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Mon personnage Sexe et âge: 20 ans c'est une fille Aptitudes: pratique la boxe française et sais dessiner
| Alice BlancTerrien [Admin]
07.06.16 18:00 Bonjours bonjours! Bon, je poste ceci parce que j'aimerai avoir un avis sur le rp solo que j'ai commencé il y a peu. Il va me permettre d'introduire un tournant important pour la nouvelle vie d'Alice donc voilà... Je prends toute critique, que cela soit du point de vu grammaire/conjugaison ou simplement du style. D'ailleur, j'aimerai savoir si on ressens l'hyperactivité d'Alice. Parce que c'est un aspect de sa personnalité que je n'ai pas encore trop réussi (je trouve) à mettre en place en rp. Je ne sais pas si vous voulez que je vous mette le texte ici mais en tous cas je vous mets un lien ici - Cela se passe ici!!:
Merci d'avance pour le temps que vous prendrez! | | Âge : 22
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Mon personnage Sexe et âge: Homme de 29 ans (je crois) Aptitudes: Comme tous les marchombres, grande agilité et rapidité, plus un petit cadeau du Rentaï...
| 07.06.16 18:32 Je veux bien m'atteler à cette tâche! Si ça peut te convaincre, l'orthographe française est ma meilleure amie... Je ne fais que peu de fautes et je les déniche facilement! Voilà, donc je t'envoie ma correction et mes suggestions dès que possible! | | Âge : 26
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| Alice BlancTerrien [Admin]
07.06.16 18:40 Merci Stromer:) Je suis preneuse! | | Âge : 22
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| 07.06.16 19:48 Alors, mesdames et messieurs, *roulement de tambour*, je vous présente... La correction! - Voili-voilou! :
Et après ça tu me dis que tu aime la pluie ? J'entends la moquerie dans la voix de Samuel. Ce n'est même pas la peine que je prenne le temps de lui répondre. Je resserre autour de mes épaules le maigre foulard dans un geste purement instinctif. Je repense au début de cette journée.
Je suis arrivée dans Al-Far depuis quelques jours, errant dans les rues. Pourquoi ? Parce que je me suis faite chasser de chez Juliane par sa fille. Je revoie très bien le visage de cette dernière quand elle m'a découverte dans la cuisine en train de ranger des affaires. D'abord il y a eu l'étonnement, puis le dégoût, une espèce de colère puis enfin une froideur sans nom. Elle s'est tournée vivement vers sa mère, et s'est mise à lui faire la morale. Rappelez moi, je vous ai bien dit (ce mot-là tu l'a oublié :o) que c'était la fille dans histoire ? (là, je sauterai une ligne pour appuyer la question) Oui ? (tout comme ici)Bien continuons. (et là de même! mais ce ne sont que des suggestions, tu as ton style, j'ai le mien) Rapidement, les voix se sont levées. La vieille femme était peut être aveugle mais pas gâteuse. Et puis elle était chez elle quand même. Mais c'était perdu d'avance... Elle voyait juste une gamine serviable, polie, et qui acceptait ses petites lubies. Comme jeter du sel au dessus de son épaule. Il y a beaucoup de gens qui font ça ? Parce que franchement, je ne vois pas (un petit oubli...) en quoi jeter du sel par dessus mon épaule va... Alice, garde une continuité dans tes souvenirs. Tu vas te perdre. ...nous porter chance. Je finissais ma phrase d'accord ? Alors continu. Alors, j'ai dit pour Juliane, maintenant... Sa fille ! Non non, elle vous comprenait, une fille aux cheveux de couleurs, encore des racistes ! Alice! D'accord, d'accord. Donc, une fille aux cheveux teintés, et des tatouages.. C'est forcément une pauvresse, qui est forcement une voleuse, qui est... Bref ! Je n'avais rien à faire ici apparemment. Il ne fallut pas (concordance des temps...) longtemps pour que je me retrouve dehors, la porte claquant dans mon dos. Je me souviens vaguement de l'homme qui m'avais empoignée.. Tu aurais peut être pu lui offrir (faute de frappe?) ton poing dans sa figure ? Je te rappelle Samuel, que pour le moment il faudrait éviter de se faire remarquer.. Tu crois que c'est possible avec tes cheveux ? Ou tes tatouages? Chut ! Et non je n'arrêterai pas de me les teindre juste pour me fondre dans la population. Je ne le faisais pas à Dijon, je ne ne le ferai pas ici. Point ! Et puis tu les adore mes tatou'! Donc j'ai trouvé un convoi qui m'a menée jusqu'ici. Mais rapidement le peu d'argent que j'avais amassé, fut rapidement décimé. Ben quoi ? J'avais faim. Et puis plus le temps passe, plus j'apprécie la cuisine d'ici. Même si, là maintenant, j'aimerai bien avoir un plat de pâte carbonnara.... Mon frère se racle la gorge. Il n'a pas le temps d'aller plus loin. Oui oui, l'histoire.
