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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 17.11.13 19:22 coucou Eyriiiim ! :D Excuse le titre je sors du bain. .. O.o Euuuh. Je voulais surtout un truc en "euf" et j'ai rien trouvé de mieux qu'oeuf --' (c'est le début de la fin! Alors j'aimerais que tu me bêta-llises, pour tout ce qui est fautes d'orthographe bien entendu, mais aussi pour améliorer mon style ! Pour faire des phrase peut-être plus longue ou mieux tournée, que rajouter pour étoffer un peu, donner plus de profondeur au texte.. N'hésites pas à faire des remarques ! Je suis toutes ouïe :D - premier post:
Neleam marchait sans savoir où aller. Elle se sentait désœuvrée. Après avoir fuit la capitale pour une overdose d’actions elle s’était dirigée vers Al-Chen. Elle connaissait plusieurs de ses chevaliers qui y étaient originaires et c’était l’occasion rêvée pour aller visiter. Pas qu’elle n’y soit jamais allée, juste qu’elle n’avait jamais approfondit sa découverte. Alors elle marchait dans les rues boueuses d’Al-Chen. Venir en plein cœur de al ville ne lui semblait plus une si bonne idée. Mais elle s’était fixée comme but de connaître les rues et ruelles de la ville comme sa poche. Elle ne partirait pas avant.
Une tuile dégringola d’un toit, juste devant Neleam, éclaboussant ses bottes. La guerrière leva les yeux au ciel mais le fautif avait déjà disparu. Marchombre ou chenapan elle s’en moquait, elle avait faillit se faire assommer par une tuile ! Le comble. Ca aurait été un piano elle aurait presque concédé. Et le fauteur de trouble avait Sali ses jolies bottes. Car oui ses bottes étaient jolies. Un cadeau de l’empereur ! Enfin de l’empereur.. Du porte-monnaie de l’empereur, pour service rendu à la couronne. Et quel service ! Elle en avait espéré un peu plus qu’une paire de nouvelles bottes. Mais elle n’allait pas la ramener, c’était un coup à ne même plus avoir de bottes. Et elles étaient confortables et pratiques. Renforcée aux pointes et sur les tibias avec lames cachées. Avec fourrure bien entendu, parce qu’avec ce temps de misère c’était nécessaire. D’ailleurs Neleam se demandait s’il n’allait pas bientôt neiger.
Et c’est juste après cette terrible mésaventure boueuse que déboula une inconsciente sur son cheval. L’écervelée trottinait dans les rues sans prendre garde aux autres et Neleam se retrouva une nouvelle fois aspergée de boue. Cette fois-ci les cuissardes et plastrons furent touchés. Fulminante la guerrière apostropha la cavalière :
-Non mais t’es complètement stupide ! Parce que môdame est sur un cheval c’est la reine du monde ! Ben mets pied à terre devant moi sale grognace et je te ferais gouter à la boue ! Reine des Pignoufs !
| | | 17.11.13 20:09 Pas le temps de faire plus ce soir, mais je finis demain, promis ! Là j'ai même pas fini de revoir l'orthographe, mais j'ai commencé les tournures de phrases en même temps, donc... :p - Spoiler:
Neleam marchait sans savoir où aller. Elle se sentait désœuvrée. Après avoir fuit (c'est un participe passé, ici le verbe fuir est à l’infinitif passé, donc il faut mettre avoir fui) la capitale pour une overdose d’actions elle s’était dirigée vers Al-Chen. Elle connaissait plusieurs de ses chevaliers qui y (mauvais pronom adverbial, utilise plutôt en) étaient originaires et c’était l’occasion rêvée pour aller visiter (il s'agit d'un verbe transitif direct, il demande un COD ; tu peux par exemple ajouter la visiter). Pas qu’elle n’y soit jamais allée, juste qu’elle n’avait jamais approfondit (comment tout à l’heure, le participe passé ne prend pas de –t, c’est approfondi) sa découverte. [Cette dernière phrase n’a pas de verbe… La construction « pas que… , juste » n’est pas très élégante, tu pourrais commencer par remplacer le « pas que » par « non que… mais », et dans ce cas ne pas marquer de coupure avec la phrase d’avant, ou introduire ta phrase par une proposition principale comme « ce n’était pas que… ». Ça te donnerait soit « …c’était l’occasion rêvée pour aller la visiter –non qu’elle n’y soit jamais allée, mais elle n’avait jamais approfondi sa découverte. » ou alors « Ce n’était pas qu’elle n’y soit jamais allée, simplement elle n’avait jamais approfondi. »] Alors elle marchait dans les rues boueuses d’Al-Chen. Venir en plein cœur de al (fais attention à l’inversion des lettres =P) ville ne lui semblait plus une si bonne idée. Mais elle s’était fixée (c'est fixé ; c’est une règle un peu compliquée de l’accord du participe passé qui dit qu’un participe passé utilisé avec un verbe pronominal est invariable si le pronom réflexif est un complément d'objet indirect ; ici le pronom réflexif est « s’ », et c’est un COI, donc le participe passé ne s’accorde pas) comme but de connaître les rues et ruelles de la ville comme sa poche. Elle ne partirait pas avant. [Alors dans ce passage, à plusieurs reprises tu entames une phrase par une conjonction de coordination (mais, où, et, donc, or, ni, car) ; certes cet emploi n’est plus vraiment considéré comme fautif, mais a priori on n’a pas trop le droit de commencer une phrase ou une proposition principale par ces conjonctions. C’est dans ce genre d’emploi que tu pourrais fusionner tes phrases, ce qui donnerait un caractère moins saccadé et plus fluide à ton texte.]
