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Auron Boros
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15.03.11 0:48
Nom entier : Boros

Prénom : Auron

Surnom : Sir Auron

Age : 28 ans

Origine : Gwendalavir, né à la Citadelle et parcourant désormais le monde.

Sexe : Masculin

Future Guilde : Frontaliers

Capacités : : Spécialiste des armes à deux mains, particulièrement les épées à deux mains qui n'ont aucun secret pour lui, ses réflexes se sont aiguisés au fil des entraînements, sportif assidu, bon grimpeur.

Qualités : Modeste, intelligent, patient, confiant, courageux, calme

Défauts : Froid, solitaire, terre à terre, borné, peu loquace.

Êtes vous nouveau sur les forums en général? Sur ce forum je suis tout nouveau sinon je fais partie de plusieurs forums.

Histoire de votre personnage: Comme tout frontalier, ma vie débuta dans la fière et majestueuse Citadelle. Ma venue au monde fût à peine plus bruyante que les pas d'une souris en plein désert, pas étonnant avec le monde y séjournant, les duels, les frontaliers s'entraînant et moultes choses provocant tohubohus, éclats de rires et tout le tutti quanti. Étant petit, j'étais un enfant tout ce qu'il y a de plus turbulent et curieux, flanquant mon nez partout, posant à tue-tête des questions qui restaient la plupart du temps sans réponses et me bagarrant avec les autres enfants à tout bout de champs, amochant la plupart des mioches sans ciller et en y prenant du plaisir, comme tout bon frontalier qui se respecte. Et comme tous les enfants j'outre-passais les interdictions en tout genre de mes parents: sorties en tout genre hors des murs de la citadelle, troubles intempestifs, bagarres... Et devinez quoi? Ma mère me punissait de diverses manières, me bourrant le crâne de diverses morales à coups de divers ustensiles de cuisine ou tout simplement le premier objet qui lui passait sous la main. Quand à mon père, celui-ci me félicitait pour mes exploits, faisant soupirer ma mère par la même occasion. C'est comme ça que mes parents me forgeaient le caractère, un peu contradictoire tout de même, ne trouvez-vous pas?
Bref, à l'âge de six ans, mon père décida que le temps était venu pour moi de prendre le chemin qui mènerait à celui d'un frontalier, un vrai comme il aimait se le dire. Tout les jours, entraînements aux armes, combat à mains nues, cours de stratégie, histoire. Tout y passa, et pour ma plus grande joie. La vie de frontalier est tellement exaltante, remplie de tendres et harmonieux sons que ce soit ceux de la nature ou celle des lames s'entrechoquant, les efforts si sensationnels, laissant la sueur parcheminer le moindre grain de peau, me faisant me sentir vivant.
Quatre ans plus tard je recevais ma première armure et ma première arme: une magnifique armure cloutée ainsi qu'un espadon. Ma joie était si intense que je ne pu contenir cette extase et parti au trot tester mes nouveaux équipements. Mes pas me dirigèrent en dehors de la citadelle, près des frontières de glace, la température n'était pas trop un problème mais je gardais espoir de trouver quelques choses pour évaluer la qualité de mon nouvel équipement. Le soleil continuait sa course et se détachait sur la chaîne du Poll, le vent faisait danser lentement mes cheveux et caressait mon visage, le calme régnait aux alentours, jusqu'au moment où des bruits gutturaux et autres braillements inhumains. Je voyais à l'horizon un nuage de poussières se profiler et se rapprocher dangereusement de moi, en plissant les yeux je distinguais les silhouettes tout aussi inhumaines que les hurlements bestiaux qu'ils poussaient. Têtes porcines scarifiées et ravagées par d'immondes pustules où pullulaient pus et sang, corps habillés par des haillons et pour les mieux équipés d'entre eux des restes d'armure, bras ridicule tentant serpes, épées ou poignards émoussés et claudiquant sur leurs sabots. Bref les êtres les plus immondes qui existe sur Gwendalavir juste devant les Thûls d'après mon père: les Raïs. Ils étaient un petit groupe d'environ dix pourceaux buboniques et pustuleux, de vrais animaux galeux.
Le moment était venu de mettre en application le savoir que mon paternel m'avait enseigné. J'agrippais mon arme à pleines mains, jambes campées, concentré sur les mouvements de ces porcins humanoïdes, baragouinant à s'en époumoner. Le premier arrivait, sans doute le plus fou et idiot de la bande, au vu de ses diverses décorations qui devaient servir à les distinguer. A mon avis les plus stupides et inconscients devaient régner en maître chez eux. Il était à présent à portée de ma lame mais je voulais lui faire croire qu'il avait toutes ses chances. Il plongeait à présent sa lame en direction de mon coeur, je me retirais de sa trajectoire à l'aide d'un pivot avant d'enfoncer ma botte contre son visage puis plongeant ma lame dans son coeur dans un bruit de succion. Le sang gicla et m'éclaboussa, le liquide empestait et était gluant, mais la couleur suscitait mon attention, d'un pourpre sombre et attirant. Mais je n'avais pas le temps de faire attention à ce genre de détails futiles. Deux nouveaux Raïs se jetaient vers moi, sans réfléchir, ce qui ne m'étonnait vraiment pas les concernant, je n'avais qu'à tendre ma lame pour qu'ils s'empalent dessus, d'ailleurs ils firent une immonde brochette purulente et gorgée de sang à en rendre nauséeux les âmes les plus sensibles.
Trois nouveaux vinrent remplacer leurs camarades tombés, et cette fichue lame ne voulait pas se retirer de ces deux andouilles pourries. Plus le temps de m'occuper de mon arme, j'attrapais le premier venu brisant sa colonne vertébrale d'un coup sec avant de le projeter violemment contre celui en retrait, le dernier chargeait toujours, les yeux injecter de sang, découvrant des défenses pourries d'une noirceur incomparable. Je m'effaçais de sa trajectoire avant de frapper de la paume au niveau du plexus solaire puis je lui broya la gorge d'un coup de poing. Déjà cinq d'éliminer, plus un provisoirement en train de rêvé, il n'en restait donc que quatre, et pas les plus débrouillards et ragaillardis à voir leurs visages monstrueux perdre quelques couleurs. Je récupérais l'épée courte qu'avait laissé mon dernier opposant et je chargeais à présent vers le groupuscule dans un hurlement guerrier avant de jeter la lame sur celui le plus à l'extrémité. La lame fit mouche et un bruit d'éclatement lorsque la lame s'enfonça dans son crâne, du fluide cérébral découlait de la blessure entremêlée au sang immonde. Ainsi ils avaient eux aussi un cerveau, fait étonnant.
