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Au milieu des ruelles sombres (suite...)
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26.09.08 3:43
Le chuintement familier de lames dans leur fourreau amena Abigaëlle à s’immobiliser, jetant un regard par-dessus son épaule elle reconnut la silhouette dégingandée de l’homme qu’elle avait croisé à peine quelques secondes plus tôt. S’il n’avait pas jugé bon de l’attaquer, il ne semblait pas pour autant en mal de victimes à détrousser. Son choix l’étonnait d’ailleurs quelque peu, la garde de la femme qui lui faisait face était assurée et sa posture laissait deviner une certaine agilité. La pirate n’aurait pas été surprise d’apprendre que cette femme était une marchombre ou une mercenaire du chaos. Tandis, qu’ils se jaugeaient Abigaëlle se retourna totalement vers eux, sa blessure à la jambe et l’absence de sabre dans le fourreau qui pendait à sa ceinture n’était certainement pas des avantages si elle se décidait à intervenir dans le combat pour aider la jeune femme, mais quelque chose lui disait qu’elle n’en aurait certainement pas besoin. Néanmoins, à travers la pluie on pouvait deviner que son regard était devenu dur et attentif
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27.09.08 16:43
( comme ya marqué suite, je sais aps trop si je peux iintervenir ou si des gens sont deja dans le RP, viré mon post si besoin )

Abigaelle ? chuchota la jeune marchombre, la pirate tresaillit en se retournant.
Elfy n'avait pas revu Abigaelle depuis des mois et des mois. Depuis leur escapade en bateau sur la mer des brumes.
Elle avait senti et vu qu'un combat se preparait, elle s'était approché et avait eu un moment d'hesitation en voyant Abigaelle blessé et sans son sabre entrain d'observer la scene.
Elle se mit à son niveau l'interrogeant du regard.
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28.09.08 9:52
[A la base c'est parce qu'on avait commencé un post mais il a été effacé x) Mais pour moi tu peux rester, si Abigaëlle est d'accord =)]

L'assassin découvrit une bouche édentée tandis qu'un sourire malsain fendait son visage. Il fit quelques pas en avant et attaqua avec son poignard à une vitesse étonnante pour un homme qui semblait en si mauvais état.
La marchombre, aussi insaisissable qu'un courant d'air, évita le coup en avançant à son tour et en se plaquant contre son ennemi qui ne réagi pas instantanément à cause de sa surprise. Fiona balança de toutes ses forces son genou dans la partie la plus sensible de l'anatomie de l'assassin tandis que sa dague s'enfonçait de quelques centimètres dans l'épaule de l'homme.
La jeune femme recula de quelques pas tandis que son adversaire chutait, puis nettoya son arme et la rangea soigneusement. Avec un dernier regard de dédain pour l'homme, elle continua sa route.
Mais apparemment, la silhouette qu'elle avait aperçue plus tôt s'était arrêtée. Et une deuxième présence était apparue...
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28.09.08 18:16
(Bien sûr que oui, voyons, tu peux rester. ça me dérange pas une seconde...)


Abigaëlle avait sursauté en entendant son nom et avait écarquillé les yeux en reconnaissant Elfyra. Avant, qu’elle n’ait le temps d’ouvrir la bouche un bruit sourd lui fit vivement tourner la tête. Elle vit le corps désarticulé de l’escogriffe qui gisait sur les pavés, son sang rejoignit les flaques d’eau, tandis que la pirate observait la silhouette dilué par la pluie battante en fronçant les sourcils. Elle baissa les yeux et se détourna pour aller s’appuyer contre un mur de pierres froides, n’y tenant plus elle se laissa glisser pour se retrouver assise. Elle ferma les yeux, la douleur de sa jambe était devenue plus insoutenable, elle soupira amèrement. Son regard se braqua sur Elfyra et un sourire sans joie se peignit sur son visage.
-Ça faisait longtemps qu’on s’était pas vues n’est-ce pas Elfy? dit-elle d’une voix peu amène. Elle jeta un coup d’œil à la dérobée en direction de la jeune femme qui venait de liquider la crapule. Elle semblait vouloir approcher.
Quel bon vent t’amène? poursuivit-elle à l’intention de d’Elfyra.
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28.09.08 19:51
Fiona continua de marcher dans la ruelle, comme si rien ne l'avait interrompue dans ses pensées, et elle parvint rapidement à la hauteur des deux silhouettes. L'une d'elles était assise. L'autre lui était étrangement familière. Et lorsqu'elle passa devant les deux femmes, un rayon de Lune éclaira le visage de la jeune fille qu'elle connaissait bien.

