[Pas grave... Bon, insuctions : vous faites comme vous voulez, mais vous vous arrangez pour tous être le lendemain matin dans la bâtisse, à attendre vos guides]

( okay ^^ ]

elfyra s'étira : la matin se levait les gardes les attendaient devant la batisse : elfyra les rejoins sans un mot; la jeune marchombre avait les muscles engourdis, il valait mieux ne pas les provoquer elle se contenta juste d'un petit bonjour.

on peut se mettre en route maintenant demanda t-elle au soldats

Les deux pirates retrouvèrent le groupe dans la salle principale de la cabane. L'un d'eux prit la parole :

Vous aure vos réponses bientôt. Maintenant, pressons, le temple est çà une bonne journée de marche d'ici, nous y serons ce soir si nous pressons suffisamment le pas.... Suivez-nous!

Il sortit et s'engagea sur un senier de terre partant à votre droite et se perdant à quelques centaines devant vous dans un tournant, bordé de hauts arbres. Une douce pénombre régnait en l'endroit : le soleil était levé depuis peu, et sa clarté perçait avec difficulté la canopée, se dressant fort haut au-dessus de vous.

elfyra haussa les epaules et les suivit, cette atmosphere l'endormait les rares rayon de soleil la berçait. Elle rouvrit les yeux s'adressant à farenor : qu'en penses tu ?

Abigaelle observa Larkka d'un oeil perçant tout fatigue semblant s'être définitivement envolée. Parfois les questions les plus directes et inattendues avaient parfois le mérite d'apporter les meilleures réponses.
Par contre, dans ce cas-ci elle pouvait simplement dire qu'elle était au coeur d'une énigme qui pourrait facilement s'avérer dangereuse.
Tandis que leur guide s'éloignait un grondement sourd semblable au feulement d'un fauve se fit entendre. Et une averse aussi diluvienne que soudaine s'abattit sur le groupe. La pirate leva les yeux vers le ciel sans paraître s'émouvoir.
*Ce sont des choses qui arrivent dans un climat tropical* pensa t-elle
C'était une pluie qui avait quelquechose de bénéfique et de vivifiant.
La jeune femme s'avança trempée jusqu'à l'os mais étrangement sereine dans la végétation exubérante de la jungle

La journée était assez avancée lorsque les deux pirates firent signe de s'arrêter. Au loin, une forme sombre et haute se dessinait.

Comme vous pouvez le voir, nous arrivons en vue du temple. Faisons une pose maintenant, nous y serons dans deux heures. Je vous laisse dix minutes.

Après dix minutes passées à se dé"raidir les jambes et manger un morceau de siffleur, le groupe reprit sa marche.


[Bon j'ai pas grand chose à dire, je vous laisse faire votre RPG jusqu'à ce que vous apperceviez le temple en entier, à quel moment je m'occuperait de la description... Et ca pourra vraiment commencer, je pourrai vous faire un plus long truc, ici j'ai pas d'idée et pas beaucoup de temps...]

Abigaelle avait seulement accordé un regard indifférent à Voronwe et Farenor qui s'éloignaient dans la forêt. Elle avait mangé avec lenteur son morceau de siffleur en contemplant la lueur douce et dansante des flammes et en discutant aves les autres pirates. Elle n'entendit jamais Voronwe qui revenait pour entraîner Elfyra.

Le temps s'était écoulé, long. Anormalement long. De tel sorte, que le groupe de Larkka avait commencé à se poser de sérieuses questions. Après tout, la jungle, fourmillait de dangers de toutes sortes. Il était donc justifié de penser qu 'il se soit passé quelquechose de regrettable. Pendant, qu'ils débattaient sur ce qu'il valait mieux de faire, Abigaelle s'était simplement éclipsé entre les ombres des hauts arbres. Les plans du groupe avait quelquechose de vain et d'incohérent puisqu'aucun d'eux n'était d'accord avec personne. Certains préférant abandonner Farenor, Voronwe et Elfyra à leur sort quel qu'il soit et d'autres ne voulant surtout pas décevoir le roi.

Les bruits nocturnes de la jungle l'avait alors entouré, elle était resté sur le qui-vive pendant tout le temps de ses recherches doutant de plus en plus qu'ils soient encore vivants s'attendant à tout moment de trouver leur cadavres contre les arbres. Elle commençait à envisager d'abandonner lorsqu'elle aperçut deux silhouettes allongé dans une clairière. Elle s'approcha furtivement et reconnut Elyra et Farenor.

Leur visage livide était presque effrayant nimbé par la lumière de la pleine lune. Farenor avair repris conscience et Elfyra restait inerte. Les yeux d'Abigaelle s'assombrirent lorsqu'elle vit l'ampleur de leurs blessures. On ne s'était pas contenté de les tuer, on les avaient mutilés et laissés dans l'agonie.

-Je suis là, je vais faire ce que je peux pour vous soigner, murmura t-elle.
Elle entreprit de désinfecter les plaies d'Elfyra tout en poursuivant.
Que s'est-il passé? Que...
Elle s'interompit brusquement.
-Où est Voronwe?