Ce dernier cadavre eut raison de leur dernière once de raison, le premier muré dans une terreur sans nom, mugissant comme un porc traîné à l'abattoir puis égorgé (drôle d'image), le second courant à toutes jambes pour fuir le lieu du massacre fraternel par un sale mioche, le troisième et dernier énergumène fonçait tout simplement vers moi, en beuglant comme le reste de ses confrères. Sa course se termina sous ma botte, l'ayant percuté de plein fouet avant que je l'achève d'un bon coup de talon au niveau de la glotte.
Tout était à présent terminé, j'étais assez content de mes prouesses, malgré le fait que deux de ces pourceaux avaient opposés quelques difficultés à cette bataille en s'empalant de leur propre chef sur ma lame. Ma première bataille, pas très épique mais amusante venait de se clore. Au moment de récupérer la lame, celle-ci se craquela avant de se briser en éclat, la garde reposant dans mes mains recouvertes de sang. Je rangeais donc l'arme brisée dans son fourreau et m'en retournais l'air ravi vers le chemin de la maison, la lune éclairant lentement mon chemin et la scène passée.
Mon arrivée à la Citadelle en surpris plus d'un mais pas autant que lorsque je vis les mines blafardes et décomposées de mes parents, l'inquiétude et la colère s'entremêlant dans leur regard. Une fois à la maison je reçu la plus mémorable et enrichissante des punitions, d'ailleurs mon corps s'en souviendra toute ma vie. Je crois que la douleur m'étais restée durant un peu plus de deux semaines, mon père s'étant joint à ma mère pour me donné cette correction ultime.
Les années passèrent, mon apprentissage se perpétuait sous le regard avisé de mon père. A seize ans j'étais devenu un Frontalier, aspirant désormais à me battre avec la pleine possession de mes moyens et prêt à aller au delà. Désormais j'étais beaucoup plus libre dans mes mouvements et je n'hésitais pas à retourner dans les alentours de la chaîne Poll pour titiller comme il se doit les Raïs par le fil de ma lame. J'effectuais de nombreuses escarmouches contre ces aberrations de la nature et en revenais toujours en un seul morceau, certes par moment avec quelques égratignures mais toujours le sourire aux lèvres, malgré un défi très peu relevé. Enfin, pour le moment je restais dans les alentours de la Citadelle, mais il y avait assurément d'autres créatures plus surprenantes et coriaces par delà les pics enneigé à travers Gwendalavir.
A vingt ans je fus défié pour la première fois de ma vie, certes ce n'était pas mon premier duel mais c'était assez déroutant, surtout lorsque l'on se voit confronter à un parfait inconnu, non originaire de la Citadelle qui plus est. Et à voir la silhouette finement sculptée et le visage serein de l'homme en face de moi, ça ne pouvait pas être un Thûl. L'homme semblait confiant et souriait paisiblement, mais son regard en disait long et semblait tout voir. Décidément j'allais de surprise en surprise. L'homme se mit en garde et me salua brièvement. Ma tension chutait librement lorsque j'empoignais à présent Masamune, je me mettais à présent en garde, tout sourire et saluais mon adversaire. Un cercle se formait à présent entre nous deux, se tenant à bonne distance de nos lames pour un minimum de sécurité.
Le combat s'entamait à présent, désormais plus rien n'existait autour de moi, juste l'homme en face de moi et ma lame. Nous nous jaugions, tournant l'un autour de l'autre attendant que l'un de nous fasse le premier pas. Il n'avait toujours pas sorti une seule arme, mais les replis de sa cape affirmait l'existence d'armes. Il s'élança à une vitesse ahurissante, tel le vent, non, il incarnait le vent, se mouvant sans un geste inutile, force et précision. Ce combat s'annonçait comme le plus intéressant à venir. Ses coups semblait caresser l'air et fuser à une vitesse qu'un oeil non entraîné serait incapable de voir. Les coups pleuvaient et me frôlaient dangereusement, tel un flot ininterrompu, aussi puissant et rapide qu'une rivière, tentant de percer inexorablement mes défenses. J'allais tout de même pas me laisser déborder dès les premiers instants, je libérais une main de ma prise et frappa de la paume vers son plexus solaire. Sa silhouette s'effaça avant que mon coup l'atteigne, il s'était déjà élancé dans les airs dans une parfaite demi-lune. Il semblait s'amuser, surement en me comparant à un enfant pataud. J'allais lui démontrer le contraire, il ne toucha pas le sol que mon pied faucha ses jambes. Mais il en fallait plus pour le déséquilibrer car celui-ci se réceptionnait déjà à l'aide de ses mains, puis il sorti deux stylets avant de fondre sur moi, redoublant de coups, feintes et bottes en tous genres. Il n'en démordait pas et pourtant me laissait imperceptiblement quelques failles volontaires dans sa garde.
Je raffermis ma prise sur la garde de Masamune et commença à enchaîner maintes bottes et feintes afin d'approcher petit à petit de cet homme. Je bondissais à présent en arrière, imité par ce mystérieux adversaire. La tension était palpable dans l'air et tout le monde semblait retenir son souffle. Mon coeur battait la chamade, le combat battait son plein et j'espérais que ce moment de pur bonheur dure éternellement, mais au fond de mon être, je savais déjà que le combat touchait à sa fin: c'était le dernier assaut. A présent nous nous élancions l'un face à l'autre, lames croisées pour lui, et moi lame en arrière prête à fondre sur lui.
Le duel était terminé, la foule applaudissait, ma lame s'était arrêtée à quelques cheveux de sa nuque mais au fond de moi, il avait gagné, et la blessure qu'il venait de m'infliger au visage était en train de crier cette vérité aux yeux des gens. Pourtant ils m'acclamaient, ainsi que mon adversaire, souriant malgré la destruction de ses armes, applaudissant lui aussi, faisant à présent une révérence gracieuse. Avant de partir il se pencha vers moi, posant sa main sur mon épaule.
"Nous serons amenés à nous revoir un jour Auron Boros. D'ici là, porte toi bien."
Ce fût les seuls mots qu'il prononça avant de disparaître à travers la foule sans en effleurer un seul. Tout le monde était d'humeur joyeuse, pour ma part, une irrésistible envie de parcourir Gwendalavir en quête d'amélioration, d'aventures et que sais-je d'autres. Le lendemain, je m'élançais vers les contrées inconnues de Gwendalavir, mais je savais que je retournerais là où je suis né et où j'ai grandi. Une nouvelle page se tourne.
Destinée.



