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Heiwa Shiroame
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22.08.11 22:57


.:I Changement de camp! I:.

"Parfois la vie dure le temps qu'une goutte de sang glisse le long de ma lame..."

Heiwa Shiroame 424718Sanstitre

Nom entier : Shiroame

Prénom : Heiwa

Surnom : Aucun. C'est Heiwa, ou rien...

Age : Dix-huit ans et des poussières!

Origine : Gwendalavir - frontières de glace

Sexe : Féminin!

Future Guilde : Frontalier

Capacités : : En plus d'exceller en combats à mains nues et dans le maniement des armes blanches, je possède deux lames que je peux emboiter l'une dans l'autre afin de me créer une arme encore plus grande et plus puissante. Sinon je suis insensible à l'art du dessin et je possède souplesse et agilité. Je reste néanmoins qu'une femme, je ne suis pas comme ces marchombres, ces reveurs ou ces dessinateurs qui possèdent leur pouvoir, moi je mise tout sur le fil de ma lame.

Qualités : Je suis quelqu'un de constamment enjouée, j'aime la vie autant que j'aime me battre et il est difficile de me faire perdre ma bonne humeur. Optimiste au quotidien, je ne baisse jamais les bras et vois les choses du bon coté même lorsque tout semble perdu. Souriante et à l'écoute des autres, je n'ai pas vraiment besoin de consoler les gens puisque les frontaliers sont du genre durs à cuir, mais je n'hésite pas à venir en aide à l'un d'entre eux car ma solidarité est sans limite. Difficile de me faire perdre mon sang froid, personne n'a jamais réussi à m'enerver ou à me rendre triste car je reste lucide sur la vision de la vie: nous sommes toujours seul.

Défauts : Doté d'un sens de l'humour parfois à la limite du sarcasme, je ne cherche pas à blesser les autres mais il arrive que je me montre un peu trop vexante. Confondant la mort avec un jeu, je ne respecte pas mes ennemis alors que je devrais et il m'arrive de culpabiliser à cause de cela. Oui, je suis du genre à me remettre en question, à me demander si j'ai bien fait ce qu'il fallait... Malgré ma gaieté, je suis assez froide au niveau du coeur et je ne laisse pas n'importe qui approcher mon âme tant et si bien que même si je me montre sociable, je suis assez distance sur certains points.

Êtes vous nouveau sur les forums en général? Non, du tout. Je précise d'ailleurs que je suis aussi Viladra Memphis et vous rassure en vous disant que je serai active sur mes deux comptes.

