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Rencontre mouvementée [Erys & Eilar]
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26.02.13 17:32


Je marchais d'un pas rapide dans les rues bondés d'Al-jeit en cette heure de fin d'après-midi, bousculant ceux qui avaient le mauvaise idée de se trouver sur mon chemin sans me soucier le moins du monde de leurs râlements et insultes en tous genres. J'étais à la recherche de cette maudite taverne qui restait introuvable, ce qui avait le don de m'énerver encore plus que je ne l'étais déjà. Je tenais Dialm par la bride, ce dernier soufflait bruyamment, récupérant de sa course endiablée. La raison de cette course ? Et bien j'étais en colère. Tout simplement. La raison de cette colère ? Ça c'était moins simple.

Début de journée ~ Flash Back
Je me levais et m'étirer en accrochant mon épée à ma taille. Le soleil commençait tout juste à se lever et la plupart des gens du convoi dormaient encore. La plupart, l'autre partie dont je faisais partie commençait à s'éveiller tranquillement. Enfin moi je ne me réveillais pas. J'avais été de garde cette nuit et ayant pris le dernier tour avec un autre guerrier, j'avais passé la fin de la nuit à veillé. Le convoi dans lequel je me suis engagé à Al-Vor à un maître caravanier très stricte qui ne rigole pas avec l'attitude à adopter et ne supporte pas les bagarres. Ce qui avait le don de m’exaspérer car quelques personnes ici, mérite qu'on les remettent à leurs places. En particulier un chevalier qui me tourne autour depuis le début du voyage. Il mérite au moins trois baffes si ce n'est plus. Les regards noirs que je lui lance ne semble pas l’arrêter et il n'a apparemment pas compris que je ne suis pas très bavarde, surtout avec les gens comme lui.

Une fois que la totalité des chariots sont prêts à reprendre la route, le voyage continue, sans incident qui pourrait venir mettre un peu de piment dans l'histoire. Nous nous arrêtons rapidement dans un village à proximité de l'Arche aux alentours de midi. Rapidement, mais suffisamment longtemps pour que j'ai le temps de me rendre dans une taverne pour boire un verre. Alors que je m'appuie sur le comptoir et commande une bière, je sens une main sur mon épaule et une voie qui me propose de ma payer ma commande. Horreur ! Moi qui espérais passer un moment tranquille, il à fallut que ce pot de colle de guerrier me suive ! Je lui réponds alors dune voie froide.

Merci beaucoup, mais cela m'étonnerait beaucoup que tu ais assez d'argent pour payer deux verres vu tes habits miteux et ton apparence qui va avec.

Pas très sympa, mais ça à le don de lui enlever les mots. Il me regarde avec des yeux légèrement écarquillés. Il fait alors quelque chose qu'il n'aurait JA-MAIS du faire ! Je sens sa main fouettait ma joue droite. Il m'a giflé ! Cet abruti m'a giflé ! Ni une, ni deux, je repose mon verre sur le comptoir et mon poing par à une vitesse fulgurante vers son visage et écrase son nez dans un craquement écœurant. Alors qu'il porte ses mains à son visage, mon poing percute une deuxième fois son corps de raï, mais dans les côtes cette fois-ci. Il se plie en deux et je remonte mon genoux en plein dans son visage. Il se recule alors précipitamment de moi, mais les quelques ivrognes qui se trouvent dans la taverne le repousse vers moi pour que la baston continue. Je le saisi alors par les cheveux et approche ma bouche de son oreille.

