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Aelya Kil'Nayan
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13.01.20 20:44
Prénom Nom

Il y a 23 automnes, en l'an CC-15, on me donna le nom d'Aelya Kil'Nayan. Je suis un(e) femme faisant partie de la guilde des mercenaires du chaos et je suis une apprentie mercenaire du chaos. Je suis l'apprenti de Malenkai Nahil. J'ai plusieurs objectifs dans la vie, mais le(s) plus important(s) sont la souffrance d'autrui et le chaos.

Physique


Le visage d’Aelya est rarement expressif, la seule exception est lorsqu’elle tue. Elle a de longs cheveux bruns qui dépassent de quelques centimètres ses épaules. Ses yeux sont brun doré, son visage est délicat comme le reste de son corps et sa peau est d’un blanc qui ne bronze jamais.

Elle est grande, menue et élancée. Elle porte la plupart du temps un uniforme de cuir souple noir et parfois une cape par-dessus les nuits froides. Plusieurs cicatrices couvrent son corps, les pires étant celles à son mollet gauche, à son avant-bras droit et sous sa clavicule gauche (devant et derrière, l’épée ayant traversé son corps).

Son parfait équilibre l’empêche de tomber, peu importe la situation, sauf dans le cas où elle serait poussée. Elle est également l’une des meilleures grimpeuses qui soient, même parmi les mercenaires du chaos. Elle est endurante, agile et souple, mais a toujours du chemin à faire dans ces domaines. Bien que rapide et silencieuse, elle est loin du niveau de son maître. Elle aime grimper, son corps est donc finement musclé, mais la force n’est pas l’une de ses qualités, bien au contraire.

Elle est armée en tout temps, ses armes de prédilections sont le shuriken et le poignard. Son maître lui apprit à manier d’autres armes telles que le sabre, mais elle doit encore s’entrainer.

Elle est une excellente assassine, mais mauvaise en infiltration puisqu’elle est incapable de feindre des émotions ou sentiments. Elle est également une piètre menteuse.

Caractère


Aelya aime faire souffrir, particulièrement celle physique, mais psychologique aussi. Ce n’est que lorsqu’elle voit la douleur sur le visage des autres, qu’elle éprouve du plaisir. Elle ne le sait pas, mais la source de son passe-temps (laisser un survivant après avoir tué les habitants d’une maisonnée) est la mort de sa mère. Aelya a souffert, souffre toujours, et inconsciemment elle veut que d’autre la subisse. Cependant, cette douleur est bien enfouie dans son cœur derrière le mur qu’elle a créé pour s’empêcher de ressentir.

Elle adore donc pénétrer dans les maisons et y tuer tous les habitants sauf un. Elle adore le faire avec les nobles, ce qui est, d’une certaine façon, un moyen de tuer à nouveau son père. Elle déteste également les nobles en général, mais plus particulièrement ceux avec du pouvoir (comme son père l’était).
Un autre de ses plaisirs est de créer paranoïa et chaos derrière elle, elle trouve cela très divertissant.

Ses sentiments étant bloqués, son registre émotif est limité. Cependant, il est rare que quelqu’un ou quelque chose soit capable de créer des émotions en elle.
Il y a que deux choses qu’elle aime : les chevaux et escalader. Tuez un cheval devant elle est un bon moyen de recevoir un shuriken entre les yeux.
Elle a une bonne connaissance générale, car, jusqu’à ses quatorze ans, elle fut éduquée en tant qu’héritière de son père, n’ayant aucun frère.

Aelya est patiente, réfléchie, intelligente et parle peu. Elle ne va jamais se mettre en position de faiblesse et préfère s’enfuir face à un ennemi plus fort qu’elle. Sa vie compte plus pour elle que l’organisation et, dans le cas qu’elle devrait choisir, les mercenaires du chaos ne gagneraient pas. Elle est loyale envers elle-même et son maître, la seule personne qui est parvenue à obtenir son admiration.

