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Rencontre surprise du boss [pv Vil']
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11.12.12 21:40
Je me dirige tranquillement vers l'espace d'entrainement. Juste à cöté, un batiment surement se qui fait salle d'entrainement en hiver. Quand j'y arrive, plusieurs mercenaires y sont déjà malgrès le soleil haut dans le soleil, et l'appel du repas de midi. Je sens des regards me brûler le dos. D'un côté je les comprends, c'est la première fois que je mets les pieds dans la forteresse des Mercenaires. Alors que je commence à faire mes excercices d'echauffements que m'a enseigner Ayame, mes souvenirs de la veille me revienne en mémoire.

***

Les sabots de Jaïli claquent dans un bruit feutré dans l'herbe. J'écarte par moment les branches des arbres, et au bout de la vieille piste, je vois la sombre et haute silhouette de la Citadelle. J'arrête ma monture, regardant l'imposante construction de pierre. Elle me fait penser à une ville. Sauf que la seule rumeur qui me provient, alors que je m'approche de l'enceinte, ce sont des bruits métalliques. Résultat des entrainements surement. A l'entrée se tiennent quelques mercenaires. Je m'attends à un interrogatoire, mais il ne fut rien. Je laissai Jaïli dans un grande écurie, prend mon sac contenant le peu de mes affaires et me mets à déambuler dans les artères de la Citadelle. Quelques minutes plus tard, je trouve la cantine, où sont attablés plus d'une dizaine de personnes. Je me dirige vers une des tables et demande le chemin du dortoir. Je repars dès que j'en sais un peu plus sur ma destination. Arrivée au dortoir, je me trouve une couchette vide et m'allonge dessus. Quelques instants plus tard, je suis déjà dans les bras de Morphé.

***

Les bruits de ceux qui sont allés se coucher dans la nuit ne m'a même pas sorti de mon sommeil réparateur. J'ai émergé il a à peine une heure. Et me réveiller grâce à quelques coup était la meilleur solution.
Je me redresse, mon corps est près à faire ce que je lui demande. D'ailleur, je repère un homme qui se tient dans un coin. Je me poste face à lui, il m'offre un sourire moqueur en réponse à mon invitation à un combat. Mais il me guide quand même dans un espace libre. Je me campe sur mes jambes, mais il est déjà passé à l'action.
Son poing vient s'écraser sur ma pomette. Je gronde intérieurement. Je vais lui faire ravaler son sourire. Je lance ma jambe, mon pied frappe dans les côté. Puis nos échange de coups s'intensifie. Malgré les endroits douloureux de mon corps, j'ai la satisfaction de voir mon adversaire conscentré.

Soudain tous s'arrête. Même l'homme en face de moi. Il fixe un point dans mon dos. Son regard est effrayé, rempli de crainte. Je me retourne lentement. Une femme se tient à quelques mètres de moi. Une longue chevelure noir tombent sur ses épaules, deux yeux foncés où y brille un lueur mauvaise. Qui est-ce? La chef des Mercenaires du Chaos? Je n'en douterai pas, vu le respect que semble lui porter les gens présents ici. Soudain sa voix douce, mais froide et rempli d'autorité, resonne dans ce silence lourd.

Qui es tu?

Es que cette question est pour moi? Surement, mais je ne fais aucun geste..
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16.12.12 16:00
[HRP : Kriss, Vil' m'a proposé de venir rp avec vous, je poste donc juste avant elle ;) ]

Les larmes étaient des regrets. Les larmes étaient des souvenirs. Les larmes étaient une douleur. Les larmes étaient trop lourdes à porter. Les larmes coulaient. Dans son regard, l'étincelle était inondée. Plus visible, elle s'éteignait. L'étincelle de vie. L'étincelle de bonheur. Elle mourrait.
Une vie, courte. Pas encore assez longue pour accomplir sa mission. L'apprentissage, les amis, les risques, un garçon, des conneries. Une vie, quoi. Amitié, tristesse, amour, nostalgie, colère, rancœur... Une vie, quoi.
Été, Automne, Hiver, Printemps, Été, …
Années après années elle a grandit, mois après mois elle a mûrit. Jours après jours, elle s'est rendue compte de la réalité du monde. Heures après heures elle a vu l'hypocrisie prospérer autour d'elle. Minutes après minutes elle a essayé d'oublier, secondes après secondes elle est devenue insensible.
Non, insensible à l'extérieur, à l'intérieur c'était la tempête. Mais au bout d'un moment, elle explosais. Et là, c'était l'explosion. La colère et la rancœur l'emporteraient n'importe où. Là où il le faudrait.
Respirer. Inspirer, expirer. Elle n'arrivait pas à avaler. Elle n'arrivait pas à relâcher. Oublier. Abandonner. Passer.
Elle mâchait, recrachait et pleurait.
Elle se souvenait.


