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Expédition dans le desert Ourou
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17.10.12 15:12
Il faisait chaud, le ciel était bleu et le soleil bien visible dans le ciel. Une journée parfaite pour un bon entrainement d'escalade. Je décida d'escalader la plus haute montagne que je voyais, chose pas bien compliqué vue qu'il n'y avait qu'une seule montagne digne de ce nom et pas si grande que ça. Je commençais a me frotter les mains avec la terre que je ramassé au sol pour éviter de glisser. J’entamais l'escalade de la petite montagne et me mis a crocheter une prise, je fus surpris quand je réalisa que les remparts de la montagne n'étaient pas bien solide, un éboulement pouvait arriver à chaque instants et que les risques étaient bien plus grands qu'on pouvait le croire à première vue. J’enchainais les prises rapidement et montais vite au bout de 5 minutes j'avais fait plus de la moitié du chemin sans le moindre effort. J'étais satisfé et je décida d'admirer la vue, je surplombais les arbres, les lacs, les rivières et les petits villages. Les champs brillaient a cette période de l'année, c'était magnifique.
-Monsieur Urlan!!! Attendez s'il-vous-plait, j'ai un message de la part de l’empereur.
C'était lui qui me suivait depuis le début de la journée (un messager), je savais que j'étais suivi mais j'avais préféré l'ignorer.
Je décida donc de descendre de la montagne, et la descente fut bien plus rapide que la montée...
-Qui a t-il? Demande-ai-je.
-Je suis un message de l'empereur il vous demande de vous occuper d'une expédition dans le désert Ourou, il veut que vous alliez dans la ville de pèche la plus proche de la mer des Brumes votre bateau de voyage ce nomme le "Moréa", bien sûr vous n’êtes pas obliger d'accepter...
-C'est d'acore j'y serais le plus tôt possible...
Je me dirigeais vers la mer des Brumes sur mon cheval que j'avais acheter il n'y avait pas si longtemps que ça et me dépêchais pour arriver au rendez-vous le plus tôt possible. Je n'étais encore jamais aller dans le desert Ourou mais je savais, (grâce aux histoires que j'avais entendu) que ce n'était pas un lieu festif, loin de là. Je galopais nuit et jour le plus vite possible. Une foie au village de pêche je vis dessuite la brume. J'étais arrivé à l'endroit où avait lieu le rendez-vous. Nous n'étions pas nombreux, j'étais seul avec une équipe de thuls (surement pour assurer notre protection), un marin, les autres n'étez pas encore arrivé.
Il ne manquait plus que le reste de l'équipage et nous partions

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20.10.12 10:54
Je marchais tranquillement au bord de la route, laissant un léger nuage de poussière derrière moi. Cela faisit un moment qu'un n'avait pas plu. La terre était dure sous mes pas. Mais je sentais que cela n'allait pas tarder. Lobo trotinait à mes côtés, éternuant parfois. Je me dirigeai depuis maintenant plusieur jour vers le port, sur l'ordre d'un de mes haut gradés de Fériane. Je devais de nouveau accompagner une expédition. Et cette fois ci c'était pour le désert d'Ourou. Cela promettait. J'espérai que cela n'allait pas tourner comme la dernière fois lors de ma précédente expédition vers All-Pol.
J'arrivai enfin au village pêcheur qui bordait la Mer de Brumes. L'air était emplie de l'odeur salée de la mer, et l'odeur désagréable du poisson me fit froncer le nez. Même avec ma famille je n'étais pas allée souvent dans village en bord de mer comme celui-ci.. Et d'un côté je compris. J'avais l'impression que l'odeur imprégné mes vêtements alors que cela faisait à peine quelques minutes que j'étais rentrée dans la ville.
Je sentis des regards sur moi. La présence de mon loup, ainsi que je pense, ma cape recouvrant tous mon corps ainsi que la capuche qui recouvrait mon regard ne me faisait pas passée inapercue. Je n'y prettai pas attention. Un groupe d'homme discutaient sur ma droite, je m'approchais. La conversation se tu quand ils me virent.

Excusez moi, mais où est "Moréa"?

-Toujours tous droit ma p'tite dame, vous pourrez pas le rater.

Merci monsieur

Je repris ma route, claquant de la langue en sentant que Lobo n'avait pas suivi le mouvement. Plus je me rapprochais du port, plus les cri emplirent l'air. De nombreuses fois c'est mon guide qui m'empecha de me prendre les choses que les hommes lancaient sur le sol. Je trouvis enfin le bateau, après avoir plusieurs fois demander ma route. Un groupe s'était formé vers le bateau. Mais celle-ci me laissa peu à peu passer suite à mes pardons répétés et mon apparence surment. Quelqu'un se tenait au centre de la foule. Assurance fut le premier mot qui me vint. Mais aussi marchombre. Je souris sous ma cape et demanda.

-Où se trouve Rethor Urlan?
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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20.10.12 14:28
Moi Pytipok

Moi Pytipok j'étais parti. Grâce aux arbres passeurs j'étais arrivé en plein territoire ennemi. J'ignorais combien de temps ma mission prendrais mais j'y arriverais !
Un coup d'oeil autour de moi me fit perde un peu de ma superbe. Du bleu. Le ciel était à l'envers. Enfin.. je ne savais pas trop.

J'avançais prudemment vers ce ciel à l'envers, qui , au loin se mélangeait avec le ciel normal. je me tournais derrière moi. Mon arbre passeur. Je savais que les arbres étaient toujours en bas donc ce qui se trouvait devant moi ...
Intrigué je m'approchais. Ma main se tendit et elle apparu.
Je me penchais et ma tête apparu aussi. Mes doigts touchèrent cette surface et elle se rida. De l'eau ! Les humains avaient de l'eau couleur ciel ! Comment avaient-ils fait ..? Chez moi elle est verte et pleine de nénuphars, ici, juste de l'eau bleue.
Et des planches.
En effet au loinsje voyais des planches sur l'eau. Et des grosses coquilles s'y accrochaient. il semblait y avoir plein de monde... C'était peut-être la fête !
Tout émoustillé Je m'élançais vers cette foule.