Une tuile dégringola d’un toit, juste devant Neleam, éclaboussant ses bottes. La guerrière leva les yeux au ciel mais le fautif avait déjà disparu. Marchombre ou chenapan elle s’en moquait, elle avait faillit (il n'y a pas de –t au participe passé, c’est failli) se faire assommer par une tuile ! Le comble. Ca aurait (n'oublie pas la cédille, et l’apostrophe : ç’aurait, et puis utilise plutôt l'auxiliaire avoir conjugué au présent) été un piano elle aurait presque concédé. Et le fauteur de trouble avait sali ses jolies bottes. Car oui[une petite virgule s'impose ici ^^] ses bottes étaient jolies. Un cadeau de l’empereur ! Enfin de l’empereur... Du porte-monnaie de l’empereur, pour service rendu à la couronne. Et quel service ! Elle en avait espéré un peu plus qu’une paire de nouvelles bottes. Mais elle n’allait pas la ramener, c’était un coup à ne même plus avoir de bottes. Et elles étaient confortables et pratiques. Renforcée [avec un -s, il y a deux bottes] aux pointes et sur les tibias avec lames cachées. Avec fourrure bien entendu, parce qu’avec ce temps de misère c’était nécessaire. D’ailleurs Neleam se demandait s’il n’allait pas bientôt neiger.
Et c’est juste après cette terrible mésaventure boueuse que déboula une inconsciente sur son cheval. L’écervelée trottinait dans les rues sans prendre garde aux autres et Neleam se retrouva une nouvelle fois aspergée de boue. Cette fois-ci les cuissardes et plastrons furent touchés. Fulminante la guerrière apostropha la cavalière :
-Non mais t’es complètement stupide ! Parce que môdame est sur un cheval c’est la reine du monde ! Ben mets pied à terre devant moi sale grognace [il me semble qu'on dirait plutôt grognasse] et je te ferais gouter à la boue ! Reine des Pignoufs !
EDIT : Voilà pour les corrections uniquement par rapport au concret, l'orthographe et la syntaxe ; ensuite, je dirais que tes phrases ont ceci de bien qu'elles induisent un action : tu n'y vas pas par quatre chemins, tu utilises des constructions simples. L'écueil à éviter est une trop grande utilisation du langage parlé. Dans les passages de dialogue, aucun souci, ça permet même de pimenter un peu ton texte ; mais dans la narration, il faut faire attention de ne pas trop écrire comme si tu parlais. Ce que je te conseille de faire, pour fluidifier un peu tout ça, c'est premièrement comme je te l'ai déjà de faire plus grand cas des propositions subordonnées ; fusionne tes phrases, quand tu sens que tu en commences une par une conjonction de coordination, préfère l'intégrer à celle d'avant. Deuxièmement, utilise plus d'adverbes ! Tu verras qu'apporter des précisions au verbe permettra une narration plus précise. J'espère avoir répondu à ta demande, si tu as des questions ou d'autres conseils à me demander je suis toute ouïe ! =P | | Âge : 30
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| 20.11.13 22:43 Merci pour les corrections ma petit Eyrim ! :D J'aiiiime ! (et j'écris rarement grognasse.. XD Je voulais une insulte assez rare mais le problème c'est pour l'écrire...)
Merci bien ! Mais.. je dois avouer que certains de tes mots me font peur.. Quand tu expliques quel temps mettre et pourquoi, et tout... OUha ! c'est la partie que je déteste en langue française ! les règles x) Mais ça me fait du bien ! Et j'essayerais d'étoffer.