Histoire


Mon père, un noble d’Al-Jeit, ne manquait pas une occasion de rappeler à sa femme ses modestes origines. Je crois qu’il l’avait marié pour son apparence et, bien que non dépourvue d’intelligence, elle possédait une personnalité effacée et intimidée.
Cependant, lorsque nous étions seules, ma mère n’était que chaleur, sourires et tendresse.
Elle est l’unique personne qui m’ait aimé et que j’ai aimée.
Et mon père me l’a arraché.

Les édifices à Al-Jeit sont construits en hauteur et notre manoir n’en faisait pas exception. Un après-midi que ma mère et moi étions assis sur notre balcon, peu de temps après mon seizième anniversaire, mon père vint nous rejoindre, et comme à son habitude, apostropha sa femme — elle était sotte, une honte à montrer en public, une erreur de sa vie. Chaque fois que quelque chose n’allait pas, c’était la faute de ma mère. Et les choses allaient rarement bien.
Ma mère répliquait peu ; elle était patiente et manquait de courage. Je ne sais pas pourquoi cette fois-là elle se défendit — peut-être que, après des années, sa limite était atteinte. Elle se leva et cria que dans ce cas, il n’aurait pas dû la marier.
Mon père la gifla. Il était grand, fort et imposant. Le haut de son corps pivota violemment, elle perdit l’équilibre et glissa par-dessus le garde-fou.
Elle ne hurla pas, je ne pense pas qu’elle comprit ce qui se passait. Moi, je hurlai. Je courus vers la balustrade. Tout en bas, ma mère ressemblait à une poupée désarticulée et sous sa tête, une flaque de sang s’accroissait chaque seconde.
Quelque chose en moi se brisa et la douleur disparut.
— Je ne comprends pas… Elle a… Elle a poussé sa mère, dit mon père d’une voix affolée et incrédule.
Je me retournais pour découvrir plusieurs de nos servants, horrifiés. À leur expression, je sus que mon père avait gagné — je serais accusé du meurtre qu’il avait commis.
Je posais mes yeux sur mon père.
— Je vais revenir. Demain ou dans dix ans, je vais revenir, dis-je.
Pas une menace, un fait.
J’empoignais la balustrade et sautais sur la corniche. Je suis né avec un corps agile à l’équilibre parfait, je descendis donc rapidement le long du mur et j’atterris pieds nus sur le pavé. Sans même jeter un coup d’œil à ma mère, je m’élançais dans les rues d’Al-Jeit.

