Il faisait chaud, le ciel était bleu et le soleil bien visible dans le ciel. Une journée parfaite pour un bon entrainement d'escalade. Je décida d'escalader la plus haute montagne que je voyais, chose pas bien compliqué vue qu'il n'y avait qu'une seule montagne digne de ce nom et pas si grande que ça. Je commençais a me frotter les mains avec la terre que je ramassé au sol pour éviter de glisser. J’entamais l'escalade de la petite montagne et me mis a crocheter une prise, je fus surpris quand je réalisa que les remparts de la montagne n'étaient pas bien solide, un éboulement pouvait arriver à chaque instants et que les risques étaient bien plus grands qu'on pouvait le croire à première vue. J’enchainais les prises rapidement et montais vite au bout de 5 minutes j'avais fait plus de la moitié du chemin sans le moindre effort. J'étais satisfé et je décida d'admirer la vue, je surplombais les arbres, les lacs, les rivières et les petits villages. Les champs brillaient a cette période de l'année, c'était magnifique. -Monsieur Urlan!!! Attendez s'il-vous-plait, j'ai un message de la part de l’empereur. C'était lui qui me suivait depuis le début de la journée (un messager), je savais que j'étais suivi mais j'avais préféré l'ignorer. Je décida donc de descendre de la montagne, et la descente fut bien plus rapide que la montée... -Qui a t-il? Demande-ai-je. -Je suis un message de l'empereur il vous demande de vous occuper d'une expédition dans le désert Ourou, il veut que vous alliez dans la ville de pèche la plus proche de la mer des Brumes votre bateau de voyage ce nomme le "Moréa", bien sûr vous n’êtes pas obliger d'accepter... -C'est d'acore j'y serais le plus tôt possible... Je me dirigeais vers la mer des Brumes sur mon cheval que j'avais acheter il n'y avait pas si longtemps que ça et me dépêchais pour arriver au rendez-vous le plus tôt possible. Je n'étais encore jamais aller dans le desert Ourou mais je savais, (grâce aux histoires que j'avais entendu) que ce n'était pas un lieu festif, loin de là. Je galopais nuit et jour le plus vite possible. Une foie au village de pêche je vis dessuite la brume. J'étais arrivé à l'endroit où avait lieu le rendez-vous. Nous n'étions pas nombreux, j'étais seul avec une équipe de thuls (surement pour assurer notre protection), un marin, les autres n'étez pas encore arrivé. Il ne manquait plus que le reste de l'équipage et nous partions
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20.10.12 10:54
Je marchais tranquillement au bord de la route, laissant un léger nuage de poussière derrière moi. Cela faisit un moment qu'un n'avait pas plu. La terre était dure sous mes pas. Mais je sentais que cela n'allait pas tarder. Lobo trotinait à mes côtés, éternuant parfois. Je me dirigeai depuis maintenant plusieur jour vers le port, sur l'ordre d'un de mes haut gradés de Fériane. Je devais de nouveau accompagner une expédition. Et cette fois ci c'était pour le désert d'Ourou. Cela promettait. J'espérai que cela n'allait pas tourner comme la dernière fois lors de ma précédente expédition vers All-Pol. J'arrivai enfin au village pêcheur qui bordait la Mer de Brumes. L'air était emplie de l'odeur salée de la mer, et l'odeur désagréable du poisson me fit froncer le nez. Même avec ma famille je n'étais pas allée souvent dans village en bord de mer comme celui-ci.. Et d'un côté je compris. J'avais l'impression que l'odeur imprégné mes vêtements alors que cela faisait à peine quelques minutes que j'étais rentrée dans la ville. Je sentis des regards sur moi. La présence de mon loup, ainsi que je pense, ma cape recouvrant tous mon corps ainsi que la capuche qui recouvrait mon regard ne me faisait pas passée inapercue. Je n'y prettai pas attention. Un groupe d'homme discutaient sur ma droite, je m'approchais. La conversation se tu quand ils me virent.
Excusez moi, mais où est "Moréa"?
-Toujours tous droit ma p'tite dame, vous pourrez pas le rater.