Elfyra! s'écria la marchombre.

Son élève avait été très libre ces derniers temps, allant où elle voulait pour parfaire son apprentissage avant l'épreuve du Rentaï, aussi, Fiona ne s'était-elle pas attendue à la voir dans une ruelle d'Al-Jeit, au beau milieu de la nuit.
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29.09.08 21:26
Elfy ne l'ecoutait plus, voyant son amie s'ecrouler sur le sol elle se preciputa vers elle, la pluie battante n'arrangeant rien elle sortie à la hate une ongue de son sac qu'elle portait en bandouliere ainsi que quelques feuilles recueillit chez une herboriste. Elle repartie l'ongue sur la blessure ce qui la desinfecta et se hata de faire un bandage autoure, maintenant els feuilles de sorbier coincée entre le bandage et l'ongue. Une voix tres familiere la fit sursauter, elle se maudit de ne aps avoir entendu els aps approchés mais comprit pourquoi en decouvrant son maitre.

Oh ! s'exclama t-elle ahurie.
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10.10.08 15:49
Abigaëlle fixa avec étonnement Elfyra lui installer un bandage improvisée, un certain sentiment de contrariété l’étreignit, orgueilleuse, elle n’aimait pas spécialement qu’on ait pitié d’elle et qu’on lui vienne en aide. Après tout, elle était bien capable de s’occuper d’elle-même. Mais sa reconnaissance l’emporta et elle esquissa un sourire à l’adresse d’Elfyra. Pour la forme, elle inspecta le bandage déjà elle sentait l’onguent faire son effet, diffusant une douce chaleur sur la blessure et l’odeur saine d’herbes acheva de la soulager. Elle se cala contre le mur un peu plus détendue mais la mine toujours austère assista avec curiosité aux retrouvailles des deux marchombres.
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10.10.08 20:22
Fiona sourit à son élève qui avait l'air aussi étonnée qu'elle-même puis salua la jeune femme assise par terre, appuyée contre le mur avant de se retourner vers Elfyra qui la regardait toujours.

J'avoue que je ne m'attendais pas à te voir ici. Tu n'as guère donné de nouvelles, comme je l'attendais, mais maintenant que je te vois, j'en prends: comment se passe ton apprentissage solitaire, chère élève?
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10.10.08 22:47
Mm... On va dire qu'il est tres enrichissant ! *grand sourire*
Mais justemment, je revenais à Al-Jet pour vous retrouver...

Elle inspecta rapidement l'état d'abigaelle voir si longue faisait effet. Elel sourit interieurement, elle savait tres birn que la jeune pirate n'aimait pas qu'on s'occupe d'elle.

Et vous, que fait vous ici ? demanda t-elel se retournant vers Fiona.
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12.10.08 15:26
La réponse de son élève fut agrémentée d'un énorme sourire.

Mmmh... On va dire qu'il est très enrichissant! Mais justement, je revenais à Al-Jeit pour vous retrouver... Et vous, que faites-vous ici?


Fiona sourit à son tour puis répondit à la question de sa jeune apprentie de manière mystérieuse, comme à son habitude envers Elfyra.


J'ai suivi la trace des rayons de la Lune et, à mon grand contentement, ceux-ci m'ont amenée jusqu'à la magnifique cité qu'est notre capitale...


Elle n'ajouta rien de plus et se tourna plutôt vers la jeune femme assise à terre, qui dégageait une aura que la marchombre n'ignora pas. C'était une combattante, et non des moindres, c'était certain.