Lorsque la nuit tomba, j’étais caché dans l’ombre d’une ruelle. Je devais partir d’Al-Jeit — je ne faisais pas le poids contre mon père. Cependant, afin de quitter la capitale j’avais besoin de nourriture, des vêtements confortables (la robe de soie que je portais n’était pas des plus subtiles) et des chaussures.
La voie libre, je m’enfonçais dans le quartier de naissance de ma mère. Pénétrer dans l’une des nombreuses petites maisons ne me posa aucun problème, une fenêtre au deuxième étage étant entrouverte. Une fois mes yeux accoutumés à la noirceur, je découvris que j’étais entré dans un bureau. Je m’emparais d’un ouvre-lettre trainant sur la table de bois, puis sortis dans le couloir.
Silencieusement, je jetais un coup d’œil derrière chaque porte jusqu’à trouver ce que je voulais. J’entrai dans une chambre où un couple dormait et me dirigeai vers une petite commode. Je cherchais des vêtements de femme lorsque quelqu’un empoigna mon épaule et me força à me retourner. L’homme ouvrit la bouche, mais aucun son n’en sortit.
Instinctivement, j’avais planté l’ouvre-lettre dans son cou. Les yeux écarquillés, nous nous fixions un moment, puis il s’écroula. Je crois qu’il tenta de parler, mais ses paroles se perdirent dans un gargouillis. De sa plaie, son sang s’étendait sur le plancher. L’instant suivant, la lumière dans ses yeux s’éteignit.
Quelques années plus tôt, un serviteur avait chuté dans l’un de nos escaliers. Alors qu’autour de moi, les témoins de l’accident criaient et pleuraient, j’étais restée silencieuse, intriguée par l’angle du cou du domestique tombé.
Je ressentais la même chose alors que le sang de ma victime tachait le plancher. Cependant, un nouveau sentiment monta en moi : le plaisir — la vision de sa douleur, la lumière qui quitte son regard. Je m’étais souvent imaginée comme étant la tueuse des romans d’horreur que je lisais, mais je pensais que la culpabilité m’aurait anéanti si j’étais passé à l’acte. Peut-être que cela aurait été le cas avant la mort de ma mère.
— Chéri, qu’est-ce que…
Je levai ma tête d’un coup. Elle me fixa, incrédule, puis vit le corps de son mari. La compréhension fit son chemin dans son regard et elle ouvrit la bouche pour hurler. Cela ne dura qu’un instant, car je retirais l’ouvre-lettre du cou de l’homme et le lançais. Par pure chance, l’arme improvisée pénétra dans l’œil de la femme, qui s’effondra sur son oreiller.
C’est à ce moment que je remarquais la présence d’un enfant dans l’encadrement de la porte. Il me fixait, immobile et terrifié.
— Va me chercher une besace.
Le garçon ne bougea pas. Je m’approchais.
— Maintenant ou…
Un sourire étira mes lèvres.
La seconde suivante, l’enfant courait dans le couloir. Je pris un pantalon et une tunique presque à ma taille dans la commode et les enfilais. En bas, alors que je trouvais des chaussures un peu trop grandes, mais passables, le garçon me rejoignit. Je remplis le sac d’aliments et une gourde qui trainait dans la cuisine, d’eau.
Je débarrais la porte d’entrée, puis me retournais une dernière fois vers le survivant. Son visage était un mélange de larmes, de peur et de douleur. Je souris. Ce visage était aussi plaisant que celui de mes victimes. Je lui fis un clin d’œil, puis m’élançais dans la rue.

J’ai passé les cinq années suivantes en itinérance à m’entrainer au lancer du couteau — et du shuriken lorsque j’en découvris sur l’une de mes proies —, le maniement du poignard et à être une ombre parmi les ombres.
J’aimais particulièrement visiter les villages. Parfois, j’y obtenais un toit
pour un jour et un repas gratuit grâce à mon jeune âge — du moins jusqu’à mes 16 ans —, et parfois je n’y entrais qu’à la nuit tomber, à l’insu des villageois. Cependant, chaque fois je prenais le temps de m’arrêter dans au moins une maison avant de reprendre la route. C’était un excellent entrainement pour ce que j’envisageais de faire à mon père tout étant divertissant.
J’y tuais tous les habitants sauf un, savoir que le survivant souffrirait, peut-être toute sa vie, me ravissait. Après mon départ, les villageois vivaient dans la peur et la paranoïa, créant une communauté dominée par le chaos.
Les gens craignaient de ce qu’ils avaient nommé le démon des villages, mais aucun ne connaissait sa véritable apparence. Les témoins, souvent des enfants, parlaient d’un démon, d’un monstre, d’une ombre. Quelques survivants jurèrent qu’il s’agissait d’une jeune fille, mais personne ne les crut. Comment une adolescente aurait pu être aussi cruelle ?
Parmi mes victimes, il y avait également des itinérants, des marchands et autres voyageurs. Après trois ans, je commençais à m’en prendre aux nobles, mes proies préférées. Leurs maisons étant bien protégées, c’était un excellent entrainement pour mon but : le meurtre de mon père.
À mes 21 ans, je sus que j’étais prête.