Je te conseille de ne ja-mais recommencer ce que tu viens de faire. Retiens le bien

Je le lâche et sors de la pièce pour retourner là ou le convoi s'est arrêté. Non mais oh ! Pour qui il se prend celui là ? Depuis quand on frappe les gens comme ça ? C'était moi qui avait cogné le plus fort, certes, mais j'avais une raison : Il m'avait frappé le premier ! Et j’espérais que cela allait le dissuader de m'approcher à nouveau. En arrivant près des chariots, j'aperçus en face de moi la victime de mes coups. Il n'avait pas perdu de temps avant de revenir dis donc ! Et là je compris. Il parlait avec le maître caravanier en tenant un mouchoir contre son nez pour éponger le sang. Le marchand ce dirigea vers moi et m’annonça que le convoi avait été attaqué par une bande de brigands. Il n'y avait eu aucun mort, juste quelques blessés, mais il était hors de lui parce que pendant que nous nous tapions dessus dans une taverne au lieu de faire notre boulot -protéger le convoi- ils étaient obligés de le faire à notre place. Et la … Il m’annonça qu'il ne voulait plus me voir ici ! Je ne sais pas ce qui m'a retenu de le frapper, mais je m'étonne encore de ne pas l'avoir fait. Il ne m'a même pas payer ! Et voilà comment j'avais quitté le convoi sur le dos de Dialm lancé au galop en direction d'Al-Jeit.


Fin du flash-back

Et maintenant je suis dans Al-Jeit, toujours en colère. Et une thülle en colère ne présage rien de bon. La preuve avec ce qui s'est passé ce matin. J'arrivais sur la place principale et aperçu une pancarte de bois indiquant le nom de la taverne que je cherchais. En poussant la porte, je me dis que si je croisais le chevalier à cause duquel j'avais été viré du convoi, il aurait droit à une bonne leçon. L'auberge était assez agréable en soit et il y faisait bon. Près du comptoir, un tas de chevalier et autres voyageurs étaient rassemblés autour de ce qui semblait être une bonne bagarre. Je me faufilais parmi les tas de muscles qui se trouvait là et me plaçais au premier rang au côté d'une jeune femme. Au centre du cercle formait par les clients, deux hommes utilisés leurs poings pour défendre sûrement leur honneur. L'un avait des cheveux coupés courts et châtains et étaient au sol tandis que l'autre avait des cheveux bruns mi-longs et semblait attendre que son adversaire se relève. Je me tournais vers la jeune femme à mes côtés et pris la parole.

Qu'elle est la raison de cette histoire si je puis me permettre ? Je te propose que l'on intervienne, qu'est ce que tu en dis ?

Un sourire narquois se dessina sur mes lèvres. Habituellement, je n'étais pas aussi enthousiaste, mais là j'avais besoin d'évacuer les événements de la journée ...


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03.03.13 19:17




Eilar rit en réponse à la plaisanterie qu’on venait de lui servir, et resservit son auteur d’un geste assuré. Lui ne buvait pas, ce qui ne l’empêchait pas de s’intégrer parfaitement aux éternelles festivités du Chevalier Qui Gondole. Une taverne. Le meilleur endroit pour passer le temps lorsqu’aucun combat intéressant ne se profilait à l’horizon.

- Je t’ai sûrement déjà raconté, mais une fois on m’a défié au Haman-Lô. Ces joueurs sont vraiment d’une mauvaise foi ! Paraîtrait que le carré d’ « A » n’est pas une figure !

Le chevalier et ses voisins quelque peu éméchés rirent sans retenue. L’un d’entre eux s’apprêta à prendre la parole lorsqu’un cri se fit entendre :

- Je te dis que je suis invincible ! Personne ici ne pourrait me battre !

Pour appuyer ses propos, le brailleur balaya du regard la salle. Et s’arrêta sur le sourire insolent d’Eilar, qui ne se trouvait qu’à deux tables de distance. Son joli visage était déformé par un horrible rictus en lieu et place du joyeux sourire qui y trônait habituellement. Béric avait encore trop bu. Sans se soucier des ivrognes ricanant derrière l’inconscient, le guerrier à la hallebarde soutint son regard, élargissant lentement son sourire. Cela allait très probablement…

- Eilaaaar ! Te fous pas de moi, tu fais pas le poids ! Viens, je vais te montrer !
- Non ! Non, je suis pas très en forme là, Béric. Une autre fois ?

Si son ton modeste et ses paroles fuyantes auraient pu égarer un niais,, son regard et son sourire éclatants ne pouvaient tromper ceux qui avaient une vue sur le visage de l’insolent.

