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Assaut, combats et... rencontres inattendues !
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Ludwiga Hasagan
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Ludwiga Hasagan
Frontalier



02.07.11 18:30
https://ewilan.forumactif.fr/t1946-echos-du-parcours-d-une-fronta
    [Pour s'inscrire au rp: https://ewilan.forumactif.fr/t1353-bataille-aux-frontieres-de-glace-frontalierslegionnaires ]

    Le vent fort descendant des pics de la chaine du Pol balayait violemment la plaine qui s'étendait au pied des montagnes. La terre était encore abreuvée du sang de la bataille précédente, à peine quelques jours plus tôt et, à une centaine de mètres de là où se tenait le groupe de cavaliers, une pile de carcasses de Raïs brûlées avait cessé de fumer, mais l'odeur des cadavres était tenace.
    Ludovikka Til'Dantian chevauchait à la tête d'un groupe de Frontaliers. On lui avait rapporté qu'une meute de Raïs avait passé la frontière et, depuis le lever du soleil, elle et ses Frontaliers écumaient les Marches du Nord à la recherche d'intrus. Le ciel au-dessus de leurs têtes était orageux et elle espérait qu'ils trouveraient et viendraient à bout des Raïs avant que la tempête n'éclate. Se battre sous la pluie et les éclairs était une situation détestable.
    Avec un frisson, elle resserra la fourrure de tigre autour d'elle. Le froid mordant n'était pas pour arranger les choses. Fort heureusement, ses guerriers et guerrières étaient habitués au froid ambiant. Le froid n'était pas un obstacle, contrairement à la pluie qui rendait le sol boueux. Et les Raïs en étaient avantagés.
    Poussant un soupir contrarié, la Frontalière jeta un œil à ses combattants. A sa droite, Killian, jeune mais redoutable, scrutait l'horizon avec attention. Un peu plus loin, Izaac et Auron portaient à leur côté, en plus du sabre accroché dans leur dos, des lances en prévision de l'assaut. En tout, ils étaient une quinzaine de Frontaliers, assez pour s'occuper de la vingtaine de Raïs signalés.
    C'est à cet instant qu'apparut à l'horizon un cavalier solitaire. Plissant les yeux, Ludovikka reconnu un de leurs éclaireurs. L'homme était couché sur l'encolure de sa monture, lancé à toute vitesse, comme s'il avait un Ts'liche à ses trousses. La Frontalière leva la main, faisant signe à ses guerriers de s'arrêter. Les apercevant, le cavalier bifurqua dans leur direction et les rejoignit.


    - Que se passe-t-il ? As-tu trouvé la meute ?

    L'homme peinait à reprendre son souffle. Sa course folle l'avait éreinté et son cheval était couvert de sueur. La main sur la poitrine, il reprit lentement son souffle.

    - Ils sont là, derrière la colline, à la lisière de la forêt... mais... ils sont plus nombreux que prévu !
    - Combien ?
    - J'en ai comptés une quarantaine !


    Ludovikka jura entre ses dents. Ils n'étaient pas assez nombreux. D'un claquement de doigts, elle appela un de ses Frontaliers qui donna son cheval frais et dispos à l'éclaireur, alors que lui-même enfourchait le cheval fatigué.

    - Galope jusqu'à la Citadelle et fait demander des renforts. Dépêche-toi !

    Sans se faire prier, l'éclaireur repartit au galop vers la Citadelle. Désormais, les Frontaliers devaient préparer une embuscade. Sans perdre de temps, elle appela ses archers. Pendant que ses cinq archers se posteraient en hauteur, cinq autres attireraient les Raïs dans un renfoncement de la plaine où, après les avoir criblés de flèche, les archers descendraient dans la bataille au moment où les cinq autres quitteraient leur cache pour refermer le piège sur les guerriers cochons. Ils allaient les encercler.
    Ludovikka expliqua sa stratégie à ses compatriotes qui approuvèrent. La troupe se mit en route au trot. Près de l'endroit signalé, les cinq archers quittèrent les rangs pour rejoindre leur poste, ainsi que les cinq cavaliers qui refermeraient le piège sur les Raïs. Ludovikka, accompagnée de quatre Frontaliers, se dirigea vers la meute. Ils tueraient d'abord quelques uns de ses monstres, avant de repartir à fond de train vers le lieu prévu pour l'embuscade. Si les choses tournaient mal, elle savait que les renforts ne tarderaient pas à se mettre en route.
    En tous cas, jamais elle ne fuirait. Plutôt mourir que fuir des Raïs !


    [Le prochain à poster peut commencer l'assaut ;-)]
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02.07.11 19:10
Il était sur la trace de ces maudits raïs depuis des semaines. En effet, ils voulaient comprendre où ils allaient et quel était leur but. De plus, c’était une diversion parfaite, car les frontaliers tenteraient certainement d’arrêter le groupe de raïs, laissant à Alson la possibilité de passer sans encombre la frontière, voire de tuer quelques frontaliers aisément.

Son épée bien accroché à lui, il repartit de plus belle sur son cheval. Les raïs n’étaient pas vraiment discrets et laissaient beaucoup de traces à terre. D’autres mercenaires étaient censés le rejoindre plus loin…

Il vit alors les raïs, au loin, et s’approcha discrètement d’eux, sans qu’on ne le voie. Il était caché derrière un gros rocher, avec son cheval, et espionnait les mouvements du groupe de guerriers-cochons. Lente respiration, il s’allongea au sol, protégeant ses yeux de la pluie tenace avec ses mains. La terre était boueuse, l’orage grondait dans le ciel, mais c’était une occasion rêvée de se battre contre des raïs si la situation devait mal tourner, car la pluie atténue les odeurs, et donc l’ancien pirate serait plus difficilement repérable.

Il aimait çà, cette sensation de voir de potentiels adversaires avancer devant vous sans même qu’il ne vous remarque. Mais c’est là qu’il distingua ce qui ressemblait fort à un éclaireur des sentinelles, qui paraissait comme apeurée à en voir le frénétique galop qu’il imposait à sa monture. Cet éclaireur partait sans doute prévenir les siens de l’arrivé de leur ennemi, ce qui fit plaisir au mercenaire.

Il s’approcha un peu plus de ceux qu’il épiait. Il voulait s’approcher toujours plus, jusqu’à entendre les grognements de ces hideuses créatures. Mais il attendait également la venue de ses pairs, pour profiter du conflit entre raïs et frontaliers pour se débarrasser d’eux tous et de passer sans encombre. Il continuait d’observer, jusqu’à ce qu’il entende ce qui ressemblait fort à un branche qui se casse.