Le temps passa et je finis par y arriver. Un petit coup d'oeil derrière moi me confirma que j''avais parcouru beaucoup de chemin. Devant moi les humains. je me cachais habillement et sorti mon arme.
Quel sort allais-je leur lancer...?

Concentré comme je l'étais je vis soudain un loup. Un prédateur comme il y en avait rarement. je me mit à trembler même si la bête ne pouvait me voir. Et elle m'ignorait totalement. heureusement car je ne tenais pas à finir sous ses crocs. Dans tous les cas il fallait agir vite !
S'occuper du loup et des humains à côté.
Ma mains plongea dans ma poche et je récupérait une graine.

Un petit souffle dans ma sarbacane et des paroles de voilà le travail !

- Le sort du poilu tondu !


Et les poils du loups commencèrent à tomber.

Je fut prit d'un grand fou rire en voyant le bête nue comme un verre, et chercher son agresseur et grognant. Mon hilarité dut se faire remarquer car le loup me fixa soudain et l'élança. Je soufflais de nouveau, je devais me dépêcher car sinon j'allais mourir...

- sort du dodo qui rend endodo même les plus forts !


Le loup ralenti sa démarche tandis que je me lançais d'autres sorts sur tous les humains et bondissant hors de ma cachette tel un petit diable.

- Sort du danseurfou qui danse la gigue !

- Sort du pitafou endiuablé qui vous fait pitrer comme un diable !

- Sort qui gratouille qui vous fera vous gratter partout !


et ainsi de suite. Chacun était différent. je menais la misère aux humains. Un sourire sardonique s'étala sur mes lèvres parfaites et je continuais à trottiner.

Je fut soudain arracher du sol par une force surpuissante. Un visage d'humain se mit devant moi. Il me tenait dans ses mains, qui étaient plus grosses que celles de Jositoudou l'ours élastique ! Pas moyen de s'en séparer !
Ma sarbacane au lèvres j’allais pour souffler quand il me l'arracha violemment.

- Ca suffit le nain ! je pense que t'as assez fait conneries pour la journée !


Je me soulagea en l'insultant comme un grouik !

- Fils de trodd unijambiste ! Poil de mamoutanéus imberbe ! Grangeola maigrelet ! Sale ...


Un roc s’abattit sur moi et je ne put y résister.

Lorsque je repris connaissance des humains me fixaient avec leurs yeux malveillants. Le gros truc qui m'avais capturé était là, avec un autre qui avait l'air sournois et cruel, un monsieur énorme avec un mine d'ours enragé. Avec ses poils il n'y avait aucun doute sur ses origines ! J'aurais bien rit si je n'avais pas remarqué le loup rose sans poil qui me regardait comme s'il se demandait par quelle bout me manger. Je me mis à grelotter et tenter de reculer ce qui était tout sauf simple car des cordes me saucissonnaient comme une liane protège des petits (si si ! j'vous jure... Sinon on va dire qu'il s'agit des séquelles du coup de point... il est possible que ce petit soit endommagé à vie).
Une humaine avec des cheveux comme le ciel lorsque le soleil se couche s'avança.
Ce fut pourtant le monsieur vilain qui parla.



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20.10.12 19:15
Il était tard mais je n'étais pas fatigué, j'attendais en plein milieu de ce groupe de thuls et de quelques matelots entrain de boire des litres de bière et de parler fort entre eux comme si chacun voulait couvrir le bruit que faisait l'autre en parlant. J'en finissais par avoir mal à la tête jusqu'au moment inespéré où une jeune femme magnifique avec les yeux bleus de la couleur du lac Chen et les cheveux aussi roux que les champs de blés au soleil du soir. Si j'avais une quelconque attirance pour les femmes je suis sûr que j'aurais de suite était fou amoureux d'elle mais sachant que je ne pouvais pas tomber amoureux je me mis à repenser à toutes les filles que j'avais abordées dans mon enfance pour découvrir un sentiment quelconque. Mais pourtant je ne pouvais pas enlever mon regard de ses yeux bleus étincelant. Puis j'entendis son loup grogner et je me mis à sourire faiblement. Est ai-je amoureux, non je ne pense pas.... Mais j’espérai tout au fond de moi...
-Pardon, pardon. Où se trouve Rethor Urlan?
Elle était juste devant moi et me posa cette question. J'inclinais la tête (une façon de saluer bien à moi)
-Je suis Rethor Urlan, je suis enchanté de vous rencontrer, je crois que c'est vous la rêveuse chargée de nous aider.
Je savais que c'était elle, mais je savais également que de dire bonjour sans poser la question qui était-elle aurait été idiot.
Pensant que c'était tout et que plus personne n'allait venir quelques matelots se mirent a préparer le navire.
- Le sort du poilu tondu !
Je ne savais pas ce qui se passé, mais je me mis en garde. Le loup ne ressemblez plus à un loup mais à un cochon anorexique tout rose. Puis plein de phrases dénuées de sens foncèrent vers, oui elles fonçèrent, j'en recevais une en plein cœur, aucun moyen de l'éviter, je me vis danser mais grâce à un chant marchombre je m’arrêta net de danser. Un thul énorme se mit a crier sur ce petit homme qui nous jetait des sorts.
-On va te faire cuire, dit un thul énervé.
Je posa ma main droite sur l'épaule gauche du thul, je pressa et le thul posa un genou a terre sous la pression de main et de son épaule écrasé.
-Calmez-vous, dis-je au thul, qui êtes-vous petit homme que nous voulez-vous et pour quoi nous faites vous ça?
Je savais qu'on attendais un homme étrange mais je ne savais pas du tout a quoi il ressemblé, est-ce lui? Je le regardais droit dans les yeux en attendant sa réponse, si il ne répondait pas, je n'aurais aucune idée comment réagir mais en cas de problème j'étais près a me défendre.
Le thul que j'avais blessé a l’épaule se relava et partit humilié(chose rare pour un thul). Les camarades thuls fixaient le petit face a moi et moi évidement mais surtout le loup sauvage qui mourrait d'envie de dévorer ce petit homme.
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21.10.12 20:34
L'homme me répondit, d'une voix douce, mais je devinais qu'il avait l'habitude de ne pas se laisser marcher sur les pieds, et qu'il poussait surement un peu d'autorité. J'étais curieuse de savoir à quoi il ressemblait, parfois je regrettai de ne rien voir.

