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Pour une miche de pain... [Mewél/Edward ]
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26.08.13 16:17

Méwel venait de terminer une potion, qu'un type lui avait commandé il y a quelques jours. Elle avait eut du mal à trouver le dernier élément, une petite plante qu'il fallait déraciner doucement et nétoyer les feuilles avec délicatesse ensuite, la faire décanter pendant une nuit. Bref, la jeune femme devait se rendre sur une petite place où l'échange allait se faire. Elle ne donnait jamais de rendez vous chez elle. Et "Chez elle" est un bien grand mot. Elle vit dans une grande maison avec plusieurs autres personnes. On dirait presque une auberge sauf qu'elle ne payait presque rien de loyer, une chance pour elle.

Elle s'installa près de la petite fontaine avec la fiole entre les mains. Méwel vit l'homme arriver à grand pas et regarder autour de lui avant de s'arrêter à sa hauteur. En quelques instants et mouvements de bras et de main, il repartit avec la fiole et la jeune femme tenait à présent des piècettes. C'est à ce moment précis que son ventre se mis à grogner. La fin de la matinée sonnait l'heure du repas. "J'ai faim !" Méwel se dirigea vers le quartier le plus proche. De bonnes odeurs de pain de viande chaude la faisait déjà saliver. Mais c'est dans une petit boulangerie qu'elle jeta son dévolu. Il y avait deux-trois personnes à l'interrieur et la jeune femme pris soin de regarder tout ce qui se présentait à ses yeux.

Elle avait l'eau à la bouche rien qu'en voyant toute les sortes de brioches et de pains dans les paniers d'osiers. Son ventre trembla quans ses yeux se posait sur un morceau de brioche bien doré. Doucement sa langue glissa sur ses lèvres avec gourmandise. "Ho là ! Ca m'a l'aire bon !" Elle fit jouer ses pièces entre ses doigts et se décida à prendre là miche. Alors qu'elle tendaot ditraitement la main vers l'objet de son désir, elle percuta une autre main qui avait elle aussi choisi la brioche. Fronçant les sourcils et levant les yeux vers le jeune homme à qui appartenait la mains voleuse de gourmandise, elle le hela.

"Hey ! Désolée, elle est pour moi celle-ci !"

Méwel profita qu'il ait porté son attention ailleurs que sur le pain pour le subtiliser avec rapidité. C'était malheureusement pour l'homme la dernière. Et elle était ravie d'avoir eut le geste précis !
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01.09.13 13:07
Ah ! Al-Jeit ! Sa magnifique arche, son palais de diamants, ses rivières d'émeraude et ses routes de rubis. Tout est magnifique ici. Al-Jeit est la cité au coeur des cités. Nous tous, alaviriens, nous adorons Al-Jeit, notre capitale, la plus grande ville de notre monde qui de plus accueille notre empereur bien-aimé.

Ah ! Al-Jeit ! Ses palais de diamants, qu'Edward trouvait plus tape-à-l’œil et m'as-tu-vu que beaux, ses rivières d'émeraude et ses routes de rubis, pour qui à vrai dire il avait la même impression. Tout le dégoûtait ici. Al-Jeit était pour lui la pire des cités. De plus, l'Empire accueillait l'empereur, pour qui le jeune homme n'avait aucune sympathie (il ne l'avait jamais rencontré, mais il savait rien qu'à voir sa tête qu'il ne pourrait pas le supporter).