Merci monsieur
Je repris ma route, claquant de la langue en sentant que Lobo n'avait pas suivi le mouvement. Plus je me rapprochais du port, plus les cri emplirent l'air. De nombreuses fois c'est mon guide qui m'empecha de me prendre les choses que les hommes lancaient sur le sol. Je trouvis enfin le bateau, après avoir plusieurs fois demander ma route. Un groupe s'était formé vers le bateau. Mais celle-ci me laissa peu à peu passer suite à mes pardons répétés et mon apparence surment. Quelqu'un se tenait au centre de la foule. Assurance fut le premier mot qui me vint. Mais aussi marchombre. Je souris sous ma cape et demanda.
-Où se trouve Rethor Urlan?
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20.10.12 14:28
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20.10.12 19:15
Il était tard mais je n'étais pas fatigué, j'attendais en plein milieu de ce groupe de thuls et de quelques matelots entrain de boire des litres de bière et de parler fort entre eux comme si chacun voulait couvrir le bruit que faisait l'autre en parlant. J'en finissais par avoir mal à la tête jusqu'au moment inespéré où une jeune femme magnifique avec les yeux bleus de la couleur du lac Chen et les cheveux aussi roux que les champs de blés au soleil du soir. Si j'avais une quelconque attirance pour les femmes je suis sûr que j'aurais de suite était fou amoureux d'elle mais sachant que je ne pouvais pas tomber amoureux je me mis à repenser à toutes les filles que j'avais abordées dans mon enfance pour découvrir un sentiment quelconque. Mais pourtant je ne pouvais pas enlever mon regard de ses yeux bleus étincelant. Puis j'entendis son loup grogner et je me mis à sourire faiblement. Est ai-je amoureux, non je ne pense pas.... Mais j’espérai tout au fond de moi... -Pardon, pardon. Où se trouve Rethor Urlan? Elle était juste devant moi et me posa cette question. J'inclinais la tête (une façon de saluer bien à moi) -Je suis Rethor Urlan, je suis enchanté de vous rencontrer, je crois que c'est vous la rêveuse chargée de nous aider. Je savais que c'était elle, mais je savais également que de dire bonjour sans poser la question qui était-elle aurait été idiot. Pensant que c'était tout et que plus personne n'allait venir quelques matelots se mirent a préparer le navire. - Le sort du poilu tondu ! Je ne savais pas ce qui se passé, mais je me mis en garde. Le loup ne ressemblez plus à un loup mais à un cochon anorexique tout rose. Puis plein de phrases dénuées de sens foncèrent vers, oui elles fonçèrent, j'en recevais une en plein cœur, aucun moyen de l'éviter, je me vis danser mais grâce à un chant marchombre je m’arrêta net de danser. Un thul énorme se mit a crier sur ce petit homme qui nous jetait des sorts. -On va te faire cuire, dit un thul énervé. Je posa ma main droite sur l'épaule gauche du thul, je pressa et le thul posa un genou a terre sous la pression de main et de son épaule écrasé. -Calmez-vous, dis-je au thul, qui êtes-vous petit homme que nous voulez-vous et pour quoi nous faites vous ça? Je savais qu'on attendais un homme étrange mais je ne savais pas du tout a quoi il ressemblé, est-ce lui? Je le regardais droit dans les yeux en attendant sa réponse, si il ne répondait pas, je n'aurais aucune idée comment réagir mais en cas de problème j'étais près a me défendre. Le thul que j'avais blessé a l’épaule se relava et partit humilié(chose rare pour un thul). Les camarades thuls fixaient le petit face a moi et moi évidement mais surtout le loup sauvage qui mourrait d'envie de dévorer ce petit homme.
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21.10.12 20:34
L'homme me répondit, d'une voix douce, mais je devinais qu'il avait l'habitude de ne pas se laisser marcher sur les pieds, et qu'il poussait surement un peu d'autorité. J'étais curieuse de savoir à quoi il ressemblait, parfois je regrettai de ne rien voir.
-Oui c'est bien moi. Je suis toute aussi ravie.