-Oui c'est bien moi. Je suis toute aussi ravie.

Je froncai imperceptivement des sourcils. Qu'avait Lobo? Je posai ma main sur sa fourrure pour le calmer, alors que la foule autour de moi se mettait en mouvement.
Soudain un cri, une incantation retentit. Et sous mes doigts la fourrure si douce de mon loup tomba. Je n'eu pas le temps de demnader, ou hurler qui avait fais sa, que d'autres cris fusèrerent. Je me recroquevilla sur le sol, retenant en même temps Lobo qui voulait beaucoup dévoré l'imprudent qui lui avait fait ceci. Et il n'était pas le seul. J'avais horreur que quelqu'un fasse du mal à mon loup, le seul à qui je faisai totalement confiance.
Un corps tomba sur le sol, suivit d'un cri de colère. Tous voulait punir celui qui avait semé la pagaille. Rethor décida qu'on verra son cas sur le bateau. Lentement je me redressai et suivi les autres dans le bateau. Les matelots attachèrent le Petit, d'après ce que j'avais appris dans un coin, en attendant qu'il revienne à lui.

Pendant ce temps j'ai laissé mon loup dans la soute, recouvert de ma cape pour qu'il n'attrape pas froid et je retournai à l'extérieur. On avait largué les amarres. Je le sentais aux roulis des vagues, au vent marin qui commencai à se lever. Cette traversée allait être une expérience nouvelle, car je peinai légèrement à consrver mon équilibre. Je m'accouda au bastinage laissant mes pensées dérivées. Et je n'y sorti que quand j'entendis que le Petit était réveillé.
J'entrai dans la salle où se dirigeaient plusieurs personnes. Sans trop me poser de question j'allai me poster le plus proche possible du "prisonnier". Un Thül, prit la parole le premier, menacant le Petit; Mais c'est grâce à Rethor qu'il n'eu rien. Un aura d'autorité émana un moment de lui, alors qui ordonna au géant de ne rien faire, puis posa une question au Petit.

-Calmez-vous, dit-il au Thül. Qui êtes-vous petit homme que nous voulez-vous et pour quoi nous faites vous ça?

Je m'accroupis, devinant là où se tenait le Petit par le battement désordonné de son coeur. Puis d'une voix douce et respectueuse, mais empreinte d'une colère froide, je lui dis.

Et surtout, pour ma part, pouvez-vous briser le tour que tu as jouer à mon loup humble Petit?
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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21.10.12 21:39
Moi ?! Peur ?!

Qui êtes-vous petit homme que nous voulez-vous et pour quoi nous faites vous ça?


Petit homme ?! mon cœur rata un battement. Tien en fait il ne s'était pas totalement arrêté quand la montagne vivante avait voulu le tuer ..? Ah... tant mieux !
Mais alors s'il pensait que j'étais un HUMAIN il se fourrait le doigt dans l'oeil jusqu'au coude !!
Cependant ils devaient m'avoir drogué car je ne pouvais pas bouger. *T'as peur...*
Quoi ?!
Moi?! peur?! ha non ! Certainement pas ! Vous savez qui je suis ..?! PYTIPOKOUPOTIPIK ! Alors NON je n'ai pas peur ! Ils m'ont forcément drogués car sinon je leur aurait arraché les oreilles...
*Ben voyons...*
Je boudais cette voix qui remettais en cause ma force tandis que le femme aux cheveux de feu s'approchait.
Elle aurait pu être gentille, mais comme tous les humains elle était... humaine.

-Et surtout, pour ma part, pouvez-vous briser le tour que tu as joué à mon loup humble Petit?


Ah ! elle savait que j'étais un petit.. Noble en plus .. Je bombais immédiatement le torse flatté. Héhé..
heu.. Son loup ? J'ouvrais des yeux rond, appeuré. SON loup .. Ah mais voilà pourquoi elle était méchante.. j'avais épilé sa bestiole ! Et comment pouvait-elle être amie avec un tel... monstre ! Elle devait être encore pire...
Inverser le sort ?! Bien sur que je pouvais ! mais je n'allais certainement pas le faire ! A moins que je les fasse trop longs et avec des noeuds... et...

-Hors de question !



Je sautais sur mes pieds malgré les liens qui entravaient mes mouvements. Je ponctuais ma réponse par une grimace mais la femme ne sembla rien voir. Ses yeux fixaient un point invisible à côté de moi. Elle devait être morte.. Et pourtant elle venait de parler ?! comment était-ce possible ?!

Soudain, un roulis me fit perdre pied et pour rétablir l'équilibre je du sautiller à pied joints. Pourquoi ça bougeait ?! Où est-ce que j'étais ... j'avais l'impression d'être dans l'estomac d'un ours élastique qui dansait la macarénadespetits !