Je pouvais me considérer chanceuse pour le moment, car les beaux jours s'installaient petit à petit. Cela pouvait être pire. Jusqu'à aujourd'hui ! Tais-toi Sam' ! Là, c'est toi qui sautent des épisodes. Depuis ce matin, une épaisse de lourdeur s'est installée sur la ville. Au fil des heures, les nuages se sont amassés dans le ciel. Il a fait de plus en plus sombre, le ciel faisant comme un couvercle sur la ville au-dessus (répétition de "sur") de nos têtes. Et finalement l'orage a éclaté. D'un coup, l'eau est tombée sur cette portion du monde, une véritable averse alors que les nuages grondaient, lâchant quelques éclairs. J'avais offert mon visage à la pluie, appréciant la fraîcheur de l'eau après cette chaleur moite. Rapidement (j'enlèverai ce mot car tu le répète peu après) des flaques se sont formées sur le sol, attirant des gamins. La rue a été rapidement le théâtre de jeux, accompagné par un orchestre de rires, de cris et de protestations des mères. Il y aura pas mal de vêtements à laver ce soir... J'esquisse un sourire, puis un souvenir vient s'imprimer sur ma rétine. (ce serait bien de sauter une ligne ici, pour qu'on entre vraiment dans le souvenir) Une enfant qui tourne sur elle-même sous la pluie. L'eau frappe avec force le sol, mouillant un peu plus à chaque minute les vêtements de la fillette. Ses cheveux sombres, coupés courts sont plaqués sur sa nuque et ses joues. Mais elle sourit. Elle rit. Encore. Et encore. (peut-être sauter des lignes ici?) Elle se moque des flaques formées par de l'eau trouble. A son âge, on ne remarque pas la boue qui vient s'imprimer sur nos (il y a "on"...) vêtements en une multitudes de points. Non, elle profite juste de ce moment de liberté qu'elle ressent, ainsi que du calme de la pluie. Il n'y a pas de cris ici. L'oppression qu'elle ressentait dans la maison depuis quelques heures a disparue. Mais elle ne voit pas la silhouette qui s'approche. Ses oreilles sont sourdes à l'appel qui résonne. Une main s'abat sur son bras. Les doigts se referment sur son membre. Une force contraire à son élan l'emporte, elle trébuche. Emportée dans son élan, elle tente de tourner encore. Elle ne fait que se cogner contre l'homme. Sa tête se lève, la main de son père s'écrase sur sa joue. Ce n'est pas la douleur qui la fait pleurer. Bon peut être un peu quand même. Mais c'est surtout la surprise et l’incompréhension. On n'avait encore jamais levé la main sur elle. La fillette n'entend que sourdement les reproches de son père tandis qu'il la tire derrière lui. C'est cette soirée là qu'il a quitté la maison.
Dis sœurette, je ne veux pas interrompre ton instant souvenir, même si je pense que tu aurais pu trouver plus joyeux... Mais tu compte marcher comme ça encore combien de temps ? Je repris contact avec la réalité.
J'avais quitté les rues principales pour m'enfoncer dans la ville. La pluie tombait toujours avec force sur la ville (je supprimerai cet élément car le mot "ville" est dit juste avant), se déversant des nuages toujours aussi sombres. Finalement, elle avait fini par chasser les habitants des rues. (On aurait pu croire que...) Il semblait que la ville était vide de vie. Il n'y avait plus de rumeurs de conversation, juste le bruit des trombes d'eau. Tu compte reste longtemps comme ça ? Oui tu as raison. Il faut qu'on se trouve un abri. Je resserre un peu plus autour de moi le chandail et continue ma marche. Petit à petit j’accélère, cherchant à échapper à la pluie. Parce que oui, je veux bien aimer la pluie, mais au bout d'un moment j'ai juste envie de dire stop. Stop... ? Ah non. Cela ne marche pas... Tu me désespère....Là ! Je me stoppe net. Pendant un bref instant je dérape, il me semble que le sol se rapproche de mon visage... Et bien non. Merci mon équilibre !