Par réflexe, il dégaina son arme, se releva d’un bond, et fit alors face aux deux raïs qui s’approchait d’un pas menaçant. Quelle plaie ! Il s’était fait avoir comme un bleu ! L’orage avait couvert les pas de ces deux éclaireurs. Se mettant en garde, Alson annonça :

- Alors c’est comme çà ! Quelle misérable je suis de me tenir face à deux adversaires aussi redoutables, n’est-ce-pas ?

Telle une flèche, il se lança sur le premier monstre, et d’une feinte, lui transperça le cou de son arme, laissant à cette bête lâcher un râle de douleur qui alerta ses camarades. L’autre raïs se jeta sur Alson, qui para le cou, et donna à son adversaire un violent cou dans le genou droit, le faisant glisser. Il taillada alors la jugulaire du monstre, le laissant se vider de son sang dans d’atroces souffrances. Mais d’autres raïs arrivaient, et il savait qu’il ne pourrait pas se battre contre eux éternellement.

Et, il eut alors un éclair de génie. Fuir dans la forêt, qui annulerait le poids du nombre, et où il pourrait tranquillement s’enfuir avec sa vitesse. Il prit son cheval, et partit à toute allure vers les bois. Un raïs se mit en travers de sa route, mais à cheval, Alson avait l’avantage et décapita son ennemi. D’autres raïs courraient vers lui, et son cheval prit une flèche dans le torse. Ejecté plus loin, il mit quelques secondes à se remettre et se relever. Il se mit à courir de toutes ses forces, espérant que les autres mercenaires arriveraient. Un guerrier cochon lui faisait face, et rasa de près l’œil gauche de l’ancien pirate de sa hache. Puis Alson l’éventra de sang-froid. Un autre monstre débarqua, encore, et parvint à faire une entaille sur le bras gauche du mercenaire, qui profite de ce coup donné pour glisser sur le corps de la bête et lui transpercer la poitrine de son épée. Il courut de nouveau vers la forêt, mais il faisait face à une trentaine de ces monstres, qui avançaient vers lui d’un air très menaçant :

- Ben on dirait que je suis coincé. Ca va être entre vous et moi les affreux !

Mais il savait que s’il ne trouvait pas de solution rapidement, il finirait comme repas pour ces bêtes…
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Killian Delkaïron
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Killian Delkaïron
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02.07.11 19:58
Killian frissonnait. Le froid était vif, malgré sa fourrure. La pluie et l'orage n'arrangeait rien à la situation. Cela faisait des heures qu'ils avançaient, à la recherche d'une meute de Raïs qui auraient traversé les Frontières de Glace. Elle faisait partie du groupe de Frontaliers désignés par leur capitaine, Ludovikka, pour éradiquer cette menace. Ils étaient une quinzaine en tout. Amplement suffisant pour terrasser vingt malheureux cochons. Après son aventure du tournoi, Killian s'était endurcie, se montrait plus impitoyable. Elle se trouvait à la droite de Ludovikka, et plus loin se trouvait Izaac et Auron, deux de ses nouveaux camarades Frontaliers. Natael se trouvait dans les rangs arrière. Killian avait insisté pour qu'il vienne lui aussi. Non pas parce qu'ils s'aimaient, mais parce qu'il avait posé ses conditions. Ou il venait avec pour veiller sur elle, ou elle restait à la Citadelle. Et l'appel de l'aventure était bien trop oppressant pour rester sur place. Le capitaine avait donc accepté, disant qu'un guerrier de plus ou de moins ne changera plus grand chose.

Perdue dans ses pensées – elle trouvait qu'elle le faisait trop souvent ces derniers temps – elle mit du temps à comprendre que l'éclaireur était de retour. Il annonça que les Raïs étaient plus nombreux que prévu. Killian tressaillit et sentit Ludovikka se tendre. Ils ne faisaient plus le poids face à quarante guerriers cochons. Elle renvoya l'éclaireur à la Citadelle pour que les renforts arrivent au plus vite. Elle posta ensuite les archers pour tendre l'embuscade. Killian paniquait. Il ne faudrait pas faiblir et encore moins se faire toucher comme la dernière fois. A cette pensée elle rit. Ses amis la regardèrent, éberlués. Elle reprit contenance très vite. Tôt ou tard, l'assaut serait donné.

Ludovikka, une fois tout en place, fît signe à ses Frontaliers d'avancer. Pas trop rapidement, pour que les Raïs croient toujours qu'ils ne se doutaient de rien. Pour ne pas gâcher l'effet de surprise. Killian ne pouvait pas s'empêcher de tourner la tête de tous côtés, dans l'éventualité ou les Raïs surgiraient. Petit à petit, approchant de l'endroit ou les Raïs avaient été vus, Ludovikka accéléra l'allure. Quand les Raïs apparurent devant eux, ils étaient au galop. Killian n'avait plus peur. L'excitation tant attendue du combat mêlé à l'adrénaline qui envahissait son corps l'avait supplantée. Les Raïs approchaient. Ils furent criblés de flèches sans s'en rendre compte. Plusieurs des leurs s'écroulèrent. Les cavaliers arrivaient sur eux mais une deuxième salve de flèches en faucha. Killian savait que le choc serait effroyable.
Et il le fût.
Plus qu'elle ne l'imaginait.
Avantagés par leurs montures, ils purent décapiter tous les Raïs s'aventurant sous leurs sabots. Mais il en venait toujours plus. Le cheval de Killian s'écroula, trébuchant sur les corps qui s'amoncelaient. Elle roula de côté et se redressa, pour reprendre ses esprits au plus vite. Déjà, cinq cochons l'encerclaient. Elle commença.
A danser.
Elle ficha son épée dans le ventre de l'un, percuta le genou de l'autre, frappa le troisième à la nuque. Trois sur cinq étaient hors d'état de nuire. Mais elle eut à peine le temps d'achever ses deux autres agresseurs qu'elle était à nouveau encerclée. Elle se sentait faiblir, perdre peu à peu en vigueur tant la confrontation était intense, lorsqu'un Frontalier apparut à ses côtés.
Natael.
Elle lui lança un sourire, sans savoir s'il l'avait vu. L'arrivée de son compagnon lui redonna de la force mais également de l'espoir. Tout n'était peut-être pas perdu. Mais les Raïs semblaient infinis. Plus elle en tuaient, plus il en venait. L'éclaireur était-il sur de lui en disant qu'ils étaient quarante ? Si les renforts n'arrivaient pas, ils étaient fichus...

