Mori est né dans un bidonville des quartiers populaires de Paris. Alors qu'il n'avait que sept ans, il a assisté, impuissant, au meurtre sauvage de ses parents. De cet horrible souvenir, il n'a gardé que deux choses: de la haine et un scalpel, sa plus fidèle arme, qu'il garde comme seul souvenir de ses parents. L'assassin ayant brulé leur piètre habitat en bois après les avoirs tué, ce bout de métal aiguisé fut le seul survivant de cette terrible nuit. Il a grandit seul, principalement du vol. Mais un jour, au croisement de deux rues mal éclairées, il se fit agresser par un homme vêtu de noir. Alors que tout espoir de s’en sortir indemne l’avait quitté, il eut un dernier reflexe de protection. Le scalpel de la mort pénétra l’entre-jambe de l’agresseur, qui s’écroula lentement, dans un long cri de douleur. Bien décidé à pouvoir assurer sa propre sécurité, il s’entraina longuement à utiliser son scalpel. Un jour, alors qu’il nettoyait son arme, il découvrit un petit compartiment caché. Deux lettres y étaient gravées, deux X. Le reste avait été effacé par le temps. Peu après il découvrit qu’il pouvait utiliser son talent pour l’assassinat pour vivre, il décida de devenir un tueur à gage. Depuis, il n'a vécu que pour tuer, et tué que pour vivre, pour pouvoir retrouver et torturer celui qui lui ôta sa famille. Mais les indices étaient minces et les meurtriers nombreux dans les mauvais quartiers parisiens. Dix ans passèrent sans qu'il n’ait eu la moindre occasion de se venger, et sa haine n'en étaient que plus grande. Il n'hésitait plus alors à attaquer ses victimes de face, ne sachant plus s'il préférait vivre ou mourir. C'est alors qu'un soir, il la vit. Une jeune femme à l'allure étrangère et aux bijoux étincelants, seule dans une rue déserte. Mais alors qu'il plantait son scalpel dans son ventre, il se senti vaciller puis tomber. Il se réveilla au beau milieu d'une forêt. Inconscient de sa situation, il marcha à la recherche de la ville et arriva sur une scène de bataille irréelle. Des épées rutilantes s'entrechoquais, des masses s'écrasaient sur les heaumes, les flèches transperçaient le cuir... Une bataille médiévale. Il observa avec attention l'un des soldats, brandissant son épée et courant bravement, fixant son adversaire d'un regard à faire fuir une armée toute entière. Il admira la démarche fluide de cet homme en armure, courant avec rage vers... Lui. Le temps que Mori réalise qu'il était la cible du soldat, il fut sur lui. Il trouva par chance une dague près de lui, et, rapidement, la planta dans l'œil du soldat, qui s'effondra dans un hurlement de douleur. Il prit son épée et couru de toutes ses forces jusqu'à tomber nez-à-nez avec la femme qu'il avait poignardé. Contre toute attente elle le prit par la main et lui enseigna tout ce qu'il fallait savoir sur Gwendalavir, ce monde nouveau dont il ne connaissait rien, et qui allait devenir le sien.
Trois ans ont passé, notre jeune assassin n'a que peu changer son mode de vie, mais il s'est adapté à ce nouveau monde. Désormais, c’est son monde, et il ne le quitterait pour rien au monde, sa curiosité face à cet univers fantastique étant sans limites. De découverte en découverte, de vol en vol, il entend parler de personnes à la vie proche de la sienne. Ces derniers répondent au nom de marchombres, des assassins et voleurs réputés dans tout l’empire…
Bien décidé à rejoindre les marchombres, Mori quitta la forêt d’Ombreuse pour rejoindre la capitale, Al-Jeit. Il y apprit à voler sur les étals des marchés sans être vu, ce qui lui permit de vivre et même d’acquérir un abri, une toute petite pièce avec un lit, une table et une cheminée, de quoi vivre. Alors que sa situation ne faisait que s’améliorer, la malchance frappa de nouveau. Une nuit où son estomac grondait à travers le vent, il entreprit d’agresser un passant afin de lui dérober de quoi survivre jusqu’au matin. Mais alors qu’il fondait sur sa proie, celle-ci se retourna. La nuit noire l’avait trompé, et il se retrouva face à un mercenaire du chaos à l’armure tachée de sang. Tandis qu’il tentait de fuir cet ennemi imposant, le mercenaire s’effondra. Une silhouette sombre le frôla avant de s’éclipser. Un marchombre venait de lui sauver la vie. Mais la faim triompha, et le jeune assassin s’effondra à son tour, inconscient. Il se réveilla le lendemain dans une auberge, face à un copieux déjeuner. Ce n’est qu’en se relevant qu’il aperçu les deux chevaliers assis à ses côtés. L’un d’eux le fixa et lui proposa de partager ce repas avec lui s’il promettait de ne plus jamais attaquer un alavirien sans défenses. Ce jour la, Mori mangeât plus qu’une demi-douzaine de chevaliers.

Mori est né dans un bidonville des quartiers populaires de Paris. Alors qu'il n'avait que sept ans, il a assisté, impuissant, au meurtre sauvage de ses parents. De cet horrible souvenir, il n'a gardé que deux choses: de la haine et un scalpel, sa plus fidèle arme, qu'il garde comme seul souvenir de ses parents. L'assassin ayant brulé leur piètre habitat en bois après les avoirs tué, ce bout de métal aiguisé fut le seul survivant de cette terrible nuit. Il a grandit seul, principalement du vol. Mais un jour, au croisement de deux rues mal éclairées, il se fit agresser par un homme vêtu de noir. Alors que tout espoir de s’en sortir indemne l’avait quitté, il eut un dernier reflexe de protection. Le scalpel de la mort pénétra l’entre-jambe de l’agresseur, qui s’écroula lentement, dans un long cri de douleur. Bien décidé à pouvoir assurer sa propre sécurité, il s’entraina longuement à utiliser son scalpel. Un jour, alors qu’il nettoyait son arme, il découvrit un petit compartiment caché. Deux lettres y étaient gravées, deux X. Le reste avait été effacé par le temps. Peu après il découvrit qu’il pouvait utiliser son talent pour l’assassinat pour vivre, il décida de devenir un tueur à gage. Depuis, il n'a vécu que pour tuer, et tué que pour vivre, pour pouvoir retrouver et torturer celui qui lui ôta sa famille. Mais les indices étaient minces et les meurtriers nombreux dans les mauvais quartiers parisiens. Dix ans passèrent sans qu'il n’ait eu la moindre occasion de se venger, et sa haine n'en étaient que plus grande. Il n'hésitait plus alors à attaquer ses victimes de face, ne sachant plus s'il préférait vivre ou mourir. C'est alors qu'un soir, il la vit. Une jeune femme à l'allure étrangère et aux bijoux étincelants, seule dans une rue déserte. Mais alors qu'il allait l’attaquer,  il se senti vaciller puis tomber. Il se réveilla au beau milieu d'une forêt. Inconscient de sa situation, il marcha à la recherche de la ville et arriva sur une scène de bataille irréelle. Des épées rutilantes s'entrechoquais, des masses s'écrasaient sur les heaumes, les flèches transperçaient le cuir... Une bataille médiévale. Il observa avec attention l'un des soldats, brandissant son épée et courant bravement, fixant son adversaire d'un regard à faire fuir une armée toute entière. Il admira la démarche fluide de cet homme en armure, courant avec rage vers... Lui. Le temps que Mori réalise qu'il était la cible du soldat, il fut sur lui. Il trouva par chance une dague près de lui, et, rapidement, la planta dans l'œil du soldat, qui s'effondra dans un hurlement de douleur. Il prit son épée et couru de toutes ses forces jusqu'à tomber nez-à-nez avec la femme qu'il avait poignardé. Contre toute attente elle le prit par la main et lui enseigna tout ce qu'il fallait savoir sur Gwendalavir, ce monde nouveau dont il ne connaissait rien, et qui allait devenir le sien.
Trois ans ont passé, notre jeune assassin n'a que peu changer son mode de vie, mais il s'est adapté à ce nouveau monde. Désormais, c’est son monde, et il ne le quitterait pour rien au monde, sa curiosité face à cet univers fantastique étant sans limites. De découverte en découverte, de vol en vol, il entend parler de personnes à la vie proche de la sienne. Ces derniers répondent au nom de marchombres, des assassins et voleurs réputés dans tout l’empire…
Bien décidé à rejoindre les marchombres, Mori quitta la forêt d’Ombreuse pour rejoindre la capitale, Al-Jeit. Il recommença à voler, ce qui lui permit de vivre et même d’acquérir un abri, une toute petite pièce avec un lit, une table et une cheminée, de quoi vivre. Alors que sa situation ne faisait que s’améliorer, la malchance frappa de nouveau. Une nuit où son estomac grondait à travers le vent, il entreprit d’agresser un passant afin de lui dérober de quoi survivre jusqu’au matin. Mais alors qu’il fondait sur sa proie, celle-ci se retourna. La nuit noire l’avait trompé, et il se retrouva face à un mercenaire du chaos à l’armure tachée de sang. Tandis qu’il tentait de fuir cet ennemi imposant, le mercenaire s’effondra. Une silhouette sombre le frôla avant de s’éclipser. Un marchombre venait de lui sauver la vie. Mais la faim triompha, et le jeune assassin s’effondra à son tour, inconscient. Il se réveilla le lendemain dans une auberge, face à un copieux déjeuner. Ce n’est qu’en se relevant qu’il aperçu les deux chevaliers assis à ses côtés. L’un d’eux le fixa et lui proposa de partager ce repas avec lui s’il promettait de ne plus jamais attaquer un alavirien sans défenses. Ce jour là, Mori mangeât plus qu’une demi-douzaine de chevaliers.