Je froncai imperceptivement des sourcils. Qu'avait Lobo? Je posai ma main sur sa fourrure pour le calmer, alors que la foule autour de moi se mettait en mouvement. Soudain un cri, une incantation retentit. Et sous mes doigts la fourrure si douce de mon loup tomba. Je n'eu pas le temps de demnader, ou hurler qui avait fais sa, que d'autres cris fusèrerent. Je me recroquevilla sur le sol, retenant en même temps Lobo qui voulait beaucoup dévoré l'imprudent qui lui avait fait ceci. Et il n'était pas le seul. J'avais horreur que quelqu'un fasse du mal à mon loup, le seul à qui je faisai totalement confiance. Un corps tomba sur le sol, suivit d'un cri de colère. Tous voulait punir celui qui avait semé la pagaille. Rethor décida qu'on verra son cas sur le bateau. Lentement je me redressai et suivi les autres dans le bateau. Les matelots attachèrent le Petit, d'après ce que j'avais appris dans un coin, en attendant qu'il revienne à lui.
Pendant ce temps j'ai laissé mon loup dans la soute, recouvert de ma cape pour qu'il n'attrape pas froid et je retournai à l'extérieur. On avait largué les amarres. Je le sentais aux roulis des vagues, au vent marin qui commencai à se lever. Cette traversée allait être une expérience nouvelle, car je peinai légèrement à consrver mon équilibre. Je m'accouda au bastinage laissant mes pensées dérivées. Et je n'y sorti que quand j'entendis que le Petit était réveillé. J'entrai dans la salle où se dirigeaient plusieurs personnes. Sans trop me poser de question j'allai me poster le plus proche possible du "prisonnier". Un Thül, prit la parole le premier, menacant le Petit; Mais c'est grâce à Rethor qu'il n'eu rien. Un aura d'autorité émana un moment de lui, alors qui ordonna au géant de ne rien faire, puis posa une question au Petit.
-Calmez-vous, dit-il au Thül. Qui êtes-vous petit homme que nous voulez-vous et pour quoi nous faites vous ça?
Je m'accroupis, devinant là où se tenait le Petit par le battement désordonné de son coeur. Puis d'une voix douce et respectueuse, mais empreinte d'une colère froide, je lui dis.
Et surtout, pour ma part, pouvez-vous briser le tour que tu as jouer à mon loup humble Petit?
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21.10.12 21:39
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24.10.12 14:16
Le temps passait lentement, mais le petit homme (heureusement) faisait passer le temps un peu plus vite. Attaché aux liens qui le tenaient bloqué, je voyais qu'il avait le mal de mer à crier toutes ces phrases une nouvelle fois sans rapport avec ma question, il était fou. Je décida d'amener le petit homme vers le bord du navire, non pour le jeter à l'eau mais pour qu'il soulage son estomac. Je n’eus même pas le temps de le poser a terre qu'il tomba dans les pommes. Le voyage s’annonçait bien, la bonne odeur de l'eau, un brouillard épais était partout en face de nous, derrière nous et sur les côtés. Il me tardait d'arriver pour pouvoir retrouver la terre ferme et d'arrêter enfin de tanguer. Je savais qu'une foie sur terre plein de dangers nous attendraient, mais avec toute cette armée de thuls autour de moi les chances de survivre sont bien plus grande. -Terre en vue, nous sommes bientôt arrivés. L'équipage s'activa et nous nous mimes tous au travail pour décharger les baguages. J'allais chercher le reste de l'équipage qui n'était pas prévenu et me tenais au bateau pour ne pas tomber en cas de problème, le voyage avait été court mais passionnant pour moi qui ne montais pas souvent sur des bateaux. Nous accostons rapidement sur terre et je me mis à décharger le peu de chevaux que nous avions. Une fois tous les nombreuses bagages chargés sur notre petit chariot et nous partions de suite sans attendre, les thuls étaient déjà en position de défense. -Tu vas bien petit homme? Tu à l'air...... différent. Le petit homme allait mieux mais n'était pas tout a fait normal, surement à cause du changement de paysage. Je décida de le détacher mais en lui demandant de se tenir à carreau et de ne plus faire de bêtises. Déjà relâché il s'agitait, mais je décida de l'ignorer. Je chercha le loup du regard mais ne le vis pas. Il devait être de l'autre côté du chariot. On était partit depuis le matin et décidâmes de faire une halte pour manger un bon repas avant de partir. Juste avant de manger, nous vîmes deux coureurs énormes un peu plus loin dans ce désert immense, je ne savais pas comment réagir. Pas une journée d'écoulé et déjà deux monstres en vue.