Je m’étais enfui d’Al-Jeit la nuit, mais j’y retournais à la lumière du jour. Aucun légionnaire ne me dévisagea, personne ne me reconnut dans la rue. Je trainais dans la capitale, me créant une image mentale de tous ses dédales et ruelles. Je gardais un vague souvenir de la cité et cet exercice se révéla plus que nécessaire. Ce n’est que lorsque les étoiles brillèrent dans le ciel que j’escaladais une tour surplombant le quartier des nobles. J’y surveillais les allées et venues des gardes à l’extérieur du manoir de mon père et, quelques heures plus tard, je descendis de mon perchoir afin de m’y rendre. Me cachant dans l’ombre, je patientais le temps qu’une patrouille tourne le coin de mon ancienne maison pour m’élancer et entreprendre l’escalade du mur. Après moins d’une minute, j’ouvrais la fenêtre qui donnait sur la chambre de ma proie. Alors que j’attendais que mes yeux s’habituassent à la pénombre, j’entendis la respiration paisible de mon père.
Je sortis mon poignard de sa gaine et marchais jusqu’au lit. Je restais un moment immobile à le fixer, puis me penchais tout en posant la lame de mon arme sur son cou.
¬— Aller, réveille-toi. C’est l’heure de mourir, père, chuchotais-je à son oreille.
Il grogna, tenta de se retourner, mais je l’empêchais. Il ouvrit les yeux et les rayons de la lune passant à travers la fenêtre les illuminèrent. Tout d’abord incrédule, il fronça par la suite les sourcils. Il n’était pas content.
— Aelya ? Mais que fais-tu ? Ne sois pas stupide et lâche…
Je lui tranchais la gorge. Le sang gicla sur mon visage alors qu’il écarquillait les yeux de surprise, puis de douleur. Il porta ses mains à la plaie et tenta de parler, mais un gargouillis fut le seul son qu’il parvint à produire.
— Ce visage vous va à ravir, père, dis-je, un sourire étirant mes lèvres.
Je plantais un coup de poignard inutile dans son ventre — j’avais atteint mon but, il allait mourir, mais plus il souffrait et mieux je me sentais. Je retirais l’arme et recommençais. Je ne m’arrêtais que lorsque la vie quitta ses yeux.
C’est à ce moment que j’entendis de petits coups sur la porte.
— Monsieur ? L’aube sera bientôt levée. Monsieur ?
Le serviteur entra juste à temps pour me voir sauter par la fenêtre, l’instant suivant il criait au meurtre. Le temps que j’atteigne le sol, des gardes couraient dans ma direction. Je m’élançais dans une ruelle, puis une seconde et escaladais un bâtiment lorsque quelque chose me coupa au mollet. Je tombais durement sur le pavé. Je me relevai, mais je ne pus m’appuyer sur ma jambe et je sentis un liquide chaud y couler.
Cinq gardes s’étaient précipités dans la ruelle et m’entouraient, leur épée en main. Avant que l’un d’eux n’ait le temps de m’attaquer, je lançais deux shuriken ; deux combattants s’effondrèrent. L’un des trois hommes encore debout, probablement le chef selon son uniforme, s’élança vers moi. Souplement, je me dérobais à son épée et, tournoyant sur moi-même, projetais un troisième shuriken. Un autre guerrier périt. Consciente que le chef du groupe était derrière moi, je fis un roulé-boulé afin de m’éloigner.
À cause de ma jambe blessée, je me réceptionnais mal et, le temps que je me retourne, j’esquivais difficilement la lame qui effleura mon bras. Au lieu de reculer hors de portée, j’avançais d’un pas et plantais mon poignard dans le ventre du garde. Gémissant, il se plia en deux et s’écrasa au sol.
Le chef avait profité de l’attaque du garde pour s’approcher, et bien que j’évitais qu’il me perfore le cœur, la lame pénétra la chair sous ma clavicule et sortit dans mon dos. Je criais de douleur, mais au lieu de m’effondrer, je dégainais mon arme qui sanglait ma cuisse et l’enfonçai dans sa tempe. Ses yeux devinrent vitreux et il s’écrasa au sol, emportant avec lui l’épée qui me transperçait. Je criai de nouveau et tombais sur le pavé.  
J’étais dans une mauvaise situation : je perdais du sang, d’autres gardes viendraient et je ne pouvais ni courir ni escalader. Pourtant, je n’eus pas à réfléchir à trouver une solution, car elle se présenta d’elle-même sous le nom de Malenkai Nahil.
Un homme habillé de cuir sombre s’accroupit devant moi. Je ne l’avais ni vu ni entendu s’approcher. Je combattis mon envie d’attraper le poignard à ma cheville — si je l’attaquais je ne gagnerais pas. J’aime le danger, mais je ne suis pas suicidaire.
Il se présenta comme étant un mercenaire du chaos et me proposa de devenir son apprenti. Je connaissais peu de choses sur cette organisation, mais je savais l’essentiel : elle prônait le chaos et l’annihilation. Comment dire non ?