Donc voilà. Je suis depuis plusieurs minutes sous cette avancée de maison. Bon, il manque des briques, les fondations semblent avoir (pourquoi "avoir ne pas"? moi je l'enlèverai et laisserai simplement "les fondations semblent ne pas apprécier"!) ne pas apprécier les intempéries... Bon d'accord, il (qui il? je te conseille de préciser) est sur le point de s’effondrer. Mais au moins, je suis (presque) au sec. De toute façon c'est toujours mieux que d'être sous ce déluge. Je suis d'accord avec toi. Je reste ainsi, les bras entourant mes genoux ramenés contre ma poitrine, les yeux dans le vide. Je sens la fatigue m'envahir. Tu ressens la fatigue ? Toi ? Sam', ce n'est pas drôle. Non mais franchement. Je croyais que... J'ai dû dormir quelques heures ces derniers jours, et ne pas avoir mes médicaments ne m'aide pas. Donc, oui, j'ai un immense coup de barre, et en plus j'ai froid. Donc (tu répètes "donc", je te conseille de le supprimer ou de trouver un synonyme) maintenant tu te tais, et tu me laisses... Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. … me... reposer. Je sens ma tête dodeliner. Mes paupières se font lourdes, et mes yeux me brûlent. J'entends vaguement la voix de Samuel au loin, alors que je me sens plonger en avant. Puis il y a le noir, et avec lui le repos.
Et voici une bonne chose de faite! Ça peut faire une révision pour mon brevet aussiBon, revenons à nos siffleurs. Je n'ai pas du tout ressenti d'hyperacivité... Pour qu'on puisse la percevoir, peut-être pourrais-tu sauter beaucoup de lignes et faire des phrases très courtes? Cela ferait un effet saccadé. Tu pourrais également ajouter des adjectifs tels que "précipitamment", "brusquement", ou des mots comme "d'un coup"... - Un exemple:
Stormer était allongé dans l'herbe. Soudain, il ressentit comme un manque. Une perte.
Il se leva d'un coup.
Son coeur battant la chamade, il baissa les yeux vers sa ceinture.
Non!
Le marchombre tata frénétiquement son équipement dans son dos.
Ses griffes.
Il ne pouvait pas le croire. Il regarda précipitamment au sol, à la recherche d'un quelconque indice.
Il releva la tête brusquement et, incapable de se tenir immobile, commença à faire les cents pas.
Ses griffes avaient disparues.
Fini! J'espère que tout cela t'aura aidée! | | Âge : 26
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| Alice BlancTerrien [Admin]
08.06.16 22:08 Merci beaucoup Stromer. J'ai vu que j'ai fais des fautes...... J'ai eu honte... Merci de ta patience. Et j'espère que cela t'as permis de réviser ;)
Et bien c'est que j'ai lu quelques écrits (pas des professionnels mais ça aide) où il y a un personnage hyperactif et je trouve que les textes pas forcement espacés, et avec des phrases à la suite (bon je n'arrive pas à expliquer mais bon..) et des idées qui s'égarent un peu de temps en temps, je trouvais que cela faisait bien. Mais je prends tes remarques en compte. Je verrai après, je n'ai pas fini;) Mais l'idée des phrases espacées et courtes je les voient bien pendant une des ses crises de phobies... | | Âge : 22
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| 09.06.16 13:34 De rien! Au fait, je te prierai d'arrêter de massacrer le prénom de mon personnage adoré... C'est Sto rmer, pas St romer! Mais je ne t'en veux pas... | | Âge : 26
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| Alice BlancTerrien [Admin]
12.06.16 17:16 Desolée, je ferai attention à l'avenir | | Âge : 22
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| 12.06.16 17:54 | | | 04.07.16 19:41 Hop hop hop, j'arrive les enfants ! Bon alors, je pense que Stormer a fait le gros du boulot mais je repasse quand même derrière pour corriger les dernières fautes que j'ai vues (et il y a aussi des fautes de frappe) et puis je vais en profiter pour faire dans la foulée mes remarques sur le style, la forme etc. Du coup désolée mais je vais tout casser la mise en page de ton texte, pour que ce soit plus lisible. - Vouala:
Et après ça tu me dis que tu aimes la pluie ? Oubli du "s" de la deuxième personne du singulier.
J'entends la moquerie dans la voix de Samuel. Ce n'est même pas la peine que je prenne le temps de lui répondre. Je resserre autour de mes épaules le maigre foulard dans un geste purement instinctif. Je repense au début de cette journée.
Je suis arrivée dans Al-Far depuis quelques jours, errant dans les rues. Il vaudrait mieux dire à Al-Far que dans Al-Far et pour une question de concordance temporelle des actions, tu devrais dire soit "je suis arrivée à Al-Far il y a quelques jours" soit "je suis à Al-Far depuis quelques jours" mais tu ne peux pas indiquer une durée (avec le depuis) pour une action finie (tu es arrivée et puis voilà, ça ne te prend pas des plombes d'arriver). Ensuite le "errant dans les rues" semble un peu posé après la phrase mais sans y être trop lié, il faudrait l'introduire, par exemple en formulant ainsi : "et depuis j'erre dans les rues".
