Artémis et Eyrim se sont rencontrées devant l’Arche ; pour l’instant, les détails restent à préciser dans le RP juste commencé.  

Une rencontre qui s’est faite par hasard, presque au détour d’un chemin, sur le port d’Al-Chen où Evan venait tranquillement se ressourcer et où Eyrim travaillait. Une chance que le hasard, qui depuis une éternité fait décidément bien les choses, les ai amenés à se rencontrer ; à présent compagnons de jours et de nuits, la quiétude est pourtant bien peu aisée à acquérir. 

Compatriote, compagnon de voyage, dans la déroute et dans le bonheur, Myya est un amour et le courant est passé dès le début. Deux faëlles destinées à devenir inséparables ou presque...! 

Une rencontre qui n’avait  pas commencé dans les meilleures conditions possibles, puisque la première fois que ces deux jeunes filles se sont rencontrées, Eyrim venait de faire une magnifique chute dans l’eau (merci Ledwin :P) ; nous ne pouvons cependant douter que l'échange qui en réultera sera fructueux : une passion commune, la mer, ça réunit, non ? 

Certaines personnes s'entendent à merveille dès le premier abord, d'autre ne peuvent s'empêcher de s'irriter l'une l'autre, en permanence, sans même chercher à en voir les conséquences. Une relation fondée sur le sentiment de supériorité mutuel ne peut pas marcher. Peut-être alors celle-ci ne marchera-t-elle pas comme on le prévoyait ?

Pour le moment aucune opinion vraiment forgée; simplement cette première impression d'ironie quoiqu'il arrive, et d'un je-m'en-foutisme convaincant que certaines personnes dégagent. Plutôt sympathique, au fond !

Alors qu’elle effectuait son travail quotidien dans le port d’Al-Chen, Eyrim croise un Alavirien fraichement arrivé dont elle a fait accoster l’embarcation ; la discussion et la relation s’engagent tout de suite, au moyen de répliques qui fusent toutes vers des sommets vertigineux de littérature et de linguistique. Il ne reste plus aux deux jeunes gens qu’à déterminer entre eux  quelle suite prendra ce qui a si bien commencé… Nombreux sont les horizons différents qui se sont ouverts d’un seul coup !

Alors qu’elle rentre juste d’un séjour en pays faël qu’elle avait effectué pour se ressourcer, Eyrim rencontre une compatriote nommée Myya qui lui parait tout de suite sympathique. Elle lui raconte alors la mission dont on l’a chargée lors de son passage à Sinuïl, qui consiste à se rendre à la Citadelle des Frontaliers afin de jeter les premières bases de relations diplomatiques jusqu’alors presque inexistante. Sans aucun doute Myya fera désormais partie des amitiés chères au coeur d'Eyrim

Eyrim, épuisée par le travail intensif qu’elle a dû fournir afin de réparer un bateau à temps, s’est endormie sur le pont du port d’Al-Chen avant d’être réveillée en sursaut et de tomber à l’eau devant un équipage entier de pirates, parmi lesquels Noëliam, qui a à sa disposition un bateau et ne demande qu'à trouver de nouveaux compagnons d'aventure. Plus tard un autre pirate, Ari, fait une arrivée inopinée sur le bâtiment.

Comment décrire l’indescriptible ? Quand deux âmes se heurtent à la première vision, pour ne jamais se décrocher et évoluer ensemble d’une manière indépendante et pourtant sans jamais se détacher… En deux mots : l’Amitié absolue. Eyrim et Artémis se rencontrent.

Une rencontre, encore une, d'un nouveau genre cette fois : c'est un vrai méchant dont il est question, un brigand qu'Eyrim sauve sans savoir qui il était ; la faëlle a parfois bien du mal à la supporter, mais peut-être va-t-il falloir qu'elle prenne un peu sur elle cependant, une traversée des plateaux d'Astariul à deux n'étant pas exclue.

La liberté se perd-elle ou s'acquiert-elle lorsqu'on vit à deux ?
Quelle que soit la réponse, la vie ne fait jamais vraiment de cadeaux, et chaque être est sommé de rencontrer au cours de son existence doutes, peurs, trahisons, douleur et bonheurs.

C’est donc l’histoire d’une faëlle, qui porte le nom d’Eyrim et qui depuis toujours agit à temps et à contretemps sans jamais un tant soi peu se soucier d’autre chose que d’elle-même, sa famille, ses amis et ses passions ; une faëlle qui parle plus que couramment deux langues pour la simple raison qu’elle trouvait dommage et insuffisant de limiter son champs des possibles dans l’infini firmament littéraire dans lequel elle aime se plonger ; car oui, Eyrim est une faëlle qui écrit, depuis longtemps et certainement encore pour de longues années, à moins qu’un quelconque malheur ne lui arrive, pourquoi pas en mer, sait-on jamais ? Car l’emploi du verbe plonger n’était pas innocent, et ce terme recèle encore une signification derrière ses six petites lettres ; l’écriture n’est pas la seule passion enivrante dans laquelle Eyrim aime à s’immerger. L’élément liquide, quand il est marié au vent, est pour elle un compagnon de voyage et la combinaison de ces deux courants la porte elle et son navire sur les eaux tantôt calmes, tantôt grondantes mais toujours réconfortantes à ses yeux. Eyrim, c’est aussi une histoire de relations, car ses amitiés ou ses amours sont pour elles plus qu’importantes, et la fidélité une de ses plus grandes qualités. Elle est tenace pour l’un comme pour l’autre et ne retirera jamais l’affection qu’elle porte à quelqu’un, à moins bien sûr d’avoir une bonne raison pour cela. Ce qu’elle déteste le plus chez elle ? Sa maladresse devenue légendaire ! Elle n’a pour l’instant jamais réussi à s’en débarrasser et se casse toujours la figure dans les moments les plus inopportuns...
L’histoire d’Eyrim sera vite résumée ; elle est née il y a 17 ans sur une terre faëlle, mais voyageuse invétérée, elle s’en est vite éloignée pour découvrir d’autres lignes d’horizon et un second langage qu’elle apprit et adopta très rapidement. Elle s’initia à la voile dans le grand océan du Sud mais reprit la route à peine une année plus tard, pour aller s’installer à Al-Chen où elle travaille à réparer des avanies dans les voiles ou les coques des bateaux. Philanthrope, elle ne rêve que de rencontrer des gens, et de lier puis de converser avec eux. Son excentricité attire ou repousse le plus souvent au premier abord, reflet de la façon dont elle-même aime à juger les gens sans les connaître.