- Lâche ! Tu te défiles ! J’ai entendu que tu te battais comme un puceau ! Ca serait pas pour ça ?
- J’ai pas très bien entendu Béric. Mais je crois que tu m’as insulté, non ?

Habitués, les spectateurs s’écartèrent, certains avec flegme, d’autres impatients d’assister au duel. Béric envoya quelques chaises valser, tandis que des volontaires aidaient Eilar à déplacer les tables pour délimiter les limites du terrain.

- Hey, c’est à mains nues, Nelan !
- J’espère que ton corps est plus développé que ta mémoire, Roner ! Rassure-toi, je la garderai dans mon dos.

Eon adversaire grommela, et s’avança en même temps que lui, préparant sa garde. Et voilà le combat suivant la fête. Il était gâté.
Si Béric était effectivement reconnu comme étant un combattant honorable, ses talents martiaux ne concernaient hélas que sa propre arme favorite, la masse d’armes. D’autant plus qu’il avait bu. Comme s’y attendaient les petits malins qui l’avaient poussé à forcer la dose, Béric partait avec un sérieux handicap, sans compter les aptitudes de son adversaire au combat sans armes. Si tous deux avaient combattus avec celles-ci, Béric aurait eu ses chances. Mais dans ses circonstances, il était bien le seul à ignorer la suite.

Eilar esquiva un crochet du droit en se penchant, et frappa du poing sous la cage thoracique, manquant de couper la respiration de son adversaire. Qui recula prudemment, avant de repartir à l’assaut, tentant cette fois un uppercut. Le coup fut dévié, et la tempe de Béric rencontra prestement un main peu amicale. Le malheureux s’écroula lorsqu’il sentit une de ses jambes cesser mystérieusement d’adhérer au sol.

L’assistance était partagée entre cris ravis et soupirs déçus. Le combat avait été court. Eilar lui-même se dit que l’affrontement n’avait pas été très loyal…

- Pas mal ! Nous sommes désormais partagés : Eilar est-il vraiment un homme, ou est-ce que Béric était tout simplement trop faible ? Si Eilar avait bu…

La voix ironique venait d’un rassemblement de spectateurs si dense qu’il n’était pas possible d’en déterminer la source exacte. Le chevalier répondit immédiatement, d’un ton faussement peiné :

- Je suis soupçonné d’être puceau quand même, c’est ça ? Que voulez-vous, c’est vrai ! Et vous savez pourquoi ? C’est toujours pareil : elles demandent toujours de choisir entre leur lit et ma hallebarde ! Le choix est hélas vite fait.

En rire provenant d’un festif connaissant bien Eilar surgit, et la contagion se répandit rapidement, tandis que son objet tendait la main pour aider Béric reprenant conscience à se relever.




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06.03.13 17:42
Erys était accoudée au bar du « Chevalier qui Gondole » lorsque la bagarre éclata. Elle venait de rentrer à Al-Jeit (comme à chaque fois qu’elle atteignait la ville, elle était émerveillée par l’Arche et les bâtiments) après une mission assez compliquée et éprouvante et avait eu besoin de se détendre. Elle s’était donc tout naturellement rendue à l’auberge qui constituait le tripot des Chevaliers. Elle n’y était pas une franche habituée, loin de là même, mais commençait à connaitre du monde et, surtout, à connaitre le type d’ambiance qui y régnait. D’ailleurs, elle était très reconnaissante envers l’aubergiste de les laisser se défouler. La plupart de ceux qu’elle connaissait aurait directement foutu à la porte la bande de joyeux lurons qu’était les chevaliers tandis que celui-ci acceptait gaiement les bagarres et les verres cassés qui étaient le lot quotidien de la taverne.

La jeune femme était donc en train de siroter tranquillement son verre de bière en discutant avec son compagnon de bar, un gentil gars dont elle avait fait la rencontre quelques temps auparavant, lorsque les premières provocations fusèrent.


- Eilaaaar ! beugla un chevalier, passablement ivre au vu du son de sa voix. Te fous pas de moi, tu fais pas le poids ! Viens, je vais te montrer !

- Non ! Non, je suis pas très en forme là, Béric. Une autre fois ?