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25.10.12 21:57
Après ma question, tous s'accéléra. Le Petit refusa, j'eu l'envi de l'attrapper et de lui dire ses quatres vérités, lui expliquer que Lobo n'était pas un prédateur. Mais le Petit se mis, grâce à je ne sais quel miracle à se mettre sur ses pieds. Je reculai un peu t'y peu. Sauf que le jeteur de sort n'avait pas le pied marin , même je pense que c'était la première fois qu'il posait les pieds sur le bateau. Rethor passa à l'action, il l'attrapa et l'ammena sur le pont. Pour qu'il vide ses tripes? Surement. Dans un soupir je me redressai, et allait m'assoir dehors.
Le cri de l'homme posté sur la vigie me réveilla. Je gardai les yeux fermés, car c'était inutile de les ouvrir. Noir pou le noir. Je sus que tous l'équipage était en action, préparant leurs débarquement. C'est avec difficulté que je me mis sur mes jambes. Tous mon corps était ankylosé. Combien de temps j'étais restée assise ici? Je ne savais pas... En tous cas, j'avais encore l'esprit embrumé de sommeil. Lentement j'allai rechercher Lobo. Il était toujours au même endroit, et je ne pus dire si il avait bougé. Mais je sentis qu'il était pas bien, le bateau n'était pas pour lui. Je m'accroupis devant lui, passant ma main sur sa peau nue.
-Allez debour mon vieu..
Il ne fit que grogner. Je calai mon sac sur mon épaule et glissai mes bras sous le corps devenu si maigre de mon compagnon. Je sortis de la calle, Lobo dans mes bras, enveloppé dans ma cape. Je savais qu'il ne voulait pas qu'on voye ce qu'il était devenu. J'avais quoi, 40 kilos, 30 kilos dans les bras? Je ne sais, et pis je n'ai jamais été douée pour donner un poids comme sa. En tous cas cela ne me dérangeait pas. Il m'aide bien, alors pourquoi pas moi?
Les hommes avaient décharger les chevaux et le chariot. J'allai mit installer, m'enfermant un peu dans ma bulle. Rethor se trouvait à l'avant, et avait détaché le Petit. Je remis sur le tapis ma demande. Plus calme et moins en colère que sur le bateau.
-Comment te nommes-tu Petit? Et pourquoi tu t'en ai pris à mon loup? Tu sais, je ne suis rien sans lui, j'ai plus de guide...
Je ne voulais pas inspirer sa pitier, mais juste lui faire comprendre.
On avait fait un halte pour manger. J'avais chaud... Alors que j'allai m'alléger de certaines de mes affaires, un cri de stupéfaction attira l'attention.
-Deux coureurs! Enorme.
Je m'avancai aux cotés du marchombre. Attendant sa décision..