Pourquoi ? Parce que je me suis fait chasser de chez Juliane par sa fille. Bon alors ça c'est une règle chiante sur l'accord des participes passés qu'on ne voit pas vraiment en cours et c'est dommage mais en gros, quand ton participe passé est suivi d'un verbe à l'infinitif (ce verbe qui est donc le COD du verbe conjugué) on n'accorde pas.
Je revois très bien le visage de cette dernière quand elle m'a découverte dans la cuisine en train de ranger des affaires. Le verbe revoir est du troisième groupe, attention, et ce n'est pas du subjonctif présent ici. Et « en train » s'écrit en deux mots sinon c'est le nom « entrain » qui veut dire enthousiasme.
D'abord il y a eu l'étonnement, puis le dégoût, une espèce de colère puis enfin une froideur sans nom. Attention à la répétition du mot « puis », tu pourrais remplacer le deuxième par un simple « et ».
Elle s'est tournée vivement vers sa mère, et s'est mise à lui faire la morale. Rappelez-moi, je vous ai bien dit que c'était la fille dans histoire ? Oubli du trait d'union et je pense que tu as dû oublier un mot aussi dans la phrase parce que « la fille dans histoire » c'est pas très français et pas compréhensible non plus.
Oui ? Bien continuons. Une petite virgule entre le « bien » et le « continuons » serait la bienvenue, ça correspond plus au rythme qu'on a à l'oral quand on dit cette phrase (essaye tu verras que tu fais une pause entre les deux mots donc c'est bien de la marquer avec une virgule).
Rapidement, les voix se sont levées. Le verbe « s'élever » au lieu de « se lever » marcherait sans doute mieux.
La vieille femme était peut être aveugle mais pas gâteuse. Et puis elle était chez elle quand même. Mais c'était perdu d'avance... Elle voyait juste une gamine serviable, polie, et qui acceptait ses petites lubies. Comme jeter du sel au dessus de son épaule. La virgule après « polie » est de trop, il n'y en a pas besoin puisqu'il y a un « et » juste derrière. Et tu devrais rattacher la dernière phrase à celle d'avant avec une virgule à la place du point. Autant que possible on essaye d'éviter les phrases nominales si elles n'ont pas d'effet spécifique voulu.
Il y a beaucoup de gens qui font ça ? Parce que franchement, je ne vois pas en quoi jeter du sel par dessus mon épaule va... Alice, garde une continuité dans tes souvenirs. Tu vas te perdre. ...nous porter chance. Je finissais ma phrase d'accord ? Alors continue. Oubli de la terminaison, ce qui donne l'adjectif et plus le verbe conjugué.
Alors, j'ai dit pour Juliane, maintenant... Sa fille ! Non non, elle vous comprenait, une fille aux cheveux de couleur, encore des racistes ! Pas de « s » à « couleur » et je n'ai pas bien compris le sens de ta phrase... Qui comprenait quoi ? Et que viennent faire les « racistes » au milieu ?
Alice ! D'accord, d'accord. Donc, une fille aux cheveux teintés, et des tatouages.. On dit « des cheveux teints » du verbe teindre plutôt que « des cheveux teintés » du verbe teinter.
C'est forcément une pauvresse, qui est forcement une voleuse, qui est... Bref ! Je n'avais rien à faire ici apparemment. Il ne fallut pas longtemps pour que je me retrouve dehors, la porte claquant dans mon dos. Oubli d'un mot et faute de frappe.
Je me souviens vaguement de l'homme qui m'avais empoignée.. Tu aurais peut-être pu lui offrir ton poing dans sa figure ? Oubli du trait d'union, il est important celui-là parce que sans lui, c'est la forme « peut être » dans le sens « pouvoir être » et non dans le sens « éventuellement ». Et j'aurais plutôt mit « la figure » au lieu de « sa ».
Je te rappelle Samuel, que pour le moment il faudrait éviter de se faire remarquer.. Tu crois que c'est possible avec tes cheveux ? Ou tes tatouages? Chut ! Et non je n'arrêterai pas de me les teindre juste pour me fondre dans la population. Je ne le faisais pas à Dijon, je ne ne le ferai pas ici. Point ! Et puis tu les adores mes tatou'! Oubli du « s » de la deuxième personne du singulier et on écrit « tatoos » et non « tatou », ça c'est l'animal.