A très bientôt pour de nouvelles corrections ! :P
edit : le "fui" me fait vraiment très bizarre sans rien à la fin ... Et on m'a toujours dit "pas d'accent sur la majuscule" alors jeme suis dit que c'était pareil pour les cédilles. (d'ailleurs avec un clavier d'ori comment tu fais une cédille majuscule ? O.o) et je mets des "t" partout à la fin ! :P (j'ai eu une réduction) | | Âge : 30
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| 16.05.14 20:01 coucou ! T'es toujours dispo pour me corriger ? :) (vu que t'as des pitits soucis persos en ce moment... je préfères savoir si t'auras du temps à me consacrer. Mon rp va se poursuivre !) | | | 17.05.14 11:19 Je pense que je devrais pouvoir réussir à passer oui, poste toujours et j'essaierai de faire ce que je peux ! =) | | Âge : 30
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| 17.05.14 13:56 oki d'acc ! - mon RP:
La frontalière préféra s'écraser contre un mur plutôt que d'être salie. Neleam ricana devant cette précieuse.
- C’était quoi cette… réaction de Thül dégénéré?
Neleam haussa un sourcil, dédaigneuse. Mais quelle insulte, elle se sentait touchée dans sa fierté. Ou pas. Surtout que sa réaction était des plus compréhensibles, oeil pour oeil, dent pour dent. N'est-ce pas la base de la vie ? Mais la frontalière avait vraiment un très mauvais caractère et dégaina son précieux sabre. Semblable à tous ceux des frontaliers, il était d'une sobriété à vous donner le cafard. Heureusement pour eux qu'ils ne devaient pas tous les poser sur un portique avant d'enter dans le palais de la citadelle, car ils seraient bien incapable de retrouver le leur. Peut-être compareraient-ils les rayures sur la lame, leur position, la profondeur... Quittant ses pensés moqueuses, le chevalier essuya au mieux ses mains avant de se saisir de l'un de ses sabres. Un contre un, parce qu'elle ne tenait pas à blesser son ennemie.
Elle mettait au point son attaque et tenait à faire chuter la frontalière hautaine. Ca devrait être plus simple que de la battre à son propre jeu. Mais tout d'abord, elle devait faire ses preuves. S'avançant d'un pas souple, Neleam rejoignit son adversaire et l'étudia attentivement afin de trouver ses failles. Mobile et les jambes, fléchies, la guerrière était prête. Elle salua distraitement avant de se mettre en garde. Un clignement d'oeil implicite signala le début du combat et Neleam attaqua. Elle se fendit, la lame heurtant la garde de la frontalière avec force. Première solution, fracasser les défenses. Tester sa résistance tout en prenant garde à être intouchable.
La frontalière n'était pas frontalière pour rien et Neleam se recula rapidement pour se mettre à distance. Maintenant qu'elle avait prouvé sa force, elle devait montrer sa rapidité. La guerrière se mit à sautiller, et à bondir partout, aléatoirement. Insaisissable, elle laissait son sabre s'approcher de la frontalière jusqu'à la toucher. Des attaques rapides et maitrisées, qui ne donnaient rien. La guerrière fonçait sans cesse dans un mur, enfin dans la garde de la femme. Neleam sourit. Son adversaire était redoutable ce serait un beau combat. Il était temps de passer aux choses sérieuses.
Elle se remit en position, mais cette fois-ci pas dans une garde naturelle. Avec l'expérience elle avait fini par apprécier les postures étranges qui dévoilaient d'importantes failles, mais qui lui offraient une grande liberté de mouvement. Bouger lentement, sans cesse. Dès que la frontalière attaquerait, ou quitterait sa position de défense, elle réagirait.
EDIT : Finalement j'ai posté ce RP, du coup... pas besoin que tu te prennes la tête à le corriger (sauf si c'est déjà fait/commencé ! dans quel cas je corrigerais ce que j'ai mis ! ^^) Je te demanderais des petites corrections lorsque tu auras le temps et que mon RP est plus lent. | | Âge : 30
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| 07.05.16 11:38 Je ressors ce vieux sujet ! Xaaaiiiiil ! :D J'ai du travail pour toi ! Hahaha ! Bonne chance pour la relecture ! Je veux bien une correction des petites fautes et si possible un peu stylistique (mais que ça ne te prenne pas trop de temps non plus ;)h EDT : tu vas me détester, mais j'ai posté. U.u mais comme dit dans mon MP, je suis preneuse des corrections pour m'améliorer ! Et j'éditerai mon message ! Après, pour les autres réponses, je veux bien t'attendre :) (mais... ne tarde pas plusieurs jours, c'est frustrant d'avoir fini son RP mais de ne pas le poster :P) - RP publié:
Neleam poussa la lourde porte de l’auberge, un air fatigué sur son visage pâle. Elle était arrivée il y a quelques jours à peine mais tardait à se retrouver. Si elle était prête à se battre pour l’honneur, la justice et l’égalité (notamment celle des femmes), elle avait de plus en plus de doutes quant à la manière d’y parvenir. Si avant elle fréquentait cette taverne et participait volontiers aux ébats qui y avaient constamment lieu, dorénavant elle ne s’en sentait plus vraiment la force. Et ce soir, comme souvent, il y avait de l’animation. Cette fois-ci les hommes, car il y a toujours eut une grande majorité d’homme dans cette salle, étaient debout autour d’une table, comme si un visiteur les avait attiré avec son histoire. Neleam tenta de s’en approcher avant de réaliser que les autres chevaliers semblaient terriblement... ivres ? En colère ? La jeune femme ignorait ce qu’il se passait exactement mais l’atmosphère était tendue. Quelques brides de phrases parvinrent à ses oreilles. « Menteur ! ». « C’est impossible ! ».