J’ai rencontré mon maître il y a deux ans, je serai donc une mercenaire du chaos d’ici un an. Et je compte bien utiliser cette formation pour m’amuser aussi longtemps que je le pourrai.

Prénom/Surnom:Tina Âge:26 ans Comment as-tu connu le forum: par google Expérience RPG: Plusieurs années, mais cela remonte à mon adolescence. Depuis, c'est le premier forum que je m'inscris Aelya Kil'Nayan 33121  Activité:nouvelle DC:non.

Commentaires/présentation: Ma passion est la lecture et dans le meilleur des mondes je vivrais de mon écriture Aelya Kil'Nayan 264573  

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Alice Blanc
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Âge : 26
Autre(s) Compte(s) : /
Messages : 785
Date d'inscription : 04/07/2015

Mon personnage
Sexe et âge: 20 ans c'est une fille
Aptitudes: pratique la boxe française et sais dessiner
Alice Blanc
Terrien [Admin]



13.01.20 21:05
https://ewilan.forumactif.fr/t2489-alice-blanc
Hello bienvenue à toi. Je suis bien curieuse de lire ce que tu nous réserve pour ta demoiselle!
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13.01.20 21:06
Bien le bonjour!

Je te souhaite la bienvenue sur le forum. Tu arrives tout juste au bon moment, après une très grosse mise à jour ;) Merci pour tes commentaires concernant le thème.

Avant que tu n'avances trop dans ta présentation, je dois mentionner que ton avatar actuel ne respecte pas la taille imposée du forum, soit 200x320. Si jamais tu as du mal à trouver des images ou que tu en as une qui n'est pas recadrée à la bonne taille, n'hésite pas à me faire signe, je pourrai t'aider à ce niveau.

Bonne chance pour le reste de ta fiche! Si tu as des questions, tu peux nous rejoindre par MP ou sur Discord.
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14.01.20 6:08
Allo!
Je crois être parvenue à mettre mon avatar à la bonne taille, mais si je me trompe dis-le moi!
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14.01.20 7:37
Oui, ton avatar a maintenant la taille standard.

Merci pour la modification de fiche!
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Killian Delkaïron
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Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Kem Al'Ran
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Date d'inscription : 18/04/2011

Mon personnage
Sexe et âge: Ex-Marchombre de 30 ans...une femme bien entendu
Aptitudes: Sait ce battre contre toutes sortes d'armes, n'a pas peur et viendra toujours en aide aux autres
Killian Delkaïron
Mercenaire__Membre



14.01.20 16:41
Bienvenue à toi et bon courage pour la fiche :)
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Neleam
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Date d'inscription : 28/11/2010

Mon personnage
Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE
Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
Neleam
Chevalier__Admin



17.01.20 23:27
https://ewilan.forumactif.fr/t1995-neleam-une-femme-de-legende
Bienvenuuuuuue !
Yes ! Une mercenaire du Chaos, encore mieux ! Mon double compte est (ou était) un des chefs de l'organisation donc si tu veux que nos persos tissent un lien, n'hésite pas à me contacter.
Dans tous les cas, je te souhaite bon courage pour finir ta fiche!
Au plaisir de te croiser en RP !
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Invité
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18.01.20 5:07
Merci! Et j'adorerais qu'on rp ensemble! Je finis ma fiche dès que je peux Aelya Kil'Nayan 33121
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22.01.20 9:29
J'ai fini ma fiche http://www.redorches
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Alice Blanc
Féminin
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Mon personnage
Sexe et âge: 20 ans c'est une fille
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Alice Blanc
Terrien [Admin]



22.01.20 17:52
https://ewilan.forumactif.fr/t2489-alice-blanc
On va tacher de s'en occuper rapidement Aelya Kil'Nayan 1985585843
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22.01.20 22:16
Bonjour, bonsoir!