Petite description : Allongée sur le sol, les yeux clos et la respiration sereine, je mis un certain temps avant de me rendre compte dans la situation dans laquelle j’étais. Que faisais-je ainsi ? Où étais-je ? Mais… Qui étais-je ? Me redressant lentement sur un coude, je sentis des cheveux me caresser l’épaule et je tressaillis légèrement avant de comprendre qu’il s’agissait des miens. Passant mes doigts dans ceux-ci, j’en appréciai la texture soyeuse et en déduisis que je ne pouvais être qu’une femme…
Quelle étrange sensation… C’est un peu comme si on vous avez aspiré la moindre parcelle de vos souvenirs mais que vous vous souveniez de la parole et de la connaissance du monde… Mais pas de vous. Enfin, c’est comme si on vous avez siphonné le cerveau de fond en comble pour finalement vous laisser seule dans un lieu inconnu. Ouais, c’est un peu ce que je ressentais actuellement…
Poussant un soupir, la tonalité féminine du son acheva de me convaincre sur ma nature de femme et je me relevai entièrement. M’étirant fortement jusqu’à me faire craquer les os, je roulai deux trois fois des épaules pour achever de me remettre sur pied et commençai enfin à contempler le lieu où j’étais. C’était… C’était étrange. Au centre d’une pièce entièrement vide, les murs étaient composés de centaines de miroirs de toutes formes. L’atmosphère glaciale malgré une douce lumière qui me réchauffait la peau, ce ne fut qu’en baissant les yeux que je me sentis rougir. Mais que faisais-je, nue, en plein milieu d’une salle aussi bizarre… Jetant frénétiquement des regards dans tous les coins pour vérifier que j’étais le seul témoin de ma tenue d’Eve, je me sentis plus rassurée lorsque je compris qu’il n’y avait que moi. M’approchant d’un premier miroir, mes yeux s’écarquillèrent de surprise quand j’aperçus pour la première fois mon reflet…
Elancée, la peau pâle quoique légèrement halée, j’étais assez grande sans pour autant rentrer dans les extrêmes... Un bon mètre soixante-quinze, à vue de nez. Mince et correctement proportionnée, je voyais une fine musculature rouler sous ma peau lorsque je me mouvais sans que cela ne m’enlève de ma féminité pour autant. Croisant mes bras sur une poitrine pas trop vulgaire mais assez bien proportionnée, je voyais que mon physique était plutôt bien équilibré dans l’ensemble et je sentais que je n’étais pas qu’une simple femme. Non, la force que je sentais en moi me prouvait que j’étais une combattante. Mais où étaient mes vêtements, dans ce cas ? Poursuivant l’inspection, je louchai presque sur la psyché pour observer mon visage. Les traits fins, un nez droit et une bouche bien dessinée, j’étais ce que l’on pouvait considérer comme jolie sans non plus exhalait une beauté fatale. En fait, je me trouvais plutôt quelconque… Mais j’appréciais quand même quelques points sur moi. Mes yeux pour commencer, étaient fins et légèrement effilés vers le haut. Entourés d’un fin trait de… Maquillage ? La couleur de l’iris était d’un bleu gris qui faisait ressortir un regard volontaire et mystérieux. Ou alors c’était peut-être moi qui me voyais ainsi… En y faisant un peu plus attention, j’arrivais même à percevoir une touche de nostalgie dans l’abime de mon expression. Soupirant une nouvelle fois, je reculai légèrement et me contentai d’analyser rapidement le reste. De longs cheveux épais et légèrement ondulés cascadaient sur mes épaules nues et s’arrêtaient au milieu de mon dos. Souples et brillants, je compris que l’on avait certainement du bien les entretenir et un sourire amusé s’étira sur mon visage lorsque j’en contemplai la douce couleur bleutée. Est-ce que les habitants de ce monde avaient tous des physiques aussi étranges… ?
Pour terminer, je posai une main sur une hanche fine, jetant un regard à un ventre plat sans pour autant être anorexique et de longues jambes semblant avoir eu l’habitude de courir de longues heures. Le bilan plutôt satisfaisant, je me détournai de la glace et retournai au centre de la pièce. Faisant face à un autre miroir, je vis le reflet du précédent dans celui-ci et pu donc me contempler de dos. Haussant un fin sourcil violet foncé en apercevant un dessin stylisé tatoué dans mon dos, je vis qu’il s’agissait d’une fleur de pavot. Un coquelicot peut-être… Mais je n’en étais pas sur. Qu’est-ce que cela pouvait bien représenter ? J’étais donc une jardinière hors-paire ? Une passionnée de la flore ? Ou tout simplement une droguée acharnée ? Cela pouvait avoir tant de significations. Passant une main sur ma colonne vertébrale, je ne sentis aucune aspérité dans ma peau et appréciai la qualité de celui qui m’avait fait une œuvre corporelle pareille.
Déambulant quelques instants dans la salle, je commençai soudainement à avoir plus chaud et petit à petit un frottement étrange contre mon corps me força à redresser la tête pour me diriger vers un autre miroir. Retenant une exclamation de stupéfaction, je me vis à nouveau, mais cette fois habillée dans d’étranges vêtements. Comment étaient-ils apparus ? C’était de la magie… Laissant échapper un rire nerveux, je recommençai donc une nouvelle fois l’inspection de ces objets nouveaux.
Commençant par le haut, je repérai une paire de boucles d’oreilles dépareillée et admirai chacune d’elle. Si l’une représentait une fleur du même style que le tatouage que j’avais découvert un peu plus tôt, l’autre était une fine lame à la minuscule garde de cristal qui avait semblé être taillée initialement pour être un pendentif de collier. Les deux objets s’accordant bien malgré leur différence, je me contentai d’hausser une nouvelle fois les épaules et poursuivis mon analyse. Vêtue d’un haut de cuir moulant, la teinte était bleue en pleine lumière mais apparaissait plutôt violette foncée dans l’ombre. Adaptée pour pouvoir suivre le moindre de mes mouvements, on s’y sentait très à l’aise. Fermée à l’aide d’un laçage en cuir dans le dos, le col remontait jusqu’en haut de mon cou, un peu plus dur pour me protéger certainement de coups à la gorge. Certes peu efficace contre une arme lourde, il pourrait néanmoins dévier les plus petites lames mal intentionnées… Des plaques de métal léger habilement dissimulées aux emplacements des articulations, d’extérieur on ne pouvait pas se douter qu’il s’agissait d’une véritable armure. Oui, un assemblage parfait et trompeur pour ceux qui pensaient que les femmes n’étaient pas faites pour se battre… Délaissant cet élément de mon accoutrement, je baissai les yeux pour voir ce que je portais par-dessus mes jambes. Sentant déjà l’agréable sensation d’un sous-vêtement, ce fut plus sereine que je regardai le reste. Mes jambes entourées d’un pantalon de cuir moulant qui épousait la moindre de mes formes, je savais que je pouvais aisément effectuer un écart facial ou latéral sans prendre le risque de craquer les coutures. Me faisant des fesses d’enfer (oui il faut bien se jeter des fleurs parfois), je me sentis fière d’avoir enfin l’allure d’une guerrière et croisai les bras avec un certain contentement. Mes pieds chaussés de… et bien de chaussures, elles étaient plates mais confortable et solidement attachées. Suffisamment fines pour me permettre de grimper facilement quelques soient les matériaux sur lesquels je me jucherai, leur résistance me permettait tout de même d’effectuer de longs trajets et de me battre sans prendre le risque de les trouer. Oui, je ne savais pas qui m’avait trouvé cet accoutrement, mais je le remerciai sincèrement…
Tournant les talons, prête à chercher une issue pour me tirer d’ici une bonne fois pour toute, quelques cliquettements vinrent troubler ma détermination et je mis un certains temps avant de comprendre qu’ils venaient de moi. Retenant un énième soupir, je me dirigeai à nouveau vers un miroir en me demandant ce que j’allais y découvrir. Ha ! Mais oui, je me disais bien qu’il me manquait quelque chose… Des coutelas ouvragés étaient accrochés autour de mon bassin et une fine chaine de métal entourait ma cuisse gauche. D’autres armes de jet disposées un peu partout, que ça soit autour de mes bras ou de mes chevilles, j’espérai bien que les lieux où je me rendrai n’étaient pas équipés de détecteurs de métaux. Sentant un poids entre mes deux épaules, je me plaçai de biais et un sourire éclatant s’afficha sur mon visage. Deux magnifiques épées étaient accrochées dans des fourreaux de bois incrustés de nacre. Les retirant dans un chuintement feutré, je vis la première lame entièrement noire, ressemblant à de l’onyx métallique. Dégageant une aura apaisante malgré sa fonction de meurtrière, j’en tombai immédiatement sous le charme. Quelle était le maitre de cette merveille ? Je pouvais vraiment la garder ? La levant à la lumière, je la fis légèrement osciller pour apercevoir les éclats brillants qui apparaissaient comme des reflets. On avait l’impression que des feuilles d’argent ou d’or avaient été placées sur le tranchant… Tout simplement magnifique. La garde plutôt simple, on y voyait un coquelicot de nacre s’enroulait délicatement autour de celle-ci, ses feuilles habilement placées pour une bonne prise en main.
La dernière arme était l’exact opposé de la première… Et son parfait complément. La lame blanche comme la neige, je ne sais pas si c’était le sang qu’elle avait versé qui faisait cet effet, mais je pouvais voir des reflets rougeâtres lorsque je la bougeai. Une chaine stylisée accrochée à la garde, la poigné avait été entièrement taillée dans une pierre semi-translucide et très solide. Si elle semblait plus dangereuse que sa consœur, les deux armes formaient un duo de beauté abstraite, sanglante… Et follement excitante. Les rejoignant devant mon visage, je les posai l'une contre l'autre, légèrement décalées et sentis plus que n'entendis un cliquetement qui m'annonça qu'elles venaient de s'emboiter l'une dans l'autre, me laissant avec une arme à la lame très longue et aussi belle que mortelle...