Elle ne voyait plus ni Ludovikka, ni Auron ou Izaac. Elle espérait qu'ils s'en sorte. Elle n'avait déjà que trop perdu des siens.....
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Tsukiyomi Ayame
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Tsukiyomi Ayame
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02.07.11 21:08
Depuis qu'elle était arrivée a Gwendalavir, Ayame avait pu voir beaucoup de choses étrange.Mais jamais des rais. Elle en avait bien entendue parler, et c'est cela qui la poussa a aller voir a quoi ils ressemblaient et a évaluer leur force.Malgré la pluie batante et l'orage qui grondait,elle avait rassemblée ses armes,et alla a l'endroit ou elle avait entudu dire que les rais se rendaient.Elle n'avait pas de but précis - si ce n'est que voir enfin a quoi cela ressemblait.Elle avait entendue dire que c'était semblable a des cochons sur deux pattes.Mais cela ne lui suffisait pas. Elle voulait en voir plus...Elle pensa que c'était une bonne idée pour s'entrainer sur autre chose que des arbres et des cibles.Elle était monter sur une roche assez haute pour qu'elle ne soit pas remarquée.De loin elle voyait ce qui semblait etre les frontaliers se battre avec les cochons sur pattes... Elle rageait de voir les Frontaliers essayer de détruire ce pourquoi elle s'était déplacée. L'orage commenca a gronder de plus en plus fort signe qu'elle n'étais pas du tout contente...Avec son agilité elle se laissa glisser de son repaire. Elle chargea ses mains d'une énergie électrique qu'elle laissa échapper sur quelque rais qui se trouvaient un peu trop pres d'elle.Il carboniserent sur place laisssant a l'endroit ou il se trouvait un tas de cendre qui disparu bientot dans la boue qui se trouvait a leurs pieds.

- Je les croyais plus résistant...*légerement décue* et avec une épée dans le ventre sont t-il encore si faible ? en plus...il sont Affreusement laid !

lanca t-elle avec une pointe de colere et d'arrogance dans la voix.C'est alors qu'elle sentit du mouvement derriere elle. En se retournant en vitesse, elle se vit alors en face d'un petit groupe de rais. Elle dégaina son épée se disant qu'avec la foudre c'étais trop facile a son gout. Surtout lorsqu'elle est fachée... l'orage qui grondait de plus en plus fort,ne fit que la satisfaire. L'énergie que celui-ci déployait ne faisant qu'augmenter sa force. La pluie qui semblait vouloir ne jamais s'arreter, ne la genais point. Un des rais fonca sur elle a la vitesse de l'éclair. Elle esquiva de justesse le guerrier cochon et se jeta sur les autres. Une feinte a droite, une feinte a gauche, elle arriva a éliminer les rais qui lui courrait apres en l'attaquant.Ahhh...elle adorait le son de la mort fraichement arriver. Tout a coup un rais réussi a se relever et l'attaqua réussisant a la blesser mais pas assez gravement pour qu'elle meurt. Toujours en colere Ayame lui trancha la tete. Elle s'acharna sur le corps pour ne laisser qu'une...bouillie de rais.Elle se releva tachée de sang. Elle avait l'air encore plus sadique qu'elle ne l'était en temps normal.Maintenant qu'elle avait vu les rais et évaluer leur force, Ayame n'avait plus rien a faire ici. Elle se rappelait alors avoir vu quelques frontaliers un peu plus loin.

- Hmmm...des frontaliers. interressant...Ce serait bete de ne pas en combattre quelque uns puisqu'il sont la...

Se dit-elle tout en s'approchant de la zone de combat ou elle risquait de faire plusieurs mort parmis les rais...
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03.07.11 7:06
Izaac avançait dans le froid mordant du matin. C'était sa première vrai bataille. Ses pensée s'entrechoquait sous son crâne ; était-il trop jeune ? Ou aurait-il du faire une autre bataille avant celle la ? Il mis sa main sur son poignard a sa ceinture. Il était a coté d'un jeune frontalier nommé Auron. Plus loin devant il y avait Killian et ensuite il y avait Ludovikka. La chef. Un homme sur un cheval arriva au galop. Se devait être l'éclaireur. D'après son air affoler, il apportait de mauvaise nouvelles. Izaac essaya de déchiffrer ce qu'il disait. Quoi ? 40 ? Le double ! Il décida d'en faire part a son compatriote :

-Auron, il sont 40 ! Le double !

Izaac se calma un peu. L'éclaireur repartit aussitôt au galop vers la Citadelle. Izaac essaya de se repérer. Il y avait en tout 5 archers. Il était disposer de manière a faucher quelques lignes. Il ne faudrait pas plus de trois lignes estima-t-il. Ludovikka accéléra, ils firent de même. Les raïs approchaient a vu d'oeil. Izaac se demanda si il était prêt. Ce n'est pas le moment de penser a sa. Et puis je n'ai plus le choix. Les archers fauchèrent deux lignes, puis Killian rencontra les raïs, il se fit encercler par 5 guerrier cochon. Mais un autre frontalier vint l'aider. Auron et Izaac s'approchaient de leur cible. Izaac se prépara du mieux qu'il put au choc. Il heurta le groupe de plein fouet. Il dégaina son sabre et para un coup qui venait de sa droite. Ils étaient deux pour 4 raïs. Il devait faire confiance a Auron. Il ne pouvait pas faire autrement. Son sabre trancha un bras. Le sang coula. Izaac faillit perdre contenance. Ce n'était pas la première fois qu'il fessait couler le sang, mais la c'était différent. Il se ressaisi a temps et tua, d'un assaut dans la poitrine son ennemie. Il retira son arme. Le raïs tomba a terre en un coup sourd. La vu d'Izaac se brouilla momentanément. Auron le sauva d'un coup mortel. Puis il repris le combat de plus belle. Les guerriers cochons n'était pas très intelligent. Un raïs réussi a bloquer son sabre. Izac tenta un effet de surprise et dégaina son poignard, il trancha net la gorge de son adversaire. Cette fois si il allait mieux. Le début devait toujours être dur.
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03.07.11 11:44
Hiko avait mit plus de temps que prévu à réunir ses soldats. Ils étaient une quarantaine au total, tous prêt à donner leurs vie pour l'Empire. Quelques jours auparavant, Hiko avait reçu une missive de son ami Frontalière, Ludovikka Til'Dantian ou Lulu' comme il aimait l'apeller. Une vingtaine de Raïs voulaient traverser la frontière. Mais pour Hiko, ce n'était pas seulement une vingtaine mais au moins une centaines de guerriers cochons. Il avait préparé le maximum de légionnaires disponible. Il espérait juste que les frontaliers soit nombreux. Le jour même, la Légion Noire partit sur les sentiers de guerre.