Donc j'ai trouvé un convoi qui m'a menée jusqu'ici. Mais rapidement le peu d'argent que j'avais amassé,fut décimé. Problème de rythme dans ta phrase, la virgule serait mieux après le « rapidement ». Et le verbe décimer ne colle pas vraiment avec ce que tu veux dire... Il faudrait trouver autre chose, comme dépenser ou utiliser au pire.
Ben quoi ? J'avais faim. Et puis plus le temps passe, plus j'apprécie la cuisine d'ici. Même si, là maintenant, j'aimerai bien avoir un plat de pâtes carbonnara.... Mon frère se racle la gorge. Il n'a pas le temps d'aller plus loin. Oui oui, l'histoire. Oubli du « s » du pluriel pour les pâtes (a priori tu n'en manges pas qu'une !)
Je pouvais me considérer chanceuse pour le moment, car les beaux jours s'installaient petit à petit. Cela pouvait être pire. Pour la concordance des temps « cela aurait pu être pire » colle mieux.
Jusqu'à aujourd'hui ! Tais-toi Sam' ! Là, c'est toi qui sautes des épisodes. Oubli du trait d'union et mauvaise terminaison.
Depuis ce matin, une épaisse de lourdeur s'est installée sur la ville. Au fil des heures, les nuages se sont amassés dans le ciel. Il a fait de plus en plus sombre, le ciel faisant comme un couvercle sur la ville sur l'esprit gémissants'amusa Samule. Il manque une petite transition entre les deux personnages je trouve, peut-être une virgule. Il y a aussi une faute de frappe et je ne comprends pas ce que tu veux dire par « esprit gémissant ». Enfin au niveau des temps tu n'es pas raccord avec le reste, on utilise le passé composé quand le récit est au présent, là il faut utiliser du plus-que-parfait (« s'était installée »).
Et finalement l'orage a éclaté. D'un coup, l'eau est tombée sur cette portion du monde, une véritable averse alors que les nuages grondaient, lâchant quelques éclairs. Même remarque pour les temps, pas de participe passé ici.
J'avais offert mon visage à la pluie, appréciant la fraîcheur de l'eau après cette chaleur moite. Des flaques se sont formées sur le sol, attirant des gamins. La rue a été rapidement le théâtre de jeux, accompagné par un orchestre de rires, de cris et de protestations des mères. Encore une fois, pas le bon temps.
Il y aura pas mal de vêtements à laver ce soir... J'esquisse un sourire, puis un souvenir vient s'imprimer sur ma rétine.
Une enfant qui tourne sur elle-même sous la pluie. L'eau frappe avec force le sol, mouillant un peu plus à chaque minute les vêtements de la fillette. Ses cheveux sombres, coupés courts sont plaqués sur sa nuque et ses joues. J'aurais mis une virgule après « coupés courts » ou bien pas de virgule avant mais un « et ».
Mais elle sourit. Elle rit. Encore. Et encore. Elle se moque des flaques formées par de l'eau trouble. A son âge on ne remarque pas la boue qui vient s'imprimer sur nos vêtements en une multitude de points. Pas de « s » à « multitude ».
Non, elle profite juste de ce moment de liberté qu'elle ressent, ainsi que du calme de la pluie. Il n'y a pas de cris ici. L'oppression qu'elle ressentait dans la maison depuis quelques heures a disparu. Mais elle ne voit pas la silhouette qui s'approche. Ses oreilles sont sourdes à l'appel qui résonne. Une main s'abat sur son bras. Les doigts se referment sur son membre. Une force contraire à son élan l'emporte, elle trébuche. Emportée dans son élan, elle tente de tourner encore. Répétition du mot « élan », trouve un synonyme.
Cela ne fait que de se cogner contre l'homme. C'est pas français ça, mets plutôt quelque chose du genre « mais elle ne réussit qu'à se cogner contre l'homme » et peut-être faudrait-il lier cette phrase à la précédente avec une virgule.
Sa tête se lève, la main de son père s'écrase sur sa joue. Ce n'est pas la douleur qui la fait pleurer. Bon peut être un peu quand même. Mais c'est surtout la surprise et l’incompréhension. On n'avait encore jamais levé la main sur elle. La fillette n'entend que sourdement les reproches de son père tandis qu'il la tire derrière lui. C'est cette soirée là qu'il a quitté la maison. Dis sœurette, je ne veux pas interrompre ton instant souvenir, même si je pense que tu aurais pu trouver plus joyeux... Mais tu comptes marcher comme ça encore combien de temps ? Oublie du « s » de la deuxième personne du singulier.
Je repris contact avec la réalité.