Description morale :
Peu après avoir trouvé une porte dissimulée derrière un miroir, je fis un pas dans l’obscurité et chutai alors. Sentant un vent frais courir dans mes cheveux tandis que je plongeais les bras écartés comme un ange foudroyé en plein vol, peu à peu la vitesse se ralentit et j’atterris en douceur dans un confortable salon dont les murs étaient recouverts de velours rouge. Agréablement meublée, cette pièce était bien plus confortable que la précédente et la présence de fauteuils moelleux autour d’une cheminée dans laquelle un feu accueillant se mouvait me fit pousser un long soupir de bien être. M’avançant sans hésitation vers un pouf qui semblait me tendre des bras invisibles, je me laissai tomber dessus, frissonnant de plaisir en me sentant m’enfoncer agréablement. Une table juste en face de moi, je mis un certain temps avant de voir qu’un livre à la reliure de cuir y était déposé avec une plume et un encrier. C’était un peu archaïque comme façon d’écrire… non ? M’approchant de ce magnifique support, chef d’œuvre d’ébénisterie, j’effleurai les gravures dans ce bois précieux puis m’accoudai à sa surface et lu ce qu’il y avait écrit sur les feuilles du livre. Et bien mes amis, j’ai le regret de vous annoncer qu’il n’y a rien marqué. Non, pas le moindre point ! Comme je ne suis pas si bête que ça, je compris évidemment que c’était à moi de remplir les pages… Mais que pouvais-je bien y écrire ? Et bien tout commença lorsque je fis tomber une goutte d’encre sur une page (un peu à la harry potter II) et que celle-ci fut absorbée sans laisser la moindre trace. Haussant un sourcil, je commençai donc la narration de ce qui allait devenir mon âme, mon être et une grande partie de moi. La plume affutée, la main prête à commencer, je pris une grande inspiration comme un plongeur faisant le plein d’air avant la descente dans les abimes.
‘’ Je me nomme Heiwa Shiroame. Je ne sais pas comment je le sais, mais une petite voix dans ma tête me souffle qu’il s’agit de mon identité. Comme chaque individu normalement constitué, je possède des sentiments et des états d’esprit différent. Ne les connaissant pas encore, je vais donc vous les décrire au fur et à mesure qu’ils apparaissent dans ma tête… Mais par lequel commencer ? ‘’
Reposant l’outil, je levai les yeux vers le plafond peint de fresques étranges lorsqu’une étrange chaleur parcouru mon corps, me faisant frissonner malgré la température clémente. Je compris que le premier sentiment que j’allais décrire était peut-être le plus beau de tous… Et le plus dangereux. Plongeant la pointe dans l’encre, je me mis alors à écrire d’un air fébrile.
‘’Je suis quelqu’un qui est née dans l’amour contrairement à beaucoup de ninjas. J’aime la vie, je la chérie et j’apprécie tous ceux qui me respectent. Je ne suis certes pas une femme facile, mais il m’arrive de tomber amoureuse et d’éprouver des sentiments plus forts que l’amitié… Enfin, m'arrivait. Mais en étais-je bien sur ? Peut-être un peu naïve, sans doute inconsciente du fait que la nature n’est pas forcément toujours juste, j’ai toujours pensé que l’homme était foncièrement bon. Certes, cela m’a valu beaucoup de critique, mais j’aime croire en les personnes qui, de mon avis, méritent du respect et de la confiance. Malgré tout, je reste lucide et ne me laisse pas embarquer dans des situations dangereuses à cause de mon insouciance… ‘’
Relisant ce que j’avais écrit, j’affichai une mine satisfait et refis le plein d’encre pour poursuivre.
‘’ Je suis quelqu’un de fiable à condition que je m’engage. Oui, pour moi les mots ont une énergie… Donner sa parole ne doit pas être pris à la légère. Par contre, lorsque l’on ne promet rien, alors dans ce cas nous ne devons rendre de compte à personne. Plutôt sociable, j’affiche un caractère plutôt calme, serein mais agréable tout de même. J’apprécie beaucoup rire, à condition que l’humour me convienne, et ce n’est pas gagné ! Exigeante avec les autres autant que je le suis avec moi-même, j’aime que les gens soient sincères, honnêtes (ce qui est à peu près la même chose) francs et surtout droits. J’aime la stabilité et l’équilibre… Quelqu’un qui a des accès de colère pour un rien ou qui ne sait pas contenir ses pulsions, quelles qu’elles soient, je les tiens loin de moi. Sinon je suis plutôt sympa. Quand je rencontre quelqu’un, j’adore en faire un ami même si je n’accorde pas ma confiance facilement. Malgré mon amour de la tranquillité et de la solitude, je me sens vite mal si je passe trop de temps sans voir personne… Malgré ce coté là, je n’aime pas avoir beaucoup de personnes qui contrôlent mes actes et à part Hander til'illan, je considère que je ne dois rendre de compte à personne. Il m’arrive même parfois de penser que partir seule pendant des mois n’est pas si mal… Libre, sans attache, sans point faible autre que notre prison de chaire… Mais j’ai vécu trop de temps à la citadelle pour envisager de la quitter comme cela. Je suis plutôt loyale envers mes origines. Pour terminer, je dois dire que je tiens mon caractère enjoué de mon père et celui, plus réservé, de ma mère. Et oui… On peut être joyeusement renfermé… Enfin, vous me suivez ?’’
Eventant la feuille de papier pour en faire sécher l’encre, je m’étirai fortement puis relu ce que j’avais écrit. Pour la partie happy c’était bon… J’avais placé toutes les qualités dans le domaine de la sociabilité. Mais il me manquait encore deux ou trois catégories à décrire… Poussant un nouveau soupir, je trempai la plume dans le réservoir et me remis à écrire.
‘’ Comme on ne peut pas être tout blanc ou tout noir, je possède aussi des faces moins glorieuses en moi. Des cotés de ma personnalité que je ne souhaite pas forcément montrer et qui prouve que malgré mon amour de l’équilibre, je ne réponds même pas aux critères que je me fixe… Oui, alors que l’amour et l’amitié m’entourent au quotidien, je suis quand même une personne assez impulsive sur certains points… Capable de conserver mon calme dans des situations de stress incroyable, il suffit que l’on aborde quelques sujets et cela me fait sortir de mes gongs. Quand je suis en colère, ce n’est pas très beau à voir… Non, je me sens aveuglée par la rage et alors dans ce cas ma part d’ombre me prend et je suis capable d’éventrer un adversaire à main nue… Oui. Comme quoi, nous ne pouvons pas toujours être clean… Il m’est arrivé parfois de souhaiter la mort de quelqu’un de façon si intense que j’en ai été au point de m’infliger moi-même une douleur pour satisfaire mon envie de sang. Je peux aussi posséder une partie plus froide ; par exemple lorsque je me retrouve en présence de personnes qui, selon moi, ne méritent pas de respect. Etant assez polie, je ne rentre pas dans le tas, mais l’aura que je dégage est aussi froid que l’estime que je leur porte. En fait… On va dire que je suis quelqu’un d’assez lunatique. Agréable avec les frontaliers ou les gens que je connais, je me montre parfois si méfiante envers les étrangers que l’on peut me croire parano. ‘’
Levant la plume, j’haussai un sourcil amusé. Tiens ? La paranoïa faisait-elle partie de mon être ? Triturant la garde ouvragée d’un de mes coutelas de jet, je me mis à espérer que je n’étais pas parano ou hypocondriaque. Une goutte de sueur me coulant le long de la nuque, je secouai la tête pour m’ôter ces idées farfelues et commençai le dernier paragraphe de ma description… mentale.
‘’ Femme ambigüe, femme lunatique, femme lunaire ou solaire, j’étais un peu de tout et il était difficile de me cerner. Les gens avaient souvent tendance à croire qu’il était simple de me connaître mais ils étaient pourtant si loin de la réalité… Nous, représentantes du sexe féminin, avons développé une capacité innée qui était l’art de la tromperie, ou plutôt… de la dissimulation. Nous contrôlions la majorité de nos sentiments à la perfection… Si on voulait rester neutre, on le pouvait. Enfin, chacun ses points faibles évidemment… Pour ma part, j’affichais constamment une expression de sérénité joyeuse et j’aimais que l’on me considère comme une personne agréable à vivre. Réellement, j’étais du genre mélancolique qui se lassait d’une vie trop répétitive sans originalité. Eternelle rêveuse, je n’allais pas jusqu’à imaginer qu’un bel inconnu viendrait m’enlever (quoique, je ne dirais pas non) mais j’aurais préféré avoir une vie mouvementé. De ce fait, les fois où je combattais, je gardais une expression impassible afin de profiter à maximum de l’ennemi. J’aimais ressentir les sensations de l’autre… Les absorber en moi pour pouvoir les ressortir de la façon que je veux. Et puis à la fin, vile manipulatrice (je suis une fille après tout) je poussais mon adversaire à bout jusqu’à atteindre la limite, posant parfois un orteil au-delà. Ouais, comme un chat avec une souris, en fait.
Pour conclure, j’irai jusqu’à dire que j’étais quelqu’un de volontaire qui aimait aller jusqu’au bout de ses projets. Certes, je n’avais pas spécialement de but dans la vie, mais quand je me fixais une mission, je l’achevais toujours. Attentionnée envers mes proches et ma famille, je veillais sur eux autant qu’ils veillaient sur moi, m’apportant un certain réconfort.
Posant la plume, je secouai ma main engourdie et me laissai tomber en arrière avant de m’écraser au sol. Ha oui, sur un pouf il n’y a pas de dossier. Me relevant dans une grimace d’inconfort, je me relevai et fis quelques pas pour me délier les jambes. Voyant que le livre s’était refermé de lui-même, je me dirigeai vers la seule porte et l’ouvris prudemment. Ne sait-on jamais… Toute à l’heure je m’étais retrouvée en train de dégringoler dans le vide… Voyant que l’issue donnait sur une autre pièce, je vis une lueur bleuté et me sentis immédiatement attirée… Frontaliers, dessinateurs, reveurs, mercenaire, marchombres, pirates, faël et autres peuplades, souhaitez moi la bienvenue, j'arrive...