Habituellement, les présentations se font dans d'autres circonstances - la nuit, cette ruelle mal famée - mais je m'annonce tout de même: je suis Fiona, et je me réjouis de cette rencontre.
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18.10.08 6:21
Abigaëlle ne put retenir un sourire amusé devant la réponse si typiquement marchombre de Fiona à Elfyra. Les marchombres…en connaître un c’était les connaître tous. Même si au fond personne ne pouvait prétendre les connaître vraiment. Ainsi donc, Elfyra était une élève, cela la surprenait quelque peu, son intérêt pour l’inconnue n’en était que rehaussé puisque vraisemblablement c’était son mentor. Lorsque celle-ci se présenta la jeune femme se força à se redresser, le mouvement fut malheureusement un peu brusque et une grimace de douleur apparut sur ses traits, mais elle parvint à l’étirer en un maigre sourire tout en disant :
C’est le moins qu’on puisse dire…,fit-elle je me nommes Abigaëlle Miram et je m'avoues aussi ravie de faire votre connaisance
Elle marqua une hésitation est-ce que cette femme savait qu’elle était une pirate aline, est-ce que Elfyra l’en avait informé d’une quelconque manière? Après tout elle était seule et mal en point dans la capitale alavirienne, elle avait toutes les raisons d’être prudente. Pourtant, elle n’opta pas pour la méfiance immédiate puisqu’elle était désireuse de trouver un endroit pour recouvrer des forces et songer à l’avenir.
-Que diriez-vous de finir cette discussion dans un endroit plus adapté si vous trouvez que les ruelles mal-famées ne sont pas l'idéal? suggéra-elle en tournant le regard vers Elfy.
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24.10.08 19:59
Deux secondes plus tard Elfy avait disparue. Elle revient 5 minutes apres :
Suivez le guide.

Les 3 filles se dirigerent vers une auberge non loin d'ici se nommant "La belle étoile". Un peu ostantatoire mais confortable n'ayant pas des table rongés par els mittes.
Elle s'assirent dans un coin de la piece pres du foyer de maneire à ne aps quitter la porte des yeux.
L'aubergiste arriva à aps lourd, prenant leurs commandes, elle s'en retourna non sans jetter quelques regards soupsonneux à l'egard de 'letrange trio.
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01.11.08 11:12
Fiona se sentait très à l'aise dans cette auberge qui, malgré l'aspect légèrement glauque, se trouvait en fait être très confortable et parfaite point de vue discrétion.
L'aubergiste prit leur commande et repartit en leur lançant un drôle de regard.
La marchombre observait les lieux d'un air très tranquille, tout en restant calculatrice car le tenancier ne lui revenait pas, sensation renforcée lorsqu'il amena leur boissons avec un air mauvais.
Fiona le suivit des yeux jusqu'à derrière son bar tandis qu'il remplissait quelques chopes de bière pour d'autres clients
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07.11.08 21:29
Abigaëlle, même si c'était elle qui avait proposé l’idée de séjourner dans une auberge, éprouvait un certain malaise; ses mains tremblaient imperceptiblement, elle gardait les yeux rivés sur la table et s’efforçait de contrôler le rythme de sa respiration. De plus, ses entrailles étaient vrillées par la nervosité et son esprit s’embrouillait dans des pensées inutilement pessimistes. Sans doute, le résultat d’un contrecoup des événements survenus plus tôt ou encore le paradoxe des souvenirs ravivés par l’atmosphère si familière et conviviale d’une auberge avec le synonyme de danger que représentait sa présence dans cet endroit peuplé d’alaviriens. En effet, il lui paraissait soudain que son long manteau au style ¨aline¨ était un peu trop voyant et évident. Elle en regrettait l’ambiance sinistre et solitaire de la rue ainsi que le contact froid de la pluie. Lorsque son pichet de rhum apparut devant elle, la pirate reprit contact avec la réalité, leva les yeux vers ses deux compagnes et suivit le regard de Fiona en direction du tenancier antipathique. Un éclat perçant revint habiter ses prunelles, tandis qu’elle fronçait les sourcils.
Elle se cala contre le dossier de sa chaise en adoptant une posture plus détendue. Elle se résolut à se dire que l’abattement ne lui servirait à rien sinon qu’à empirer les choses.
Poussée par sa curiosité habituelle, mais aussi par une méfiance de circonstance elle demanda à brûle pourpoint tout en gardant un ton bas:
¨
Est-ce que les marchombres ont une alégeance envers l'empereur de Gwendalavir? Je me le demandais puisque...vous ne semblez pas toujours intervenir en sa faveur mais pourtant j'ai toujours entendu parler de vous comme étant ses alliés.
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08.11.08 23:54
[Juste histoire de vous mettre dans l'ambiance xD]

Découvrez Film La Cité De La Peur!




Quelque part dans Al-Jeit, quelqu'un courait.

>

Quelque part dans Al-Jeit, au beau milieu d'un dédale de ruelles sombres, quelqu'un sautait au-dessus d'un cadavre et tournait à droite, puis à gauche et... encore à gauche, puis à droite, à droite et... encore à droite.