Ils chevauchairent durant 3 jours pour ralier Al'Jeit au Frontières de Glace. Une rythme très soutenu, aucune pause, même pas pour dormir. Ils étaient tous entrainés à combattre même sans dormir depuis des jours. Quand ils arrivèrent sur place, l'action avait déjà commencer. Une centaines, si ce n'était plus, de Raïs combattaient rageusement contre des frontaliers tout aussi sanguinaire.



- Légionnaire! Formation de combat ! Pas de quartier ! Aucun prisonnier !
Hurla Hiko.

Aussitôt, ils s'éxecuterent. Ils prirent une formation en pyramide dont la pointe était le Capitaine. Ils claquerent les harnais, se lancèrent de tout leur être dans la bataille. Cela allait être un vrai carnage. Hiko venait de tranché 2 gorges, défoncer 1 plexus, briser 4 côtes, lorsqu'il aperçu Ludovikka aux prises avec 5 Raïs. La chef des Frontaliers, aussi gracieuse était-elle, défonçait tout ce qui passait sous sa lame. Hiko s'approcha d'elle.


- Salut ma vieille, besoin d'un coup de main ?

A peine avait-il finit sa phrase que d'autres Raïs venaient d'arriver sur le champ de bataille. Cette journée sera longue...
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Ludwiga Hasagan
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Ludwiga Hasagan
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03.07.11 14:34
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    [Hey, les gars, je sais que les Raïs ne sont pas des ennemis très malins, mais ne faites pas comme si c'était trop facile non plus ;-)]

    Les Frontaliers se battaient comme de vrais diables. Mais le nombre de Raïs semblait infini. A chaque guerrier cochon qui mourrait sous la lame de Ludovikka, un autre venait le remplacer, et ainsi de suite. La bataille semblait sans fin. Les deux guerriers qui combattaient à ses côtés tombèrent alors sous les coups répétés de l'ennemi et la Frontalière se trouva seule au centre d'un cercle de monstres. Elle bondissait d'un côté à l'autre comme un feu follet, son sabre dessinant des courbes mortelles dans l'air, pour conserver la distance avec les Raïs. Elle savait que s'ils s'approchaient trop, ils s'agglutineraient autour d'elle et elle serait perdue, écrasée par leur masse ou piétinée à mort. Même en tournant la tête de tous côtés, elle n'apercevait plus aucun Frontalier, si ce n'étaient des visions fugitives par-ci par-là. Jamais elle n'aurait dû engager le combat alors que l'ennemi était en surnombre. Cependant, elle s'avait qu'un petit village n'était pas loin. Si elle n'avait pas lancé l'assaut et simplement attendu des renforts, beaucoup de gens seraient morts.
    Tout en réfléchissant à une échappatoire, Ludovikka continuait sa danse mortelle et croisait violemment le fer avec chaque monstre qui osait s'avancer vers elle. Après quelques temps de furie sanglante, les Raïs hésitèrent à se lancer sur elle. Ils cherchaient un moyen de l'abattre sans se faire massacrer. Avec un même cri de guerre, deux Raïs, l'un devant elle, l'autre derrière, se jetèrent sur elle au même moment. Ludovikka abattit le premier d'un ample mouvement montant avec son sabre, le retira du cadavre du premier Raïs et, glissant sa lame son son bras, embrocha le second qui l'attaquait dans le dos. Le sang gicla. Son armure de cuir, presque entièrement ravagée, était couverte de liquide écarlate, tout comme ses cheveux blonds et son visage. Elle avait tout à fait conscience qu'à cet instant, elle ressemblait plus à une furie sanguinaire qu'à une femme...


    - Légionnaires ! Formation de combat ! Pas de quartier !

    Ludovikka leva subitement les yeux. Des renforts ! La Légion noire ! Son sang ne fit qu'un tour. Elle se jeta sur les Raïs qui l'entouraient avec une énergie retrouvée. Les rangs raïs tressaillirent quand la Légion noire entra dans la mêlée. Hiko, le capitaine de la Légion noire, la rejoignit rapidement.

    - Salut ma vieille, besoin d'un coup de main ?
    - Tu arrives pile au bon moment !

    Ils ferraillèrent quelques minutes côte à côte, mais la bataille les sépara rapidement. Le combat était passé de bataille rangée à mêlée désordonnée. Des Raïs s'étaient mis à courir dans tous les sens sous l'effet de la panique. L'un d'eux lui donna un violent coup d'épaule qui la fit tomber au sol. Sonnée, des étoiles dansèrent devant ses yeux. Elle se relevait à peine qu'un autre Raïs en pleine panique la percuta. Le genou du monstre l'atteignit à la tempe et elle retomba sur la terre détrempée par la pluie et le sang de la bataille. Sous le choc, sa vision se brouilla. Elle se tourna sur le dos alors qu'un Raïs, bien décidé à l'achever, levait sa hache au-dessus de sa tête. Ludovikka eut tout juste le temps de lever son sabre pour se protéger...
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Killian Delkaïron
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Killian Delkaïron
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03.07.11 16:50
Killian et Natael dansaient côte à côte, tuant à chaque coups. Mais les Raïs venaient toujours. Killian sentait que les Frontaliers, aussi forts soient-ils, ne pourraient tenir éternellement. Elle pria pour que les renforts arrivent le plus rapidement possible. Soudain, les Raïs se désinteressèrent d'elle et de son compagnon. Cherchant du regard la raison de ce revirement, elle vit la Légion Noire percuter le groupe de cochons. Elle soupira de soulagement. Maintenant, la balance était rééquilibrée. Maintenant, ils avaient toutes leurs chances de remporter cette bataille.

Elle s'avança, tuant pour se frayer un chemin, afin de se rapprocher des autres Frontaliers. Beaucoup étaient déjà morts. Des Raïs surgirent, l'encerclant. Elle se mit en garde. Ils attaquèrent ensemble, pensant avoir plus de chance. D'un coup d'épée, elle éventra le premier, du talon elle percuta le plexus du second. Elle continua ainsi. Mais elle faiblissait tout de même, elle n'était pas invincible. Elle reçu une première blessure au bras. Superficielle. Tant que ce n'était pas son flanc, tout allait bien. Une deuxième estafilade vint s'ajouter à la première, sur la joue cette fois. Elle trancha la tête du dernier Raïs qui avait osé l'attaquer et continua à chercher des amis en quête de soutien.