Histoire de votre personnage: Vous savez ce qu’est un rêve ? Ces images de votre âme qui s’emparent de vous une fois que vous fermiez les yeux… Et bien j’ai fait un drôle de rêve, moi. Le problème, voyez-vous, c’est que je ne me souviens absolument pas du moment où je me suis endormie, encore moins de ce que je faisais avant. J’étais comme une coquille vide et je ne savais pas qui j’étais. Après avoir traversé ces deux étranges salles où j’avais appris à en savoir un peu plus sur moi, j’avais terminé ma dernière aventure sur cette étrange lumière bleue que j ‘avais aperçu une fois la porte franchie. Et bien vous ne devinerez jamais sur quoi je suis tombée… Une immense pièce dont les murs étaient en fait un seul et énorme aquarium qui entourait l’endroit. Vide, enfin rempli d’eau mais sans un seul poisson, je m’en approchai et posai une main dessus, m’attendant à ressentir de la fraicheur. Étonnamment, la tiédeur m’envahit comme une mère serrerait sa fille et je contemplai mon reflet qui apparaissait sur la surface vitrée. Mes yeux renvoyant une expression nostalgique, l’image ondula soudainement comme une flamme sous la force du vent et je me retrouvai comme au cinéma… Des scènes s’affichèrent devant moi, à l’intérieur du récipient, flottant comme entre la vie et la mort… Description.