Je me souvenais. Il y a si longtemps... Enfin, cela me paraissait si loin. Un accident si bête. Un moment d'inattention et un manque d'expertise dans la défense... Et les sentiments s'était jetés sur moi, enragés, affamés de malheur... J'y repensais et je regrettais cette faiblesse d'un instant. Ressasser le passé ne faisait que ralentir le présent. Mon avenir et celui du Chaos importaient plus que mon passé insignifiant.
Un silence épais s'installa dans la salle où j'étais et cela me sortit immédiatement de mes rêveries. Je levais la tête vers la porte pour voir entrer une jeune femme aux longs cheveux noirs que j'avais déjà croisée plusieurs fois dans la forteresse. Le désir du Chaos se lisait en elle, cela se voyait sur son passage; un aura si puissant se dégageait de chacun de ses mouvements qu'il ne pouvait en être autrement. Nous étions dans la salle d'entrainement de la forteresse des mercenaires, et je venais m'entraîner quelques temps n'ayant d'autre façon de tuer le temps que j'avais. J'attendais qu'une occasion se présente pour repartir en chasse mais pour le moment je prenais un peu de bon temps et perfectionnais ma défense et mon attaque. Après tout, la forteresse était le point culminant où circulaient les informations et j'y étais sereine. Je détournais le regard pour détailler une jeune fille qui semblait au centre de l'attention. Blonde, aux yeux d'un bleu profond que j'avais déjà rencontré auparavant, à Al Jeit, me semblait-il... C'était bien ça, juste avant de recroiser ce gros balourd de Seiko (auquel toutefois j'étais attachée désormais malgré son caractère insupportable).

- Qui es tu ?

La question fusa. La blonde ne bougea pas d'un pouce, bien qu'il fût évident que la question lui était destinée.
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Viladra Memphis
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Mon personnage
Sexe et âge: 28 ans - féminin
Aptitudes: dessin // greffe // sabre et corps à corps
Viladra Memphis
Mentaï



17.12.12 19:31




Deux âmes égarées...



"Bâton des exilés, lampe des inventeurs,
Confesseur des pendus et des conspirateurs,

O Satan, prends pitié de ma longue misère!

Père adoptif de ceux qu'en sa noire colère
Du paradis terrestre a chassés Dieu le Père,"


Rencontre surprise du boss [pv Vil'] 430919mSanstitre

Posant mon couteau avec délicatesse sur le bord de la table à la parallèle de l’assiette carrée désormais vide, je saisis une serviette de soie écarlate et essuyai proprement mes lèvres vermeilles avant de la reposer à une distance précise de la fourchette. Poussant un long soupir d’aise, les mentaïs autour de moi se gardèrent de lever les yeux vers moi et achevèrent rapidement de terminer leur assiette avant de m’imiter et de poser leurs couverts eux-aussi. Chaque soir à la forteresse, c’était le même rituel… Le repas du soir, celui auquel étaient conviés les mentaïs et les mercenaires les plus éminents de la forteresse. Parfois, pour m’attirer une loyauté indéfectible de la part de quelques éléments intéressants, je les invitais à ma table, leur accordant ainsi ce qu’ils voyaient comme un honneur suprême. Oui, j’avais tué beaucoup des miens par simple caprice, mais je m’étais assagie… Je savais désormais qu’il valait mieux avoir une guilde complète, qu’elle ait des bonnes recrues comme des mauvaises, qu’une guilde déséquilibrée. Le taux de mortalité avait donc brusquement chuté depuis ces derniers mois et j’avais prévenu mes mentaïs et les maitres mercenaires que je ne tolèrerai désormais plus aucun meurtre gratuit. Nous étions une guilde sombre, portée sur le sang et la violence… Mais je ne voulais pas des brutes épaisses incapables de se tenir. Non, nous devions nous montrer fins, très fins… Plus fins encore que les marchombres mais dotés d’un moral d’acier plus solide que le vargelite.

