Lilipip s’était endormie. Acte impardonnable ? Pas vraiment, si l’on considérait l’état de fatigue de la demoiselle. Mais en même temps, c’était presque mesquin, puisqu’elle se foutait ouvertement de son nouveau mari dans des jeux grotesques, par pur fantasme….et s’endormait dans la minute qui suivait. Il fallait espérer que ce Pytipok ne se vexe pas finalement, car sinon, avec une Petite de sa trempe, il allait être servi.
Ce fut une douce caresse sur sa joue qui l’éveilla, face à un garçon entièrement nu. Elle pouffa de rire, sortant du coup complètement de brouillard caractéristique du sommeil à cette magnifique vue. C’était qu’il l’avait vraiment fait ! Un escargot dans la main, cachant en partie sa virilité, il se trémoussait de manière ridicule. Inutile de préciser que Lili eut un mal fou à se retenir d’éclater, le ridiculisant pour de bon. Pour ça, rien de plus simple ! Elle se concentra sur les parties de l’anatomie du Petit qui l’intéressait particulièrement, s’y attardant longuement. Très longuement. Si bien qu’un filet de bave commença à perler du coin de ses lèvres, devant la beauté de ce Dieu venu de nulle part.
-Chère Lilipip Fleur de tulipe, Petite de ma vie à tes côtés j'oublie mes soucis, tu m'as ensorcelé avec tes ch'veux dorés, et quand tu souris je me sens voler tel un colibri.
Lilipip se sentit chanceler. Des mots…Des mots si merveilleux, rien que pour elle ! Si elle avait pu utiliser de la magie, elle aurait fait en sorte que ces paroles puissent vivre, de sorte qu’elle les aurait serrer dans ses bras à les étouffer. Il lui plaisait tellement ! Oh, ce Pytipok, en plus d’être merveilleusement beau, intelligent, génial, attentionné, athlétique, mystérieux (je continue ?..Oui ? Bon, d’accord), sexy, costaud, musclé, démoniaque, adorable (encore ? décidément ! les chevilles, ça y va !), extraordinaire, magnifique, remarquable (CETTE FOIS C’EST TOUT ! NA !)….il était aussi un très bon poète. De quoi la faire fondre entièrement. Et dire qu’il se connaissait depuis le matin, et qu’ils avaient attendu tout ce temps pour se marier !
-Maintenant c'est à ton tour, tu dois te peindre de feuille morts et de boue tout en prononçant mon nom à l'envers.
….Avais-je oublié de préciser à quel point il était fourbe, aussi ? Aaah que c’était vil ! Lilipip riait moins maintenant. Elle ouvrit la bouche, éberluée qu’il lui demande ça. Mais comment lui refuser… ? Il venait d’ôter sa dignité juste pour elle. Elle n’avait aucunement le droit de l’envoyer paître ! Il allait falloir qu’elle prenne sur elle, par amour…Heureusement qu’elle l’aimait fort. Sinon, ses feuilles, il aurait pu les mettre juste entre ses fesses. Et toc.
-Tout de suite…Même si c’est dégueu !
La petite entreprit de se déshabiller, envoyant ce qui lui faisait office d’habits sur Pytipok, en plein dans sa face. Elle pouffa de rire, se dandinant légèrement tandis qu’elle cherchait des feuilles. Elle trouva en chemin une marre de boue bien grasse, s’y plongeant entièrement, avec pour consolation que ça lui donnerait une peau toute douce. Puis, lorsque ce geste peu ragoûtant fut terminé, elle se roula dans les feuilles, accrochant deux trois vers de terre dans le même temps.
Au fur et à mesure de cette litanie, elle s’approchait de son tendre époux, jusqu’à plonger dans ses bras pour l’embouer aussi. Elle lui fit un gros câlin plein de terre et de feuilles, et d’animaux incongrus, et lui souffla à l’oreille, l’air charmeuse :
-Maintenant, il faut qu’on aille se laver…à deux. On pourra faire des trucs de grands…Tu sais…comme quand ils prennent leur douche ensemble…On pourra………s’éclabousser.
Spoiler:
Je tiens à préciser que l'éclabousser n'a RIEN de pervers....C'est à prendre en tant que tel. Hé oui! Sont pas fut-fut les Petits =)
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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28.06.15 21:25
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Lilipip Oukilip
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05.07.15 19:28
"J'ai la gueule de bois amoureuse : le réveil est violent"
Avis à la population ! Messieurs-dames, vous qui désespériez en amour, vous qui invoquiez des chamanes perdus au fin fond de Gwendalavir, vous qui, en désespoir de cause, faisiez des incantations…..Oui, c’est bien de vous que je parle ! Sachez qu’il est inutile de pleurer ou de crier car la douleur du célibat est trop intense car les princes charmants existent bel et bien. Oh, ils ne ressemblent pas tellement à ce dont vous aviez rêvé, ils sont peut-être un peu idiots mais au moins, leur beauté égale les dires des racontars. Si vous ne me croyez pas, demandez donc à la petite Petite Lilypip, tout juste mariée à un homme qu’elle venait de rencontrer. C’était l’amour fou entre ces deux loupious, et il était certain que rien ne pourrait jamais plus les séparer. Sauf peut-être une framboise, mais ça, c’est une autre histoire.