-Par le chapeau Alfreu le freu... Ahhhhh



un autre mouvement me fit perdre équilibre et je m'étalais de tout mon long, face conter terre. Je me débattais comme un verre de terre, pour échapper à cette horreur.

- Laissez-moiiiiiii !! arrêteeezzz çaaaaaa !



Je sentais mon estomac se contracter comme si jamais mangé trop de framboises.
Juste avant que je ne vomisse mon gouter une main me saisit comme si je ne pesais rien et m'amena à l'air libre afin que je ne salisse pas tout en vomissant.

De l'eau. partout.
On était sur une coquille. Loin de la terre... C'est humains étaient fous ?!

Je n'avais même plus la force de vomir et je m’évanouis.

*petite nature !*

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24.10.12 14:16
Le temps passait lentement, mais le petit homme (heureusement) faisait passer le temps un peu plus vite. Attaché aux liens qui le tenaient bloqué, je voyais qu'il avait le mal de mer à crier toutes ces phrases une nouvelle fois sans rapport avec ma question, il était fou. Je décida d'amener le petit homme vers le bord du navire, non pour le jeter à l'eau mais pour qu'il soulage son estomac. Je n’eus même pas le temps de le poser a terre qu'il tomba dans les pommes. Le voyage s’annonçait bien, la bonne odeur de l'eau, un brouillard épais était partout en face de nous, derrière nous et sur les côtés. Il me tardait d'arriver pour pouvoir retrouver la terre ferme et d'arrêter enfin de tanguer.
Je savais qu'une foie sur terre plein de dangers nous attendraient, mais avec toute cette armée de thuls autour de moi les chances de survivre sont bien plus grande.
-Terre en vue, nous sommes bientôt arrivés.
L'équipage s'activa et nous nous mimes tous au travail pour décharger les baguages. J'allais chercher le reste de l'équipage qui n'était pas prévenu et me tenais au bateau pour ne pas tomber en cas de problème, le voyage avait été court mais passionnant pour moi qui ne montais pas souvent sur des bateaux. Nous accostons rapidement sur terre et je me mis à décharger le peu de chevaux que nous avions.
Une fois tous les nombreuses bagages chargés sur notre petit chariot et nous partions de suite sans attendre, les thuls étaient déjà en position de défense.
-Tu vas bien petit homme? Tu à l'air...... différent.
Le petit homme allait mieux mais n'était pas tout a fait normal, surement à cause du changement de paysage. Je décida de le détacher mais en lui demandant de se tenir à carreau et de ne plus faire de bêtises. Déjà relâché il s'agitait, mais je décida de l'ignorer. Je chercha le loup du regard mais ne le vis pas. Il devait être de l'autre côté du chariot. On était partit depuis le matin et décidâmes de faire une halte pour manger un bon repas avant de partir. Juste avant de manger, nous vîmes deux coureurs énormes un peu plus loin dans ce désert immense, je ne savais pas comment réagir. Pas une journée d'écoulé et déjà deux monstres en vue.

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25.10.12 21:57
Après ma question, tous s'accéléra. Le Petit refusa, j'eu l'envi de l'attrapper et de lui dire ses quatres vérités, lui expliquer que Lobo n'était pas un prédateur. Mais le Petit se mis, grâce à je ne sais quel miracle à se mettre sur ses pieds. Je reculai un peu t'y peu. Sauf que le jeteur de sort n'avait pas le pied marin , même je pense que c'était la première fois qu'il posait les pieds sur le bateau. Rethor passa à l'action, il l'attrapa et l'ammena sur le pont. Pour qu'il vide ses tripes? Surement. Dans un soupir je me redressai, et allait m'assoir dehors.

Le cri de l'homme posté sur la vigie me réveilla. Je gardai les yeux fermés, car c'était inutile de les ouvrir. Noir pou le noir. Je sus que tous l'équipage était en action, préparant leurs débarquement. C'est avec difficulté que je me mis sur mes jambes. Tous mon corps était ankylosé. Combien de temps j'étais restée assise ici? Je ne savais pas... En tous cas, j'avais encore l'esprit embrumé de sommeil. Lentement j'allai rechercher Lobo. Il était toujours au même endroit, et je ne pus dire si il avait bougé. Mais je sentis qu'il était pas bien, le bateau n'était pas pour lui. Je m'accroupis devant lui, passant ma main sur sa peau nue.

-Allez debour mon vieu..

Il ne fit que grogner. Je calai mon sac sur mon épaule et glissai mes bras sous le corps devenu si maigre de mon compagnon. Je sortis de la calle, Lobo dans mes bras, enveloppé dans ma cape. Je savais qu'il ne voulait pas qu'on voye ce qu'il était devenu. J'avais quoi, 40 kilos, 30 kilos dans les bras? Je ne sais, et pis je n'ai jamais été douée pour donner un poids comme sa. En tous cas cela ne me dérangeait pas. Il m'aide bien, alors pourquoi pas moi?

Les hommes avaient décharger les chevaux et le chariot. J'allai mit installer, m'enfermant un peu dans ma bulle. Rethor se trouvait à l'avant, et avait détaché le Petit. Je remis sur le tapis ma demande. Plus calme et moins en colère que sur le bateau.

-Comment te nommes-tu Petit? Et pourquoi tu t'en ai pris à mon loup? Tu sais, je ne suis rien sans lui, j'ai plus de guide...

Je ne voulais pas inspirer sa pitier, mais juste lui faire comprendre.

On avait fait un halte pour manger. J'avais chaud... Alors que j'allai m'alléger de certaines de mes affaires, un cri de stupéfaction attira l'attention.