Petite description : Description physique: Auron est une personne possédant une musculature finement ciselée par les nombreuses années d'entraînement. Il mesure 1m85 pour 85kg de muscles. Son visage est froid et sévère, relevé par une cicatrice courant de son sourcil droit jusqu'à sa joue, sa peau est légèrement mâte, il possède des yeux couleurs noisettes, une chevelure grisonnante quelque peu hérissée, une tresse bandée se prolonge à l'arrière de son crâne et descend le long de son dos, caché par son manteau.
Il protège ses yeux sous une paire de lunettes de soleil, une moitié de son visage est cachée par son protège-col en tissu grisâtre relié par un astucieux système de clip à son armure de cuir noire à bordure dorée. Il revêt par dessus son armure de cuir un long manteau rouge en tissu muni d'une épaulette en cuir brun munie de diverses décorations au niveau de l'épaule droite et de nombreuses sangles en cuir afin d'ajuster la largeur des manches; une sangle en cuir est positionnée dans son dos afin d'y accrocher son épée Masamune; il maintient son manteau fermé à l'aide d'une grosse ceinture en cuir à motif bleus et verts à laquelle il accroche une jarre en terre cuite blanche fixée par des perles jaunes et bleues enchâssées dans un filin en acier, contenant de l'alcool et à l'occasion, de l'eau. Sa main droite est protégée par un gantelet auquel il fixe un poignet en plaque longeant son avant-bras. Il porte un pantalon de tissu noir et ses pieds sont chaussés dans des bottes en cuir cloutées. Auron reste la majorité du temps le bras gauche replié contre son torse et dépourvu de la manche de son manteau, pas que son bras soit cassé mais cela lui donne un certain style et lui permet de plus amples mouvements en cas de bataille.
Son épée, Masamune est un sabre aussi grand que son possesseur et d'une épaisseur d'environ 40 cm; celle-ci est donc d'un poids assez conséquent, sa lame est parfaitement affutée, en combinant son poids impressionnant ainsi que sa capacité son affutage, l'arme permet de fendre ou découper à peu près n'importe quoi.