Pourquoi la vie n’est-elle donc pas rose comme un ballon de baudruche ? Mon enfance aura été acidulée comme un pimousse et sucrée comme une guimauve…

« Je me nomme Heiwa Shiroame. Je suis née un beau jour d’été lorsque le soleil venait de se lever, dans les bras d’une mère aimante et sous le regard attendri d’un père qui m’attendait depuis des années. Particulière dès ma naissance pour être la fille d’un dessinateur pacifiste et d’une frontalière hors du commun, il avait néanmoins été décidé que je ferais mon enfance à la citadelle afin d’apprendre l’art du combat… Ne possédant pas le don du dessin puisque j’étais membre du peuple des frontières de glace, ce fut essentiellement ma génitrice qui s’occupa de moi, délaissant ses tâches de gardienne de territoire pour consacrer son temps à mes petits besoin. Ma mère, une femme très forte qui aimait se battre et qui excellait dans le domaine, voulu évidemment que je suive la même voie et me mit très rapidement une lame dans les mains. Sans scrupule, n’hésitant pas à pousser mes limites au-delà de l’extrême alors que je n’avais pas encore atteint la dizaine, je vivais essentiellement dans un monde d’homme mais heureusement, je pouvais admirer les prouesses de la fille de l’empereur, Siam, qui me faisait garder courage : les femmes pouvaient valoir autant si ce n’était pas plus que les hommes ! Cette barrière mentale franchie pour le plus grand plaisir d’Elynne, ma mère, mon expérience augmenta autant que ma hargne et je commençai à absorber un nouveau savoir en même temps que mon âme se transformait en celle d’une enfant ambitieuse et volontaire.
Dix ans. Un âge de découverte, un âge ou tout semble être un vaste terrain de jeu où le danger n’existe que dans votre tête. M’amusant avec mes amis de la citadelle, je connaissais le moindre recoin, la moindre fissure, mais la fameuse pièce en haut de la grande tour m’intriguait. Oui, pourquoi n’avions nous donc pas le droit de rentrer dans la vigie ? Je vous assure, j’ai essayé une bonne cinquantaine de fois avant de renoncer… Siam et moi, bien que nous passions peu de temps ensemble puis qu’elle était souvent avec son père et son frère, avions cherché tous les moyens d’atteindre cette pièce, quitte à escalader le mur de l’autre coté. Evidemment nous avions arrêté vu la hauteur mais l’envie persistait toujours. Ce fut d’ailleurs à cause de cette obsession que se déroula mon premier combat. Mon premier combat pour mon âge, bien sur ! Vous savez, chez les frontaliers il y a une règle que l’on respecte… Si jamais vous offensez quelqu’un, la personne a le droit de vous provoquer en duel. Cela se faisait fréquemment et il n’était pas rare qu’un membre ou deux de la tour disparaisse, mais le seigneur de la citadelle essayait de réduire au maximum ce genre de problème… Ma mère, d’un caractère enflammé, prônait à fond les duels et en avaient fait plus que la plupart. Quand un garçon un peu plus âgé que moi vint se moquer de mes tentatives ratées de la vigie, ajoutant qu’une fille n’avait pas sa place sur un terrain de guerre, ma maman adorée me plaça une petite épée dans les mains et me menaça de strangulation si je ne provoquais pas l’imbécile en affrontement. Vous vous rendez compte ? J’avais dix ans ! Mais je le fis. Dans une petite pièce, sans personne car des enfants attiraient pas souvent l’attention, je fis couler pour la première fois le sang d’une personne… Inconsciente que l’on pouvait tuer aussi facilement avec une lame, j’eus ma première victime sur le bras et sa mort emporta une partie de mon âme. La tristesse, la culpabilité… Je venais de goûter à d’étranges sentiments.
Ce désastre détruisit le début de ma vie. Un cadavre devant les yeux, j’eus du mal à m’endormir le soir avant d’oublier cette vision affreuse. Je venais de prendre une vie, le sang avait perlé mon corps et mon âme… Et je perdis ma mère. Le père de la victime, fou de douleur, voulu mettre la main sur moi mais ma génitrice qui m’aimait plus que tout réussit à le convaincre de l’affronter elle plutôt que de me tuer. Troublée sans doute par cette situation qu’elle se reprochait, elle fit son combat déconcentrée et pour la deuxième fois de la semaine, je vis une lame perforer le corps d’un individu. Ma mère tombant en arrière comme au ralenti, ses longs cheveux bleus virevoltant autour de son visage parfait, il restait encore l’esquisse un sourire surpris et ses yeux se tournèrent une dernière fois vers moi avant qu’elle ne touche le sol pour ne plus jamais se relever. Mort, haine, vengeance… C’était trop pour une enfant. Ce n’était pas ce que j’avais voulu…