-Deux coureurs! Enorme.

Je m'avancai aux cotés du marchombre. Attendant sa décision..
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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27.10.12 15:35
ma Sarbacane !
Des cris de l'agitation me poussèrent à ouvrir discrètement les yeux. Les humains ne faisaient plus attention à moi ! Mon plan avait fonctionné ! Maintenant je pourrais fuir ! Je me mis à ramper avec difficulté vers un bords de la coquille.
Un coup de pied me fit rouler jusqu'à l'endroit que je venais de quitter. J'observais l'humain responsable. Celui-ci me dit de rester où j'étais et de ne pas trainer dans leurs pattes.
Puis il parti. tandis que que je grommelait et l'insultait à voix basse. Avec de la chance les humains m'oublieraient et je pourras me délivrer !

Malheureusement l'humain vicieux vint me chercher et me porta hors de oa coquille. Le sol ! enfin ! Ces idiots avaient retrouvé la raison ! En plus ils me délivraient ! oh joie !

J'ignorais superbement l'humain lorsqu'il me demanda commet ça allait. car ça allait mal en fait.. Devant mois il y avait du sable. D'une couleur rare, comme les oiseaux les plus pur n'arrivent pas à atteindre. Comme seul le soleil sait faire. Allons bon.. Qu'est-ce que ces humains avaient encore inventé..? Pourquoi leurs coquilles savaient voyager sur le ciel et pas le soleil ..?
Et puis il n'y avait aucun arbre. Strictement rien que des bosses. Jusqu'au plus loin que portaient mes yeux... Comment pourrais-je mettre mon plan à exécution si je ne pouvais pas rentrer ..? Un vent de panique me submergea tandis qu'un souffle brulant me faisait suer. C'était le signe de ce qui m'attendait. Bientôt tout serait pire.

J'étais assit sagement dans une carrioles d'humain. Mais je n'étais pas sage. je cherchais un moyen de réussir ma mission, malgré ces obstacles énormissimes. La femme morte aux cheveux de feu vint de nouveau vers moi, avec un air plus menaçant. elle voulait que je soigne sa bestiole... J'entrevis la possibilité de récupérer ma sarbacane. Je lui disais que je pouvait guérir avec mon arme. Elle me la rendrait. Et après j'aurais plus qu'à fuir ! Je souris devant la perfectitude de ce plan.

Mais l'humaine s'était éloignée, attirée par les bruit de l'extérieur. Il semblait qu'il y ait des problèmes...
J'entrepris de fouiller la carriole à la recherche de mon arme. Tous ces sac étaient beaucoup trop grand et j'arrivais presque à rentrer dedans !

Pendant que je fouillait dans un sac en toile qui sentait bon la nourriture, des voix me parvinrent. L'humain semblait être à ma recherche ! Il croyait que j'avais disparu... Je pouffais, fier de moi. Qu'ils étaient bête..!

Cependant une main vint encore me prendre, comme si j'étais un fagot ! Je rouspétait pour la forme et vit une nouvelle fois la montagne en face de moi. Il me fallait immédiatement une excuse !


- Je cherchais ma sarbacane ! j'vous jure ! j'en a besoin pour vivre.. Sans elle je risque de mourire ! Il ne faut pas qu'elle soit trop éloignée de moi ! Et puis je voulais soigner le loup pour la dame;, je me suis rendu compte que j'avais mal fait alors je voulais me faire pardonner et puis...

Je débitais tout mon baratin, qui était un peu vrai. pa stotu à fait, mais assez pour que cet idiot sans cervelle me relâche et me rende mon arme. Pendant il me fit sortir de la carriole, et m'amena jusqu'au vicieux.

- Je l'ai trouvé en train de voler notre nourriture !

J'ouvris de grands yeux devant ce mensonges ignoble.

- C'est faux ! je vous jure que...


Je me tu lorsque le vicieux s'approcha de moi, le regard noire. Il était encore en vie d'ailleurs... Ces monstres ne devaient pas être si terrible alors ! Avec e la chance il me proposerait de quoi manger et me rendrait mon arme, vu qu'il m'aimait bien.. Je le voyais dans ses yeux ! Enfin.. Pas pour le moment. Là ... c'était plus mauvais pour moi. J'aurais été à terre et dans ma forêt maison j'aurais détalé à toutes jambes!