Me levant lentement, précipitamment imitée par mes invités, je mis fin à ce repas d’un simple hochement de tête et ils s’inclinèrent avant de prendre congé, laissant place aux mercenaires de moindre rang chargés de l’entretien de la forteresse. S’affairant autour de la longue table pour en ôter couverts et restes de nourriture, je restai un moment immobile puis tournai mon regard vers la haute fenêtre en ogive. Il faisait nuit noir à l’extérieur et les lumières situées au sol n’atteignaient pas le dernier étage.
Le niveau éclairé par des sphères lumineuses comme on pouvait en voir souvent à Al’jeit où dans les riches demeures, la lumière bleuté donnait un côté glaciale à la scène et je n’entendis bientôt plus que le bruit assourdissant du soleil. Oppressant, collant comme de la poie, je secouai légèrement la tête d’un signe agacé, causant par ce simple geste un vent de panique discret parmi les personnes présentes.
Jetant un dernier coup d’œil dans la vaste pièce de vie, je tournai les talons et rejoignis le large couloir qui desservait sur toutes les pièces. Il était tard… les mercenaires vivant le jour commençaient déjà à rentrer dans leur appartement tandis que ceux, nocturnes, ouvraient les yeux pour commencer une nuit agitée. Rares étaient ceux qui logeaient à ce niveau où les chambres étaient beaucoup plus luxueuses, mais je croisai quelques mentaïs qui s’inclinèrent respectueusement lorsque je passai. Ceux qui étaient là bénéficiaient de privilèges spéciaux et ils faisaient partie des rares personnes qui ne m’exaspéraient pas lorsque je leur parlais. Ainsi, quand l’un d’eux s’arrêta, me montrant ainsi qu’il souhaitait me parler, je n’affichai aucun signe d’hostilité supplémentaire et l’invitai d’un regard à s’exprimer.

Dame Viladra, on raconte que le seigneur Caym a trouvé un apprenti…

« Ca alors, lui qui aime travailler seul…
Peut-être cherche-t-il à me tester ? Il sait que je n’aime guère partager son temps…
Pourquoi ne pas vérifier… ? »

Vraiment… ? Répondis-je sans interruption malgré mes pensées. Et où se trouve cette perle rare ?

Il paraitrait qu’elle se trouve…

« elle, tu as vu ? »

… dans l’une des salles d’entrainement du septième étage. Mais rien n’a été officialisé, encore.

Disparaissant alors d’un pas sur le côté, je réapparu dans l’étage énoncé et je ne tardai pas à repérer une nouvelle recrue. Grande et fine, ses cheveux blonds entourant un visage jeune et gracieux, elle semblait pourtant dénuée de qualités et sa façon de se mouvoir était loin de refléter l’efficacité des mercenaires ou même des marchombres. Souriant en comprenant pourquoi il l’avait choisi, je n’attendis pas longtemps avant qu’il n’apparaisse dans mon dos, sa pseudo-élève ne nous ayant pas encore remarqué. Les hommes et leurs caprices…

Raté, commentais-je tout simplement. Mais bien essayé…

Vraiment ? répondit-il dans un léger rire.

Esquissant un sourire froid, je me détournai de la pièce et en sortis, le laissant s’occuper de réparer sa petite blague. Dommage, elle était plutôt jolie… Et dire que sa vie allait se terminer dans le mensonge et l’espoir d’avoir cru qu’elle intègrerait les rangs des mercenaires… Je n’aurais pas aimé être à sa place.

Marchant tranquillement, les bruits d’affrontements des entrainements résonnaient dans le couloir et l’envie de jeter un coup d’œil aux potentielles recrues d’élite me titilla. Après tout, je n’avais rien à perdre… Il faisait nuit, il ne devait pas y avoir beaucoup de monde à cette heure-là. Qui sait, peut-être que l’un de mes anciens élèves s’y trouvaient… ? Bien que je doutais fort que Kem s’entraine à une heure pareille. Tsukiyomi, peut-être. Elle avait une réputation à asseoir sur les mercenaires en tant que bras-droit…

Atteignant la dernière salle, il y avait un peu plus de mercenaires et je jetai un coup d’œil avant d’esquisser un demi-tour. Une vision me retenant, je regardai à nouveau et vis deux jeunes filles. Il me semblait bien les avoir déjà aperçu, mais où… ? Elles avaient un lien avec Tsukiyomi… qui se faisait d’ailleurs un peu trop absente en ce moment. Elle allait devoir me trouver des raisons satisfaisantes si elle ne souhaitait être… remise à sa place.
Entrant dans la salle, les mercenaires continuèrent un moment à ferrailler puis l’un d’eux m’aperçut et baissa immédiatement son arme avant d’incliner la tête. Son attitude se transmettant comme une trainée de poudre, le silence tomba immédiatement sur la vaste pièce et les regards se tournèrent vers moi. M’avançant tranquillement sans me soucier de la crainte ou bien de l’admiration que je déclenchais, j’étais même sure que certains d’entre eux me haïssaient. Jalousie… elle pouvait être désastreuse.