C'est alors qu'elle la vit. La chef, Ludovikka, au sol. Devant elle, un Raïs, havhe levée, prêt à tuer. La Frontalière tentait vainement de se protéger avec son sabre, mais Killian savait qu'elle n'avait aucune chance. Elle se mit à courir, sautant par-dessus les cadavres, achevant les Raïs blessés qui tentaient de la ralentir, et arriva derrière le Raïs à la hache. Son bras commença à se détendre, bascula dans le vide de plus en plus vite...
Killian lui enfonça son épée dans le ventre. Dans un rugissement, il s'affaissa sur le côté. Killian eut juste le temps de retirer sa lame. Ludovikka la regardait, son regard la remerciant. Elle lui tendit la main, pour l'aider à se relever.
La chef avait l'air blessée. il faudrait que Killian l'emmène voir un Rêveur...



[désolée pour ce post assez court !!]
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03.07.11 18:14
Quelle aubaine ! Des imbéciles de plus dans ce piètre combat ! Alson commençait à trouver la tournure des choses très intéressante. Des frontaliers se battaient, et furent d’ailleurs rapidement rejoint par des membres de la Légion noire. Le mentaï riait, oui, il riait aux éclats, il aurait de quoi s’amuser un peu, de quoi se dégourdir les jambes, car les raïs n’étaient qu’un échauffement en comparaison de ce qu’offrait ces humains.

Les guerriers cochons se dispersaient, pris de cours par ces multiples attaques. Ils étaient comme surpris, pas étonnant d’ailleurs. Le mercenaire en profita, et tourna la situation à son avantage, se servant de la confusion ambiante pour asséner un coup fatale à une nouvelle bête. Il profiterait de ce conflit pour s’amuser… Une frontalière, qui semblait être la chef, et semblait aussi être la seule adversaire décente sur les lieux, venaient de tomber à terre après avoir offert une fougueuse combativité à ses ennemis.

Il aimait çà, les femmes qui se battaient et ne se laissaient pas faire. Il s’approcha d’elle, tout en perçant la tête d’un nouveau monstre après avoir esquivé son coup. Il souriait, pas d’un air sadique, mais d’un air amusé, comme il se réjouissait à l’avance de ce qui suivrait.

La femme en question, à terre, était blonde, svelte et élancée, une vraie guerrière en soi, mais saurait-elle affronter le tristement célèbre Alson, dit l’Eclipse ? Il voulait savoir, mais c'est là qu’une autre frontalière débarqua, comme pour tenir secours à sa chef. Elle venait de tuer une autre bestiole pour sauver sa supérieure… C’était pathétique !

Un rictus d’agacement se dessina sur les lèvres d’Eclipse, qui, sur le moment, leva une main. De fins traits rougeâtres se dessinait sur sa paume, et une boule enflammée apparue. Souriant, il visa la jeune femme qui sauvait sa chef, et lança la boule enflammée à une vitesse effroyable, mais dans la seconde qui suivit, il chargea sa proie, sa lame en avant, la jambe gauche le propulsant à une vitesse fulgurante. Alson, dans sa charge, était droit, la posture élégante, son centre de gravité abaissé pour une meilleure stabilité. Son poignet tenait fermement son arme, l’empêchant ainsi de trembler.

Sa proie était coincé, soit elle décidait d’esquivait la boule de feu, et elle se prenait l’attaque d’Alson de plein fouet, soit elle faisait l’inverse et se prendrait la boule de feu. Le mercenaire savait bien que personne ne viendrait la secourir, car premièrement tous étaient trop occupé à se battre, et l’attaque de l’ancien pirate était si rapide, si vive, et surtout si furtive, que personne ou presque ne pouvait la remarquer, et même si quelqu’un s’interposait, ce serait cette personne qui se prendrait l’arme, car Alson avait son autre main prête à l’emploi, déjà en flamme, et sa lame était si parallèle au sol qu’il serait bien difficile de parer et d’esquiver le coup.

Ainsi Eclipse allait-il répandre les ténèbres…
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Tsukiyomi Ayame
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04.07.11 3:11
Cela faisait maintenant quelques minutes qu'ayame c'était infiltrer parmis les rais. En découpant quelques tete au passage, Elle tentait de se frayer un chemin vers les frontaliers.Alors qu'elle croyait y arriver,un rais muni d'une immense hache, s'approcha d'elle en l'attaquant sauvagement.

- ouu toi tu n'a pas le droit de m'attaquer comme sa !!!

dit-elle avec un ton colérique dont elle avait l'habitude. Avec toute la force dont elle avait elle frappa sur le rais avec rage jusqu'a ce qu'il tombe a terre. Ayame pensant qu'il était mort,tenta de continuer a avancer. Malheureusement les rais a la hache ne semblait pas avoir beaucoup aimer puisqu'il se releva en vitesse. Avec toute la force dont il était muni, le rais s'approcha d'ayame. Il leva sa hache au dessus de sa tete, et la laissa tomber d'un coup sec avec rage.Ayame qui ne s'en rendit pas compte, n'eu qu'a se tasser un peu pour ne pas recevoir la hache sur la tete. Elle la recu plutot sur le flanc. Elle s'éffondra a terre en lachant un cri de douleur qui résonna un peu partout . Elle savait pertinement qu'elle n'avait pas été toute a fais prudente. Avec le peu d'énergie qui lui restait, elle chargea ses mains d'une énergie électrique comme elle n'avait jamais réussi auparavant et pulvérisa tout les rais se trouvant devant elle. Elle tenta alors tant bien que mal de ramper jusqu'a un endroit ou il n'y avait personne. Elle saignait abbondament, mais elle s'en fichait. C'est son ego qui avait pris le coup. Elle ne se remmetrait peut etre jamais d'avoir été si imprudente. Surtout devant un rais. Surtout qu'elle devait tenter de fuire le chant de bataille avant qu'il ne soit trop tard...ou jusqu'a ce qu'un frontalier ne la trouve. Elle détestait l'idée de fuir mais elle ne voulait pas mourire en se vidant de son sang...

(désoler pour se post si court.. ce n'est quand meme que mon premier RP x) )
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04.07.11 11:48
- Tu arrives pile au bon moment !