La jeune mariée s’était tout bonnement endormie dans les bras de son mari, après une soirée qui s’était finie de la meilleures des façons. Elle était en train de parcourir une idylle qu’elle ne voulait jamais voir se terminer – chose qui ne la traversait aucunement. Pas tellement parce qu’elle avait une confiance absolue pour son amant, mais surtout parce qu’elle avait une trop petite cervelle pour penser que ce soit possible.
C’est donc dans un sommeil sans rêve que la demoiselle partit faire sa nuit, prenant dans un premier temps son cher et tendre comme une véritable peluche. Ses ronflements purement masculins témoignaient de son endormissement profond, chose dont Pyt devrait fort bien s’accoutumer s’il ne voulait pas devenir fou. Mais vu son rêve plus qu’étrange qui lui faisait danser la raison, il était clair qu’il s’adaptait déjà à la bruissance (siçaseditd’abord) de sa femme. De toute façon, il n’avait pas le choix.
Le lendemain, ce n’est pas le doux rayon du soleil chatouillant le visage de la demoiselle qui la réveilla, ni la bonne odeur que dégageait son prince charmant, mais plutôt ses dents acérées lui mordant avec très peu de grâce ses fesses. Elle se réveilla d’un seul coup en hurlant, sautant sur ses pieds en le dévisageant choquée, et déclara presque aussitôt :
-Si ce sont des manières de Petit ! Pas le premier jour voyons !
Elle partit, légèrement vexée, profitant de ce moment de boudin absolu pour aller cueillir leur petit-déjeuner. Elle s’enfonça quelque peu dans la forêt, chantonnant une chanson d’amour dans sa langue, récoltant ses mets dans un petit panier improvisé fait d’une unique feuille. Et c’est dans le moment aussi fatidique de savoir si Pyt accepterait de lui laisser la dernière framboise – elle n’avait qu’un nombre pair – qu’elle tomba nez à nez avec un énorme pied qui semblait lui barrer le passage. Et qui…oh mon dieu, puait le rat mort. Il était tout velu, plein de peau beaucoup trop large pour que ce soit beau. Et en y regardant bien, ce n’était pas un mais une colonie de ces grands pieds qui étaient étendus, ronflant presque aussi fort que la demoiselle dans une petite clairière. Elle faillit faire l’erreur de partir aussitôt, impressionnée par leur nombre, mais elle aperçut dans les bras de l’un deux la magnifique sarbacane de son cher et tendre époux - dans le nez d’un Grand qui se curait le nez avec. Offusquée, elle courut vers leur lit nuptial, hurlant à qui mieux mieux, n’apercevant pas son chéri :
-Pyt ! Ma feuille de menthe ! Où es-tu ?! J’ai retrouvé ta sarbacane ! Ce sont les Grands là-bas qu’ils l’ont ! Aaah, où que tu es ? Il faut la sauver !
Le plus dramatique dans cela n’était pas tant cette affaire. C’était plutôt que, dans sa course, elle avait lâché tout leur déjeuner, l’étendant et l’écrabouillant sur le sol. Qu’allait donc dire Pyt’ en voyant que sa femme ne lui avait rien ramené, au final ?! La suite au prochain épisode.
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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26.07.15 18:28
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07.08.15 22:35
"La différence entre le génie et la bêtise, c'est que le génie a des limites."
La panique avait envahi notre petit être sans cerveau. C’était comme la première fois qu’elle avait fait un sevrage de framboises : privée de ce bien précieux pour s’entraîner en cas de coup dur, elle avait cédée à une peur folle qui l’avait fait courir partout, la bave dégoulinant à moitié sur ce qui lui faisait office de vêtements. Autant dire qu’elle n’était pas du tout belle à voir. C’était un spectacle ma foi fort semblable à cet événement disgracieux qui se dressait devant le jeune marié, imperturbable. Elle ne perçut même pas son regard mouillé de Petit sous la pluie, signifiant qu’il avait peut-être fait une énorme bêtise…Et de quelle taille. Si elle n’avait pas écrabouillé tout leur précieux repas, il aurait été à parier qu’elle s’en serait prise à lui, dévorant ses doigts qui détenaient encore de son succulent jus de ces petites baies de folie. Mais voilà, elle se contenta de gober les fruits, attrapant tout de même la main du fautif pour lécher allégrement ses petits boudins à la fin de sa paume. Ca la consolerait presque. En attendant…il y avait plus urgent. Mais quoi ? Elle avait beau réfléchir, elle ne se souvenait plus. La mémoire avait été fugace, on aurait cru qu’elle finirait même par être intelligente, mais c’était rapé. Lilipip restait Lilipip, aussi gourmande que désespérante. Vous voyez le topo.