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27.10.12 17:43
Je donnais des ordres stratégique a ces thuls prêt a combattre ces deux gros coureurs plus loin dans le désert. Six thuls étaient devant le chariot avec leurs chevaux de combats et deux autres protégez le chariot en cas d'embuscade.
Un gros thul que j'avais posté à l'arrière revint vers moi avec le petit homme dans les bras, qu'avait t-il fait encore?
- Je l'ai trouvé en train de voler notre nourriture !
Je savais que c'était faut, totalement faut, mais il fallait que je reste lucide. Je savais qu'il n'avait pas volé de nourriture mais je savais aussi qu'il avait fait une bêtise. Pour la première foie, je décida de lire en lui. Il n'était pas humain, il était petit. C'était la première que j'en voyais un. Mais il y avais plus important à faire, tuer ces coureurs pour passer sans encombres.
-C'est bon laisse le petit, vas à ton poste et toi reste calme un peu. Vous les thuls, on entour les deux coureurs et on les fait cuir, c'est compris?
On avançait au pas pour tuer et manger les coureurs si ils étaient comestible. Hash restait à l'arrière près à intervenir en cas de problème. Nous étions près des deux coureurs et commencions à les encercler. Nous avions presque fini de les encercler qu'ils foncèrent tous deux en même temps sur le thul le plus éloigné, son cheval cabras et les coureur renversèrent le thul qui était écrasé au sol sous le poids d'un coureur, l'autre fonçait sur le thul le plus proche. Il abattit son hache vers le cou du coureur pendant que les autres thuls fonçaient vers les coureurs pour aider leur camarade, moi j'attendais. Je ne pouvais pas bien intervenir avec tous ce monde en tas. Le thul attaqué rata le cou du coureur et prit un gros coup de patte qui le déséquilibra. Un autre thul tomba mais le reste des thuls debouts (trois) prirent l'avantage et tuèrent un des deux coureurs. Je jeta un couteau vers la gorge du troisième, il était mort sans rien comprendre. Le combat fut terrible, seul un des 3 thuls se releva, les autres n'étaient pas mort mais blessé et ne pouvaient pas bouger à cause de leurs armures. Les chevaux n'avaient rien. Nous nous dirigeâmes vers le chariot avec nos trois blessé et deux d'entre eux avaient besoin de soin le plus vite possible.
-Ces deux thuls ont besoin d'aide vite!
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27.10.12 20:57
Rethor fit son choix. L'attaque. On allait manger du coureur ce soir, cela allait nous permettre de conserver nos réserves. Mais j'avais peur que le sang de notre troupe se mette déjà à couler. Je ne prêtai pas d'attention aux rumeurs crées à cause du Petit. De plus en plus, je me disais que cela était peu être une mauvaise chose de l'avoir amener avec nous. Il doit impérativement se calmer, et jouer moins l'enfant.. Même si ce trait d'insouciance est caractéristique à cette race. Je m'assis sur un rocher, près du chariot me tenant prête à réagir en cas de besoin.
Au loin j’entendais les cris des coureurs, cri aigus. Mais aussi ceux de guerre des Thüls, puis des râles.. Je sus à ce moment là qu'il y avait des morts. On venait à peine d'arriver et déjà des tombes à creuser... Je lever la tête, murmurant une légère litanie que ma famille offrait à mon peuple quand certains quittaient ce monde.

-Ces deux Thüls on besoin d'aide vite!

Je me mis vite sur mes pieds et allaient à la rencontre des "chasseurs", qui étaient regroupés vers un flanc du chariot. Je traversai la foule, ordonnant du voix autoritaire, que j'utilisais quand il y avait des vies en danger:

-De l'air! Poussez vous et laissez moi faire!

Je repoussai quelqu'un, vêtue de cuir. Puis je m'agenouillai au côté d'un corps. Mes pouvoirs se mirent en place. Un bras brisé, avec une entaille profonde à l'autre.. Je mis quelques instants à le soigner. Un râle derrière moi me fit tourner la tête. Je me dépêchai d'aller vers le deuxième. Le sang s'écoulait de trois sillons parallèle ornant son ventre. Je "voyait" son poûl faiblir. Je murmurai alors que de nouveaux mon don se mit en route.

-Ne lâche pas prise...

Et il ne le fit pas. Dans un soupir de soulagement je m'essuyai mon front et m'occupai du troisième. Quelques égratignures.Quand j'eus fini, j'allai vers l'arrière du chariot et retira le sorte de gilet que je portais au-dessus de mon corset en cuir. Et enfin je retournai vers les blessés, avec une bassine d'eau et du tissu. Je leurs mouillais régulièrement le front, ignorant l'odeur de nourriture et les appels de mon estomacs. Combien mourront? Cette question me fit une boule à l'estomac.
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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29.10.12 22:18
Serre les dents Pytipok
Le vicieux en fait ne l'était peut-être pas. Il était aussi doux qu'une bogue ! Dehors les piquants et dedans... du tout doux ! Il me dit de rester sage, ce que je fis avec un grand sourire innocent.
Héhé ! Il allait pouvoir m’être utile dans mon plan.. Contre les montagnes ! et je finirais par lui... Mais avant tout il me fallait ma sarbacane ! Encore et toujours. Et elle était... personne ne sait-où. Je m'assis par terre, les bras croisés, et les sourcils froncés. C'est comme ça que je réfléchis. Je me mets aussi de la mousse dans les oreilles pour pas entendre les autres petits piailler.
En fait je ne restais pas assis longtemps parce que la terre couleur soleil était brulante. Je me relevais d'un bond, m’éventais l'arrière-train, et me mis à courir à l’abri. Un abris. N'importe quoi pourvu que je n'ai pas chaud.
Car il faisait plus que chaud. Jamais je n'avais eu chaud comme ça. Et mes cheveux n'arrangeaient rien.
Une fois mon ombre sauveuse trouvée je me grattais la barbe, incapable de faire quoi que ce soit. Sa gratter la barbe c'est pour montrer qu'on est indécis, mais aussi plein de détermination. Voilà, c'était mon cas.

Mais si je ne trouvais pas d'idée rapidement, j’aurais plus de barbe. Car ça faisait un long moment que j'étais dans cette position qui rendait n'importe quelle petite rouge comme une cerise et chaude comme grenouille volante. Mais il n'y avait pas de petite. Ni même de femmes... Enfin si , il y avait la morte flamboyante, mais elle faisait peur. Et puis .. c'était une humaine. Rien que l'idée me révulsais.. Dommage, peut-être que les humaine savaient...