Ca a quel goût le sang ? On m’a dit que courir les yeux fermés dans un grand espace c’était la même sensation que possédait un ange qui se laissait tomber sur un nuage.

Quinze ans. Cinq ans étaient passés sans anicroche depuis le désastre de mon enfance. Adolescente, éternelle joyeuse car je voulais plus que tout ressembler à ma mère qui représentait jadis la gaieté en elle-même, je m’étais éloignée de mon père qui ne pouvait pas comprendre quel genre de femme je devenais. Retournant à ses activités à Al jeit, ce fut le dernier contact que j’eus avec lui mais aucun regret ne me prit. Sociable, active et vive d’esprit, je m’étais rapidement fait un groupe d’amis qui, je savais, seraient les premiers à se battre à mes cotés durant les batailles. Ma vie était à ce moment là assez banale. Tuer des raïs ne demandait pas beaucoup d’efforts et les Thügs se tenaient bien sagement dans leurs camps ce qui faisait que nous n’avions pas souvent des adversaires de valeur à nos portes. Trop agréable pour froisser quelqu’un, personne ne m’avait provoqué en duel et je regardais ceux des autres d’un regard ennuyé. Pourquoi ne se passait-il donc rien ? Je rêvais d’aventures… J’avais plusieurs fois tenté d’imiter le fils de l’empereur, c'est-à-dire prendre mes affaires et partir dans une autre ville, mais personne n’avait voulu m’accompagner et j’avais craint la monotonie si je m’étais lancée seule sur les routes. Résultat, je continuais de faire les mêmes activités tous les jours… Bien qu’une petite pensée persistait dans mon esprit de bisounours. Arc’h Hor. C’était un frontalier. Un homme aussi doué que méprisable, il aimait la boisson et les femmes et s’il avait toujours sa place dans la citadelle, c’était bien parce qu’il n’était pas mauvais en combat… Cette personne je la haïssais plus que n’importe qui… Je la détestais alors que j’avais toujours fait en sorte de ne voir qu’amour, amitié et joie. C’était de sa main qu’était morte ma chère mère et si normalement nous étions à égalité puisque j’avais tué son fils, il n’empêchait le fait que je souhaitais voir sa tête voler dans les airs et son corps tomber à genoux afin de se faire pardonner de force son crime odieux. Vint alors le moment où je me décidais de passer à l’action.
L’insultant publiquement lors d’un grand repas entre frontalier, il y avait trop de témoins pour qu’il ignore cette attaque et bien qu’il avait conscience de la raison de mon geste, il fut obligé de me provoquer en duel pour laver son honneur. Jeune, forte et volontaire, je me sentis pousser des ailes le jour où je posai un pas sur la terrasse où avait lieu l’affrontement… Agé d’une cinquantaine d’années, l’esprit encore embrumé par l’alcool et le manque de pratique régulière, il savait tout comme je le savais qu’il ne faisait pas le poids. Ce combat n’était pas un duel… Il s’agissait d’une expédition. D’une expédition punitive. Lorsque nos lames s’entrechoquèrent, j’adressai un message de pardon à ma mère qui me regardait certainement de là où elle se trouvait désormais…

L’heure de la confrontation n’est pas arrivée. Amis, ennemis, sortez donc votre étendard et brandissez le haut et fort vers le ciel car vos âmes devront en suivre la direction pour rejoindre le dernier voyage…