C’est lorsque son chéri lui demanda où se trouvait sa sarbacane que la Petite se remémora sa crise de panique, et, sans un mot de plus, ils partirent à la recherche de ce si précieux bien. Leur plan était simple, mais astucieux : il foncerait dans le tas, et ils aviseraient ensuite. C’était peut-être dit avec d’autres mots, cependant, le résultat était le même : leur petite cervelle n’avait pas su ériger un mécanisme plus astucieux et complet qui les aurait mené vers une victoire certaine – et sans fracture…Advienne que pourra, on comptera sur la chance plutôt que l’intelligence pour cette fois ! Et penchons-nous donc sur la situation…
A la droite, nous avons un fou-transi-amoureux-plein-de-framboises déguisé en un magnifique buisson à pieds velus. Tout est possible dans la nature, il est certain que les humains ne les remarqueraient pas. A gauche, bien plus loin, une magnifique fille miniature avec une graine de framboise dans la cervelle, chargée de faire diversion pour que le saint Graal, ajusté pour ce jour en la Sarbacane Sacrée, soit remis à son propriétaire légitime. Autant dire qu’il était temps d’aller chercher les pop-corns, car le spectacle risquait d’être florissant.
-Ok, Lili, ça va être à toi, fit-elle pour s’encourager. Tu vas y arriver ! Comme toujours !
Elle ne se laissa même pas le temps de compter jusqu’à trois – car tout simplement, elle ne connaissait pas le nombre après deux – et sauta à pieds joints, encore nue du matin, dans le cercle informe que formait les hommes, qui s’éveillèrent en sursaut à la vue de cette étrange petite femelle. Puis doucement, elle entonna, mêlant les quelques mots appris dans la langue des humains et les siens, même s’ils ne comprenaient rien :
-Je suis l’Espriiiiit de la forêêêêt….Biscuit….Souvenez-vous de ce jouuur maléééfiiiique où je suis apparue bonjour ! CAAAR JE SUIS FÂCHEE ! OWI TRRRES FÂCHEEE ! Tomate, je m’appelle, faim…
Elle sauta sur le ventre d’un des vandales, écrasant sans ménagement son torse ventru – beaucoup moins bien foutu que son nouveau chéri – et se mit à sauter et entamer une drôle de petite danse, semblable à une incantation. Elle aurait pu être prise au sérieuse, ou du moins, arrêter les sourires hilares de ces pauvres taches, si elle n’était pas aussi ridicule de nature. Mais là, même en donnant tout son possible, tout ce cirque ne ressemblait à rien. Sauf à une bonne blague. Enfin, après tout, le but était de récupérer la sarbacane. Au final, s’ils se payaient une bonne tranche de rigolade au lieu de hurler de terreur, cela n’était pas important. Ou presque. Disons que cela touchait tout de même fortement la vanité de la demoiselle. Autrement dit : elle était profondément vexée. Ces humains allaient payer cher. Ô oui. Et ils s’en aperçurent bien assez vite.
-On rit pas de moi bande d’ours élastiques mal léchés ! Je dois vous faire peur compris ?! POISSON POURRI!
Ils ne purent bien longtemps continuer de se foutre ainsi de sa poire. Elle décocha un violent coup de son petit pied dans le menton de la montagne sur laquelle elle siégeait, qui émit un grognement de douleur, et se tourna sur elle-même pour essayer d’apercevoir son cher Pyt, espérant qu’il ait eu le temps dans la cohue de rires d’attraper son bout de bois. Mais surtout…Elle voulait qu’il accomplisse son devoir de mari. Celui de la protéger. De l’aimer. Et de défoncer ceux qui osaient se moquer d’elle.
-Pytounet ! J’exige que tu les réduises à l’état de framboises écrasées ! Comme mon petit-déjeuner ce matin….Bref, où que tu sois, ex-ter-mi-nes-les ! Ils sont méchants avec moi !
Et tandis qu’elle s’égosillait pour faire apparaître l’homme de sa vie, le Grand qui lui servait de carpette l’attrapa par les cheveux, la soulevant violemment, comme si elle ne pesait qu’une plume – ce qui, en réalité, était presque le cas. Il articula des mots incompréhensibles pour elle, mais dont la signification était pourtant très claire : elle allait passer un sale quart d’heure.