Description psychologique: D'un naturel calme et apparent, il est quelqu'un pouvant se révéler très froid, mais il s'avère que c'est plutôt quelqu'un de patient, de courageux, aimant un tantinet trop le goût du risque. Malgré ses traits durs, froids et intimidants, il est quelqu'un de tout à fait charmant et agréable lorsque l'on apprend à le connaître. Il est prêt à se fondre dans le combat pour aider ceux qu'il considère comme ses amis ou ceux dans le besoin. Lorsqu'il entreprend quoique se soit, il persévère jusqu'à arriver à terme, ne lâchant jamais prise, étant parfois un peu trop borné même. C'est une personne intelligente et capable d'une grande logique. Il connait pleinement ses capacités mais n'hésite pas à se surpasser, après tout c'est comme cela que l'on s'améliore. Il est une sorte de loup solitaire, mais cela ne l'empêche pas d'accepter l'aide des autres et d'être en compagnie de quelqu'un. Loup solitaire, ayant vécu la majorité de sa vie seul, celui-ci n’a dû compter essentiellement que sur lui-même, il est donc la plupart du temps seul, surtout pour rester tranquille. Peu loquace, il préfère laisser parler sa force et la puissance de son épée Masamune. Mais malgré sa froideur et la distance qu'il met entre lui et les autres, il n'en reste pas moins un grand guerrier à la bravoure hors-du commun. Ses choix pourront en déstabiliser certains voir même les insupporter mais il fera toujours ce qu'il pense être le mieux.
Il méprise la lâcheté et la fourberie, faisant preuve d'un grand sens de l'honneur, il n'hésitera pas à se mettre en travers d'une quelconque dispute ou bagarre, surtout si celle-ci n'aurait pas du s'engager ou tout simplement afin d'aider quelqu'un en danger. Il est prêt à tous les sacrifices pour arriver à ses objectifs.
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15.03.11 0:54
Yaaaay ! Bienvenue Ron-Ron !! :D J'adore ta fiche, comme d'hab quand t'as de l'inspiration. *o*
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Ludwiga Hasagan
Féminin
Âge : 31
Autre(s) Compte(s) : Karlson Hrejo Voïshinta
Messages : 6023
Date d'inscription : 12/08/2009