Nous avons lu ta fiche en détail. Le physique et le caractère passent le test! Le personnage est facile à saisir et tes descriptions sont claires.

Il y a cependant quelques éléments au niveau de l'histoire qui manquent un peu de réalisme à nos yeux, même pour un forum fantasy.

Tout d'abord, l'âge de son départ n'est pas mentionné clairement mais selon les explications et ce que nous comprenons, elle avait moins de 16 ans lorsqu'elle est partie et errait déjà depuis un moment. Cela voudrait donc dire qu'elle était particulièrement jeune au moment où elle s'est enfuie, s'est introduite dans une maison et a tué des personnes adultes. Elle a donc ensuite passé un bon moment à voyager d'un endroit à l'autre, en tuant pratiquement chaque fois, au point de se faire une réputation.

Bien que nous n'avons aucun problème avec le personnage en lui-même ou son histoire, nous trouvons que cette partie de son histoire manque beaucoup de réalisme... Elle s'est entraînée seule durant ces années, était pratiquement encore une enfant lors de son départ et pourtant, elle est parvenue à survivre dans la nature et à voyager dans un monde qu'elle ne connaissait probablement pas encore très bien. De plus, elle a trouvé le moyen de commettre autant de meurtres (bien souvent des adultes, qui plus est), au point d'avoir une réputation... Mais personne ne sait de quoi elle a l'air, n'a réussit à lui échapper ou donner des indications sur son apparence. Avant même d'être prise en charge par un mercenaire et d'avoir un maître, à 19 ans à peine, elle semblait déjà être plus redoutable que des adultes ayant des années d'expérience et ayant eu un entraînement. Si elle avait eu dans les alentours de 15-16 ans lors de son départ, elle aurait déjà été un peu plus adulte et le fait qu'elle voyage complètement seule aurait plus de sens.

Son âge au moment des faits et de sa fuite est vraiment ce qui pose problème à nos yeux. Attention aux fautes ici et là, mais tout le reste (incluant l'histoire), excellent!
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22.01.20 22:35
J’ai spécifié qu’elle a 16 ans lorsqu’elle fuit d’Al-Jeit. Elle reste cinq ans sur la route, elle a donc 21 ans lorsqu’elle rencontre son maître. Mon personnage a 23 ans en ce moment.
Est-ce que c’est plus réaliste, ainsi ?
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Invité
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23.01.20 0:05
Oui, beaucoup plus réaliste!

Il te suffit donc de changer l'âge dans la section des informations (sous le nom), et la présentation sera validée.

N'hésite pas à nous faire signe lorsque ce sera fait.
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Invité
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23.01.20 0:22
Fait!
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Admin
Féminin
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 1085
Date d'inscription : 07/01/2007

Mon personnage
Sexe et âge:
Aptitudes:
Admin
Admin Suprême



23.01.20 19:41
Bienvenue!

L'heure est maintenant venue d'explorer

La prochaine étape

Félicitations! Ta présentation est validée, ce qui veut dire que tu as maintenant accès à la totalité du forum pour te lancer dans l'aventure ou pour profiter de la section hors-jeu.

Avant de débuter le jeu, il te reste cependant quelques étapes à franchir pour assurer ton organisation et intégration sur le forum. Tout d'abord, n'oublie pas de remplir et poster la chronique de ton personnage, où tu pourras recenser ses rencontres ainsi que tes rps. Tu peux ensuite te diriger ici afin de faire une demande de rp et voir celles qui sont en cours.

Nous te souhaitons encore une fois la bienvenue sur Gwendalavir!


Le Staff

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