Elle fronça les sourcils. Elle ne voyait pas le « Eilar » en question mais il avait tout l’air d’être un pleutre indigne s’il refusait une bonne bagarre ! Qu’est-ce qu’il fichait ici ?

- Lâche ! Tu te défiles ! J’ai entendu que tu te battais comme un puceau ! Ca serait pas pour ça ?

- J’ai pas très bien entendu Béric. Mais je crois que tu m’as insulté, non ?

Erys sourit. Elle préférait ça ! Une bonne bagarre se profilait. Comme son compagnon de bar, elle s’approcha des deux hommes, son verre encore en main et se fraya un passage au milieu de la foule qui commençait à se former. Sa chope lui échappa des mains pendant ce temps et elle jeta un coup d’œil courroucé au responsable. Enfin, elle se trouva au premier rang après avoir perdu son ami dans la foule.

Elle découvrit avec étonnement que le plus sobre des deux, sans doute Eilar, portait une hallebarde. Etrange arme pour un chevalier… Mais elle n’était pas des mieux placées pour faire une remarque. Elle ne fut pas la seule à s’apercevoir de la présence de l’arme non conventionnelle, puisque le dénommé Béric lança :


- Hey, c’est à mains nues, Nelan !

- J’espère que ton corps est plus développé que ta mémoire, Roner ! Rassure-toi, je la garderai dans mon dos.

Erys haussa un sourcil. Allons bon, ainsi ce n’était pas la première fois qu’ils se défiaient ? Bah, elle aurait pu s’en douter, s’ils étaient des amateurs de la taverne. Des bagarres éclataient tout le temps et pour n’importe quoi au Chevalier qui Gondole.

Au bout de quelques secondes, une jeune femme vint se placer aux côtés d'Erys, suivant le combat d'un regard brillant. Après un instant, elle se tourna vers celle-ci et demanda :


- Qu'elle est la raison de cette histoire si je puis me permettre ? Je te propose que l'on intervienne, qu'est ce que tu en dis ?

Erys détailla son vis-à-vis. Une jeune femme brune qui, de toute évidence, n’était pas chevalier. Cela se sentait à… quelque chose. Elle ne savait pas trop quoi. L’inconnue était une guerrière sans aucun doute, mais elle n’avait pas ce truc que dégageaient ceux de sa guilde. Que venait-elle faire ici alors ? Elle se promit de lui demander et répondit :

- Le saoul là-bas a déclaré que Mister hallebarde se battait comme un puceau. Mais je suppose qu'ils auraient trouvé un moyen de se battre même sans ça, fit Erys en haussant les épaules. Quant à intervenir... Ben, pas de bol c'est fini.

En effet, pendant que les deux demoiselles discutaient, le chevalier insulté avait envoyé l'autre au sol. L'adversaire vaincu avait l'air de se demander comment il était arrivé là et la nouvelle venue afficha un air déçu.

- Pas mal ! Nous sommes désormais partagés : Eilar est-il vraiment un homme, ou est-ce que Béric était tout simplement trop faible ? Si Eilar avait bu…

La voix s'était élevée quelque part sur la gauche, volontairement blessante. Eilar aurait-il des relations pas très cordiales avec certains chevaliers ?

- Je suis soupçonné d’être puceau quand même, c’est ça ? Que voulez-vous, c’est vrai ! Et vous savez pourquoi ? C’est toujours pareil : elles demandent toujours de choisir entre leur lit et ma hallebarde ! Le choix est hélas vite fait.

Un premier rire retentit derrière elles, bientôt suivi de l'assistance entière tandis qu’Erys se contentait d’un sourire. Visiblement, le gaillard ne manquait pas d’humour. Elle s’avança :

- C’est que tu ne choisis pas les bonnes femmes, Eilar (puisque tel était son nom autant l’employer). Moi, je ne refuserai pas cette belle hallebarde mais t’accepter toi ça reste à voir, plaisanta-t-elle.

Béric, qui s’était relevé, éclata d’un rire d’ivrogne avant d’aller se laisser tomber sur le banc le plus proche, manquant d’en tomber à la renverse.