Toujours aussi joyeuse bien que j’avais tué un deuxième membre de la citadelle, je ne me fis que peu d’ennemis puisque ma dernière victime n’avait pas été le plus apprécié de tous et la vie reprit son court. Les années passèrent sans que je ne sache qu’elle était ma voie… Je ne connaissais pas l’amour, ne le recherchait pas non plus et ne considérais pas vraiment posséder d’amis à proprement parler. Seize ans… mon corps de femme apparaissait, mon âme s’endurcissait et l’ennui m’oppresser comme une prison de fer. Décidant qu’il était temps de prendre les choses en main, je pris un sac, mis toutes les affaires essentielles et scella un cheval avant de l’enfourcher. Laissez-moi donc me découvrir le monde…
Quittant la forteresse, laissant derrière moi peines et regrets qui m’avaient retenu trop longtemps entre ces murs, je gagnai les villes, certaines plus belles que d’autres et connus une véritable vie. Seule, certes, j’acquis encore plus de dextérité en affrontant tout type de personnes et fus agréablement surprise de voir que le niveau des frontaliers dépassait la plupart de ceux des autres… Même un membre de la légion noire n’eut raison de moi et je me sentis fière de faire honneur à ma mère qui fut l’une des plus grandes frontalières.
Apprenant la connaissance de drôles de guildes comme celle des sculpteurs de rêve, enfin un truc dans le genre, ou bien les marchombres, je compris que les mercenaires du chaos était la menace la plus importante pour l’empire. Mais qu’est-ce que je m’en moquais, il s’agissait de leur problème… Notant les merveilles des dessinateurs à Al jeit, je savourai aussi l’humour particulier des chevaliers et le mystère des rares faëls que je croisai. C’était tellement mieux comme ça…
Dix-sept ans, toujours en train de vagabonder partout, je voyageai à travers tout le pays sans pour autant m’aventurer en territoire raïs. Cela sentait si mauvais… Traversant la forêt ombreuse avec pas mal de difficulté car des ours élastiques semblaient m’en vouloir personnellement, je gagnai la forêt des faëls puis descendis jusqu’au désert des murmures où la sérénité m’envahit. Ralliant l’archipel aline, je me dis quelques ennemis parmi eux mais réussis à en éliminer la plupart afin que les autres m’oublient. Bref, une bonne vie d’aventurier…
Aujourd’hui j’ai dix-huit ans. Actuellement je suis sur les routes, je ne sais pas trop où je vais mais je laisse le vent de la liberté me porter là où il le souhaite. C’est ça, pour moi, la vie… »

Détachant mon regard de l’image où je me voyais représentée sur un cheval en train d’avancer de nuit sur une route, je venais de voir défiler toute ma vie. Souriante, je me détournai de cette vision et me dirigeai vers l’unique porte de la pièce. Actionnant la poignée, je l’ouvris et l’immensité de la nuit me happa tandis que les étoiles tendaient leurs bras invisibles vers moi comme pour me faire enfin découvrir les sensations d’un monde peut-être pas parfait, mais tout aussi interessant…






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Invité



23.08.11 11:21
Oula ! ça c'est d'la fiche !!

Très bien faite ! Re-Bienvenue parmis nous !
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Roxane
Féminin
Âge : 27
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 8130
Date d'inscription : 22/09/2010

Mon personnage
Sexe et âge: Femme, 20 ans
Aptitudes:
Roxane
Rêveur__Membre



23.08.11 11:52
Re bienvenue!!


Superbe fiche encore une foi x)
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Nessa Minyatur
Féminin
Âge : 32
Autre(s) Compte(s) : Deag Jörgan
Messages : 4997
Date d'inscription : 29/01/2011

Mon personnage
Sexe et âge: Jeune femme de *je dois compter*
Aptitudes: Reflexes accrus ; Maîtrise le corps à corps mais mal les lames traditionnelles. A l'aise dans l'eau, mal à l'aise dans les airs ou sur un cheval.
Nessa Minyatur
Capitaine Aline__Membre



23.08.11 12:14
https://ewilan.forumactif.fr/t2028-journal-de-bord-d-une-pirate-l
Hi ! re-bienvenue sur le forum, contente de voir une frontalière ! Je suis toujours un peu perturbée par les fiches à la première personne mais tu écris très bien donc c'est quand même agréable à lire :) Je suis un peu perdue à certains moment notamment quand à 15ans tu dis avoir un groupe d'amis près à partir au combat avec toi et à 16ans tu ne les considère plus comme de vrais amis... il s'est passé quoi entre temps ? Dispute ? Éloignement ? ... ouais on s'en fiche je suis trop curieuse lol
Et dommage j'aimerais bien savoir comment ton perso est devenu amnésique x) A part ça certains passages m'ont vraiment fait rire, notamment la chute du pouf ou la menace de strangulation... c'était bien comique !
Bref je te reresouhaite la bienvenue ! Puisses-tu continuer à bien t'amuser sur le fow ^^
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Viladra Memphis
Féminin
Âge : 44
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 683
Date d'inscription : 24/07/2011

Mon personnage
Sexe et âge: 28 ans - féminin
Aptitudes: dessin // greffe // sabre et corps à corps
Viladra Memphis
Mentaï



23.08.11 12:27
Hi merci de cette re-bienvenue, ça fait toujours plaisir =D
haaaa l'amnésie a surtout été mise là pour donner le style de mes descriptions, je voulais les faire à moitié-rp, à moitié-descrip' de base en fait. Mais je trouverai bien une raison à tout ça plus tard :P

après mon personnage est du genre lunatique dans ses relations =) elle peut considérer une personne comme son ami et l'oublier quelques temps après.... C'est sa façon de se protéger des deceptions, disons =)
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Neleam
Féminin
Âge : 30
Autre(s) Compte(s) : Caym Cali
Messages : 10802
Date d'inscription : 28/11/2010