« Un jour tu te prendras une dague dans le cœur…
Il y a fort à parier je perdrai la vie ainsi…
C’est un peu monnaie courante, chez les mercenaires. Trahison, meurtre… »

M’arrêtant juste devant la jeune fille aux cheveux blonds, elle se tourna vers moi, délaissant son adversaire qui s’empressa de s’éloigner, pensant certainement que je venais punir quelqu’un. C’est vrai que je venais rarement interrompre une séance d’entrainement, mais de là à croire que je venais toujours pour tuer quelqu’un, ça en devenait parfois vexant… Et j’avais horreur d’être déçue, ils le savaient pourtant.

Qui es-tu.

Laissant en arrière ces pensées inutiles, je baissai mon regard sur elle, notant sa fine constitution et l’inexpérience qui suintait de son aura. Néanmoins, malgré le manque de connaissances évident, elle semblait détenir un potentiel intéressant et je compris alors où je l’avais remarqué… Ainsi que la deuxième jeune fille un peu plus loin dans la salle.
Esquissant un léger sourire, je compris qu’il était temps que je ramène Tsukiyomi dans le droit chemin… L’avoir nommé bras-droit ne lui donnait pas la permission de délaisser ses apprenties. Elle risquait très cher en gâchant ainsi le potentiel de deux mercenaires.

Je vois. Commentais-je tout simplement après ce court instant de silence.

Sortant mon arme de son fourreau dans un chuintement glacé, le silence sembla s’épaissir mais je ne fis encore aucun geste d’agression. Faisant signe au mercenaire qui s’entrainait avec elle de s’éloigner, il s’empressa de s’écarter encore plus encore, rejoignant les autres qui s’étaient positionnés au fond de la salle.
Me tournant vers la deuxième apprentie qui n’avait pas bronché, je fouettai distraitement l’air de ma lame.

Approche donc. Puisque Tsukiyomi semble avoir oublié ses deux souris, je vais donc voir à sa place si vous êtes dignes de prétendre au titre d’enfants du chaos…

Lorsque les deux apprenties furent devant moi, je me demandais qu’elle allait être l’issue du combat. J’allais gagner, c’était évident, mais saurai-je me retenir d’aller plus loin qu’un simple entrainement… ? La violence me grisait et je me sentais pousser au meurtre. J’avais déjà fait tourner des missions ordinairement simples en bain de sang par simple souci d’amusement… Et tuer deux apprenties pouvait arriver si vite, il allait falloir que je me concentre profondément.

Vous êtes autorisées à tenter tout sauf l’impossible… Si vous êtes aptes, nous pourrons alors discuter de votre avenir après. Je vous déconseille de vous retenir, une erreur pourrait se révéler fatale…



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18.12.12 19:52
Approche donc. Puisque Tsukiyomi semble avoir oublié ses deux souris, je vais donc voir à sa place si vous êtes dignes de prétendre au titre d’enfants du chaos… Vous êtes autorisées à tenter tout sauf l’impossible… Si vous êtes aptes, nous pourrons alors discuter de votre avenir après. Je vous déconseille de vous retenir, une erreur pourrait se révéler fatale…

La chef des Mercenaires des Chaos, maintenant je n'en doute plus, tient son sabre pointé devant elle. La jeune fille brune que j'avais rencontrée à Al-Chen et moi, ses yeux foncés nous quittent pas. Tous les gens présents dans la pièce sont acculés contre les murs. Mais ils ne quittent pas la pièce. Non bien sur, le spectacle promet d'être amusant. Et on est les éléments de ce spectacle sanglant. Car je ne me fais pas d'illusion, la femme qui se tient devant nous, nous tuerez sans problème. Et un erreur, comme elle nous dit, je crois que personnellement je ne pourrai pas en faire beaucoup.. Quoi que, ce défi me plait de plus en plus. Lentement, l'adrénaline se met à couler dans mes veines.
Je coule un regard vers la jeune fille à mes côtés. Est-ce qu'elle voudra se la jouer perso, ou collectif? Même si essayer d'attaquer toute seule est un peu suicidaire. Mais bon... J'avise le sabre qui brille faiblement sous la lumière de la salle. Hors de question de me battre à mains nues. La seule arme que je possède est peu être bien dérisoire face à un sabre, mais il m'a déjà de nombreuses fois sauver la vie. Lentement, je sors mon couteau, puis le déplie. Il passe pendant un instant au creux de chacune de mes mains, comme si je soupesai son peau. Et alors que je bondis en avant, je le prends fermement dans ma main droite. Prête à le changer de main à tous moment. Au dernier moment, je feinte sur la droite, mon poing fusant vers ma cible.