J'avais quitté les rues principales pour m'enfoncer dans la ville. La pluie tombait toujours avec force sur celle-ci, se déversant des nuages toujours aussi sombres. Finalement, elle avait fini par chasser les habitants des rues. On aurait dit que la ville était vide de vie. Il n'y avait plus de rumeurs de conversation, juste le bruit des trombes d'eau. Tu comptes reste longtemps comme ça ? Encore oublie du « s ».
Oui tu as raison. Il faut qu'on se trouve un abri. Je resserre un peu plus autour de moi le chandail et continue ma marche. Petit à petit j’accélère, cherchant à échapper à la pluie. Parce que oui, je veux bien aimer la pluie, mais au bout d'un moment j'ai juste envie de dire stop. Stop... ? Ah non. Cela ne marche pas... Tu me désespères... Là ! Pareil et attention à bien mettre un espace après les points de suspension ou les points d'exclamation et d'interrogation.
Je me stoppe net. Pendant un bref instant je dérape, il me semble que le sol se rapproche de mon visage... Et bien non. Merci mon équilibre ! Donc voilà. Je suis depuis plusieurs minutes sous cette avancée de maison. Bon il manque des briques, les fondations semblent ne pas apprécier ces années exposées aux intempéries... « d'exposition » au lieu de « exposées » non ?
Bon d'accord, l'avancée est sur le point de s’effondrer. Mais au moins, je suis (presque) au sec. De toute façon c'est toujours mieux que d'être sous ce déluge. Je suis d'accord avec toi. Je reste ainsi, les bras entourant mes genoux ramenés contre ma poitrine, les yeux dans le vide. Je sens la fatigue m'envahir. Tu ressens la fatigue ? Toi ? Sam', ce n'est pas drôle. Non mais franchement. Je croyais que.. J'ai dû dormir quelques heures ces derniers jours, et ne pas avoir mes médicaments ne m'aide pas. Donc oui j'ai un immense coup de barre, et en plus j'ai froid. Tu te tais maintenant, et tu me laisses... Je ne crois pas que ce soit une bonne idée. … me... reposer. Toujours oubli du « s ».
Je sens ma tête dodeliner. Mes paupières se font lourdes, et mes yeux me brûlent. J'entends vaguement la voix de Samuel au loin, alors que je me sens plonger en avant. Puis il y a le noir, et avec lui le repos.
Les remarques plus globales à présent... Pense à bien aérer ton texte, là ça fait un peu bloc, ça peut être rédhibitoire à lire parce que c'est moins agréable. Ensuite c'est un peu fouillis mais ça représente bien sa personnalité je pense donc ce n'est pas gênant par contre pour ce qui est de l'hyper activité ça ne transparaît pas du tout dans le texte... Mais, autant je suis d'accord avec Stormer concernant le fait de faire des phrases courtes, ça donne effectivement un effet saccadé surtout si tu utilises beaucoup de points d'exclamation pour marquer son agitation, autant je ne te conseille pas de retourner à la linge trop souvent, ça casse le rythme de la lecture plus qu'autre chose. Sinon, pas mal du tout comme texte, on découvre bien ton personnage et ce même si on ne le connaît pas déjà, donc c'est un bon point. Attention juste à la concordance des temps (mais j'admets que c'est pas facile) et au « s » de la deuxième personne du singulier que tu oublies souvent. Ah et j'adore ta dernière phrase ! | | Âge : 26
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06.07.16 18:20 D'abord, merci Xail pour être passée par là:) Je tacherai de corrigé mon rp quand j'aurai le temps, mais en tous cas merci du temps que tu m'as accordé:)) Et pour ce qui de tes remarques (ainsi que celle de Stromer, je verrai ce que j'en fait pour le prochain ;) Et ca fait plasir que ma phrase te plaise tant que ça mais pourquoi? | | | 06.07.16 18:31 Stormer* roooh xD Bah écoute de rien, c'est mon job ^^ Aucune idée, j'aime bien, c'est tout?. | | Âge : 26
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| Alice BlancTerrien [Admin]
31.10.16 11:30 Re bonjours, je vais poster la suite, est ce que ça dérange de faire comme la dernière fois? Toujours pas contre pour un avis. - suite:
« Alice » La voix de Samuel résonne. Douce. Comme les matins où je ratai le réveil. Il savait que personne ne penserai à me réveiller. Oliver, mon père avait quitté la maison. Maman dormait encore, abrutie par les médicaments. Mais ce matin je n'ai pas envie de me lever. Je ne sens ni le froid ou la la faim. Mais alors que je me réveille lentement, tous cela me rattrape. Je te déteste Samuel. Vraiment. J'enfonce un peu plus ma tête entre mes bras, fermant avec force mes paupières. Je veux dormir. Mais mon frère ne semble pas l'entendre de cette oreille. « Alice. Lève toi »Je grogne. « Maintenant »Sa voix est différente. Elle est pressante. Inquiète. Je me redresse. Mon regard balaye ce qui m'entoure. La pluie s'est calmée. Il ne reste qu'une bruine. Il n'y a que le silence dans la ruelle, parfois brisé par l'eau qui goutte d'une gouttière brisée. Pourquoi tu m'as réveillé ? « Debout sœurette. Allez » Je bougonne. Lentement je me mets sur mes jambes. J'en veux à Sam' mais je sais que je peux lui faire confiance. Il a toujours raison. Je resserre autour de mes épaules mon châle, tentant de conserver de la chaleur. Inutile. Tous ce que je porte est mouillé, me glaçant la peau. -Je suis debout ! Tu es content maintenant ?! Samuel ne me répond pas. Non c'est autre chose. Un bruit de pas résonne dans la ruelle. Je sursaute. Quelque chose en verre vient de s'écraser sur le sol. Un rictus étire mes lèvres dans un simulacre de sourire. Ce n'est rien. Un rat ou un chat traînant par là. J'en ai vu quelques uns depuis que je traîne dans les rues. C'est rien. Il fait encore nuit. Je lève le nez vers le ciel. Il ne va pas tarder à faire jour, le ciel s'éclaircit. Ce n'est qu'une question d'heure. « Alice » Je tourne le visage vers le fond de la ruelle. Il n'y a que des ombres et des détritus trainant sur le sol. Je fronce des sourcils. Tiens j'ai reculé. Ou avancé. Cela dépend du point de vu. Je devrais plutôt dire que je me suis enfoncée dans la ruelle. « Alice. Cours »Instinctivement je vais regarder l'avant de la ruelle. De la lumière. Elle colore les murs de couleurs sanglantes. Puis des voix. Rien que des paroles indistinctes « Soeurette.. »Je fais la sourde oreille à Sam', hyptonisée par le dessin des flammes. Les ombres sont déformées en silhouettes grotesques. Ils s'approchent. Leurs silhouettes se déforment, gonflent à chacun de leurs pas. Finalement leurs paroles se font limpides. Sa bulle se brise. -Tu es sur qu'elle est ici ? -Oui. Tu ne l'as pas entendu ? Je n'entends pas la réponse. Qui est-ce ? « Je ne suis pas devin » Qu'est-ce qu'ils me veulent ? -J'espère pour toi que tu ne m'as pas amené sous cette pluie pour rien. -Non, non. Promis Kyren. Elle est arrivée il y a quelques jours. Mes gars l'ont vu errer. Je suis sur qu'elle possède encore des trucs intéressants. Et puis sinon.. La voix de Sam' coupe la suite de la phrase. « Cours Alice. Cours »Ma main se referme sur la sangle de ma sacoche. Je fais volte face. Ma course résonne contre les murs. Mes pieds claquent dans l'eau qui s'est agglutinée sur le sol. Je n'ai pas entendu la suite de la phrase de l'homme. Mais son ton ne laisse pas place à l'hésitation. Il ne faut pas qu'ils m'attrapent. Courir. Il faut courir. Des cris me tordent l'estomac un peu plus. -Par là ! Courir. Toujours plus vite. J'entends le bruit de leur course. Je pousse un peu plus sur mes jambes. Accélérer. Toujours plus. La peur donne des ailes on dit.. Je vais commencer à croire cette phrase. Bientôt j'oublie le froid, l'eau qui dégouline sur ma peau. Il n'y a que cet instinct de survie qui me pousse en avant. Et Samuel. « Tourne Alice. Maintenant »Je dérape sur le sol boueux. Mes mains brassent l'air. Elles cherchent à s'accrocher à quelque chose. N'importe quoi. Pas tomber. Pas maintenant. Je me faufile dans le renfoncement. « Recule. Recule » J’obéis. En trébuchant je m'enfonce entre les deux murs. J'essaye de retenir ma respiration hératique. Chut. Pas faire de bruit. Le moins possible. Il ne faut pas qu'ils m'entendent. Sinon c'est fichu. Les bruits de courses s'approchent. Je me tend. Leurs silhouettes passent sans ralentir devant moi. Je me laisse glisser contre le mur. Les deux mains devant ma bouche. J'attends. Les secondes s'écoulent. Lentement. Il n'y a que le battements furieux de mon sang dans mes temps. Ma gorge est sèche. Mon corps tremble. Puis je me rends compte de ce qui m'entoure. Des murs. Partout. Je reprends pied avec la réalité. J'inspire par le nez. J'essaye de refouler la panique. La fatigue, le stresse ne m'aide pas. Le bourdonnement dans mes oreilles