Ils ferraillèrent quelques minutes côte à côte, mais la bataille les sépara rapidement. Le combat était passé de bataille rangée à mêlée désordonnée. Des Raïs s'étaient mis à courir dans tous les sens sous l'effet de la panique. Hiko avait 3 nouveaux adversaires, cela avait beau être de simple Raïs, en nombres, ils étaient très dangereux. D'un côté cela le réjouissait, il pourrait peut-être utilisé cette technique que son maître lui avait enseigné, depuis qu'il avait été nommé Capitaine il n'avait plus utilisé son sabre. Son sabre ... Il tirait toute ça puissance de cette arme. Mais il n'en avait pas encore besoin. Il dégaina ses dagues, effectua une vrille en l'air, se retrouva dans le dos des guerriers cochons, trancha l'échine du premier, s'empara du deuxième et para le coup du troisième avec. Les trois Raïs n'étaient plus. Il vit alors Ludovikka à terre. A temps une Frontalière vint à son secour. C'est alors qu'il vit un homme, plutôt grand, des cheveux brun long et surtout des yeux rouge comme le sang. Il ne lui fallut que quelques millièmes de secondes pour savoir sa guilde et son rang, Mercenaire du Chaos, Mentaï. Il le vit chargé une boule de feu en direction de Ludovikka, Hiko fut plus rapide que le Mentaï se jetant juste à temps sur la boule de feu. Jamais il n'avait connu une douleur si insoutenable, malgrès l'armure extrement solide de vergalite. Il se releva, le coup était loin de l'avoir tué mais l'avait bien amoché.

- Un Mentaï ? Intéressant... Qu'est ce que tu fais ici ? Avait-il demandé, oubliant la bataille qui fesait rage à côté.

Il obversa son adversaire de plus près. Il était très confiant, il n'avait aucune peur en lui, il était très bien battit. Un bel adversaire. Hiko dégaina son sabre, si le Mentaï acceptait l'affrontement, il pourrait vraiment se donner à fond. Cet adversaire n'était pas comme les précédents. Lui, était fort.

[ T'inquiète moi j'suis un pro de la couratitude ! x) ]
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06.07.11 0:45
Izaac se retrouva vite bloquer par les raïs. Ils étaient tellement que des qu'un mourrait un autre le remplaçais. Izaac serra fermement son sabre. Il se concentra. Il devait se calmer si il voulait survivre. Le combat était enragé. On entendait plus que le bruit des armes s'entrechoquant. Un vacarme étourdissant, une raison de plus pour me calmer pensa-t-il. Il se calma doucement. Puis quand il releva la tête il vit Ludovikka a terre et Killian la secourant. Il eu une seconde d'inattention. Une ligne de feu se traça sur son avant-bras. Il se faisait assaillir, il essaya de parer nombre de coups mais il commença a faiblir. Un raïs lui dessina une autre ligne sur les cotes. Il saignait. Sa vu se troubla un instant. Puis cet instant dura plusieurs secondes. Quand il retrouva la vu il était a terre un homme de la légion noire devant lui. Il avait dut rester comme sa, assis pendant au moins quelques minutes. Il essaya de se relever. Il sentit un douleur. Un raïs avait dut casser une cote. Il palpa légèrement sa blessure. Oui, une cote cassée. Il se releva puis a l'aide d'une bande de cuir qu'il serra autour des ses cotes. Il se releva et recommença a combattre. Il eu une pensée pour son loup qui l'attendait a la citadelle. Cela lui redonna du courage. Il repris avec fougue. Une vertèbre craqua. Puis deux ou trois cotes. Et enfin la nuque. Il avait du abattre 5 adversaires en tout. C'est alors qu'il remarqua un homme un peu plus loin. Les yeux rouges, un air maléfique. Il se souvint, les mercenaires du chaos. Il partit autant qu'il put dans la direction oppose, ce n'était pas un lâche. Il savait juste trės bien qu'il n'était pas de taille a lutter contre eu. Il poursuivi son combat en se demandant comment aller la chef.
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Ludwiga Hasagan
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Ludwiga Hasagan
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06.07.11 23:54
https://ewilan.forumactif.fr/t1946-echos-du-parcours-d-une-fronta
    [On va tous se disputer pour se battre contre Alson X).]

    Ludovikka, avec l'aide de Killian, se releva tant bien que mal. A quelques mètres des deux Frontalières, Hiko, capitaine de la Légion noire, faisait face à un nouvel adversaire, étranger à la meute de Raïs. Essuyant distraitement son sabre couvert de boue sur sa cuisse, Ludovikka détailla l'homme qui avait tenté de la tuer. L'homme était grand. Son armure sombre et saillante laissait deviner des muscles solides sans pour autant en faire une brute épaisse. Le physique était avenant, mais quelque chose d'autre intriguait la Frontalière. Son regard. Des mèches de cheveux sombres encadraient un visage de glace, mais ses yeux n'étaient que flammes. Rouges, mis en évidence par le caractère obscur du guerrier, ils étaient comme animés par une flamme sanguine qui donnait des frissons. L'identité de cet homme s'imposa à son esprit par une certitude qui lui fit froid dans le dos. Un Mercenaire du Chaos, mais pas seulement. A en voir le puissant dessin qu'il avait réalisé pour l'attaquer, elle n'avait aucun doute. C'était un Mentaï. Un tueur surentraîné et sans pitié.

    - Un Mentaï ? Intéressant... Qu'est ce que tu fais ici ? Avait demandé Hiko.

    - Mentaï... murmura-t-elle dans un souffle.

    Les quatre guerriers réunis là s'entre-regardaient sans un mot. Hiko et le Mentaï se toisaient, non sans un certaine animosité, mais surtout avec curiosité. Alors que les Frontalières et le Légionnaire semblaient intrigués, voire inquiets, le Mercenaire en face d'eux était tout à fait tranquille, à l'aise. C'était mauvais signe. Lequel d'entre eux pouvait avoir son nom écrit sur le tableau de chasse des Mercenaires du Chaos ? Hiko était capitaine de la Légion noire, c'était un homme à abattre, mais c'était aussi son cas, en tant que haute gradée des Frontaliers. Killian n'avait rien à voir dans ce conflit. Et c'était bien elle, Ludovikka, la cible. La Frontalière serra les dents. Si c'était un duel que ce Mercenaire voulait, il l'aurait.

    Ludovikka fit signe à Hiko et à Killian.


    - Hiko, Killian, allez aider les autres. Hiko, il faut que tu prennes le commandement de mes Frontaliers et que tu organises la bataille. Cet homme est là pour moi, pas pour vous, j'en fais mon affaire, d'accord ?

    La Frontalière tourna ses yeux verts vers le Mentaï. Tenant son sabre dans son poing, elle posa sa garde sur son coeur.

    - Mon nom est Ludovikka Til'Dantian. Quel est le tien ? Que fais un Mentaï dans les Marches du Nord, dans un combat contre des Raïs ? S'enquit-elle d'une voix irritée.