Mais où était donc son soi-disant prince charmant dans une situation aussi terrible ? PIN PIN PIIIIIIIIIIIIIN ! ~
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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15.08.15 20:40
HRP : Finiiiii ! Je te laisse conclure mon canard petit sucre Ce fut un très grand plaisir ce RP !
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Lilipip Oukilip
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16.08.15 13:24
"Le véritable amour n'a pas de fin heureuse parce que le véritable amour ne se termine pas."
Lilipip ne doutait pas. Elle savait que son prince charmant passerait à l’action, la libérant de l’étreinte immonde de ce géant pourri. Elle avait confiance en lui, depuis la veille où ils s’étaient rencontrés, aimés et mariés, elle savait qu’elle finirait sa vie entière avec lui et que jamais il ne laisserait quiconque lui faire du mal. Et même si leur attachement immédiat était inexplicable pour des humains civilisés, il fallait avouer qu’elle n’avait pas tort. Aussi étrange que cela puisse paraître, Pyt’ était réellement fou amoureux d’elle, et la vue de sa belle ainsi prisonnière lui fit sortir de ses gonds. Et aussi naturellement qu’un preux chevalier le ferait, il passa à l’action, avec pour seule arme sa sarbacane et son pépin de fraise en guise de cerveau. C’était peu. Fort peu. Mais ça suffirait amplement.
La demoiselle resta bouche bée fasse à son mari qui se trémoussait si bien, rien que pour la sauver. C’était un peu comme dans les films, où un ralenti irrésistible entoure un personnage sexy à souhait, l’héroïne ne se cachant pas pour baver devant lui. Hé bien…Autant dire qu’elle aurait pu remplir une nouvelle rivière à Gwendalavir rien qu’avec la bave qui sortait de ses lèvres pulpeuses. Son petit ne payerait rien pour attendre, lorsqu’il l’aurait sauvé, pour se recevoir le baiser du siècle. Un baiser comme les grands. Sur la BOUCHE !
-Pytounet ! Mon chéri ! Tu es si beau quand tu te bats !
La Petite papillonna des yeux, inconsciente face à la situation. Après tout, elle s’apprêtait sûrement à être enlevée, et son « chéri » à finir en carpette pour les pieds de ces hommes à la pilosité douteuse d’ours élastique….Mais elle ne trouvait rien de mieux à faire que de s’extasier devant ses pectoraux. Chacun ses préoccupations premières, bien sûr. Mais il y avait sans doute plus urgent…Comme hum…je ne sais pas : l’aider ?
Quoiqu’il en soit, Lilipip était tellement estomaquée par tant de beauté qu’elle ne fit strictement rien d’intelligent pour les sauver ne serait-ce que quelque peu de la situation. Heureusement que son petit Petit gérait et, il faut le dire, excellait, sinon, le spectacle ne serait pas aussi beau à voir. Après avoir fait quelques sorts ridicules qui firent peur aux Grands, les deux amoureux se retrouvèrent, les yeux brillants face à l’excitation du combat gagné. Comme promis, elle lui offrir son ultime récompense, lui collant un baiser bruyant sur ses chères lèvres appétissantes.
-Je t’aime ! Merci de m’avoir sauvée la vie ! Tu es…tu es mon héros !
Elle lui prit la main, et tous deux s’en allèrent vers leur avenir. Ensemble. Qui avait-il de mieux ? Lilipip avait quitté la Forêt Maison dans l’espoir de découvrir le monde, mais au final, ce qui lui était apparu était bien trop dangereux et irréel pour qu’elle se laisse berner à le parcourir encore. Oh, bien sûr, il n’y avait pas que des méchants sur cette terre, ou de mauvaises choses, mais cette soif d’aventure lui était passée dès qu’elle avait rencontré et avoué son amour à Pytipok. Ses yeux, ses abdos, son divin fessier valait toutes les péripéties du monde. Elle laissait de côté ses anciens rêves pour en faire de nouveau avec lui. Parce qu’elle était décidément trop amoureuse pour le laisser filer. Ils rentraient, oui, oubliant leurs désirs, se promettant de se construire un futur aussi doux qu’un jus de framboise en été. Ils rentraient chez eux, prêts à dévorer la vie à pleines dents. Prêts à s’aimer pour l’éternité. ♥
~ Et ils vécurent heureux, et eurent beaucoup d’animaux de compagnie. Parce que, à ce qu’on dit, ils n’ont jamais compris comment avoir un bébé. Mais ça…C’est une autre histoire ~
Fin !:
Hé bieeen...Voilà, c'est fini, je redonne mes clés à qui veut pour Lily! Ce rp était génial, j'ai bien ri tout le temps avec tes réponses ! ♥ Merciiii !