Alors qu’elle traversait la salle relativement bien remplie, une poigne de fer attrapa son poignet. Neleam se retourna vivement, prête à en découdre, mais sans pour autant agir. Elle ne voulait pas déclencher la bagarre dont l’ombre planait au-dessus de la salle. Elle fixa l’homme d’un regard impassible. Fut un temps elle l’aurait injurié, dans un langage aussi fleurit que celui d’un charretier. Mais elle avait changé. Elle avait gagné en force et savait quand il fallait se taire. Sous son regard cristallin, l’homme finit par la relâcher, sans prononcer un seul mot. Elle avait l’impression de le connaitre mais n’arrivait pas à mettre un nom sur son visage. Voilà qu’elle devenait gâteuse avec l’âge ! Elle était incapable de se souvenir de tous les noms de ses connaissances… Le début de la fin. Revenant à la réalité Neleam massa son poignet avec une grimace puis se détourna sans un regard de plus pour ce malotru. Ses poignets avaient toujours été relativement fragiles, si l’entrainement lui avait permis de les renforcer, avec le temps, elle se doutait que ça aggraverait les choses.
Rejoignant le bar, la guerrière salua Gérald, l’éternel tenancier. Il n’était plus autant de service, mais acceptait de temps à autre de reprendre son rôle de barman, nostalgique du bon vieux temps. La jeune femme refusa de s’éterniser et grimpa les marches quatre à quatre tandis que dans son dos résonnait le bruit d’une choppe brisée, pareil à une cloche sonnant le début d’un pugilat. La nuit allait être longue et mouvementée. Du moins pour les autres, la guerrière rejoignit quant à elle sa petite chambre et s’allongea sur son lit avec un soupir de soulagement. Puis, se souvenant des archives de l’arrière-salle elle décida de se replonger dans ces documents aux folles histoires, pour raviver sa mémoire déficiente.
Elle descendit aussi discrète qu’une ombre, vêtue d’une légère jupe longue mais fendue sur les côtés de manière à lui permettre de se battre, au besoin, avec un long poignard à la ceinture. Un haut sans manche concluait cette tenue, la nuit venait de tomber mais l’air était encore chaud, l’été arrivait et les rues de la capitale devenaient presque étouffantes sous les rayons de plomb du soleil. Ignorant le combat qui se déroulait dans la grande salle, Neleam se faufila jusqu’à la petite porte menant à l’arrière salle, esquivant les objets qui volaient dans sa direction. Ce n’était pas son bagarre, celui-ci était probablement futile et il était fort à parier que nombres de ses participants ignoraient même la raison de cette baston. Mais tant que les chevaliers tapaient dans quelque chose, tout allait bien. Une fois dans la pièce sombre, la jeune femme alluma une bougie et dénicha le livre qu’elle cherchait.
Si les archives étaient aujourd’hui gardées au Palais Impérial, Neleam avait conservé son ancien registre, en souvenir du bon vieux temps. Elle feuilleta les pages, souriant lorsque les souvenirs déferlaient dans son esprit. Le Chevalier aux Claquettes, Néo Lyama, un futur prometteur, débrouillard et sympathique. Ce n’était malheureusement pas le cas de tous les chevaliers. Elle avait pu apercevoir une partie de leur nombre lorsque l’empereur avait repris le contrôle des choses et avait rendu l’adoubement obligatoire pour obtenir le titre de chevalier. Une grande cérémonie avait alors eut lieu, rassemblant tous ceux qui avaient déjà fait leurs preuves et qui trainaient dans les parages. Mais ça n’avait rien eut de grandiose, loin de là. Elle avait été déçue. Quelques paroles, une gestuelle symbolique, quelques notes prises dans de grands registres et voilà, ils étaient ressortis avec une petite médaille autour du cou. Deux médailles existaient, une simple, prouvant l’appartenance du chevalier à la guilde, et une autre, plus grande prouvant la valeur du chevalier. Tous étaient repartis avec une petite médaille, soi-disant que leurs actes ne seraient pris en compte qu’à partir du jour J, et seuls les véritables héros devaient pouvoir posséder cette grande médaille, preuve de leur mérite et de leur honneur sans faille.