- Je m’appelle Erys. Et ton joujou a une sacrée gueule, dommage que tu ne t’en sois pas servi. C’aurait pu être très intéressant.
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09.03.13 0:10


Le saoul là-bas a déclaré que Mister hallebarde se battait comme un puceau. Mais je suppose qu'ils auraient trouvé un moyen de se battre même sans ça.

Je haussais les sourcils. Mister hallebarde ? Se battre comme un puceau ? C'était vraiment une drôle d'histoire ... Je reportais alors mon attention sur le combat. Mister hallebarde comme l'avait appelée la guerrière à mes côtés se baissa pour éviter le poing de son adversaire et frappa juste sous les côtes de l'autre avant de dévier un second et dernier coup de la par de celui qui avait du le provoquer. Ce dernier se retrouva par la suite sur le sol, une main sur la tempe. 

Quant à intervenir... Ben, pas de bol c'est fini.

Oui, en effet c'était fini. J'affichais une expression decue et un soupir franchit mes lèvres. Le combat avait été court. Bien trop court pour que je puisse en profiter. Même pas assez long pour avoir le temps d'intervenir et que cela finisse en baston générale ... Une voie s'éleva alors dans la salle.

Pas mal ! Nous sommes désormais partagés : Eilar est-il vraiment un homme, ou est-ce que Béric était tout simplement trop faible ? Si Eilar avait bu…

Peut être que ... Avant que j'ai pu éspérer quoi que ce soit concernant un nouvel affrontement, le prénommé Eilar répondit à la provocation. 

Je suis soupçonné d’être puceau quand même, c’est ça ? Que voulez-vous, c’est vrai ! Et vous savez pourquoi ? C’est toujours pareil : elles demandent toujours de choisir entre leur lit et ma hallebarde ! Le choix est hélas vite fait.

L'assemblée se mit à rire et je soupirais de nouveau. Ils n'avaient pas l'air très en forme aujourd'hui. Le combat n'avait même pas été équitable. Eilar était sobre, Beric était completement ivre ! Et personne ne semblait s'en offusqué. La jeune femme qui se trouvait à côté de moi s'avanca alors vers l'homme à la hallebarde.

C’est que tu ne choisis pas les bonnes femmes, Eilar. Moi, je ne refuserai pas cette belle hallebarde mais t’accepter toi ça reste à voir.

Ces deux là semblait d'humeur à rigoler, mais pas de la même facon que je le souhaitais. Les clients de l'auberge retournerent à leurs occupations et l'ivrogne qui avait provoqué Eilar manqua de s'affalait sur le plancher en zigzaguant entre les tables pour s'installer sur un banc et de continuer à boire. Je m'approchais alors de Eilar et ... de la jeune femme dont j'ignorais le nom avec qui j'avais parlé durant ce que l'on pouvait appelé un affrontement.

Je m’appelle Erys. Et ton joujou a une sacrée gueule, dommage que tu ne t’en sois pas servi. C’aurait pu être très intéressant.

Son nom était donc Erys. Elle avait tout l'air d'une chevalier, une épée pendait à sa ceinture et elle avait l'air assez musclée. Si ce n'en était pas une, je pouvais au moins sire que c'était une guerrière. Concernant Eilar, j'étais moins sur à propos de son identité de chevalier. La hallebarde n'était pas une arme répandue parmi cette guilde, étant plus manier par les soldats.

Je me joignis à eux alors qu'ils s'accoudaient sur le comptoir de l'auberge. Il n'y avait pas de combat, mais si je passais la soirée ici, autant ne pas la passer seule.

Bonsoir, je m'appelle Kiahelle. Ca aurait été en effet très interessant que tu te serves de ton arme. Beaucoup plus interessant que si tu l'avais aidé à se relever après lui avoir mis une raclée un peu trop rapide à mon goût ...

Mes paroles venaient de parfaitement exprimer mes pensées. Décue qu'il n'y ai eu qu'un combat rapide et prête à intervenir dès qu'une bagarre prenait forme dans la salle, je commandais un verre et en proposer un à Eilar et Erys.

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