    L'aura obscure qui émanait de son adversaire lui intimait la méfiance et son instinct lui disait que ce combat serait ardu. Les yeux rougeoyants du Mentaï glissaient lentement sur chaque personne qui l'entourait. Ludovikka serra son sabre dans son poing et se mit en garde, créant, de sa seule lame, une véritable barrière de métal infranchissable entre elle et le mystérieux Mercenaire.
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07.07.11 11:41
Alors qu’Alson chargeait, un homme vint lui bloquer passage, parant la terrible attaque du criminel, mais de ce fait, il reçut de plein fouet la boule enflammé, qui vint brûler sa peau, sans pour autant le tuer, mais le blessant. Cet homme en question, à en croire son allure, devait être de la légion noire, et un gradé qui plus est. Il avait deviné qu’Alson était un mentaï, quoique c’était une évidence par son dessin, et lui demanda même ce qu’il faisait là, ce à quoi répondit Alson, s’écartant un peu de son nouvel adversaire, non sans ironie :

- Et bien vois-tu, je suis en train de faire la cuisine, çà ne se voit pas ? Pauvre imbécile, qu’est-ce que çà peut bien te faire que je sois ici ? Je suis en train de faire du repassage, évident non ?

Il avait dit çà d’un ton très condescendant, d’un air arrogant. Sa première cible, la jeune femme blonde, se releva, et ordonna à ses hommes, ce qui montrait qu’elle devait commander cette attaque :

- Hiko, Killian, allez aider les autres. Hiko, il faut que tu prennes le commandement de mes Frontaliers et que tu organises la bataille. Cet homme est là pour moi, pas pour vous, j'en fais mon affaire, d'accord ?

Intéressant, même très intéressant. Il avait pour lui tout seul la chef des frontaliers et le commandant de la légion noire. Il allait s’amuser, il en était désormais persuadé. La chef reprit en parlant directement à Alson :

- Mon nom est Ludovikka Til'Dantian. Quel est le tien ? Que fais un Mentaï dans les Marches du Nord, dans un combat contre des Raïs ?


Il sourit d’un air enjoliveur, cette Ludovikka braquait devant elle son sabre, comme espérant que cette arme la protégerait d’un guerrier comme lui. Elle posait d’ailleurs la même question stupide que son équipier, mais comme elle était belle, le mercenaire s’abstint de toute réponse désagréable. C’était un gentleman après tout, il savait parler aux femmes, il était homme poli, qui savait converser avec ses futures victimes. Rangeant son épée, Alson salua poliment la belle, le soi-disant Hiko, et Killian, et déclara d’un ton très solennel et empreint d’un charme très attractif :

- Ma chère, Je me prénomme Alson, Alson Kavernal. Ce qui me mène ici n’est autre que votre doux parfait et la mélodie de votre voix ma tendre. Et en effet, je suis un mentaï, enfin parce que j’appartiens aux mercenaires du chaos, sans vraiment avoir le choix, car oui vous devez me connaître, le fameux criminel. On m’appelle plus souvent l’Eclipse, ça doit vous dire vaguement quelque chose. M’enfin, maintenant que les présentations sont faîtes, passons aux choses sérieuses.

L’Eclipse s’avança prudemment vers ses adversaires, sûr de lui, confiant. Il savait ce qu’il faisait… Il ferma les yeux quelques secondes, comme pensif, puis reprit, toujours d’un air séducteur :

- Mesdemoiselles, et Monsieur, il n’est pas vraiment plaisant d’être spectateur de vos chamailleries pour avoir la chance de vous battre contre moi. Je danserai avec chacun d’entre vous, ne vous inquiétez pas…

Mais il regardait surtout Ludovikka. Sa principale proie… Il défiait la jeune femme du regard, il lisait en elle. Il pouvait sentir son courage, sa force, ses passions, ses blessures… Il espérait un beau combat avec elle… Et là, étrangement, Alson prit deux sortes de bâtonnets, enroulés dans des sortes de cordes hérissées de lames tranchantes. Le sourire, aux lèvres, ce n’était plus juste le charme ni le charisme d’Alson que l’on sentait, on sentait l’essence destructrice qui émanait de toute sa chair, on pouvait sentir sa force, on ressentait sa puissance à travers son regard de feu, qui mettait au défi tout ceux qui l’entouraient. Il annonça, d’un ton froid mais plein de provocation :

- Voyez-vous, j’ai beaucoup voyagé dans ma triste vie. Je viens de terres très lointaines, j’ai mené des combats auxquels peu d’hommes auraient réchappé. De ces voyages, de ces combats, j’ai gardé de nombreux souvenirs, mais surtout une grande expérience de l’art du combat, car c’est d’un art dont il s’agit, vous en conviendrez. Ces deux objets identiques en apparence, que je tiens dans mes mains, sont des armes des plus exotiques, des fouets un peu particulier, vous comprendrez vite pourquoi.


Démêlant les fouets, Alson les tenaient fermement. Il maniait ces armes comme personne, et comme pour apeurer ses adversaires, leur faire comprendre à qui ils avaient affaire, Alson attaqua un raïs proche avec ses armes. C’étaient des fouets barbelés, et quand ils vinrent se poser sur la peau grasse de la bête, ils la déchiquetèrent en mille morceaux, arrachant œil, langue, oreilles et j’en passe… Toute l’horreur de cette arme était là, ces milliers de lames qui ornaient les cordes des fouets. C’est pour cela qu’Alson s’était moqué de Ludovikka et de son sabre, une arme telle une épée ou un sabre ne pouvait parer les coups des fouets, car ceux-ci s’enroulaient tout en déchiquetant ce qu’il y avait autour. Tenter d’attraper le fouet au vol, et s’était perdre sa main car les lames de ces fouets étaient très tranchantes. Seule possibilité, esquiver les attaques, mais on ne pouvait esquiver des attaques aussi vives, rapides, d’autant plus qu’Alson avait deux fouets. Et chacun étant d’une taille d’un peu plus de deux mètres, on ne pouvait guère s’approcher du criminel de moins de ces deux mètres, au risque de finir en rillettes.

- Terrifiant, non ? Voilà pourquoi ma chère Ludovikka tu auras bien du mal à te battre contre moi, car mon expérience m’a beaucoup appris, j’aurai toujours une longueur d’avance sur toi, et… Ah oui, ma surprise ne s’arrête pas là ! J’ai encore un truc pour toi !