Laissant son esprit divaguer, la jeune femme finit par sombrer dans un sommeil peuplé de rêves aux teintes de souvenirs.
| | | 08.05.16 17:04 - Neleam a écrit:
- Je ressors ce vieux sujet ! Xaaaiiiiil ! :D J'ai du travail pour toi !
Hahaha ! Bonne chance pour la relecture ! Je veux bien une correction des petites fautes et si possible un peu stylistique (mais que ça ne te prenne pas trop de temps non plus ;)h
EDT : tu vas me détester, mais j'ai posté. U.u mais comme dit dans mon MP, je suis preneuse des corrections pour m'améliorer ! Et j'éditerai mon message ! Après, pour les autres réponses, je veux bien t'attendre :) (mais... ne tarde pas plusieurs jours, c'est frustrant d'avoir fini son RP mais de ne pas le poster :P)
- RP publié:
Neleam poussa la lourde porte de l’auberge, un air fatigué sur son visage pâle. Elle était arrivée il y a quelques jours à peine mais tardait à se retrouver. Si elle était prête à se battre pour l’honneur, la justice et l’égalité (notamment celle des femmes hum c'est pas grand chose mais une égalité c'est forcément entre deux choses donc tu ne peux pas dire juste "celle des femmes" même si on comprend), elle avait de plus en plus de doutes quant à la manière d’y parvenir. Si (deuxième "si" en deux phrases, il faudrait peut-être virer celui-ci ? Avec un "autrefois" puis un "mais" avant le "dorénavant" voire un "à présent" qui remplace "dorénavant" pour ne pas faire trop lourd, ça marche aussi) avant elle fréquentait cette taverne et participait volontiers aux ébats qui y avaient constamment lieu, dorénavant elle ne s’en sentait plus vraiment la force. Et ce soir, comme souvent, il y avait de l’animation. Cette fois-ci les hommes, car il y avait toujours eu (mauvaise concordance des temps et pas de t à "eu") une grande majorité d’hommes (oubli du pluriel) dans cette salle, étaient debout autour d’une table, comme si un visiteur les avait attirés (on accorde, le COD est placé avant le verbe) avec son histoire. Neleam tenta de s’en approcher avant de réaliser que les autres chevaliers semblaient terriblement... ivres ? En colère ? La jeune femme ignorait ce qu’il se passait exactement mais l’atmosphère était tendue. Quelques bribes (mauvais mot, bride c'est pour les chevaux xD) de phrases parvinrent à ses oreilles. « Menteur ! ». « C’est impossible ! ».
Alors qu’elle traversait la salle relativement bien remplie, une poigne de fer attrapa son poignet. Neleam se retourna vivement, prête à en découdre, mais sans pour autant agir. Elle ne voulait pas déclencher la bagarre dont l’ombre planait au-dessus de la salle. Elle fixa l’homme d’un regard impassible. Fut un temps elle l’aurait injurié, dans un langage aussi fleuri (pas de t à la fin du participe passé de fleurir) que celui d’un charretier. Mais elle avait changé. Elle avait gagné en force et savait quand il fallait se taire. Sous son regard cristallin, l’homme finit par la relâcher, sans prononcer un seul mot. Elle avait l’impression de le connaître (ça c'est mon côté anti-réforme xD) mais n’arrivait pas à mettre un nom sur son visage. Voilà qu’elle devenait gâteuse avec l’âge ! Elle était incapable de se souvenir de tous les noms de ses connaissances… Le début de la fin. Revenant à la réalité Neleam massa son poignet avec une grimace puis se détourna sans un regard de plus pour ce malotru. Ses poignets avaient toujours été relativement fragiles, si l’entrainement lui avait permis de les renforcer, avec le temps, elle se doutait que ça aggraverait les choses.
Rejoignant le bar, la guerrière salua Gérald, l’éternel tenancier. Il n’était plus autant de service, mais acceptait de temps à autre de reprendre son rôle de barman, nostalgique du bon vieux temps. La jeune femme refusa de s’éterniser et grimpa les marches quatre à quatre tandis que dans son dos résonnait le bruit d’une choppe brisée, pareil à une cloche sonnant le début d’un pugilat. La nuit allait être longue et mouvementée. Du moins pour les autres, la guerrière rejoignit quant à elle sa petite chambre et s’allongea sur son lit avec un soupir de soulagement. Puis, se souvenant des archives de l’arrière-salle, (la virgule c'est pour faire la transition en douceur) elle décida de se replonger dans ces documents aux folles histoires, pour raviver sa mémoire déficiente.
