Alors, petite explication^^
Ici, ce sera l'endroit ou vous aurez droit à à peu près tout. Ce sera une taverne, dont je vais faire une brève description plus bas. Ce topic sera géré comme un topic de rpg, sauf que vous parlez entre vous. Par exemple, si quelqu'un à envie de sortir un poème sans créer de topic dédié, il fera dire à son personnage le poème en question ici.
Vous pourrez provoquer le tavernier, aller boire une petite bière, provoquer des bagarres, vous détendre, les amoureux pourront se retrouver dans une chambre romantique... Et pas de nombre de ligne minimum. Vous êtes libre! Et par conséquent moi aussi parce que je compte bien profiter de la taverne...

Donc totale libertée, totale libertée de discussion, totale éclate, et Bierre à volontée!

Ah oui, pour la petite description:

La Taverne - je met une majuscule parce qu'il n'y en à qu'une comme celle ci, ci bien que elle n'a d'autre nom - se trouvait en pleine campagne, à l'abris de l'exitation frénétique des villes.
Elle ressemblait un peu à un petit temple, si bien bâtit, au milieu d'un paysage plutot joli. Elle était contruite sur environ cinquantes mètres de long, sur trentes de large. Et elle contenait aussi une cave, ressemblant plus à un chaleureux salon qu'a l'image que l'on se fait d'une cave.
Le sol de la Taverne était fait de moquette, et les murs de soie peinte de differents motifs. Les tables étaient d'un bois doré, lègerement orangé.
Derrière le comptoir où siegeait le tavernier, on pouvait voir une palette de bière et de vins differents, ainsi que des plats tous appetissants.
Ma description peut paraitre exagérée, mais ce n'est que la pure vérité; je continue donc.
Le sous sol est plus privé, plus intime. Les murs sont de craie peinte en rouge orangé, et une fontaine trône en son centre. Dans une armoire, on peut voir des pipes de differents materiaux, ainsi que des sachets de tabac et d'autres herbes ( parfois quelques peu hallucinatoires ou autre choses dérangeantes pour l'esprit ). En ce qui concerne le tabac, il y en a de beaucoup de sortes: vanillé, mentolé, fin, dur, des Iles Alines, du Tabac Doré...
A l'étage, on ne compte plus les chambres. Le tavernier peut vous fournir la suite de votre choix; romantique, confortable, festive, ou d'autres, selon votre choix.
Voila une brève description de la Taverne.

Amusez vous bien les enfants^^

Kajai descendit de son cheval et le confia a un palfrenier. Elle entra dans la taverne, salua le patron, et s'installa a une table, attendant ses amis à qui elle avait donné rendez vous.


[Allez People, je vous attends ^^]

Arwena arriva quelques minutes plus tard. Elle portait une jupe ample et un haut moulant, le tout d'une intense couleur violette. Elle prit place à côté de Kajai et lui sourit largement.

-Bonsoir, Kajai !

Arwena commanda deux bierres. La Frontalière et la Rêveuse engagèrent une coversation animée en attendant les autres.

Arwena sourit à Farenor, et jeta un coup d'oeil amuser à la bouteille de wisky posée devant lui.

-Bonsoir, Farenor ! Content de te revoir !

Elle porta sa bouteille de Bièrre à ses lévres et en but une gorgée, avant de s'appuyer négligeament au dossier de sa chaise.

Fiona entra dans la Taverne et, voyant déjà quelques amis, s'approcha de leur table.

Bonsoir tout le monde! lança-t-elle avec un sourire. Contente de vous revoir!

Elle s'assit et commanda un hydromel de rougeoyeur au tavernier.

Elfy rentra dans la taverne precédée de Fiona, comme à son habitude elle était vetu de suis habit de cuir bleu nuit qui s'accordais avec ces long cheveux bleus. Son regard petillait heureuse de revoir tout ses ami(e)s.

Hey tout le monde !

Elle s'assit aux cotes de Kajai et Farenor lançant au tavernier :

Une biere s'il vous plait !

La musique tranquille et nuancée qui emplissait la salle changea brusquement de tempo et une silhouette s’avança sur la petite scène surplombant les tables, suivis de trois autres personnes équipés de divers instruments..-
Bonsoir cher public, s’écria la jeune femme avec un enthousiaste exubérant, les habitués de la taverne ne me connaisse probablement pas donc je me présentes : Abigaelle et je vais vous interpréter ce soir une chanson folklorique qu’on se plait à chanter dans mon archipel.
Quelques cris d’encouragement s’élevèrent pour lui répondre.
Les musiciens commencèrent avec quelques accords énergiques et la pirate se lança :
Hey! Je ne veux pas être un idiot alavirien!
Je ne veux pas d’une nation sous la manie!
Hey! Entendez-vous le son de l’hystérie?
La logique subliminal de cet e**** d’empire
Bienvenue dans une nouvelle sorte de tension
Tout à travers l’alien-nation.
Où rien ne semble plus bien aller
Les dessinateurs rêvent de demain
Mais nous ne sommes pas ceux qui vont suivre
Donc c’est assez argumenté!
Les notes prenaient fin et un silence perplexe se fit quelques secondes. Là, les réactions se firent partagés certains acclamant les artistes d’un air qui laissait voir qu’ils étaient ivres et d’autres les insultant avec indignation
Merci! Merci vous êtes géniaux, conclut Abigaelle sans se préoccuper de la clameur qui enflait de façon menaçante. -Abigaelle, je crois qu’on devrai filer, fit le murmure d’un musicien.
-Je laisse maintenant la scène à…euh…d’autres. Et n’oubliez pas de SAUVER LES BALEINES!!!
Et sur ce, le petit groupe s’empressa de se disperser. Abigaelle, de son côté se dirigea vers le bar et commanda du rhum tout en s’attablant.

Kajai s'était levée et forçait ArtuDor à boire de l'eau.

-Espèce d'andouille, grommela t-elle en le tirant vers la table ou se trouvaient les autres. Assieds toi là. Si tu as envie de vomir, cours, hein!

C'est alors qu'Abigaelle se mit à chanter. D'abord surprise par les paroles, Kajai trouva finalement le résultat très réussi et plutôt amusant. Elle applaudit bien fort pour couvir le bruit des protestations, ce qui lui valu deux mauvais coups d'oeils de la part de certains clients.

-Whouuhou ! ArtuDor huait Abigaelle.

[ Nan, ArtuDor est c**, j'adore ce que tu fais Zen ;) ]

-De toute façon, j'ai plus soif, dit-il en repoussant d'un geste brusque le bras de Kajai qui lui tendait sa gourde. Sa voix tremblait, il était exténué, plein.

Il se releva tant bien que mal, esquissa un semblant de sourire à sa bien-aimée, puis courrut une nouvelle fois dans la même direction, le main, cette fois, sur son ventre.