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27.10.12 15:35
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27.10.12 17:43
Je donnais des ordres stratégique a ces thuls prêt a combattre ces deux gros coureurs plus loin dans le désert. Six thuls étaient devant le chariot avec leurs chevaux de combats et deux autres protégez le chariot en cas d'embuscade. Un gros thul que j'avais posté à l'arrière revint vers moi avec le petit homme dans les bras, qu'avait t-il fait encore? - Je l'ai trouvé en train de voler notre nourriture ! Je savais que c'était faut, totalement faut, mais il fallait que je reste lucide. Je savais qu'il n'avait pas volé de nourriture mais je savais aussi qu'il avait fait une bêtise. Pour la première foie, je décida de lire en lui. Il n'était pas humain, il était petit. C'était la première que j'en voyais un. Mais il y avais plus important à faire, tuer ces coureurs pour passer sans encombres. -C'est bon laisse le petit, vas à ton poste et toi reste calme un peu. Vous les thuls, on entour les deux coureurs et on les fait cuir, c'est compris? On avançait au pas pour tuer et manger les coureurs si ils étaient comestible. Hash restait à l'arrière près à intervenir en cas de problème. Nous étions près des deux coureurs et commencions à les encercler. Nous avions presque fini de les encercler qu'ils foncèrent tous deux en même temps sur le thul le plus éloigné, son cheval cabras et les coureur renversèrent le thul qui était écrasé au sol sous le poids d'un coureur, l'autre fonçait sur le thul le plus proche. Il abattit son hache vers le cou du coureur pendant que les autres thuls fonçaient vers les coureurs pour aider leur camarade, moi j'attendais. Je ne pouvais pas bien intervenir avec tous ce monde en tas. Le thul attaqué rata le cou du coureur et prit un gros coup de patte qui le déséquilibra. Un autre thul tomba mais le reste des thuls debouts (trois) prirent l'avantage et tuèrent un des deux coureurs. Je jeta un couteau vers la gorge du troisième, il était mort sans rien comprendre. Le combat fut terrible, seul un des 3 thuls se releva, les autres n'étaient pas mort mais blessé et ne pouvaient pas bouger à cause de leurs armures. Les chevaux n'avaient rien. Nous nous dirigeâmes vers le chariot avec nos trois blessé et deux d'entre eux avaient besoin de soin le plus vite possible. -Ces deux thuls ont besoin d'aide vite!
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27.10.12 20:57
Rethor fit son choix. L'attaque. On allait manger du coureur ce soir, cela allait nous permettre de conserver nos réserves. Mais j'avais peur que le sang de notre troupe se mette déjà à couler. Je ne prêtai pas d'attention aux rumeurs crées à cause du Petit. De plus en plus, je me disais que cela était peu être une mauvaise chose de l'avoir amener avec nous. Il doit impérativement se calmer, et jouer moins l'enfant.. Même si ce trait d'insouciance est caractéristique à cette race. Je m'assis sur un rocher, près du chariot me tenant prête à réagir en cas de besoin. Au loin j’entendais les cris des coureurs, cri aigus. Mais aussi ceux de guerre des Thüls, puis des râles.. Je sus à ce moment là qu'il y avait des morts. On venait à peine d'arriver et déjà des tombes à creuser... Je lever la tête, murmurant une légère litanie que ma famille offrait à mon peuple quand certains quittaient ce monde.
-Ces deux Thüls on besoin d'aide vite!
Je me mis vite sur mes pieds et allaient à la rencontre des "chasseurs", qui étaient regroupés vers un flanc du chariot. Je traversai la foule, ordonnant du voix autoritaire, que j'utilisais quand il y avait des vies en danger:
-De l'air! Poussez vous et laissez moi faire!
Je repoussai quelqu'un, vêtue de cuir. Puis je m'agenouillai au côté d'un corps. Mes pouvoirs se mirent en place. Un bras brisé, avec une entaille profonde à l'autre.. Je mis quelques instants à le soigner. Un râle derrière moi me fit tourner la tête. Je me dépêchai d'aller vers le deuxième. Le sang s'écoulait de trois sillons parallèle ornant son ventre. Je "voyait" son poûl faiblir. Je murmurai alors que de nouveaux mon don se mit en route.
-Ne lâche pas prise...
Et il ne le fit pas. Dans un soupir de soulagement je m'essuyai mon front et m'occupai du troisième. Quelques égratignures.Quand j'eus fini, j'allai vers l'arrière du chariot et retira le sorte de gilet que je portais au-dessus de mon corset en cuir. Et enfin je retournai vers les blessés, avec une bassine d'eau et du tissu. Je leurs mouillais régulièrement le front, ignorant l'odeur de nourriture et les appels de mon estomacs. Combien mourront? Cette question me fit une boule à l'estomac.