Mon personnage
Sexe et âge: Frontalière de 28 ans
Aptitudes: Guerrière chevronnée et redoutée
Ludwiga Hasagan
Frontalier



15.03.11 9:39
https://ewilan.forumactif.fr/t1946-echos-du-parcours-d-une-fronta
Ta fiche est super, Auron ;-).

Tu es validé. Tu peux commencer à écrire des rp et à flooder.

Bienvenu chez les Frontaliers !!! =D
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Nessa Minyatur
Féminin
Âge : 32
Autre(s) Compte(s) : Deag Jörgan
Messages : 4997
Date d'inscription : 29/01/2011

Mon personnage
Sexe et âge: Jeune femme de *je dois compter*
Aptitudes: Reflexes accrus ; Maîtrise le corps à corps mais mal les lames traditionnelles. A l'aise dans l'eau, mal à l'aise dans les airs ou sur un cheval.
Nessa Minyatur
Capitaine Aline__Membre



15.03.11 17:39
https://ewilan.forumactif.fr/t2028-journal-de-bord-d-une-pirate-l
Bienvenu Auron ! j'ai beaucoup aimé ta fiche, voir zigouiller des Raïs est toujours très plaisant =D Dommage que tu es le sens de l'honneur, les Mercenaires auraient tenté de te débaucher sinon x] Mais peut-être est-ce déjà fait ? Celui qui a défié ton perso était-t-il Marchombre ou Mercenaire ? Après tout les deux sont possibles lol Enfin ne répond pas ça gâcherait la surprise ^^
Bref encore bienvenu !
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Neleam
Féminin
Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
Messages : 10802
Date d'inscription : 28/11/2010

Mon personnage
Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE
Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
Neleam
Chevalier__Admin



15.03.11 23:02
https://ewilan.forumactif.fr/t1995-neleam-une-femme-de-legende
*viens de tout lire*
ouhh....

c'est génial ! ^^ j'adore !!


donc le principal : Bienvenue !!!
Auron Boros 484724
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Roxane
Féminin
Âge : 27
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 8130
Date d'inscription : 22/09/2010

Mon personnage
Sexe et âge: Femme, 20 ans
Aptitudes:
Roxane
Rêveur__Membre



16.03.11 7:43
Ouaaaw! Quelle fiche!!! Bravo!!^^

Bienvenuuuuue chez les fous, pas nets, bizarres...

MUAAHAHAH

-Pourquoi tu rigoles?

Heuu....je sais pas...J'avais envie de rire diaboliquement...

-Han...pourquoi pas...


Elle, s'est Lily...
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Invité
Invité



16.03.11 20:23
Bienvenue!! J'aime beaucoup ta fiche!
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