Elle descendit aussi discrètement (si tu veux garder l'adjectif, il vaudrait mieux mettre une virgule avant le "aussi") qu’une ombre, vêtue d’une légère jupe longue mais fendue sur les côtés de manière à lui permettre de se battre, au besoin, avec un long poignard à la ceinture. Un haut sans manche concluait cette tenue, la nuit venait de tomber mais l’air était encore chaud, l’été arrivait et les rues de la capitale devenaient presque étouffantes sous les rayons de plomb du soleil. (là je trouve que ça fait deux phrases avec beaucoup de virgules et pas assez de mots de liaison, ça hache le rythme et c'est dommage) Ignorant le combat qui se déroulait dans la grande salle, Neleam se faufila jusqu’à la petite porte menant à l’arrière salle, esquivant les objets qui volaient dans sa direction. Ce n’était pas son (petit souci de genre là :P ) bagarre, celui-ci (même chose, pas le bon genre) était probablement futile et il était fort à parier que nombre (là c'est singulier)de ses participants ignoraient même la raison de cette baston. Mais tant que les chevaliers tapaient dans quelque chose, tout allait bien. Une fois dans la pièce sombre, la jeune femme alluma une bougie et dénicha le livre qu’elle cherchait.
Si les archives étaient aujourd’hui gardées au Palais Impérial, Neleam avait conservé son ancien registre, en souvenir du bon vieux temps. Elle feuilleta les pages, souriant lorsque les souvenirs déferlaient dans son esprit. Le Chevalier aux Claquettes, Néo Lyama, un futur prometteur, débrouillard et sympathique. Ce n’était malheureusement pas le cas de tous les chevaliers. Elle avait pu apercevoir une partie de leur nombre lorsque l’empereur avait repris le contrôle des choses et avait rendu l’adoubement obligatoire pour obtenir le titre de chevalier. Une grande cérémonie avait alors eu (le t à la fin de "eut" c'est quand il est conjugué, y en a pas pour le participe passé) lieu, rassemblant tous ceux qui avaient déjà fait leurs preuves et qui trainaient dans les parages. Mais ça n’avait rien eu (même chose, pas de t) de grandiose, loin de là. Elle avait été déçue. Quelques paroles, une gestuelle symbolique, quelques notes prises dans de grands registres et voilà, ils étaient ressortis avec une petite médaille autour du cou. Deux médailles existaient, une simple, prouvant l’appartenance du chevalier à la guilde, et une autre, plus grande, (pour faire la transition) prouvant la valeur du chevalier. Tous étaient repartis avec une petite médaille, soi-disant parce que (là c'est plus une question de goût perso, je trouve que ça sonne moins "oral" comme ça) leurs actes ne seraient pris en compte qu’à partir du jour J, et seuls les véritables héros devaient pouvoir posséder cette grande médaille, preuve de leur mérite et de leur honneur sans faille.
Laissant son esprit divaguer, la jeune femme finit par sombrer dans un sommeil peuplé de rêves aux teintes de souvenirs.