Il se concentra longuement, ses mains rougeoyèrent, ses yeux brillèrent, et des traits couleur rubis se dessinèrent sur les fouets, faisant chauffer le métal qui rougissait déjà. Les fouets barbelés étaient devenus des fouets barbelés enflammés ! Maintenant, Alson allait pouvoir commencer sa danse mortuaire, mais il ne voulait pas tuer Ludovikka, peut-être Hiko, mais pas elle, il voulait garder une adversaire pour d’autres fois. Et là, Il leva ses deux mains, et fit claquer les fouets dans tous les sens, tout autour de lui, dessinant comme une sphère enflammée autour de lui, impénétrable. Un guerrier cochon se risqua à attaquer le criminel, il fut déchiqueté et il brûlait.

Alson attaqua alors, dirigeant ses fouets vers Ludovikka, un dirigé vers le torse de la belle, pour l’étreindre, l’autre vers l’arrière de ses jambes comme pour l’empêcher d’esquiver par l’arrière ou sur les côtés. Mais il restait prudent, les fouets étaient des armes offensives terriblement efficace, amis en défense, c’étaient les plus médiocre, aussi restait-il vigilant, toujours son épée prête à servir au cas où, et faisant attention à ce que quelqu’un d’autre ne se mêle pas à son combat…


[HRP : Bon je sais c’est dangereux des fouets, mais je suis sympa, je vous donne les faiblesses de l’arme ^^. Donc Ludovikka t’auras du mal à esquiver les attaques des fouets, c’est presque impossible, et les parer revient au suicide, par contre si t’arrive à t’approcher à moins de deux mètres d’Alson, si t’y arrive je dis bien, il ne pourra plus utiliser ses fouets car il y a une portée minimale à ses attaque. En gros, entre 2 mètres et 4 mètres, il peut avoir avec la tension de ses fouets, au-delà ou en dessous de ses distances, et il ne peut plus s’en servir, il sera contraint d’utiliser son épée.]
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Killian Delkaïron
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Killian Delkaïron
Mercenaire__Membre



07.07.11 13:32
A peine Killian avait aidé sa chef à se relever qu'elle sentit une présence malsaine derrière elles. Elle se retourna et vit un homme. Grand, il avait de beaux cheveux bruns, mais ce qui attirait le regard était assurément son regard. Ses yeux étaient rouge, et l'on pouvait voir des flammes dansaient au fond. Ludovikka l'avait elle aussi remarqué, au vu de son air éberlué. Son aura était terrifiante. Soudain, un savoir enfoui depuis longtemps au fond de sa tête ressurgi. Elle avait déjà entendu parler de ces hommes. Ils servaient le mal. Les Mercenaires du Chaos.
Soudain, il lança une boule de feu sortit de nulle part dans sa direction. Un Dessinateur en plus ! Killian prépara sa parade, sachant pertinemment que son épée ne servirait à rien, mais elle voulait défendre sa chef. Alors qu'elle sentait sa fin approcher, un homme se mit entre elle et la boule. Killian voulut crier, lui dire de s'enlever, mais il la boule fini sa course sur lui. Killian lâcha un soupir lorsqu'elle vit qu'il n'était pas mort. Son armure n'était pas celle des Frontaliers. Ce devait donc être un membre de la Légion Noire. Il se plaça devant le Mentaï et lui demanda ce qu'il faisait là. L'homme répondit d'une façon dédaigneuse. Ayant repris contenance, Ludovikka réitéra la question. Cette fois, il répondit d'un ton plus poli. La chef se tourna ensuite vers l'homme de la Légion et Killian.



-Hiko, Killian, allez aider les autres. Hiko, il faut que tu prennes le commandement de mes Frontaliers et que tu organises la bataille. Cet homme est là pour moi, pas pour vous, j'en fais mon affaire, d'accord ?



Le dénommé Hiko acquiesça et s'en alla, pensant plus à son devoir qu'à ces propres choix, comme tout bon officier. Killian, elle, hésita. Elle n'allait pas laisser sa chef se faire massacrer sous ses yeux ! D'autant plus que le Mentaï avait sorti deux sortes de lanières. Il expliqua que c'était des fouets, et fît même une démonstration sur un Raïs. Voyant le cochon se faire déchiqueter, Killian déglutit. Jamais sa chef n'arriverait à le vaincre, aussi forte soit-elle. Killian paniquait. Le temps semblait ralentir, tournant plus qu'autour des trois humains. Les renforts arriveraient bientôt. Il fallait qu'elle aide Ludovikka. Mais comment ? Le rayon de deux mètres des fouets interdisait tout mouvement suspect de sa part. Si seulement elle pouvait trouver une arme qu'elle pourrait lancer, elle arriverait peut-être à le blesser ? Elle chercha des yeux une arme suffisamment légère mais tout aussi tranchante qu'une épée, en vain. Elle n'avait pas emporté son poignard. Elle se maudit intérieurement. Le Mentaï faisait tourner ses fouets, évitant ainsi une attaque extérieure, qu'elle provienne d'un Frontalier, d'un Raïs ou encore d'un homme de la Légion Noire. Killian était stoïque, réfléchissant à toute vitesse. Il fallait qu'elle contourne le Mentaï. Si elle se glissait dans son dos, elle avait peut-être une chance de sauver sa chef et de débarrasser l'Empire d'un fou furieux. Car, selon ses propres dires, c'était un assassin réputé. Mais elle n'en avait jamais entendu parler, d'où le paradoxe de la chose. Elle recula, disparaissant dans les combats voisins. Aucun des deux ne l'avaient vue. Le combat débuta. Killian se faufilait entre les hommes et les cochons, tuant au passage, sans perdre des yeux sa chef et le Mentaï. Elle le contourna, mais fût assaillie par des Raïs. Qu'elle tua avec une facilité déconcertante. Faiblissaient-ils ? Ou avait-elle progressé ? Elle vit le dos du Mentaï et la crainte dans le regard de la Frontalière, mêlée à la détermination. Les fouets claquaient de toutes parts. Même derrière lui, il serait dur de l'atteindre. Un Raïs bondit sur elle, un poignard en main. Une chance ! Elle l'éventra au vol, et lui prit le poignard. Il était dégoulinant de sang. Elle fît une moue. Sans doute le sang des siens...

Là, elle ferma les yeux. Se concentra. Oublia la rude bataille qui se déroulait près d'elle. Elle rouvrit les yeux sur le dos du Mentaï.
Visa.
Lança.
Elle ne put voir si elle avait fait mouche. Un Raïs venait de bondir sur son dos, la faisant tomber. Un fouet claqua à quelques centimètres de son visage. Elle tenta de se relever, mais le Raïs était plus lourd. Comment allait-elle se sortir de cette situation ?




[J'espère que mon intervention ne dérange ni Alson, ni Lulu ! J'ai fait exprès de dire que je ne savais pas ou le poignard était allé. Comme sa, vous pouvez agir à votre guise !!]
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