edit viladra: tu n'es encore qu'apprentie, mais essaye d'allonger et d'étoffer un peu tes posts, notamment dans tes actions =) ça rendra le texte plus compréhensible et tes rp's plus agréables à lire ;)
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Tsukiyomi Ayame
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Mon personnage
Sexe et âge: Jeune femme de 21 ans
Aptitudes:
Tsukiyomi Ayame
Mercenaire du Chaos



20.01.13 18:53
[Vil m'a demandé de vous rejoindre afin de continuer votre entrainement,ce qui est normal en même temps puisque ce n'est pas elle votre maître... ]

Ces temps ci,je n'avais pas été très présente dans la citadelle,et ce pour aucune raison en particulier. Je m'était entraînée,certes, mais ma présence c'était fait...invisible. Je devrai cependant trouver une meilleure excuse afin de ne pas m'attirer les foudres de Viladra,puisque j'ai légèrement abandonnée mes apprenties a elles mêmes. Je marchais en direction de ma chambre afin d'aller y déposer quelques trucs avant d'aller rejoindre mes apprenties qui devaient s’entraîner, lorsqu'un mercenaire s'approcha de moi.

-Mademoiselle, Dame Viladra s'occupe de vos apprenties en ce moment même.Si vous ne voulez pas vous attirez ses foudres --

-Oui,je sais. J'y allais en ce moment même.

Je tourna les talons,et me dirigea vers la salle d'entrainement au pas de course. En y arrivant,je vis vil sortir son sabre,et Kriss se jeter sur elle,Daelia un peu plus loin a ses cotés. J'alla rejoindre Kriss,et déposa ma main sur son épaule. Elle cessa toute manœuvre.

-J'ai manquée quelque chose ?

Viladra me lança un regard de glace.

-Oui,je sais,j'ai besoin d'avoir une bonne excuse afin d'avoir délaissée la citadelle ces derniers temps, Mais je n'en ai pas vraiment.

C,est alors qu'un mercenaire entra en trombe dans la salle d'entrainement,demandant Viladra de toute urgence. Elle quitta donc la salle d'entrainement,suivant le mercenaire,me laissant seule avec mes apprenties. Je me retourna vers elles,leurs faisant signe d'approcher.

-Alors alors... Oui,je vous ai délaissée ces derniers temps,et pour sa non plus je n'ai aucune excuse valables,mais au moins j’espère que vous aurez réussi a vous débrouiller seule et n'avez pas abandonnée votre entrainement pour autant.

Je me plaça devant elles,les mains sur les hanches.

-Voila le plan. Je vous entraînent ici,et LORSQUE je vous sentirai prêtes,le terrain vous attendra. Pour le moment, vous n’êtes pas encore au top afin de commencer a me suivre durant des missions. Prenez vos armes les filles.

Je regarda de haut en bas ces deux jeunes filles devant moi. C'était assez drôle... Kriss et moi étions a peine plus âgées l'une que l'autre,alors que Daélia avait deux ou trois ans de plus que moi. Un sourire froid se dessina sur mon visage. Je sorti mon Katana,et m'appuya dessus.

- Une chose importante a retenir,c'est que quoi que vous fassiez,il y aura toujours quelqu'un pour vous juger. Même les plus parfait. et si quelqu'un vous trouve une faille assez grande pour s'y glisser et vous faire tomber, il n'hésiteras pas une seule seconde. Vous devez donc cacher toute difficulté et expressions que quelqu'un pourrait utiliser contre vous... Faites comme si ces mannequins *en les pointant* étais disons...des marchombres. Vous ne voudriez pas vous faire mettre a terre par cette vermine,ce qui serais très,mais je dit bien TRÈS Humiliant.

Je me leva et m'approcha des mannequins de bois.

-Montrer moi ce que vous savez faire les filles,et prouver moi que j'ai bien fait mon choix d'apprenties.

[L'inspiration n'est pas trop la,vous m'en excuserez ~ ]
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