>

Quelque part dans Al-Jeit, à la sortie d'un épuisant labyrinthe de ruelles normalement trop sombres pour "ces" insectes volants, un garçon vêtu d'un long manteau marron portant sur son dos une grande hallebarde argentée entreprenait rapidement - très rapidement - l'escalade d'une façade d'une maison haute de trois bons mètres et après l'avoir gravie s'élançait, d'abord prudemment, sur les tuiles glissantes puis... accélérait.

>

Quelque part dans Al-Jeit, le même garçon bondissait de toit en toit.

>

Quelque part dans Al-Jeit, le garçon à la hallebarde continuait sa course dans une rue tapissée de flaques un peu partout après avoir longé verticalement un mur appartenant à une maison dont le toit venait d'être dépourvu de quatre tuiles.

>

Quelque part dans Al-Jeit, non loin d'une auberge, malgré son extrême fatigue Iorek Alebard réfléchissait toujours aussi rapidement que le rythme effréné de ses chaussures martelant le sol à chacun de ses pas.

>



L'auberge était de plus en plus proche, et Iorek ne ralentissait pas.

Il ne franchit pas la porte. Il l'enfonça tout en tournant la poignée.

Heureusement, l'entrée était assez grande pour laisser passer une hallebarde de deux mètres et son propriétaire.

Iorek se retrouva donc bien à l'intérieur de l'établissement mais, étant trop loin de la porte, il ne put empêcher les trois cent ou quatre cent guêpes d'entrer à leur tour.

Mais la situation avait maintenant complètement changée. L'hallebardeur y voyait maintenant très bien, il n'était plus sous la pluie et il n'avait plus froid.

Iorek détacha son arme de son dos, enleva son manteau, tint son hallebarde à deux mains, observa de ses yeux sombres ses ennemies qui faisaient de même. Elles s'étaient organisées de façon à former un déploiement militaire en coin, mais en trois dimensions.

Il y eut cinq ou six secondes de silence.

Et Iorek chargea.

Les insectes aussi.
Mais avec plus de bruit.

Bruit très vite couvert par un assourdissant vacarme provenant du choc de la hallebarde sur le bois du plancher.
Des tables. Des chaises.
Des tabourets. Du comptoir.
Des murs.
Des poutres.
Du plafond.

Cette étrange scène était certes bruyante mais très impressionnante à regarder. En effet, il était stupéfiant de voir cette arme terrifiante être maniée avec une telle adresse qu'on aurait cru qu'elle n'avait pesé pas plus lourd qu'un bout de bois mort.

Brutal. Tout cela était en fait très... brutal.
Et à chaque fois que Iorek portait brutalement un coup de hallebarde, plusieurs guêpes étaient tranchées en deux.
Ou plutôt réduites en bouillie.

Mais pour éviter de se faire piquer, l'hallebardeur devait bouger tout le temps. Il montait sur les chaises et les tabourets, sautait de tables en tables, se déplaçait sur le comptoir, parfois à reculons...


Enfin, après une bataille longue, terrible et insupportable, la dernière guêpe mourut.

A ce moment-là, Iorek Alebard se mit à respirer plus lentement et entreprit de nettoyer tranquillement la lame de son hallebarde imprégnée de sang translucide à l'aide d'un mouchoir de soie qui avait l'air d'avoir déjà beaucoup servi.


Une minute plus tard Iorek releva la tête et observa autour de lui.

Quelques ivrognes somnolaient, affalés sur le comptoir et sur leur chaise. La plupart des clients qui jadis se trouvaient là avant son arrivée étaient partis, seuls restaient des guerriers habitués aux combats et à la violence.
Le tavernier, lui, venait juste de réapparaître de l'autre côté du bar. Il s'était sûrement évanoui.

C'est alors que Iorek remarqua un groupe isolé de jeunes femmes assez singulières qui, leur regard le lui disait, n'avaient pas manqué une miette de l'affrontement insecto-humain.
En deux secondes il comprit que ces femmes-là étaient tout sauf débutantes en ce qui concernait l'art du combat.

L'hallebardeur s'approcha du bar et s'adressa à l'aubergiste sur le ton de la conversation:


- Bonsoir. Heumm...

L'adolescent eut alors un doute affreux. Et si... Et si dans ce Monde le Coca... n'existait pas ?

- Mmmmh... Un... Coca, s'il vous plaît.
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