Pfeuh, c'est bien la peine qu'on se casse le cul à relire... | | Âge : 30
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| 08.05.16 18:35 U.u désolée... merci pour les corrections ! je regarderais ça bien en détail plus tard ! ;) | | | 08.05.16 20:23 Bon, bon, si tu m'amadoues avec un cookie et un câlin ça va, je te pardonne ! | | Âge : 30
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| 08.05.16 22:37 Merci Xaïl ! j'ai édité ! :D J'aime beaucoup le "autre fois", ça fait classe ! Et sinon j'avais la quasi certitude d'avoir corrigé pas mal des fautes relevées... U.u Mais il semblerait que non, du coup.. tant pis x) et pour les problèmes de genre "son baston" c'est parce qu'à la relecture j'ai ajouté baston, je devait avoir "combat" à la place mais comme ça se répétai d'une phrase à l'autre j'ai changé sans panser à accorder tout ce qu'il fallait xD bref, merci pour ces commentaires ! Ils sont bien utiles :D | | | 08.05.16 22:49 Haha, les mots style "néanmoins", "autrefois", "jadis" et autre, c'est ce qui fait qu'un texte a la classe ou non Et de rien ! | | Âge : 30
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12.05.16 18:57 je m'incruste à la fête ! Mon RP n'est pas fini mais... presque. Du coup tu veux bien y jeter un n'oeil ? EDIT : j'ai posté mon RP du coup... c'est put-être pas nécessaire de relire le RP ;) Je te laisse voir, mai sil n'y a aucun besoin. - mon RP déjà posté:
Caym se dirigeait vers le buffet, mais avant d'y arriver, un éclat de voix attira son attention. Deux femmes semblaient prêtes à en découdre. Si se battre était monnaie courante, la mort était proscrite, sauf pour les fautes les plus graves, dans quel cas il s'agissait d’exécutions. Mais il était courant que certains se provoquent en duel pour régler n'importe quel différend. C'était une manière commune de prendre du grade et de l'importance. Ou alors de se ridiculiser. Le mercenaire observa les deux femmes qui en étaient venues aux mains et reconnut Nalia, l'éternelle compagne de cet idiot de Taël. Il ignorait comment elle pouvait supporter un tel énergumène, lorsque sa fuite lui revint en mémoire. Alors que le mentaï prononçait son discours ce cafard s'était carapaté avec quelques-un de ses amis. Sur le coup, Cali n'y avait pas prêté la moindre attention, ce qui était en jeu dépassait grandement ces mercenaires de bas étage, mais il n'avait pas apprécié. S'ils avaient été conviés à cette soirée, c'est que leurs chefs respectifs avaient songé qu'ils le méritaient, mais il était évident qu'ils n'avaient su s'en montrer dignes. Un bon mois de service commun, à s'occuper des écuries et de corvée cuisine devrait leur remettre les idées en place. Comme en réponse à ses pensées, la silhouette de la petite bande de truands du dimanche se dessina, traçant rapidement leur chemin à travers la foule. Le mercenaire comprit peu après la raison de cet empressement. Ils étaient poursuivis par Ogust, le responsable des réserves. Il y avait fort à parier que ces idiots étaient allés faire un tour du côté des cuisines.
Profitant de l'occasion, Caym les suivit. Il connaissait la forteresse comme sa poche, il dessinait un joli mur juste avant que le groupe de fuyards ne parvienne à un embranchement. Aucun échappatoire. Lorsqu'ils furent acculés, le mercenaire les rejoint d'une démarche souple et mortelle. Son visage était dur et ses yeux mauvais. Pas haineux, juste tranchants. Les hommes ignoraient encore qu'ils étaient morts.
-Il semblerait que votre mère ait oublié de vous enseigner la politesse, je me chargerais donc de vous inculquer cette valeur. Lorsqu'on vous fait l'honneur de vous accueillir à une telle réunion, vous écoutez jusqu'au bout, qui plus est lorsque vous vous êtes battus pour être aux premiers rangs.
Un sourire carnassier apparu sur le visage de Caym. Il ne ferait qu'une bouchée d'eux. Ils étaient en supériorité numérique, mais faibles. Tellement faibles.. Leur odeur était celle des lâches, de ceux qui parlent plus qu'ils n'agissent. Peut-être étaient-ils bons sur le terrain, mais ici, ils semblaient misérables. Peu auparavant Caym avait vu les plus redoutables des mercenaires du Chaos, et en comparaison, ceux-ci faisaient office de fillettes. Peut-être étaient-ils forts, mais ils ne faisaient pas le poids. Un frisson de plaisir le parcourant, il bondit. L'homme le plus proche de lui fut cueilli au menton par un coup de pied fouetté. Du sang jaillit. Sa tête heurta bruyamment le sol tandis que Caym continuait. Il ne s'était pas arrêté. Il savait que le type serait K-O pour quelques minutes et il y avait fort à parier qu'il s'était mordu, voire coupé, la langue. Le mentaï tournoya un instant dans les airs, il avait été formé par Viladra, la meilleure, et savait désormais danser avec la mort. Un autre coup fouetté brisa un nez tandis qu'il se retrouvait à côté d'un troisième mercenaire. Caym feinta puis visa la gorge, son coup fut suivi d'un enchainent aussi précis que douloureux. Le mercenaire s'écroula un cri muet sur les lèvres, sans souffle, désorienté, une terrible douleur lui vrillant le crâne. Amusé que personne n'ait encore tenté de l'attaquer Caym observa les trois autres, les trois indécis. Un sourire gaugenard sur le visage, il reprit la parole.
-Ne vous en faites pas, ça finira par rentrer. Je ferais en sorte de vous laisser un petit souvenir de cette leçon.