Mon personnage
Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE
Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
Neleam
Chevalier__Admin



24.08.11 13:06
https://ewilan.forumactif.fr/t1995-neleam-une-femme-de-legende
même remarque de Nessa pour le perso. Quelques fautes, vers la fin surtout. Mais avec tout ce que t'as écrit ça se comprend !! x)

magnifique fiche !! longue à lire, mais t'as un beau style et c'est très agréable !! ^^


et re-bienvenue !! Heiwa Shiroame 484724
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Invité
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24.08.11 13:09
J'aime tout particulièrement le 'petite' description xD
Mais c'est sur, belle fiche^^
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Viladra Memphis
Féminin
Âge : 44
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 683
Date d'inscription : 24/07/2011

Mon personnage
Sexe et âge: 28 ans - féminin
Aptitudes: dessin // greffe // sabre et corps à corps
Viladra Memphis
Mentaï



24.08.11 14:16
merci pour vos commentaires, ça me fait plaisir =)

Haaa, désolée pour les fautes ^^" j'ai la facheuse manie de ne pas me relire par fleme et de faire preuve d'innatention lorsque j'écris plus de cinq minutes non stop haha mais je ferai un effort pour mes rp prochains si luddovika m'accepte dans ses rangs.
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Ludwiga Hasagan
Féminin
Âge : 31
Autre(s) Compte(s) : Karlson Hrejo Voïshinta
Messages : 6023
Date d'inscription : 12/08/2009

Mon personnage
Sexe et âge: Frontalière de 28 ans
Aptitudes: Guerrière chevronnée et redoutée
Ludwiga Hasagan
Frontalier



24.08.11 20:19
https://ewilan.forumactif.fr/t1946-echos-du-parcours-d-une-fronta
Encore une superbe fiche, Viladra/Heiwa (Heiwa ? Inspirée par "Avatar" ? =D).

Je te valide sans problème et t'accueille à bras ouverts chez les Frontaliers !

Mais, attention, pas d'espionnage pour le compte des Mercenaires, d'accord ? Heiwa Shiroame 33121

Oh, par contre, j'ai trouvé une incohérence par rapport aux romans. Les Frontaliers se battent avec des sabres. Ils savent se battre avec beaucoup d'armes différentes, mais ils portent tous un sabre. C'est leur arme de prédilection. Or, Heiwa a deux épées. Ca peut ne pas paraître important... mais si j'insiste là-dessus, c'est parce qu'on insiste là-dessus dans les livres aussi ;-).

PS: saurais-tu changer ta mise en page ? Elle est trop large pour le forum et déforme la page.
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Viladra Memphis
Féminin
Âge : 44
Autre(s) Compte(s) : xxx
Messages : 683
Date d'inscription : 24/07/2011

Mon personnage
Sexe et âge: 28 ans - féminin
Aptitudes: dessin // greffe // sabre et corps à corps
Viladra Memphis
Mentaï



24.08.11 20:40
hm je t'assure que j'aie mis le maximum possible pour ma mise en page afin qu'elle ne deforme rien Oo si je la réduis, ça fait un espace entre mon cadre et celui du post Oo Peut-etre est-ce mon écran, je verrai ça =)

merci pour l'acceptation! Dans ce cas, est-il possible de posséder deux sabres? J'aimais bien l'idée d'avoir une arme dans chaque main mais si c'est vraimant pas possible; tant pis ^^
Ne t'inquiète pas, j'ai l'habitude de jouer plusieurs comptes à la fois et je les ai toujours bien dissociés... ^^

edit: heiwa signifit PAIX en japonais. Peut-etre qu'avatar s'en est inspiré =)
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Ludwiga Hasagan
Féminin
Âge : 31
Autre(s) Compte(s) : Karlson Hrejo Voïshinta
Messages : 6023
Date d'inscription : 12/08/2009

Mon personnage
Sexe et âge: Frontalière de 28 ans
Aptitudes: Guerrière chevronnée et redoutée
Ludwiga Hasagan
Frontalier



24.08.11 20:46
https://ewilan.forumactif.fr/t1946-echos-du-parcours-d-une-fronta
Okay, tu peux avoir deux sabres, pas de problème ;-).

Heiwa veut dire paix en japonais ? Eh bien tu m'apprends quelque chose, je m'endormirai moins bête pardi ! XD

Pour la mise en page, ça ne déforme pas beaucoup l'écran, ce n'est pas trop grave, mais, si un jour tu as le temps, ce serait pas mal d'essayer d'arranger ça.
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24.08.11 20:50
je sais qu'on flood mais bon...

est-ce que la mise en page convient mieux? je l'ai réduite de 70px de largeur
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Ludwiga Hasagan
Féminin
Âge : 31
Autre(s) Compte(s) : Karlson Hrejo Voïshinta
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Mon personnage
Sexe et âge: Frontalière de 28 ans
Aptitudes: Guerrière chevronnée et redoutée
Ludwiga Hasagan
Frontalier



24.08.11 21:08
https://ewilan.forumactif.fr/t1946-echos-du-parcours-d-une-fronta
Voilà, ça ne déforme pas la page comme ça, merci !
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26.08.11 16:59
Un vrai plaisir de te lire, bravo. Je suis nouvelle donc pour ma part bienvenue! :D
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26.08.11 17:14
bienvenue à toi aussi dans ce cas =)
merci pour ton compliment.
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