Bref, je pense que vous aurez compris qu'Edward n'aimait pas vraiment Al-Jeit. Et encore, "pas vraiment", est un euphémisme. Dire qu'il la détestait particulièrement serait plus juste. La raison est simple : jadis, le rêve de devenir chevalier dans la capitale l'avait bercé durant tout son enfance. Quand il avait eu quatorze ans, il était parti à l'aventure, avait traversé plaines et vallées afin de parvenir à Al-Jeit, la ville de l'empereur dont il n'avait entendu que du bien depuis son enfance. Il fit comme tous les autres : il s'extasia devant l'arche, resta statique devant les palais, s'émerveilla devant la ville entière. Il y vécut une bonne semaine, puis ce fut fini. Il se rendit compte de tout les détails cités plus haut, et il partit...
Et c'est son départ qui m'amène à vous parler de la deuxième raison : dans une campagne non loin d'Al-Jeit, après un petit quart d'heure de marche, il décréta qu'il était l'heure de faire une sieste (non qu'il soit paresseux, mais parfois, quand ça lui prend, il s'allonge où il peut et il dort) et s'allongea sous un arbre, où il commença à s'endormir jusqu'à ce qu'un furie blonde lui saute dessus.
Furie blonde qui s'avéra devenir plus tard sa petite amie.
Furie blonde qui le quitta des années plus tard, juste à coté d'Al-Jeit.

Ceci sont les deux raisons pour lesquelles il n'aime pas Al-Jeit. Et elles étaient suffisantes pour qu'il n'aie absolument pas envie de se retrouver ici, ce jour-là. Pourquoi y était-il, ne me le demandez pas. Seul lui le sait. Il y a parfois des choses bien mystérieuses dans l'esprit d'Edward.
Edward n'avait donc absolument pas envie de se trouver dans cette ville ce jour-là, de plus le jeune homme était affamé, aussi décida-t-il d'aller dans la boulangerie la plus proche afin de dépenser quelque argent qu'il avait gagné, allez savoir comment, et s'acheter quelque chose susceptible de rassasier sa faim.
Mais ce fut sans compter les autres clients, qui avaient apparemment décidé d'avoir faim au même moment que lui, et qui refusaient d'admettre qu'il méritait le plus cette brioche, point.
Edward voulut jeter un regard noir à la jeune fille qui avait subtilisé le pain, mais celle-ci s'était déjà envolée. Furieux de s'être fait avoir ainsi, le jeune homme sortit de la boutique en pestant et en recherchant sa voleuse. Il n'eut pas à courir bien loin : elle s'était tout simplement dissimulée derrière un porche pour déguster son butin en toute tranquillité. Paraissant tout aussi tranquille et décontracté, Edward choisit l'approche "calme", malgré la colère qui bouillonnait en lui. Avoir osé le priver de déjeuner ! Il savait très bien que de nombreuses autres denrées étaient disponibles dans le magasin, mais lui, c'était ça qu'il voulait, et rien d'autre. Aussi marcha-t-il jusqu'à la jeune fille, qui était trop occupée à dévorer la brioche pour l'avoir remarqué, et espéra la prendre par surprise en se postant derrière elle et en lui arrachant des mains le reste de brioche.

« Peut-être, mais le reste est pour moi ! »

Ni une, ni deux, il engloutit le reste de la pâtisserie, dont une miette lui passa au travers de la gorge, ce qu'il se garda bien de faire remarquer. Il ne voyait pas, mais il sentait la fille furieuse derrière lui, devinant qu'elle n'allait pas en rester là. Cependant, rassasié et content de lui, Edward fit comme s'il n'avait rien vu et marcha en direction de la ville.
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06.09.13 10:12

Méwel était ravie. La miche dans laquelle elle avait croqué était sucré, encore un peu tiède et si agréable en bouche. Elle se délectait. Le plaisir n'était pas uniquement dans ce pain. Elle en avait aussi reçu quand elle avait entre vue le regard noir de l'inconnu. "Et oui ! Il fallait être plus rapide mon coco !"  Elle s'était glisse sous un porche non loin de la boulangerie et après un bref coup d'oeil au sol, préféra rester debout. Elle n'avait rien de particulier à faire à part déguster son butin, et elle le faisait avec une joie non dissimulé.