Un silence me tira de mes pensées. Oui un silence, comme ceux qui annoncent les tempêtes. Comme lorsque tous les oiseaux se taisent d'un coup. Dans ce cas là il faut mieux partir vite en courant.
Et c'est ce que je fis.
Enfin... il fallait partir dans le bon sens. J'avais quatre possibilités de ma cachette (sous une charrette ! le lieu parfait ! A l'ombre, haut de plafond-assez pour que je tienne debout- des petits cailloux blancs pour jouer à la martoitoutseul et même là un petit géranium !). Je pouvais partir devant, derrière à droite où a gauche. Devant voulait dire affronter le danger. J'aime ! Mais... je ne suis pas suicidaire. Derrière signifiait fuir, et je ne suis pas un lâche, bien que cette possibilité soit plus surprenante. Il reste donc droite, la main portant les bagues, la main porte bonheur, celle que je dois protéger. Donc j'ai pris gauche, en sprintant comme si ma vie en dépendait. J'ai senti la chaleur s’abattre sur moi, ma vue s'est brouillée, j'ai cru défaillir mais j'ai tenu bon, et ensuite ça a été l'impact.
Et quel impact..
J'ai beau ne pas être très grand par rapport aux humains, je ne suis pas pour autant un poids plume. Si bien que je me suis retrouvé a califourchon, emmêle comme pas permis dans un draps trop grand. Et mouillé. En fait, je ne savais plus où j'habitais. Je ne voyais rien.
Je bougeais la main et touchais un truc mou. J’entendis une inspiration, comme les humains savent si bien faire. Mauvais signe. J'ai bougé un genou afin de me relever et cette fois-ci le hurlement tant attendu arriva. Je réussis à me contorsionner, à me secouer comme un ver et à coup de genoux, coudes et tête, ainsi que de hurlement, grognements et griffures je réussis à sortir de ma prison. Qui n'était d’autre que la morte rousse.
Et son loup qui ressemblait plus à un ver qu'à autre chose était là, en train de me fixer et à grogner comme un fou. Il faut dire que j'avais mis sa maitresse dans un piteux état et personne ne savait ce que je lui avait fait. Moi non plus en fait... Je n'avais jamais été sous la jupe d'une femme et si j'avais su, j'aurais ouvert plus grand les yeux. Et j'aurais prit des vers luisants afin de pouvoir y voir quelque chose.

Et bien entendu le vicieux était là, comme choqué de ce qui venait de se passer... Et moi il me fallait réagir. M'excuser ?! Ho non ! C'était un accident. Demander si il y avait moyen de recommencer ..? Mmmm... Je passerais pour un vicieux, or ce n'est pas mon rôle, moi je suis le gentil petit innocent. Alors..? Sourire fier de moi ? HHeeuu.. je pense pas, pour une raison de survie.
Ah ! que c'était ennuyant, comment ferais-je alors ? Sortir une excuse bidon ? (salut ça farth ?!) ben.. j'opte pour une autre solution.

- j'ai faim.


Oui, très spirituel... Mais c'était vrai. J'étais en manque de framboise et je craignais ne pas pouvoir avoir ma dose quotidienne.. je serais alors pris de tremblement, je serais incapable de tenir en place et au pire, j'aurais des troubles de la personnalité. Pour finir au suicide.
Joyeuse perspective... Mais peut-être plus envisageable que la situation présente... Allez ! Serre les dents Pytipok !
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14.11.12 17:23
C'était insupportable ! Je ne comprenais absolument pas ce qui pouvait bien se passer dans la tête du petit homme. Même après une victoire serte unpeu dure, mais une victoire quand même, la seule chose qui l'intéressai c'était faire le pitre, il y arrivait à la perfection,mais comme si ce n'était pas suffisant il commençait à regarder sous les robes des dames et après avoir fait une bêtise, il trouvait des excuses à chaque foie l'une plus idiote que l'autre. Je connaissais la solution, l'attacher à un poteau en flamme et danser sur sa tombe comme sur une piste de danse. Pas très diplomate serte, mais irrésistiblement attirant. Bon, ce n'était pas ma jupe et encore moins mes jambes qui y avait caché sous cette robe. Je décidai donc de laisser Hash s'en occuper en toute liberté. Manger ce fut le premier mot qui me vint à l'esprit lorsque j'arrêtai de penser au petit, on allait ce régaler. Les thuls blessés se feraient surement plus de joie à savourer le fruit de leurs blessures. Je décidai donc de proposer aux troupes et au reste du monde de manger, rien n'était encore prêt pour le repas, mais il le serait dans moins d'une heure.
Le repas était prêt et la plupart des thuls étaient aussi excité que lorsque qu'ils partaient pour faire la guerre ou aider une jeune fille en détraisse. Aussitôt les assiettes servies, que les thuls dévorèrent tel des loups du nord affamé depuis des jours dévorant une proie. J'espérais que la nuit serait calme et qu'il n'y aurait pas de problèmes, mais une ou deux sentinelles ne seraient pas de trop, je décidai de prendre le premier tour de garde, mais avant, il fallait faire le campement avant que le nui tombe, car elle risquait d'arriver et vite. Vue le nombre de personne pour le voyage, le campement se fut grand, mais nous éteignons le feu aussitôt coucher pour éviter d'alerter notre position à d'autres créatures surement tout aussi terrifiantes que des coureurs géant.
Mon tour de garde ce fut sans encombres ni problèmes, mais ce que m'inquiétait le plus c'était ce qui se passait avec le petit et ne pouvant agir je me consentrai donc à deux cents pourcent pour ma mission de sentinelle.
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14.11.12 21:18
Au début, je ne réalisai pas que le Petit se trouvai sous ma jupe. Je restai sans bougée, mais quand il se mit en bouger, je ne pus m'en empecher. Instinst ancestrale sans doute.. Mais je criai, alors qu'il se dégageai comme il se pouvait. Quand il fut enfin dehors, je m'appuyai sur le chariot, le fixant, retenant Lobo par le cou. Et je ne le lacherai que si il ne trouvais pas une excuse correcte. Or se ne fus pas le cas... Un colère sans nom m'envahit. Froide, calculée, donc c'est calmement que je murmur à Lobo à l'oreille. Mon loup bondit, et se jeta sur le peit homme. J'entedis son commencement de fuite, mais peine perdu. Lobo le rattrapa le plaquant au sol. C'est là seulement que je me dirigeai vers le Petit. Je m'accroupis à sa hauteur et déclarai froidement:

Bon, maintenant j'en ai marre de tes conneries.