Alors qu'il s'élançait vers Taël, il perçut à l'ultime moment le dessin qui basculait dans la réalité. Déviant de sa cible Caym évita de justesse le pic de glace en se jetant an sol et laissa son esprit effleurer les spires. Il n'avait pas pensé un instant que l'un d'entre eux puisse avoir le Don, il pensait faire un combat à la loyale. Et ça avait failli lui couter cher. Après tout, s'ils le tuaient ils deviendraient chefs, auraient tous les honneurs et siègeraient au conseil. Du moins un seul d'entre eux. Mais cela n'arriverait pas, il n'avait pas l'intension de mourir. Identifiant le Dessinateur, le Mercenaire se mit en position de combat et plongea lui aussi dans les spires, contrant les dessins avant même qu'ils ne soient faits réalité. Soudain son instinct le tira de son état de transe et il ne put parer qu'à moitié le coup que lui portait un autre mercenaire du Chaos. Ils avaient enfin compris qu'ils devaient œuvrer en équipe pour le vaincre. Mais ça n'était pas suffisant. Caym balaya les environs du regard afin de prendre conscience de tout ce qui l'entourait. Il faisait nuit. Taël semblait avoir disparu. Mais dans l'ombre, plissant les yeux, Caym aperçut une autre silhouette. Une silhouette indubitablement féminine. Une silhouette à la chevelure de feu. Il la reconnut. Edelwein. Un nouveau plan de dessina dans son esprit et Caym se mit en mouvement. Il contacta Edelwein par l'esprit tandis qu'il restait en mouvement, attentif à ses adversaires. Sa voix résonna dans la tête de la jeune apprentie.
-J'aurais une mission à te confier. Rattrape le fuyard et soumet-le. Ne l'abîme pas trop, uniquement des blessures superficielles.
Caym la laisse se remettre de l'instant de surprise, ce genre de pratique était très déstabilisante, mais elle saurait vite se reprendre. Et elle avait ses chances face à Taël. Elle avait un côté sombre et terriblement puissant. Il lui faudrait profiter de la surprise, sinon elle risquerait de ne pas gagner ce combat. Taël restait un mercenaire expérimenté, il ne fallait pas trop le sous-estimer. Mais l'idée de voir ce prétentieux mordre la poussière à cause d'une apprentie lui redonnait de l'énergie. Cali se replongea dans le combat. Celui-ci ne s'éternisa pas. Feintant pour éviter les dessins et les coups, Caym réussissait à ne pas être touché. Une partie de son esprit restait en limite des spires de façon à pouvoir anticiper les attaques de son adversaire, mais sans pour autant s'y aventurer de trop ce qui le laisserait démuni. Il jouait au chat avec l'autre mercenaire, celui qui servait de protection au Dessinateur. Cali était incapable de prendre le dessus tant qu'une partie de lui restait déconnectée de la réalité. Finalement, les feintes du mentaï portèrent leurs fruits et il réussit à percer la défense du mercenaire. Son coup toucha le plexus solaire du mercenaire qui restait dans les spires. Cette diversion en moins, Caym prit rapidement l'avantage sur son dernier adversaire. Une clef de bras et un plaquage eurent raison dudit adversaire. Attendant que celui-ci adepte sa victoire, Caym savoura l'instant. Il n'avait pas dessiné. Ça l'avait grandement démangé, mais il avait réussi à effectuer toute la correction à mains nues.
Quelques minutes plus tard, Caym revenait dans la foule, accompagné de son dernier adversaire, devisant presque amicalement. Celui-ci avait su admettre que Caym était plus fort et qu'il lui devait le respect. Il était fort probable qu'il recommence si la situation s'y prêtait, mais il avait apprécié la démonstration de force.
Cali s'appuya contre un mur et laissa son regard parcourir la foule. Il s'était dépoussiéré, mais ses cheveux restaient encore ébouriffés de sa rencontre avec la bande de Taël. Le Mentaï soupira discrètement, rassuré qu'il n'y ait pas eu de gros dégâts. Les tensions étaient palpables, mais cela semblait se calmer.
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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 23.05.16 17:23 Coucou Xail ! ben.. j'ai attendu. T.T Mais je na vais pas faire attendre encore plus mes partenaires de RPs. Désolée. Du coup j'édite mon message précédent, au cas où tu ne l'ai pas encor relu, je vais zapper le RP ;) des bisous | | | 23.05.16 19:48 Je suis désoléééééée ! Je me suis dit que je ferais ça ce week-end et puis avec tous mes exams et tout le bordel j'ai pas eu le temps ! Mais je reprendrai la correction à la fin de la semaine ! (Je finis les cours vendredi, ce sera plus calme après :P )
(Mais en plus j'avais commencé, sauf que mon ordi ce connard a redémarré tranquille comme ça sans me prévenir du coup j'ai tout perdu -.-' ) | | | |
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