: