Alban Sasia est un jeune homme maître de son calme. Une de ces principales qualités. Dîtes, savez vous êtres libres ? Ne me répondez pas Oui. Réfléchissez ! Savez vous vraiment ce qu'est la véritable liberté? Peut être pas, mais lui il sait. Mis a part cela, l'arc et les couteaux simples sont ses principaux atout en combat. Sans compter les mains nues. "On n'est jamais mieux servi que par sois même" Dis le célèbre proverbe. J'ai légèrement l'impression de n'être pas dans le sujet. (Moi parler très bien la France) Il est agile et souple. Comme tous vous devez pensé. Il ne serait pas d'accord avec vous. Chacun a des mouvements différents. Des façons devoir différente. Vous devez l'avoir compris, il sait réfléchir. C'est une capacité essentiel. (5 lignes complètes minimum)

J'ai une bonne nouvelle... et une mauvaise... Et si on se débarrassait du plus fâcheux ? Vous n'y voyez pas d'inconvénient? Si. Et bah tant pis pour vous. Quelques défauts qui caractérisent ce drôle de personnage. Drôle... Alban a, en effet de l'humour... A peu près une fois tout les trente six du mois. Surprenant ? Il commence à avoir l'habitude. Pour vous, est ce que avoir confiance en soi c'est jn défaut? Non ? Et bah si. Au bout d'un moment, quand la confiance devient trop puissante, on se croit invincible. C'est l'expérience d'Alban qui vous parle. Une cicatrice. Un gouffre. De quoi je vous parle ? De l'âme d'Alban. C'est un meurtrier. C'est comme ça qu'il se voit. Pourquoi ? Patience, attendez l'histoire. Passons aux qualités. Comment ça seulement ça en défaut? Alban est un humain. Vous n'allez pas me dire que vous ne connaissez pas les défauts qui caractérisent tout humains ! Je disais, Passons au qualités. La patience. Comment fait il pour garder son calme face à cette ivrogne qui l'harcele depuis bientôt dix minutes ? La compassion. Le fait que cet homme ai bu n'est il pas un signe qu'il se sent mal dans sa peau ? L'indifférence. Menace envoyé par son ennemi, sourire ironique en réponse.

Une silhouette se profila au loin. Elle s'approchait lentement de moi. Je plissai les yeux. Vêtu de cuir, un homme se tenait droit sur sa selle. Il était fin et pas forcément musclé. Mais mon instinct me soufflait de me tenir sur mes gardes. Il talonna sa monture pour qu'elle parte au trot. Ses cheveux mis longs noir effilé se mirent à s'agiter doucement. Il s'approchait de plus en plus. Son teint pâle me frappa. Le contraste entre sa peau et ses cheveux était... spécial ? Je vous enfin distingué la couleur de ses yeux. Bleus. L'océan. L'homme descendit du cheval. S'approcha dans une démarche qui me rappela celle d'un félin. Il se stoppa devant moi. Je dis lever la tête pour le fixer. Il me surplombait de bien une tête . Je faisais un mètre soixante deux exactement. Il me lança un sourire éclatant qui me fit découvrir ses dents blanches. Ce qu'il était maigre... L'inconnu parla.
—Bonjour, je me nomme Alban Sasia. Pouvez vous me dire où je suis ?

Un homme était assis en tailleur sur l'herbe balayer par le vent. Les yeux clos, il se rappelait de chaque moment de sa vie. Lui, Alban Sasia était un descendant d'une pauvre famille de paysan. Sa mère , une femme au cheveux blond, bouclé court et possédant de beau yeux bleus, fredonnait une mélodie, penché sur un berceau. Son père, un homme mince au cheveux noir et aux yeux gris, caressait le duvetde cheveux. de l'enfant couché dans le lit. Un petit garçon, âgé de quatre ans, les observaient en jouant avec ses doigts. Alban Sasia. Il dévisageait la petite créature couché dans le berceau. Son père, Erick , lui avait dit que c'était sa soeur. Alban avait du mal à y croire. Il avait toujours été très solitaire et jouait rarement avec les autres enfants de son village. Et, des enfants, ce n'est pas ce qui manquait dans son village. Miriam grandit. Au quinze ans d'Alban et Onze ans de Miriame, celle ci lui offrit un pendentif avec leurs deux noms inscrit dessus.
—Comme ça , même quand je ne serais pas avec toi, tu penseras a moi ! Avait elle déclaré avec sa naïveté accoutumer. Il lui avait souris en accrochant le pendentif.  


À ses 17 ans, Alban butta contre un homme alors qu'il courait, échappant aux marchands qui le coursait en hurlant :«AU VOLEUR !» Il était vêtu de cuir souple. Son futur maître Marchombres. Le jeune homme grommela et se retourna. Les deux marchands l'avaient rattrapé et récupérait leurs souffles en le couvant d'un regard menacant. Il resta sur place, les regardant avec un demi sourire. Les pauvres ... Alban avait juste voulu les protéger. Il échappa d'un geste vif au coup de poings que le premier avait dégainer. Quelques minutes plus tard, L'inconnu et lui était seuls dans la petite ruelle. Alban commençait vraiment à être mal a l'aise sous le regard soutenue de l'étrange homme. Il lui fit une proposition.... Le garçon sourit.
Le lendemain, il annonça son départ à sa famille.
—Oui maman, je te promet de revenir vous voir ! Répéta t'il pour la millième fois. Miriame lui envoya un sourire timide et porta sa main vers son coeur où un pendentif identique a celui d'Alban décorait sa peau couverte de suie. Les larmes aux yeux, le jeune homme recopia son geste. C'était leur façon de se dire en revoir. Il sortit de la maison et bondit sur le cheval que Malio tenait toujours. Le maître Marchombres le regarda avec presque de la compassion dans les yeux. Alban ne voulait pas de cette compassion. Il la rejeta d'un signe de main théâtrale. Ils partirent. Pas un mot ne fut échanger lors du voyage. Le jeune Marchombres regardait le vide, la main sur le coeur. Quand pourrait il revoir sa famille ? Peut être jamais...

Coincé dans une rue. Et Malio qui le regardait. Il n'avait pas l'air de juste vouloir agir. Déjà trois mois qu'il était son apprenti. Et il ne le comprenait toujours pas. Mais la voie du Marchombres l'inspirait tellement ! Le grondement de la brute en face de lui le tira de ses pensées. Un soupir échappa à Alban.

Alors qu'Alban, à moitié endormit sur sa monture, se rendait vers son village natal, une voix féminine retenti.
-Alban ? C'est toi ?
Le jeune homme de 20 ans se retourna et failli tomber de sa selle. Sa soeur, vêtu d'une tenue simple s'approchait de lui. Cette démarche... La même que celle que Malio lui avait apprit. Il bondit hors de sa monture et ouvrit les bras ou Miriam se laissa tomber. Il était sur qu'elle était Marchombres ou apprentie mais il n'en pipa pas mots. Il ne voulait rien dire...

Une embuscade. Des mercenaires du Chaos. Et sa soeur. Elle était une Mercenaire. Et elle avait osé lui demander si lui, Alban Sasia, voulait les rejoindre. Elle avait TUER ses parents. Leurs parents.

Alban rouvrit les yeux. Ses yeux étaient trempé de larmes et souillaient ses joues. Non, il fallait qu'il continue.

Deux ans plus tard, alors qu'il Avait 22 ans, sa soeur se montra. Mais pas lui. Il faisait nuit noir, elle savait qu'il était là mais ne le voyait pas. Lui, la voyait parfaitement bien. Il dégaina son couteau et mis pied a terre. Elle eu a peine le temps de pousser un hocket de surprise qu'elle se trouvait, la tête sur les genoux de son frère , un couteau planté en pleins coeur. Les larmes souillaient le doux visage de sa soeur.
-Je suis désolée Alban... Murmura t'elle alors que les ténèbres commençaient à voiler son regard. Sa tête se renversa et son dernier soupir fur rendu. Alban ne pleurait pas, pas encore. Il caressait avec tendresse les cheveux brillants de Miriame. JAMAIS il ne se pardonnerait . Il posa délicatement la tête de la jeune femme sur le sol et alla chercher du bois sec. Il reunit'le bois au dessus du cadavre de sa soeur après lui avoir poser un baiser sur la joue froide de sa soeur. Il mit feu au bûcher. Et seulement là, il pleura.

L'homme chevaucha son cheval. Les larmes lui brouillaient la vue. Le sourire innocent de sa soeur lui revenait par flash. Il chassa ses larmes d'un geste de main rageur. Il était bien décidé a vivre. Le pendentif de sa soeur trônait toujours a son cou. Il 24 ans, deux ans que le sang de sa soeur avait souillé son couteau. Et son âme. Lui, Alban Sasia, vaincu psychologiquement par une Mercenaire de quatre ans de moins que lui. Arrête Alban ! Ressaisi toi ! Tu as une personne a voir. Un homme dans la quarantaine se tenait debout au bout de la plaine. Alban talonna son cheval qui partit au trot.
-Bonjour Alban. Je suis tellement heureux de te revoir !