La jeune femme pensait déjà à ses fioles dans sa chambre et à la prochaine commande de potion. Elle passa une main à sa ceinture pour glisser ses doigts sur la fiole qui y pendait. Ce du être cet acte plus son esprit qui s'égarait dans ses pensées qui lui fit perdre la notion de la réalité. Elle n'était plus vraiment là et sursauta quand la brioche tomba de ses mains. D'un geste vif, elle plia les genoux pour la récupérer avant qu'elle ne touche le sol mais la vérité n'était pas celle là. Elle entendit une voix dans son dos et quand son regard se porta sur le jeune homme, elle le reconnu instantanément.

Les yeux grands ouverts d'étonnement, Méwel le regarda engloutir le reste de brioche. Elle se sentait légèrement fulminer. Elle était sur le point de lui taper sur l'épaule pour qu'il se mette face à elle - elle avait bien envie d'une explication- mais il avançait déjà dans la ville. Sans plus réfléchir, elle lui emboita le pas et s'alligna sur le sien à sa hauteur.

"Tu me dois une demi brioche !"

Inutile de préciser qu'elle le lui disait avec un large sourire. Elle n'avait pas envie de se laisser déborder par son envie de lui faire payer son vol. Surtout qu'elle lui avait presque pris des mains un peu plus tôt. De plus, il pourrait peut etre devenir un client potentiel. Alors rien ne devait lui donner envie d'aller voir ailleurs. Elle continuait de marcher à ses cotés en le détaillant rapidement du regard. Grand, Brun.. Lui, ne venait pas de chez elle c'était évident. Il était quand même assez rare que les personnes de chez elle vienne jusqu'ici. Elle haussa des épaules pour répondre à sa propre question et lui tendit une main.

"Moi c'est Méwel !"
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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Pytipokoupotipyk Nianiak
Petit



31.10.13 17:58


Pytipok fut attiré par une délicieuse odeur de.. pain.
Oui voilà tout ce qui comptait ! Ce pain. Et il fut englouti volé et massacré par des sales humains. Le cœur plein de haine, le Petit s’avança vers eux, discrètement. En plus ils avaient choisi une ruelle déserte et sombre. Le lieu parfait. Personne ne découvrirait leurs cadavres avant quelques temps. C’étaient des cibles isolées, et faciles. Des proies sans défenses.
Caché près du sol personne ne le remarquait. Il utilisa sa sarbacane afin d’obliger un humain grand et musclé pour boucher la ruelle. Ainsi les deux voleurs étaient faits comme des rats.
Et il les tuerait. Lentement.

Un couteau en main, il s’avança vers ses cibles.
-Bien le bonjours pitoyables humains.. Qui aurait une miche de pain pour sa propre survie.. ?
Une lueur malsaine dans les yeux, il s’avança vers les deux individus. Ils lui faisaient maintenant face et..la miche de pain avait été totalement mangée.
-Hum… Par lequel de vous deux commencerais-je ?
Le Petit fit tournoyer habillement son couteau. Il avait appris à le manier et comptait mettre ses heures d’entrainements à exécution. Il s’approcha d’une démarche féline de ses cibles.
-Pas de volontaires ? Tant pis, je m’occuperais des deux en même temps..
D’une main son poignard et de l’autre sa sarbacane. Il souffla. Un sort  s’abattit sur la femme, elle semblait plus dangereuse. Le monde commença à tourner, elle tangua avant de perdre l’équilibre. Profitant de ce court effet de surprise Pyt joua du poignard. Sa première victime serait le garçon. Puis la fille, qu’il piétina, faisant craquer ses os.
Puis son macabre travail terminé il alla s’occuper de l’homme à l’entrer.

Ca n’avait pas duré bien longtemps mais maintenant la ruelle saignait. Des corps y étaient étalés. La mort empestait les lieux, accompagnée de sa chère amie souffrance.
Le Petit parti la tête haute, fier d’accomplir sa mission. Si ces humains n’étaient pas tous morts ils devaient certainement le regretter très fort…
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