Ni une ni deux, je l'attrapai par un pied, et commencai à le trainer derrière moi. Si il essayait de bouger, mon loup allait le croquer tous cru, donc à ses risques et perils. Je réussi, avec l'aide d'un Thül, à l'accrocher la tête en bas. Je vis avec satisfaction son chapeau tomber sur le sol, je le recuperai et le fis tourner sur mon doigt.

On va se mettre d'accord. Je te laisse attacher là, temps que tu n'as pas rendu les pils à mon loup et fais des excuses potables. Après peu être que je refléchirai à te rendre ton chapeau, et ta sarbacane... Si tu arrête de faire de betises.

Je le laissai planter là. Lobo preferai rester vers le prisonnier, au cas où... C'est avec plaisir que je me joignis aux hommes pour manger, après avoir donné aux blessés encore faibles. Je ris intérierement en entendant les colosses se baffrer, on aurait dit que cela faisait plusieurs jours qu'ils n'avaient pas manger.
C'est le repas fini, les tours de gardes répartie que je retournai voir le Petit.

Alors?
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Pytipokoupotipyk Nianiak
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16.11.12 10:54

personne ne résiste à mon charme


Je me mis à courir. L'homme semblait lui aussi lassé, et ne prendrait pas ma défense. C'était la meilleure option. La fuite, me permettrait de rester en vie.
Seulement le loup me traqua. Il se mit à courir et en quelques enjambées fut sur moi.
Il m'écrasa conter le sol, et mis ses canines juste sous mon visage de façon à me convaincre de faire le mort. Ce que je fis avec grand plaisir. parfois il vaut mieux ne pas contredire les plus forts. Mais ce n'était que partie remise.
La femme vint vers moi, et son teint semblait légèrement plus rose qu'avant. Peut-être était-elle amoureuse..? Oui ! ça devait être ça..personne ne résiste à mon charme ! Malheureusement mon cœur était déjà pris.. Comment allais-je faire pour lui dire sans la blesser ?

-Bon, maintenant j'en ai marre de tes conneries.


*décidément ces humains...*
J'étais surpris, je ne m'attendais pas à une réaction comme celle-là.. Peut-être elle avait senti que je ne lui était pas totalement dévoué. Les affres de la jalousie...
Soudain elle me prit le pied et se mit me trainer à de long en large.
Je n'était pas un vulgaire trophée, surtout que je ne lui appartenait pas! Et puis ça faisait mal ! Elle ne gagnerait jamais mon amour si elle se conduisait comme ça avec moi ! Foi de petit cette femme est complètement barrée ! Jamais je n'épouserais un troddette pareil !
Elle m'attacha la tête en bas, suspendu au dessus du sol. Quelle position inconfortable ! je commençais même à douter de ses sentiments envers moi...

-On va se mettre d'accord. Je te laisse attaché là, temps que tu n'as pas rendu les poils à mon loup et fais des excuses potables. Après peu être que je réfléchirai à te rendre ton chapeau, et ta sarbacane... Si tu arrête de faire de bêtises.


Je vis qu'elle avait mon bandana en main. Je ne pu retenir un gémissement effrayé. Quelle horreur ! Elle me forçait à faire de moi ce qu'elle voulait ! Elle profitait de sa grande taille pour abuser de moi ! c'était vraiment une sale humaine !
Mais je voulais récupérer mes biens. Je voyais que le loup se moquait de moi. Il me regardait nu comme un vers et il pensait être en position de supériorité ?! Carrément pas ! je lui tirait rageusement la langue et il se mit à grogner et s'approcha de moi. Je gigotais mal à l'aise. S'il voulait me manger, personne ne l'en empêcherais...
Je me mis à appeler à laide, en disant que j'étais près à tout, pourvu qu'on me rende ma liberté et mes biens. Personne ne me répondit. Au bout d'une éternité je finis par me taire... J'avais mal à la tête, j'avais l'impression qu'elle allait exploser.
Et si je faisais le mort...
J'avais jamais essayé. Mais les humains penseraient que mon petit corps n'était pas fait pour être suspendu comme une vulgaire abricot ! Et la femme serait tuée car ce serait de sa faute.. Oh ! merveilleuse idée.. Je les ferais s'entre tuer ! Mais.. comment récupèrerais-je ma sarbacane et mon couvre-chef pitoyable ? Je mettrais plus d'une vie avant de tout fouiller et de trouver mes biens...

-Alors?

La voix me fit sursauter. La fausse morte état là, devant moi. Elle était à l'endroit elle ! Pour le moment il me fallait entrer dans leur jeu... et c'était trop tard pour faire le mort.

- d'accord. Tout ce que vous voulez, rendez-moi le sol et mes affaires.


Je finis par retrouver le sol douloureusement. Je restais écrasé par terre, incapable de bouger. Rester si longtemps immobile, m'avais fait perdre l'orientation et j'avais l'impression d'être incapable de me relever. Finalement, au bout d'un moment, je réussis à mettre la tête droite, dans le bon sens. Mais elle était drôlement lourde... J'avais décidément trop de choses dedans.
Lorsque je me suis réhabitué, et que mon sang circulait de nouveau, je remarquais le vicieux. Il était là et me regardait. Que mijotait-il ..?
Mais je devais feinter d’être gentil et soumis, avant de vraiment faire mon travail, sinon j'aurais de très graves problèmes. Alors je restais immobile et attendis.
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