s'accentue. Je me lève. L'impression d'étouffement est là, prenant un peu plus de place. Je ferme les yeux essayant de me calmer. Je ne réalise pas réellement, je recule peu à peu. Quelque chose derrière mon talon. La surprise. « C'est fini soeurette. Respire » Je cligne des paupières. Je suis au sol, hors de la ruelle. Je ramène mes jambes contre moi, plaçant ma tête dessus. Je reste ainsi le temps que ma respiration devienne normale. Puis je les entends. Ces cris. Une espèce de fièvre, de joie sourde. Je tourne la tête. Une lueur attire mon regard. Lentement je me mets debout, mon sac au bout du bras. Je marque un temps d'arrêt devant les escaliers qui s'enfoncent dans le sol. « Tu ne crois pas que tu en a eu assez pour ce soir ? » Je secoue la tête. Je cherche à chasser Samuel. Je n'ai plus sommeil. Ou peut être j'ai trop peur de me rendormir. Il faut que je m'occupe l'esprit. Et puis tous cela à attiser ma curiosité. Je jette un dernier regard aux alentours. La ruelle est vide, bien moins éclairée que d'autres. Je me suis enfoncé dans les profondeurs d'Al-Far. Mes yeux reviennent sur la lumière qui illumine le bat des marches. Qu'est-ce que je vais trouver là dessous ? -Tu compte t'enraciner là gamine ? Je sursaute. Un homme se tient avec nonchalance derrière moi. Malgré la faible luminosité, j'arrive à me faire une idée sur son physique. Comme beaucoup de monde, il me dépasse. Pas de beaucoup. Son crâne est recouvert par de courts cheveux bruns. Ou roux ? Même si il semble plus âgé que moi, ses yeux verts rieurs lui donne un air d'enfant. Un court bouc décore son menton. Et il est bien roux. -Alors tu te décide ? Il m'observe d'un air moqueur, mais je vois ses yeux devenir froids. C'est rare de voir une gamine de se promener par là. -Je.. C'est ces deux gars qui m'ont... Face à son air interrogateur je prend une inspiration pour tous reprendre depuis le début. Il y a deux hommes qui m'ont suivis. Ma course m'a mené là. C'est première fois que je viens là. Des yeux verts critiques. Deux mains levées à hauteur de ses épaules pour accentuer ses paroles. Promis. Son visage reste sérieux pendant de longues secondes avant qu'il s'éclaire de nouveau. Il redevient un gamin. -Très bien je te crois. Sans un mot de plus il me pousse sans brusquerie hors de son chemin. Il a commencé sa descente dans les escaliers quand je lui demande : -Mais qu'est-ce qui ce passe là dessous ? Il tourne simplement la tête dans ma direction. -Rien de ce que peux intéresser une jeune fille comme toi si tu veux mon avis. Une grimace déforme mon visage. Je n'aime pas ce genre de discours. Il ne me connais pas, donc il n'ai en aucun cas en droit de me dire ce qui m'est interdit. « Non Alice. Je pense qu'il sait exactement de quoi il parle » La curiosité pèse. -Et si cela peut m’intéresser ? Un large sourire vient étirer ses lèvres. -Alors suis moi. Je l'entends à peine marmonner alors qu'il continu sa marche dans les escaliers. « Alice.. C'est une mauvaise idée. » Je fais la sourde oreille et m'enfonce dans les escaliers.
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Mon personnage Sexe et âge: Femme d'une petite trentaine d'années, MORTE Aptitudes: Guerrière émérite, grande conteuse et bonne résistance à l'alcool.
| 25.02.17 18:26 Hum... ta demande de relecture est toujours d'actualité ma petite Alice ? ^^' | | Âge : 26
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| Alice BlancTerrien [Admin]
26.02.17 16:50 Euh en faite je n'ai pas fais ma dernière partie de mon rp, mais en soit cela ne me dérange pas si on le ferme. C'est comme cela t'arrange
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| 26.02.17 16:59 non non, c'était juste pour savoir si tu voulais une relecture ou pas :P Moi ça ne me dérange pas de jeter un oeil, surtout que j'ai pas l'impression qu'il y ait beaucoup de fautes. C'était juste pour éviter de le relire et que tu dises "ah non, pas besoin, j'ai posté et fini ce RP" :P
Du coup : veux-tu que je te relise pour trouver quelques fautes qui auraient échappé à ton oeil vigilant ? ;)
Pour cette demande, on peut la laisser ouverte, comme ça tu pourras venir demander une relecture quand bon te semblera. Stormer et moi on reprend le truc. | | | |
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