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29.10.12 22:18
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14.11.12 17:23
C'était insupportable ! Je ne comprenais absolument pas ce qui pouvait bien se passer dans la tête du petit homme. Même après une victoire serte unpeu dure, mais une victoire quand même, la seule chose qui l'intéressai c'était faire le pitre, il y arrivait à la perfection,mais comme si ce n'était pas suffisant il commençait à regarder sous les robes des dames et après avoir fait une bêtise, il trouvait des excuses à chaque foie l'une plus idiote que l'autre. Je connaissais la solution, l'attacher à un poteau en flamme et danser sur sa tombe comme sur une piste de danse. Pas très diplomate serte, mais irrésistiblement attirant. Bon, ce n'était pas ma jupe et encore moins mes jambes qui y avait caché sous cette robe. Je décidai donc de laisser Hash s'en occuper en toute liberté. Manger ce fut le premier mot qui me vint à l'esprit lorsque j'arrêtai de penser au petit, on allait ce régaler. Les thuls blessés se feraient surement plus de joie à savourer le fruit de leurs blessures. Je décidai donc de proposer aux troupes et au reste du monde de manger, rien n'était encore prêt pour le repas, mais il le serait dans moins d'une heure. Le repas était prêt et la plupart des thuls étaient aussi excité que lorsque qu'ils partaient pour faire la guerre ou aider une jeune fille en détraisse. Aussitôt les assiettes servies, que les thuls dévorèrent tel des loups du nord affamé depuis des jours dévorant une proie. J'espérais que la nuit serait calme et qu'il n'y aurait pas de problèmes, mais une ou deux sentinelles ne seraient pas de trop, je décidai de prendre le premier tour de garde, mais avant, il fallait faire le campement avant que le nui tombe, car elle risquait d'arriver et vite. Vue le nombre de personne pour le voyage, le campement se fut grand, mais nous éteignons le feu aussitôt coucher pour éviter d'alerter notre position à d'autres créatures surement tout aussi terrifiantes que des coureurs géant. Mon tour de garde ce fut sans encombres ni problèmes, mais ce que m'inquiétait le plus c'était ce qui se passait avec le petit et ne pouvant agir je me consentrai donc à deux cents pourcent pour ma mission de sentinelle.
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14.11.12 21:18
Au début, je ne réalisai pas que le Petit se trouvai sous ma jupe. Je restai sans bougée, mais quand il se mit en bouger, je ne pus m'en empecher. Instinst ancestrale sans doute.. Mais je criai, alors qu'il se dégageai comme il se pouvait. Quand il fut enfin dehors, je m'appuyai sur le chariot, le fixant, retenant Lobo par le cou. Et je ne le lacherai que si il ne trouvais pas une excuse correcte. Or se ne fus pas le cas... Un colère sans nom m'envahit. Froide, calculée, donc c'est calmement que je murmur à Lobo à l'oreille. Mon loup bondit, et se jeta sur le peit homme. J'entedis son commencement de fuite, mais peine perdu. Lobo le rattrapa le plaquant au sol. C'est là seulement que je me dirigeai vers le Petit. Je m'accroupis à sa hauteur et déclarai froidement:
Bon, maintenant j'en ai marre de tes conneries.
Ni une ni deux, je l'attrapai par un pied, et commencai à le trainer derrière moi. Si il essayait de bouger, mon loup allait le croquer tous cru, donc à ses risques et perils. Je réussi, avec l'aide d'un Thül, à l'accrocher la tête en bas. Je vis avec satisfaction son chapeau tomber sur le sol, je le recuperai et le fis tourner sur mon doigt.
On va se mettre d'accord. Je te laisse attacher là, temps que tu n'as pas rendu les pils à mon loup et fais des excuses potables. Après peu être que je refléchirai à te rendre ton chapeau, et ta sarbacane... Si tu arrête de faire de betises.
Je le laissai planter là. Lobo preferai rester vers le prisonnier, au cas où... C'est avec plaisir que je me joignis aux hommes pour manger, après avoir donné aux blessés encore faibles. Je ris intérierement en entendant les colosses se baffrer, on aurait dit que cela faisait plusieurs jours qu'ils n'avaient pas manger. C'est le repas fini, les tours de gardes répartie que je retournai voir le Petit.